Pour - Parkinson Schweiz

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32 LES GROUPES D’ENTRAIDE RECHERCHE 33 LES GROUPES D’ENTRAIDE – DES LIEUX DE RENCONTRE Parkinson Suisse est née de l’idée d’entraide. Voilà plus de vingt ans, nous créions les premiers lieux de rencontre pour les personnes touchées par la maladie. Aujourd’hui, le segment des groupes est un pilier essentiel du travail de l’association. P our les personnes concernées par la maladie de Parkinson, les groupes d’entraide représentent un service essentiel. De nombreux parkinsoniens, mais également leurs proches et leur partenaire, cherchent à échanger pour mieux faire face à leur situation. Au sein de la communauté, ils recherchent des conseils, des informations et des astuces, mais également du réconfort. Ils apprécient de se voir offrir l’occasion de parler ouvertement et naturellement de la vie avec le Parkinson. Exemples de rencontre : les congrès régionaux pour l’équipe dirigeante. Ils ont lieu dans les cantons de Bâle, Berne, Zurich, St-Gall et Lucerne, mais aussi en Romandie et dans le Tessin. Ces rencontres permettent aux équipes d’échanger sur les thèmes, l’organisation et les programmes. Lors des congrès de Wil, Lucerne et Thoune en 2007, la participation des jeunes parkinsoniens était beaucoup plus forte. La confrontation de deux générations infl uence également le contenu du congrès. Elle suscite un vif échange d’opinions sur des questions brûlantes telles que l’autonomie des patients, les services sociaux, les mesures de soins palliatifs ou l’aide active aux mourants. « Le fait de s’inspirer de ces jeunes nous est salutaire et fait souffl er un vent frais », pense une dirigeante âgée de plus de 70 ans. Souvent, ces groupes s’entraident. Nombre d’entre eux organisent des rencontres communes, comme dans la région de Berne. D’autres encore partent ensemble en voyage : chaque année, les groupes de Bellinzone et de Locarno se rendent à l’Adriatique. Les expériences ont soudé les groupes et ont fait naître de solides amitiés. Les membres du groupe d’entraide de Coire s’offrent une excursion bien particulière. Tous les ans, ils se retirent pendant trois jours dans le cloître d’Ilanz. Ils y trouvent des conseillers, entretiennent le contact avec la communauté monastique ou regardent un fi lm. Les entretiens, les promenades et la gymnastique quotidienne avec une physiothérapeute sont source de proximité, de rencontres et d’apaisement. Une fois par an, Parkinson Suisse invite toutes les équipes dirigeantes suisses allemandes à suivre une formation continue. En 2007, le thème de la communication, thème de l’année de Parkinson Suisse, fi gurait au premier plan. Pendant un week-end, plus de 60 dirigeants se sont penchés sur des questions relatives à la dynamique de groupe, à l’ortho- phonie et à la communication pacifi que. « Je me réjouissais des mois à l’avance de ces deux jours », a déclaré une dirigeante de groupe. « Outre des thèmes captivants avec des conseillers compétents, j’ai fait de belles rencontres avec d’autres personnes concernées par le Parkinson », poursuitelle. « J’en tire une grande force pour mon activité au sein du groupe et au quotidien ». Le week-end de formation continue est sans doute la plus importante plate-forme de rencontres entre les équipes. Les contacts perdurent bien après le week-end. En Romandie également, différents groupes cultivent le contact. Au mois de juin, les groupes de Martigny, Sion et Prilly se sont retrouvés à Vevey pour visiter ensemble l’exposition temporaire « Avions, ballons, pigeons… Petites histoires de la photographie aérienne en Suisse ». La visite était précédée d’une balade dans la vieille ville. Les groupes d’entraide constituent également des objets du savoir : 16 membres de différents groupes de proches ont participé à une étude sur la gestion du quotidien des proches soignants de parkinsoniens. Barbara Schoop, diplômée de sciences infi rmières et membre du comité consultatif spécialisé, a présenté les résultats de son travail lors d’un rassemblement. De nouveaux contacts ont été établis entre les proches soignants. Les déclarations telles que : « J’ai toujours l’impression que je supporte 70 % de la vie de mon mari. J’ai 170 % et il garde ses 30 %. Si on y réfl échit : nous autres proches payons énormément de notre personne, et ça ne se voit pas », ont donné lieu à d’intéressantes discussions. Visiblement, les participants ne se sentaient plus seuls avec leurs soucis et leurs fardeaux. Ces contacts sociaux permettent un échange