Views
4 years ago

Y-mail 27 FR - septembre 2015

  • Text
  • Docteur
  • Yperman
  • Polypes
  • Niveau
  • Hospitalier
  • Chez
  • Soins
  • Suivi
  • Coloscopie
  • Examen

2 Rééducation

2 Rééducation gériatrique multidisciplinaire Sp Gériatrie De gauche à droite: dr. Bart Werbrouck, Lynn Crombez, dr. Geert Gabriel, Chantal Catteeuw, Ellen Detavernier et dr. Philip Van Belle. Absent sur la photo: Hendrik Vandaele. > Tous les patients gériatriques sont désormais réunis sous un même toit. Le déménagement du département Sp Gériatrie, qui accueille 21 patients gériatriques souffrant d’un problème mental, fut l’avant-dernière phase du déménagement vers le troisième étage du nouveau bâtiment. La dernière phase de ce programme sera l’ouverture, dans le courant du mois de septembre, d’un troisième service G classique (G2) au deuxième étage. < Le nouveau bloc G abritait déjà deux sections ‘ordinaires’ de gériatrie, avec au total 76 lits. Depuis le déménagement du service de gériatrie Sp, qui accueille des patients gériatriques souffrant de problèmes mentaux, tous les patients sont à présent réunis dans le même bloc. Le docteur Philip Van Belle (chef de service): «L’étage supérieur est réservé à 21 patients gériatriques présentant un profil spécifique: des patients souffrants de moments d’égarement, d’absences, de confusion, de démence, de dépression, etc. On leur a donc prévu l’espace nécessaire pour que les patients puissent bouger et marcher à loisir. Des espaces déparés distincts pour les personnes qui veulent s’isoler du groupe pendant un certain temps ont également été emménagés.» Les gériatres responsables sont les docteurs Van Belle, Geert Gabriel et Bart Werbrouck. L’équipe, responable des soins, se compose d’infirmières gériatriques et d’infirmières psychiatriques. Un diététicien, un psychologue, un ergothérapeute et une infirmière sociale sont en mesure de renforcer cette équipe lorsque ceci est nécessaire. Dr Van Belle: «De cette manière, nous pouvons aider les patients sous l’angle de diverses expertises. L’accent est mis sur l’accompagnement et le soutien pratique et psychologique. Les journées des patients sont structurées, ce qui est essentiel à leur rééducation.» Les patients admis au Sp Gériatrie y séjournent en moyenne un mois. «Pendant tout ce temps, les patients sont aidés et stimulés à se laver eux-mêmes, à manger par eux-mêmes… Bref, à retrouver leur autonomie. Après leur séjour dans ce service, deux tiers des patients vont pour la première fois dans une résidence services. Les autres rentrent chez eux, mais avec un maximum de soins à domicile.» Info: Sp Gériatrie, 057 35 64 81, secinwendige@yperman.net www.yperman.net/geriatrie Nouveaux médecins DR ELS VIAENE Service de Cardiologie APR. BIOL. STIJN JONCKHEERE Laboratoire de Biologie clinique Vu que son père fut médecin généraliste, le docteur Els Viaene a été plongée, en quelque sorte, dans la médecine depuis sa plus tendre enfance. «Je me suis spécialisée en cardiologie parce que cette spécialité couvre un large éventail de pathologies allant de problèmes électriques à des problèmes de valve en passant par des pannes de pompe et ce, à tous les âges.» La cardiologue, qui vient d’être diplomée, débutera au centre hospitalier Jan Yperman en janvier 2016. «Je vais me consacrer à la cardiologie générale, mais également à la rééducation. Je me réjouis déjà de pouvoir travailler dans cet hôpital de pointe équipé d’un nouveau cathlab, et disposant d’une équipe de collègues dynamiques.» Info: Secrétariat Cardiologie – Pneumologie 057 35 71 90, seccardiopneumo@yperman.net Stijn Jonckheere intègre le Laboratoire de Biologie clinique à partir du 15 octobre. «Après mon assistanat, j’ai opté pour un ‘Fellowship Clinique’ de deux ans à l’OLV à Alost afin de me perfectionner en microbiologie. Au centre hospitalier Jan Yperman, mes domaines spécifiques se situent également au niveau de la microbiologie ainsi que la biologie moléculaire et la sérologie. J’ai hâte de commencer. En décrochant le label de qualité JCI, le centre hospitalier a prouvé qu’il est capable de travailler en équipe. Cette mentalité est indispensable pour optimaliser en permanence les soins aux patients.» Après une formation complémentaire en mycologie médicale, gestion des antibiotiques et maladies infectieuses, Stijn Jonckheere suit actuellement un master supplémentaire en hygiène hospitalière. «À partir du second semestre 2016, c’est moi qui reprendrai les tâches de l’hygiéniste hospitalier Rafael Joseph.» Info: Laboratoire de Biologie clinique, 057 35 73 20, biologen@yperman.net Ymail_27_FR_v1.indd 2 26/08/15 17:36

