Hoofdstuk III. Leden van de Gentse loges tot 1786 ... - Liberaal Archief

monter par une poulie bien haut sur une chèvre postiche dont je faisais tenir les
cornes, faisant faire une confession générale, des fumigations et toutes sortes de
diableries".
Tijdens de allerlaatste jaren van zijn leven schreef hij in zijn Mémoires nog
volgende zin: "Ai-je raconté tout ce que j'ai vu et qui m'est arrivé dans les loges de
francs-maçons?" - maar ging er niet verder op in.
Volgens Philip Mansel nam prins de Ligne aan talrijke maçonnieke zittingen deel
in zg. 'adoptieloges' voor dames, maar de Ligne "ne tardera pas à trouver le rituel
ridicule, trouvant du plus haut comique d'entendre Mme de Genlis ... se vanter, pour
recevoir un certificat de vertu, d'avoir donné six fraises à une vieille femme
malade".
Ook te Mons nam prins de Ligne deel aan zittingen van adoptieloges, zo bijv. in
La Vraie et Parfaite Harmonie (voorgezeten door Simon Joseph Robert de Choisy*)
voor de aanneming als lid, op 29 januari 1778, van de negentienjarige gravin
Agathe Sophie de Lalaing in aanwezigheid van Viscount Charles Dillon,
plaatsvervangend grootmeester van de grootloge van Engeland. Tijdens het
daaropvolgend broedermaal zong zuster gravin d'Ursel (née Marie Flore
d'Arenberg, 1752-1832) een "couplet de remerciement, composé en impromptu par
le F de Ligne". Agathe de Lalaing was een dochter van luitenant-kolonel graaf
Charles de Lalaing (1736-1789) die te Mons lid was van La Vraie et Parfaite
Harmonie.
Prins de Ligne verloor heel wat sympathie bij de vrijmetselaars wanneer hij in een
van zijn boeken (Supplément à Apprius) de vrijmetselaars met homofielen
vergeleek: "ces deux groupes usent de signes spéciaux pour se reconnaître, qu'ils se
serrent la main ou s'embrassent".
In de catalogus van de maçonnieke tentoonstelling door de Algemene Spaar- en
Lijfrentekas ingericht in 1983, citeert Hugo De Schampheleire een 'Testament
maçonnique' (1796) van prins de Ligne, met onder meer wat volgt: "Je ne sais trop
comment les francs-maçons sont à présent dans le monde. Ils ont eu bien du haut et
bien du bas... En attendant, quand la franc-maçonnerie est de bonne compagnie, ce
qui est rare malheureusement, tout concourt de l'émulation, des connaissances, de
l'agrément et de l'excellente plaisanterie.
La Maçonnerie exige de l'éloquence, de la mémoire, de la présence d'esprit, de la
bravoure de corps et d'esprit, de la douceur, de la patience, de la modération, de la
sobriété, de la prudence, de la charité, de la générosité, l'amour du prochain, de
l'imagination, de la voix, de la complaisance et de la gaieté....
En remontant à l'origine de la franc-maçonnerie, peut-être chimérique, voyez la
science cabalistique des juifs, ensuite le talent de l'Architecture, et puis les mots de
ralliement des pauvres Templiers; voire peut-être les sciences les plus abstraites, les
plus utiles, celles des nombres: toutes celles que les Egyptiens ont enfermées dans
leurs pyramides; sans doute le Grand-Oeuvre, la Médecine Universelle, mille
découvertes encore à faire.
de LIGNE - 335