réciproque d’informations et de ressources importantes. En 2008, Barbara Schoop élaborera, en collaboration avec Parkinson Suisse, une brochure d’information présentant les déclarations fondamentales de l’étude. Les rencontres entre les « malades » et les individus sains sont toujours l’occasion de contacts très touchants. Les personnes épargnées par la maladie apportent leur aide au sein du groupe d’entraide, que ce soit dans l’équipe dirigeante, pour les excursions ou lors des rencontres mensuelles. « Ces rassemblements sont très enrichissants pour moi », explique un bénévole. « J’admire souvent la capacité de ces gens à toujours percevoir le positif de leur situation. » m DE NOUVELLES PIÈCES POUR LE PUZZLE DE LA RECHERCHE Parkinson Suisse considère la promotion de la recherche comme l’une de ses principales missions. Il s’agit là essentiellement de recherche fondamentale. L e fonds de recherche de l’association est contrôlé par le comité de recherche, sous la direction du Prof. Dr Hans-Peter Ludin (Berne). Chaque année, une somme maximale de CHF 400 000 peut être attribuée. En règle générale, Parkinson Suisse encourage plutôt un nombre réduit de projets au moyen de contributions plus importantes, qui augmentent les chances de réussite d’un projet. En 2007, les travaux de recherche à Berne, Genève, Lausanne et Zurich ainsi que deux séjours à l’étranger ont été fi nancés. Toutefois, les capitaux sont limités et la Commission ne peut tenir compte de tous les travaux méritant un soutien. De nombreuses petites études ne sont certes pas spectaculaires, mais elles font partie des pièces du puzzle qui complèteront un jour le tableau clinique de la maladie. D’autres fonds, comme par exemple le Fonds national suisse, soutiennent également les chercheurs suisses. L’un des travaux de l’université de Bâle en est un exemple. Au cours d’une étude sur les troubles de la fonction olfactive chez les malades du Parkinson, il a été établi que les cerveaux des parkinsoniens « sentent » de manière plus unilatérale, mais qu’ils essaient de compenser cette perte de performance par d’autres moyens. La directrice de cette étude olfactive explique ici les aspects méthodiques et les contenus de son travail, dont les conclusions ont été présentées en 2007. (Red.) COMPRENDRE LA MALADIE On sait depuis longtemps déjà que les patients parkinsoniens peuvent souffrir de troubles olfactifs qui précèdent les symptômes moteurs de la maladie. Les causes de ces troubles olfactifs sont inconnues à ce jour. Afi n de les analyser, nous avons étudié l’odorat de parkinsoniens à l’hôpital universitaire de Bâle. Dans le cadre de cette étude, l’odorat a été mesuré à l’aide du test « Sniffi n’ Sticks ». D’autre part, on a déduit des potentiels évoqués olfactifs (« courants cérébraux ») après l’application de substances odorantes dans le nez. Par ailleurs, on a recensé l’activité cérébrale pendant la perception des odeurs grâce à des mesures fonctionnelles au tomographe à résonance magnétique (TRM). L’examen portait également sur un « groupe témoin » de sujets neurologiquement sains. Les données des patients ayant décelé un parfum au TRM ont été comparées à celles du groupe témoin qui l’avaient également perçu. Il s’est avéré que la stimulation olfactive activait les mêmes régions cérébrales chez les parkinsoniens que chez le groupe témoin, à savoir les régions « olfactives (après exposition à un parfum) ». Chez les parkinsoniens, l’activité dans ces régions cérébrales est nettement plus limitée à un hémisphère cérébral (le gauche) que chez le groupe témoin. Cependant, de manière tout à fait inattendue, on a également pu identifi er des régions plus actives chez les parkinsoniens, ce qui laisse supposer que certaines régions cérébrales essaient de « compenser » la moindre performance d’autres régions. En résumé, ce premier examen TRM olfactif réalisé sur des parkinsoniens nous a permis de démontrer que, malgré le caractère unilatéral du traitement de l’odorat, les régions concernées sont fondamentalement les mêmes que chez les sujets témoins et qu’il existe même des mécanismes de compensation. Les résultats de cette étude ont été publiés dans un journal scientifi que (Journal of Neurology, Neurosurgery and Psychiatry). Ils peuvent être considérés comme une nouvelle « pièce du puzzle » dans la compréhension de la maladie de Parkinson. Nous souhaitons adresser une fois encore un remerciement tout particulier à tous les patients qui ont participé à cette étude pour leur disponibilité. m PD Dr. Antje Welge-Lüssen