De gauche à droite: le docteur Veerle Soufflet, prof. dr. Werner Budts et le docteur Els Troost. Louvain renforce Ypres > Tous les trois mois, un cardiologue de l’UZ Leuven se rend au CH Jan Yperman, pour y assurer, avec la cardiologue Veerle Soufflet, le suivi de patients adultes souffrant d’une maladie cardiaque congénitale stable. < Certaines malformations cardiaques congénitales complexes requièrent un suivi pointu par un spécialiste dans un centre universitaire. Actuellement, les patients stables ont, dans la plupart des cas, la possibilité d’obtenir ce suivi dans leur propre région grâce à une coopération unique avec le professeur Werner Budts de l’UZ Leuven, qui est un expert au niveau des maladies cardiaques congénitales chez les adultes. Le professeur Budts se rend à Ypres tous les trois mois pour y assister à des consultations conjointes avec la cardiologue yproise Veerle Soufflet. Professeur Budts: «C’est le médecin qui se rend chez L’aine ou le poignet? > Au cathlab du CH Jan Yperman, les cathéters se posent aussi bien au niveau de l’aine qu’au niveau du poignet. «Ceci est possible pour environ 70 % de nos patients», explique le cardiologue Dries De Cock. < Depuis un quart de siècle le cathétérisme cardiaque se pratique en passant via la veine fémorale. En effet, cette voie d’accès était la seule voie suffisamment large permettant l’introduction des gaines de cathéter d’un diamètre d’environ 4 mm. «Actuellement le diamètre des cathéters ne font plus que 1,5 à 2 mm », ajoute le docteur De Cock. «Nous pouvons donc souvent passer par l’artère radiale au niveau du poignet, pourvu que celle-ci soit suffisamment large. Ceci n’est pas toujours le cas, entre autres chez les femmes, les patients diabétiques et les patients plus âgés. Environ 7 patients sur 10 entrent en ligne de compte pour cette technique.» Cette procédure est proposée depuis 18 mois au cathlab du CH Jan Yperman. Dr De Cock: «Même lorsqu’elle est effectuée correctement, la procédure le patient et non l’inverse. Je viens à Ypres, ou bien personnellement, ou c’est ma collègue, le docteur Els Troost, qui se déplace.» Le docteur Veerle Soufflet a fait de la recherche au niveau des maladies cardiaques congénitales durant ses stages à l’université. Au cours des trois dernières années, elle s’est rendue chaque semaine à Louvain pour assurer des consultations avec le professeur Budts et le docteur Troost. Cette expérience s’avère actuellement très utile. Dr Soufflet: «Les collègues de Louvain viennent passer ici une demi-journée quatre fois par an. Le reste du temps, nous disposons de suffisamment de savoir-faire en cardiologie pour évaluer, par exemple, si un patient peut être suivi à Ypres ou s’il est préférable de le diriger à Louvain.» Info: Secrétariat Cardiologie – Pneumologie 057 35 71 90, seccardiopneumo@yperman.net via l’aine présente un risque d’hémorragie de l’ordre de 2 à 3 %. La prudence s’impose, d’autant plus que beaucoup de nos patients prennent des anticoagulants. Les complications se limitent la plupart du temps à des ecchymoses. Plus rarement, il peut se produire une hémorragie au niveau du rétropéritoine. La procédure via le poignet ne provoque aucune hémorragie. Elle offre également plus de confort au patient qui ne doit pas porter de pansement compressif et qui peut s’asseoir directement à table. En cas de procédure par l’aine, le patient doit rester alité pendant 6 à 12 heures avec la jambe en position tendue.» Info: Service de Cardiologie 057 35 71 90 seccardiopneumo@yperman.net Un robot comme Pharmacien La pharmacie vient d’être équipée d’un nouveau robot – qu’on a appelé ‘Botti’. Ce robot met à la disposition des différents postes infirmiers tous les médicaments à administrer par voie orale. Après avoir été testé pendant plusieurs mois dans le département de gériatrie G1, l’utilisitation du robot sera déployé dans les autres services à partir du mois de septembre. Eveline Lauwers (pharmacienne en chef): «Le robot est couplé à la prescription électronique aux patients. Il prépare toutes les 24 heures les médicaments à prendre par voie orale pour chaque patient et ceci dans l’ordre de leur administation.» D’où vient le nom Botti? «Les collaborateurs du centre hospitalier ont organisé un concours et ils ont adopté le nom du premier pharmacien de la Belgique: Thomas Botti. Ce nom est en outre facile à retenir et à prononcer.» 3 Ymail_27_FR_v1.indd 3 26/08/15 17:36

Voor de Nederlandse versie, klik hier