sommaire - Hachette

Ex. : A. Rimbaud, « Au Cabaret-Vert, cinq heures du
soir » : la bonne rencontre ➜ p. 231
3e § : l’influence d’un mouvement littéraire et culturel
appelant à l’audace.
Ex. : A. Breton, « L’aigrette » : l’écriture automatique
➜ p. 250
Partie II. Cependant, la création poétique tient à
d’autres conditions.
1er § : la technique : maîtrise de la versification et de
ses contraintes.
Ex. : Louise Labé, « Prédit me fut… » : l’art du sonnet
➜ p. 194
2e § : le travail de l’écriture : le brouillon / l’intertextualité.
Ex. : les brouillons d’écrivain (voir le site de la BNF),
les réécritures au XIXe siècle sur le thème du soleil
couchant. ➜ p. 238
3e § : l’expérience de la vie.
Ex. : C. Baudelaire, « Parfum exotique » : le rôle inspirateur
d’une maîtresse ➜ p. 227.
6. Rédaction fondée sur l’emploi rigoureux des connecteurs
logiques, des alinéas et de tous les enchaînements
requis.
7. Conclusion :
L’inspiration joue donc un rôle primordial dans
la phase de création d’une œuvre poétique, mais
elle n’est pas seule. En effet, figurée par la Muse, les
dieux ou le génie, elle demeure un élément à la fois
inexplicable et essentiel à l’écriture. Cependant la
création tient aussi au travail du poète expérimenté
qui met à profit sa technique et son expérience pour
créer un chef-d’œuvre. Cette question de l’inspiration
concernerait plus souvent la poésie que le
roman. À ce propos, Gustave Flaubert, romancier
réaliste, considère dans sa correspondance qu’« il
faut se méfier de tout ce qui ressemble à de l’inspiration
et qui n’est souvent que du parti pris et une
exaltation factice » (1846).
Prolongement : imaginer et traiter un sujet de dissertation
à partir de l’extrait de l’article de Tahar Ben
Jelloun ➜ exercice 5, p. 396.
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