32 LES GROUPES D’ENTRAIDE RECHERCHE 33<br />

LES GROUPES D’ENTRAIDE – DES LIEUX DE RENCONTRE<br />

<strong>Parkinson</strong> Suisse est née de l’idée d’entraide. Voilà plus de vingt ans, nous créions les premiers lieux de<br />

rencontre pour les personnes touchées par la maladie. Aujourd’hui, le segment des groupes est un pilier<br />

essentiel du travail de l’association.<br />

P<br />

our les personnes concernées par la maladie de <strong>Parkinson</strong>,<br />

les groupes d’entraide représentent un service<br />

essentiel. De nombreux parkinsoniens, mais également leurs<br />

proches et leur partenaire, cherchent à échanger pour mieux<br />

faire face à leur situation. Au sein de la communauté, ils recherchent<br />

des conseils, des informations et des astuces, mais<br />

également du réconfort. Ils apprécient de se voir offrir l’occasion<br />

de parler ouvertement et naturellement de la vie avec<br />

le <strong>Parkinson</strong>.<br />

Exemples de rencontre : les congrès régionaux pour l’équipe<br />

dirigeante. Ils ont lieu dans les cantons de Bâle, Berne,<br />

Zurich, St-Gall et Lucerne, mais aussi en Romandie et dans<br />

le Tessin. Ces rencontres permettent aux équipes d’échanger<br />

sur les thèmes, l’organisation et les programmes. Lors<br />

des congrès de Wil, Lucerne et Thoune en 2007, la participation<br />

des jeunes parkinsoniens était beaucoup plus forte.<br />

La confrontation de deux générations infl uence également<br />

le contenu du congrès. Elle suscite un vif échange d’opinions<br />

sur des questions brûlantes telles que l’autonomie des<br />

patients, les services sociaux, les mesures de soins palliatifs<br />

ou l’aide active aux mourants. « Le fait de s’inspirer de ces<br />

jeunes nous est salutaire et fait souffl er un vent frais », pense<br />

une dirigeante âgée de plus de 70 ans.<br />

Souvent, ces groupes s’entraident. Nombre d’entre eux organisent<br />

des rencontres communes, comme dans la région<br />

de Berne. D’autres encore partent ensemble en voyage :<br />

chaque année, les groupes de Bellinzone et de Locarno se<br />

rendent à l’Adriatique. Les expériences ont soudé les groupes<br />

et ont fait naître de solides amitiés.<br />

Les membres du groupe d’entraide de Coire s’offrent une<br />

excursion bien particulière. Tous les ans, ils se retirent pendant<br />

trois jours dans le cloître d’Ilanz. Ils y trouvent des<br />

conseillers, entretiennent le contact avec la communauté<br />

monastique ou regardent un fi lm. Les entretiens, les promenades<br />

et la gymnastique quotidienne avec une physiothérapeute<br />

sont source de proximité, de rencontres et<br />

d’apaisement.<br />

Une fois par an, <strong>Parkinson</strong> Suisse invite toutes les équipes<br />

