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RESUME L’adolescence est une phase du cycle de vie ou le risque de consommation de substances psycho actives augmentent. Le jeune comprend que l’alcool peut aménités les moments d’angoisse et intervenir dans ses sentiments, mais il ne comprend pas les conséquences de cette consommation. Les pratiques/rituels académiques sont des activités intégratives et intégrantes des jeunes qui arrivent á l’enseignement supérieur. Pendant ces festivités, on vérifie l’ingestion abusive de boissons alcooliques et principalement la consommation de bières et de boisson distillées. Mais comment, comme et pourquoi les jeunes boivent tellement pendant ces pratiques/rituels académiques? Pour analyser les motivations qui conduisent ces jeunes á la consommation de boissons alcooliques et la relation existante entre les représentations sociales, expectatives croyances personnelles sur l’ alcool, calcul probable de risque et niveaux de consommation des étudiants de l’enseignement supérieur public de Viseu pendant les pratiques/rituels académiques, on a effectué une étude quantitative, épidémiologique, descriptive/corrélationnelle, analytique, rétrospective et avec un dessin longitudinal. Pour recueillir les données on a utilisé un questionnaire, construit pour cet effet sur la consommation d’alcool pendant les pratiques/rituels académiques et une échelle «d’expectatives et croyances personnelles sur l’alcool» (Gouveia, 1993), appliqués a un groupe d’étudiants qui ont fréquenté l’enseignement supérieur public de Viseu, en Mai de 2004 et en Mai de 2005 aux mêmes étudiants. Les données recueillies ont été insérées et traitées a travers d’un programme informatique SPSS version 13 par Windows. L’étude a révélée une prédominance d’étudiants du sexe féminin, avec une moyenne d’âge de 21,17 ans, la plupart habitant avec des collègues ou amis, le niveau de scolarité des parents est faible et plus ou moins 13,9% appartiennent à des familles dans les quelles un membre boit des boissons alcooliques en excès. Les étudiants alimentent un sentiment «d’acceptation» et de quelque «admiration» face aux collègues qui ne consomment pas d’alcool et «d’acceptation» face aux collègues qui consomment. Les représentations sociales des étudiants ne deviennent pas meilleures avec l’acquisition de nouvelles connaissances et savoir scientifiques. Approximativement 62% des étudiants consomment des boissons alcooliques pendent les pratiques/rituels académiques, ayant 12% commencé pendent l’enseignement primaire, 74% pendent le secondaire et 14% pendent l’enseignement supérieur. La principal raison de ceux qui ne consomme pas est attribuée a des problèmes de santé et celles de consommation ce justifie comme un passetemps. XVIII
Plus au moins 15% des étudiants fréquentent les cours ivres et plus ou moins 16% et 6% respectivement se trouvent démotivés face aux activités scolaires et aussi par les cours qu’ils fréquentent. La consommation des boisons se fait surtout pendent les fêtes et avec les amis, dans les bars, discothèques et fêtes, seyant la bière, les shots et la vodka les plus consommés. En 32%, la consommation a donnée origine a l’absence scolaire, en 22,6% a produit l’oublie de certains faits, 77% consomment différents types de boisons et plus de 50% se sont enivrer pendent les pratiques/rituels académiques. Les expectatives et les croyances sont supérieures chez les garçons et les étudiants qui se sont enivrés pendent les pratiques/rituels académiques ont expectatives et croyances plus élevées sur l’alcool. Se sont aussi les garçons qui présentent des estimatives de risque plus élevés, classifiant de grand-risque 38,6% et 45,0% des étudiants, dans les deux phases respectivement. Pendent la deuxième phase on a vérifié une augmentation de grand risque et une diminution de bas risque. C´est dans les étudiants de grand risque qu´on observe moins d´estimatives de risque et valeurs moyens plus élevés dans tous les facteurs de l´échelle de représentation social. Les effets globaux positifs et facilitation des interactions sociales, la diminution des sentiments négatifs sur soi-même et l’anxiété évaluée, la fuite a des états émotifs négatifs, la desinhibition sexuelle et la représentation sociale totale ont été constitués comme prédicateurs de cette estimative de risque au premier moment de l´étude et dans le deuxième on a rencontré seulement la désinhibition sexuelle et représentation sociale totale. Dans la première phase 47,0% des filles ont été classifiés de grande consommation et dans la deuxième ce niveau a été assumé par 44,7% des garçons. Entre une estimative de risque et les nivaux de consommation il existe une relation positive avec une valeur explicative de 26,3%. Ce sont les étudiants de consommation élevée qui présentent des expectatives et des croyances personnelles plus forts, qui se constitue la représentation sociale total et la désinhibition sexuelle dans la première phase et celle-ci et la justification récréative dans la deuxième phase prédicateurs du niveau de consommation. Mots clés: alcool, adolescents, étudiants, pratiques/rituels académiques, représentations sociales, expectatives et croyances. XIX
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qu’ils fréquentent. La consommation des boisons se fait surtout pendent les fêtes et avec les<br />
amis, dans les bars, discothèques et fêtes, seyant la bière, les shots et la vodka les plus<br />
consommés. En 32%, la consommation a <strong>do</strong>nnée origine a l’absence scolaire, en 22,6% a<br />
produit l’oublie de certains faits, 77% consomment différents types de boisons et plus de 50%<br />
se sont enivrer pendent les pratiques/rituels académiques.<br />
Les expectatives et les croyances sont supérieures chez les garçons et les étudiants<br />
qui se sont enivrés pendent les pratiques/rituels académiques ont expectatives et croyances<br />
plus élevées sur l’alcool. Se sont aussi les garçons qui présentent des estimatives de risque<br />
plus élevés, classifiant de grand-risque 38,6% et 45,0% des étudiants, dans les deux phases<br />
respectivement. Pendent la deuxième phase on a vérifié une augmentation de grand risque<br />
et une diminution de bas risque. C´est dans les étudiants de grand risque qu´on observe<br />
moins d´estimatives de risque et valeurs moyens plus élevés dans tous les facteurs de<br />
l´échelle de représentation social. Les effets globaux positifs et facilitation des interactions<br />
sociales, la diminution des sentiments négatifs sur soi-même et l’anxiété évaluée, la fuite a<br />
des états émotifs négatifs, la desinhibition sexuelle et la représentation sociale totale ont été<br />
constitués comme prédicateurs de cette estimative de risque au premier moment de l´étude<br />
et dans le deuxième on a rencontré seulement la désinhibition sexuelle et représentation<br />
sociale totale.<br />
Dans la première phase 47,0% des filles ont été classifiés de grande consommation<br />
et dans la deuxième ce niveau a été assumé par 44,7% des garçons. Entre une estimative<br />
de risque et les nivaux de consommation il existe une relation positive avec une valeur<br />
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Ce sont les étudiants de consommation élevée qui présentent des expectatives et des<br />
croyances personnelles plus forts, qui se constitue la représentation sociale total et la<br />
désinhibition sexuelle dans la première phase et celle-ci et la justification récréative dans la<br />
deuxième phase prédicateurs du niveau de consommation.<br />
Mots clés: alcool, a<strong>do</strong>lescents, étudiants, pratiques/rituels académiques,<br />
représentations sociales, expectatives et croyances.<br />
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