N° 3, 2008 - Imso.be

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Reste beaucoup de questions : est-ce possible sans accompagnement, aux heures d’affluence, quand les trottoirs sont étroits, comment payer son trajet ? Beaucoup de questions encore sans réponse. Durant ce mois de février 2008 nous avons encore assisté à un exposé dans le cadre de la mobilité pour tous « Et vous ça roule ? ». Les conférenciers s’interrogeaient concernant la mobilité de toutes les personnes, tous les handicaps confondus. Idéalement il faudrait une accessibilité de tout pour tous les handicaps, une accessibilité de l’espace, une accessibilité dans la gestion du temps, pouvoir répondre aux besoins ponctuels et pouvoir favoriser les habitudes de vie de chacun. En fait, ce qui n’est pas valable concernant les valides ne devrait pas l’être pour une personne handicapée, par exemple réserver son transport (en commun), se déplacer uniquement à certaines heures… Tout cela demande un travail non seulement concernant la politique mais aussi un travail humain : regard social, peur de l’autre. De nombreuses questions se posent : -Quel comportement adopter face à une personne avec une déficience intellectuelle ? -Un chauffeur de taxi va-t-il passer plus de temps à embarquer un chaisard plutôt qu’un valide ? -Qui va s’occuper d’aider la personne à mettre sa veste avant de sortir ? -Où trouver les bonnes informations concernant les différentes possibilités de mobilité… etc etc ??? Beaucoup de points sont encore à soulever et à résoudre pour permettre la participation de toutes les personnes handicapées dans tout ce qu’offre une société . En conclusion, le soir de cette conférence, le chauffeur du minibus n’a pas sonné à la porte de la salle de conférence et est parti. Michèle se retrouvait donc à 22h sur le trottoir à l’autre bout de la ville ! Et, suite à son courrier de réclamation nous n’avons reçu aucune réponse ! Anne, accompagnatrice de Michèle en vacances et au quotidien. GRACQ : Groupe de Recherches et d’Actions de Cyclistes Quotidiens IMSO 2008/3 38

Présents : Elke De Smet, Karin Leliveld, Patrick De Meyer, Mau Vanden Eede, dokter Ketelaer, Mieke De Medts, Gaël Spruyt 1. Les fauteuils relax. IMSO 2008/3 Le centre peut disposer d’un certain nombre de fauteuils relax de seconde main qui, après rénovation, vont trouver un emploi dans le centre. Pour l’instant on ne sait pas encore à quel endroit ils seront le plus utiles. On pense que c’est surtout dans et aux alentours de la cafeteria, vu que c’est là qu’il y a le plus d’espace disponible. Néanmoins le groupe de travail pense qu’il faut garder l’idée de les mettre en bas dans le centre car souvent les patients ont une demi-heure de temps entre leurs thérapies et que c’est coûteux en énergie de faire le trajet vers l’étage et de revenir. Le principal problème est qu’il faut disposer de place dans le centre lui-même; mais, au besoin, on pourrait mettre des fauteuils auprès des diverses fenêtres ou dans le fond des divers couloirs latéraux, en remplaçant ou non les bancs existants. Des toilettes pour chien seront également prévues dans le fond du jardin. 2. Mobilier extérieur. Réunion du groupe Dialogue de mai 2008. Des tables et des chaises en bois ont été placées à l’extérieur. Elles sont accessibles, comme avant, par l’escalier et le petit ascenseur derrière la cafétéria. Il y a aussi une pergola dans le jardin thérapeutique, si bien que les patients peuvent y trouver de l’ombre si nécessaire. 3. Enquête de satisfaction. À côté de l’enquête de satisfaction chez les patients externe, il a été procédé à une épreuve chez les patients internes, fin 2007, dans les unités ayant le plus grand roulement de patients : B1C1etC2. Globalement, nous pouvons dire que le degré de satisfaction est plus élevé que chez les ambulants, et a plus ou moins le même profil que celui de l’année 2005. 39

Présents : Elke De Smet, Karin Leliveld, Patrick De Meyer, Mau Vanden Eede,<br />

dokter Ketelaer, Mieke De Medts, Gaël Spruyt<br />

1. Les fauteuils relax.<br />

IMSO <strong>2008</strong>/3<br />

Le centre peut disposer d’un certain nombre de fauteuils relax de seconde<br />

main qui, après rénovation, vont trouver un emploi dans le centre. Pour<br />

l’instant on ne sait pas encore à quel endroit ils seront le plus utiles. On pense<br />

que c’est surtout dans et aux alentours de la cafeteria, vu que c’est là qu’il y a<br />

le plus d’espace disponible.<br />

Néanmoins le groupe de travail pense qu’il faut garder l’idée de les mettre en<br />

bas dans le centre car souvent les patients ont une demi-heure de temps entre<br />

leurs thérapies et que c’est coûteux en énergie de faire le trajet vers l’étage et<br />

de revenir.<br />

Le principal problème est qu’il faut disposer de place dans le centre lui-même;<br />

mais, au <strong>be</strong>soin, on pourrait mettre des fauteuils auprès des diverses fenêtres<br />

ou dans le fond des divers couloirs latéraux, en remplaçant ou non les bancs<br />

existants. Des toilettes pour chien seront également prévues dans le fond du<br />

jardin.<br />

2. Mobilier extérieur.<br />

Réunion du groupe Dialogue de mai <strong>2008</strong>.<br />

Des tables et des chaises en bois ont été placées à l’extérieur. Elles sont<br />

accessibles, comme avant, par l’escalier et le petit ascenseur derrière la<br />

cafétéria. Il y a aussi une pergola dans le jardin thérapeutique, si bien que les<br />

patients peuvent y trouver de l’ombre si nécessaire.<br />

3. Enquête de satisfaction.<br />

À côté de l’enquête de satisfaction chez les patients externe, il a été procédé à<br />

une épreuve chez les patients internes, fin 2007, dans les unités ayant le plus<br />

grand roulement de patients : B1C1etC2.<br />

Globalement, nous pouvons dire que le degré de satisfaction est plus élevé que<br />

chez les ambulants, et a plus ou moins le même profil que celui de l’année<br />

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