dirigeantes suisses allemandes à suivre une formation continue.<br />

En 2007, le thème de la communication, thème de<br />

l’année de <strong>Parkinson</strong> Suisse, fi gurait au premier plan. Pendant<br />

un week-end, plus de 60 dirigeants se sont penchés sur<br />

des questions relatives à la dynamique de groupe, à l’ortho-<br />

phonie et à la communication pacifi que. « Je me réjouissais<br />

des mois à l’avance de ces deux jours », a déclaré une dirigeante<br />

de groupe. « Outre des thèmes captivants avec des<br />

conseillers compétents, j’ai fait de belles rencontres avec<br />

d’autres personnes concernées par le <strong>Parkinson</strong> », poursuitelle.<br />

« J’en tire une grande force pour mon activité au sein<br />

du groupe et au quotidien ». Le week-end de formation<br />

continue est sans doute la plus importante plate-forme de<br />

rencontres entre les équipes. Les contacts perdurent bien<br />

après le week-end.<br />

En Romandie également, différents groupes cultivent le<br />

contact. Au mois de juin, les groupes de Martigny, Sion et<br />

Prilly se sont retrouvés à Vevey pour visiter ensemble l’exposition<br />

temporaire « Avions, ballons, pigeons… Petites histoires<br />

de la photographie aérienne en Suisse ». La visite était<br />

précédée d’une balade dans la vieille ville.<br />

Les groupes d’entraide constituent également des objets du<br />

savoir : 16 membres de différents groupes de proches ont<br />

participé à une étude sur la gestion du quotidien des proches<br />

soignants de parkinsoniens. Barbara Schoop, diplômée<br />

de sciences infi rmières et membre du comité consultatif<br />

spécialisé, a présenté les résultats de son travail lors d’un<br />

rassemblement. De nouveaux contacts ont été établis entre<br />

les proches soignants. Les déclarations telles que : « J’ai toujours<br />

l’impression que je supporte 70 % de la vie de mon<br />

mari. J’ai 170 % et il garde ses 30 %. Si on y réfl échit : nous<br />

autres proches payons énormément de notre personne, et<br />

ça ne se voit pas », ont donné lieu à d’intéressantes discussions.<br />

Visiblement, les participants ne se sentaient plus seuls<br />

avec leurs soucis et leurs fardeaux. Ces contacts sociaux<br />

permettent un échange réciproque d’informations et de<br />

ressources importantes. En 2008, Barbara Schoop élaborera,<br />

en collaboration avec <strong>Parkinson</strong> Suisse, une brochure<br />

d’information présentant les déclarations fondamentales de<br />

l’étude.<br />

Les rencontres entre les « malades » et les individus sains<br />

sont toujours l’occasion de contacts très touchants. Les personnes<br />

épargnées par la maladie apportent leur aide au sein<br />

du groupe d’entraide, que ce soit dans l’équipe dirigeante,<br />

pour les excursions ou lors des rencontres mensuelles. « Ces<br />

rassemblements sont très enrichissants pour moi », explique<br />

un bénévole. « J’admire souvent la capacité de ces gens à<br />

toujours percevoir le positif de leur situation. » m<br />

DE NOUVELLES PIÈCES POUR<br />

LE PUZZLE DE LA RECHERCHE<br />

<strong>Parkinson</strong> Suisse considère la promotion de la recherche<br />

comme l’une de ses principales missions. Il s’agit là<br />

essentiellement de recherche fondamentale.<br />

L<br />

e fonds de recherche de l’association est contrôlé par le comité<br />

de recherche, sous la direction du Prof. Dr Hans-Peter<br />

Ludin (Berne). Chaque année, une somme maximale de<br />

CHF 400 000 peut être attribuée. En règle générale, <strong>Parkinson</strong><br />

