sommaire - Hachette

Texte C : J. Racine, Andromaque ➜ p. 72
Texte D : H. de Montherlant, La Reine morte ➜ p. 91
Notions utiles : Les notions propres au théâtre ➜ p. 376
4. Sujet A :
Partie I. A priori, la subjectivité est inévitable.
1 er § : fonction du goût du lecteur.
Ex. : A. de Lamartine, « Le lac » (texte A) => lyrisme,
donc appel à la sensibilité du lecteur.
2 e § : relativité de la beauté.
Ex. : V. Hugo, « Fonction du poète » => opposition
avec T. Gautier sur l’idée du beau utile.
3 e § : jugement de valeur en fonction de ses propres
critères liés à sa culture et son éducation.
Ex. : J. Prévert, « Chasse à l’enfant » (texte D)
=> poème ressenti plus ou moins violemment,
suivant la façon dont on conçoit la prison.
Partie II. Des critères objectifs existent en matière de
lecture de poèmes.
1 er § : la rigueur de la versification et le choix d’une
forme fixe.
Ex. : J. Du Bellay, « Heureux qui comme Ulysse »
=> examen de l’utilisation du sonnet traditionnel.
2 e § : la richesse du lexique et des figures de style.
Ex. : G. Apollinaire, « Zone » (texte C) => l’originalité
des images appliquées à Paris.
3 e § : le rythme, la musicalité.
Ex. : P. Verlaine « Art poétique » ➜ p. 409 => la
volonté originale de jouer avec les mètres impairs.
Sujet B :
Partie I. Certes, la tragédie ressemble à la peste
(thèse d’A. Artaud).
1 er § : tension dramatique jusqu’à son acmé, impuissance
du héros.
Ex. : H. de Montherlant, La Reine morte (texte D)
=> L’Infante, orgueilleuse, se meurt d’être répudiée
par don Pedro.
2 e § : dénouement malheureux : mort, catastrophe.
Ex. : Eschyle, Agamemnon (texte A) => Clytemnestre
explique le meurtre de son mari, Agamemnon.
3 e § : la résolution à travers la guérison.
Ex. : P. Corneille, Horace (texte B) => le héros est
acquitté de ses meurtres au dénouement.
Partie II. Cependant, elle a des aspects positifs.
1 er § : elle véhicule des valeurs importantes : l’honneur,
le courage…
Ex. : P. Corneille, Rodogune ➜ p. 106 => Antiochus
préfère la mort à son amour pour Rodogune.
2 e § : elle a une fonction cathartique auprès du spectateur.
Ex. : J. Racine, Andromaque (texte C) ➜ p. 75 :
Andromaque décide de la mort ou de la vie de son
fils suivant sa réponse à Pyrrhus.
3 e § : poussée à l’extrême dans le théâtre de l’absurde,
elle dénonce la vanité du monde.
Ex. : E. Ionesco, Le roi se meurt ➜ p. 107 / DVD-
Rom : deux représentations de la scène d’exposition.
10 Élaborer un plan détaillé
1. A et B. La poésie du xix e au xx e siècle : du romantisme
au surréalisme.
C. La tragédie et la comédie au xvii e siècle : le classicisme.
D. Le roman et la nouvelle au xix e siècle : réalisme et
naturalisme.
2. A. Comparaison entre deux visions de la création
poétique => comment définir le travail du poète ?
B. Discussion d’une citation exprimant une thèse sur la
poésie => comment la poésie se conçoit-elle ?
C. Interaction de l’écriture et de la représentation de la
réalité au théâtre => quels sont les liens entre réalité
et écriture théâtrale ?
D. Définition d’une notion => quelle est la fonction d’un
début de roman ?
3. Sujet A :
Partie I. Certes, le poète semble être davantage un
artisan.
1er § : le travail de la versification. Ex. : V. Hugo,
« L’enfant » ➜ p. 206
2e § : les formes fixes. Ex. : le sonnet, J. Du Bellay,
« Maintenant je pardonne… » ➜ p. 408
Partie II. Cependant, le poète est essentiellement un
artiste.
1er § : le don d’écriture. Ex. : P. Verlaine, « Mon rêve
familier » ➜ p. 226
2e § : l’inspiration, l’enthousiasme poétique.
Ex. : A. de Musset, « La Muse » ➜ p. 203
Partie III. Et bien souvent le poète concilie ces deux
rôles
1er § : un artiste est un excellent artisan.
Ex. : J. Racine, Phèdre ➜ p. 408
2e § : transgresser des règles que l’on a assimilées.
Ex. : T. Corbière, « Le Poète et la Cigale » ➜ p. 112
Sujet B :
Partie I. La poésie est conçue pour plaire (conception
d’Horace).
1 er § : un art du divertissement. Ex. : E. Rostand,
Cyrano de Bergerac ➜ p. 408
2 e § : le sens esthétique. Ex. : S. Prudhomme, « Le
vase brisé » ➜ p. 409
Partie II. Mais elle peut se donner pour but de changer
le monde.
1 er § : la poésie engagée. Ex. : L. Aragon, « Les yeux
d’Elsa » ➜ p. 252
2 e § : la poésie qui transfigure le réel. Ex. : F. Ponge,
« La bougie » ➜ p. 411
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