Leibniz, Akademie-Ausgabe, 1704--1716
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N. 101 transkriptionen 1703–<strong>1716</strong> 121<br />
gegen des Kaysers M t gedacht welche mir allergd st anbefohlen copey davon zu verlangen.<br />
Ich schreibe deswegen an den H. Hofrath Hertel, auch (weil der abwesend seyn<br />
möchte) an den Secretarium Reinerding, umb mir aufs schleünigste die Copeyen davon zu<br />
überschicken. Hoffe E. D. werden es gd st permittiren, auch selbst anzubefehlen geruhe,<br />
damit ich solche Copeyen mit der ehisten Post, sobald es thunlich haben könne. Beziehe 5<br />
mich in übrigen auff mein voriges, und verbleibe lebenszeit<br />
E. Hochfürstl Durchl t unterthanigster Diener G. W. <strong>Leibniz</strong><br />
Wien 27 Januar 1714<br />
101. J. M. VON DER SCHULENBURG AN LEIBNIZ<br />
, 1. Februar 1714. 10<br />
Überlieferung: K Abfertigung:<br />
[P.S.]<br />
j’ai deia pret de 60 places d’examinées avec leurs attacques, defances et commant<br />
on les pourroient randre meilleures avec peu de frais sans toucher beaucoup au corp de<br />
la place, vous verrez si vous gouttez ce que je vous dis ici et quel usage vous en croyez 15<br />
faire je laisse tout a votre bonne disposition, on est bien lorsqu’on est entre les mains<br />
d’une Personne de votre merite, de votre habilité et de votre probité ainsi que je me<br />
rapporteray volontier et sans replique a tout ce que vous trouverez a propos.<br />
la mefiance entre le Roy de Pologne et le Tzaar augmante aulieu de diminuer ils sont<br />
fort attantifs les uns sur les autres si c’est un jeu pour l’amour du troisieme je n’en scais 20<br />
rien on se trompe moins en songant au pire, le traitté entre l’Empereur et le Tzaar doit<br />
se conclure de jour a autre, vous scavez pour quoy le conseill de l’E. peut et doit etre<br />
partagé la dessus, si cette conclusion a trainé jusqu’ici on croid que la faute en est au S r<br />
Matcof, qui n’en a pas bien compris toute l’etandue et le profit pour les deux jnterressés;<br />
on accuse Göritz de Gottorf d’avoir fait faire des pas de Clerc par son scavoir faire et par 25<br />
des effets reels au Menchenkop et a Flemming, qui pourroient avoir des suites facheuses,<br />
je vous dis commant on raisonne sans vous garantir la verité du fait, c’est le temps qui<br />
nous en eclaircira, en attendant le tout reste entre Nous s’il vous plait en vous priant<br />
meme de me rednesser en cas que je donne à gauche, vos lettres vous les adresserez droit<br />
a Bronsuig au S r Korn, et ditez moy a quoy il faudroit songer a eplucher a fond et je le 30<br />
1. 9. 2005