Suisse encourage plutôt un nombre réduit de projets au moyen de<br />

contributions plus importantes, qui augmentent les chances de<br />

réussite d’un projet. En 2007, les travaux de recherche à Berne,<br />

Genève, Lausanne et Zurich ainsi que deux séjours à l’étranger<br />

ont été fi nancés.<br />

Toutefois, les capitaux sont limités et la Commission ne peut tenir<br />

compte de tous les travaux méritant un soutien. De nombreuses petites<br />

études ne sont certes pas spectaculaires, mais elles font partie<br />

des pièces du puzzle qui complèteront un jour le tableau clinique de<br />

la maladie.<br />

D’autres fonds, comme par exemple le Fonds national suisse, soutiennent<br />

également les chercheurs suisses. L’un des travaux de<br />

l’université de Bâle en est un exemple. Au cours d’une étude sur les<br />

troubles de la fonction olfactive chez les malades du <strong>Parkinson</strong>, il a<br />

été établi que les cerveaux des parkinsoniens « sentent » de manière<br />

plus unilatérale, mais qu’ils essaient de compenser cette perte de<br />

performance par d’autres moyens. La directrice de cette étude olfactive<br />

explique ici les aspects méthodiques et les contenus de son<br />

travail, dont les conclusions ont été présentées en 2007. (Red.)<br />

COMPRENDRE LA MALADIE<br />

On sait depuis longtemps déjà que les patients parkinsoniens<br />

peuvent souffrir de troubles olfactifs qui précèdent les<br />

symptômes moteurs de la maladie. Les causes de ces troubles<br />

olfactifs sont inconnues à ce jour. Afi n de les analyser,<br />

nous avons étudié l’odorat de parkinsoniens à l’hôpital universitaire<br />

de Bâle.<br />

Dans le cadre de cette étude, l’odorat a été mesuré à l’aide<br />

du test « Sniffi n’ Sticks ». D’autre part, on a déduit des potentiels<br />

évoqués olfactifs (« courants cérébraux ») après l’application<br />

de substances odorantes dans le nez. Par ailleurs,<br />

on a recensé l’activité cérébrale pendant la perception des<br />

odeurs grâce à des mesures fonctionnelles au tomographe à<br />

résonance magnétique (TRM). L’examen portait également<br />

sur un « groupe témoin » de sujets neurologiquement sains.<br />

Les données des patients ayant décelé un parfum au TRM<br />

ont été comparées à celles du groupe témoin qui l’avaient<br />

également perçu. Il s’est avéré que la stimulation olfactive<br />

activait les mêmes régions cérébrales chez les parkinsoniens<br />

que chez le groupe témoin, à savoir les régions « olfactives<br />

(après exposition à un parfum) ».<br />

Chez les parkinsoniens, l’activité dans ces régions cérébrales<br />

est nettement plus limitée à un hémisphère cérébral (le gauche)<br />

que chez le groupe témoin. Cependant, de manière<br />

tout à fait inattendue, on a également pu identifi er des régions<br />

plus actives chez les parkinsoniens, ce qui laisse supposer<br />

que certaines régions cérébrales essaient de « compenser<br />

» la moindre performance d’autres régions.<br />

En résumé, ce premier examen TRM olfactif réalisé sur des<br />

parkinsoniens nous a permis de démontrer que, malgré le<br />

caractère unilatéral du traitement de l’odorat, les régions<br />

concernées sont fondamentalement les mêmes que chez les<br />

sujets témoins et qu’il existe même des mécanismes de compensation.<br />

Les résultats de cette étude ont été publiés dans<br />

un journal scientifi que (Journal of Neurology, Neurosurgery<br />

and Psychiatry). Ils peuvent être considérés comme une<br />

nouvelle « pièce du puzzle » dans la compréhension de la<br />

maladie de <strong>Parkinson</strong>. Nous souhaitons adresser une fois<br />

encore un remerciement tout particulier à tous les patients<br />

qui ont participé à cette étude pour leur disponibilité. m<br />

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