Château "Tour des Gendres" - BOIRON la passion du vin

Morgon - Fleurie - Juliénas - Moulin-à-Vent - Régnié - Chiroubles - Brouilly - Côte de Brouilly - St Amour – Chénas
Parmi les 10 crus du Beaujolais, venez découvrir un excellent Chiroubles…
Domaine "La Combe au Loup"
Chiroubles 2003
Une cuvée tout à fait réussie, ou les fruits de baies, la cerise (burlat), la framboise et les mûres
explosent en bouche.
Nous avons beaucoup aimé cette cuvée et ce millésime très élégant.
La bouteille CHF 16.40
10% par carton de 12 bouteilles pendant les 3 jours de dégustation
soit la bouteille CHF 14.75
L’Absente est de retour !
Offre spéciale
Rabais 10 %
6 - 7 – 8 mai
Histoire d’Absinthe :
ème
C’est vers la fin du 18 siècle que le docteur Pierre Ordinaire, originaire du Doubs, mais exilé
pour des raisons politiques en Suisse (à Couvet dans le Val-de-Travers), inventa l’élixir
d’absinthe, composé de plantes aromatiques dont lui seul détenait le secret, et qui faisait des
miracles de guérison.
Il obtint son breuvage en faisant macérer dans de l’alcool agrémenté de quelques épices, une
plante aromatique croissant dans des lieux incultes, contenant une essence amère et toxique.
En 1797, la fameuse recette fut léguée à un certain Monsieur Pernod…
De potion médicamenteuse, l’absinthe fût bientôt prise pour le seul plaisir, devenant ainsi la
redoutable et si désirable "Fée Verte", titrant 65°, qui a notamment inspiré Modigliani, Picasso,
Van Gogh, Toulouse-Lautrec pour les peintres, Hugo, Verlaine, Rimbaud, Jarry, Hemingway,
Orwell, et même Barbara pour les écrivains et les poètes.
L’Absente est une marque internationale déposée, pour cette liqueur aux plantes d’absinthe
dont le taux de thuyone, infime, est réglementé. Toute molécule toxique en est éliminée*.
* On a prouvé que la nocivité de l'absinthe ne s'exerçait qu'à hautes doses et que l'on pouvait rendre inoffensive la thuyone, l'agent
épileptisant de l'absinthe. On a aussi prouvé la mauvaise foi des expériences qui ont conduit à l'interdiction de l'absinthe : les doses
administrées aux cobayes équivalaient à 200 doses d'absinthe par jour. N'est-ce pas plutôt le procès "des conditions sociales qui
poussent les gens au café" qu'il aurait fallu faire ?