Sacre rappresentazioni dei secoli XIV, XV, e XVI - Centrostudirpinia.it

152 RAPPRESENTAZIONE DI BARLAAM E JOSAFAT.
> naiit les yeux baissés, ne fixant pas ses regards plus loin que la longuciir
» d'un joug. ayant une tenue accomplie, porlant avec (lignii6 le vétemenl
• du religieux et le vose anx aumònes.
> — Quel est cet homme? — demanda le prince.
» — Sejgneur—répondit le cocher — cet homme est un de ceux qu'on
> nomme bhikshous; il a renoncé à toutes ics joirs du désìr et il méne
» un^ vie très-austère; il s'efforce de se dompter lui-méme et s'est fait re-
• ligieux. Sans passion , sans envie. il s'en va cliercliant des aumònes.
»— Cela est bon et bien dit— reprii Siddhàrlha.— L'entrèeenreligion
a toujonrs été louée par les sages; elle sera mon recours et le recours
• des autres créatures; elle devìendra pour nous un rruitdevie. de bo-
• nheur et d'immortalité.
» Puis le jeune prince, ayant détourné son char, rentra dans la
• ville sans voir Loumbini: sa rcsolution ctait prise. > ' (D. S^ Hil.. p. 15.)
In modo cosi risoluto, ma con più lungo discorso, narrasi l'incon-
tro di GiosaTatte col severo asceta ed eremita Rarlamo [testo, da pag. 56 a
178-189: dal capo sesto al ventesimo primo]; ove è colta la occasione di
apiegare tutta la credenza cristiana.
Poi che dunque il Buddha determinò di rinunciare ad ogni modo alla
corona ed adempiere il grande alto propostosi . lo annuncia al re suo padre,
il quale invano cerca trattenerlo e vede alla fine la inutilità delle sue op-
posizioni (St. H., pag. 15-17). Anche il padre di Giosafatte procura con
tutti i mezzi di ritorre il figliuolo alla nuova religione, riconducendolo alla
idolatria: ma senza frutto; così che da ultimo determina di dividere in due
il regno (testo, pag. 50''i] e lasciargliene una parte, credendo così di rimu-
tare la sua intenzione di andare a Bariamo. Malvolentieri accetta Giosafatte:
poi. mortogli il padre, cede la corona ad un altro e si mette in via per vi-
sitare, come aveva determinato. Bariamo. (Gap. 22, 24, 25, 32, 36.)
Il Buddha fugge in secreto dalla reggia; non ©.«-tante la vigilanza del
padre e de'sudditi, e benché ne lo sconsigliasse un servo fedele.
€ Le roi comprit qu'il n'y avait point à combattre un dessein si bien
» arrété, et dès que le jour parut, il convoqua les Càkyas pour leur ap-
I prendre ceite triste nouvelle. On résolut de s'opposer par la forca à la
» fuite du prince. On se distribua la garde des portes, et tandis que Ics
• jeunes gens faisaient sentinelle, les plus anciens d'entre les vieillards
» se répandaient en grand nombre dans toutes les parties de la ville pour
» y semer Talarme et avertir les habitants. Le roi Coùddhodana lui-méme,
» entouré de cinq cents jeunes Càkyas, veillait à la porte du palais, tan-
» dis que ses trois frères , oncles du jeune prince, étaieut à chacune des
» portes de la ville, et qu'un des principaux Càkyas se tenait au centre
< [L. Fis., cap. XIV, pag. 230; Fouc, pag. 184.1