sommaire - Hachette

. Mot à discuter : verbe se contredire.
3. L’écriture poétique du naturalisme est-elle compatible
avec une démarche d’ordre scientifique ?
4. Plan concessif :
Partie I. Une apparente contradiction
1 er § : une œuvre fondée sur des principes scientifiques.
Ex. : la notion de tempérament dans Thérèse Raquin
d’É. Zola.
2 e § : un témoignage de la réalité de la société.
Ex. : le monde morne du travail administratif dans
« La retraite de M. Bougran » de J.-K. Huysmans.
3 e § : une réalité crue ≠ embellissement poétique.
Ex. : l’accouchement douloureux de Jeanne dans
Une vie de G. de Maupassant.
Partie II. En fait, l’essence de toute œuvre littéraire
est la poétisation du réel.
1 er § : la part de subjectivité de l’auteur.
Ex. : la façon épique d’évoquer le travail du « Forgeron
» chez É. Zola.
2 e § : l’essence fictive du roman.
Ex. : le déroulement passionnant d’une intrigue
haletante presque policière dans « Le bonheur dans
le crime » de J. Barbey d’Aurevilly.
3 e § : la stylisation du réel.
Ex. : l’écriture artiste des paysages parisiens de Germinie
Lacerteux des Frères Goncourt.
8 Classer ses arguments
1. Question ouverte.
les surréalistes = mouvement littéraire du xix e siècle,
liberté de création, écriture spontanée, rêve ;
recherchent = désirent, poursuivent ; insolite = étrange,
excentrique, drôle ; tendance = penchant.
Quelles sont les caractéristiques fondamentales de
l’écriture poétique surréaliste ? => plan thématique.
2. 1 re idée générale : Les surréalistes cherchent à innover
en littérature.
=> arguments :
– Les poètes surréalistes utilisent la psychanalyse,
« science » nouvelle à l’époque, pour explorer l’inconscient
;
– Ces artistes rompent avec les règles de la poésie traditionnelle
;
– Le lecteur tient un rôle dans l’interprétation des
textes.
2 e idée générale : Les surréalistes jouent souvent sur
la provocation.
=> argument : Le lecteur apprécie l’inattendu.
3. Partie I. Les surréalistes cherchent à innover en
littérature.
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1 er § : ils rompent avec les règles de la poésie traditionnelle.
Ex. : vers libres de P. Soupault dans « Westwego ».
2 e § : ils utilisent la psychanalyse, « science » nouvelle
à l’époque, pour explorer l’inconscient.
Ex. : images sexuelles récurrentes révélant des
obsessions, dans « L’aigrette » d’A. Breton.
3 e § : le lecteur tient un rôle dans l’interprétation
des textes.
Ex. : liberté d’imagination et d’interprétation dans
le rapport entre texte et dessin dans Les Mains libres
de P. Eluard et Man Ray.
Partie II. Les surréalistes jouent souvent sur la provocation.
1 er § : ils s’engagent face aux choix de la société.
Ex. : célébration de la Résistance dans Les Yeux
d’Elsa de L. Aragon.
2 e § : le lecteur est mis au défi d’interpréter les
œuvres.
Ex. : foisonnement d’images complexes dans « La
glace sans tain » d’A. Breton et P. Soupault.
3 e § : le lecteur apprécie l’inattendu.
Ex. : l’appel à l’écriture automatique dans Le Manifeste
du surréalisme d’A. Breton.
9 Choisir et aménager son plan
1. A. Question déterminée.
éviter = contourner, fuir ; subjectivité = caractère individuel,
voire partial ; juge = évalue, estime ; qualité =
mérite, talent.
B. Question déterminée.
peste = fléau ; se dénoue = se résout ; mort = fin tragique
; guérison = résolution positive ; perception
= connaissance ; tragédie = genre dramatique au
dénouement malheureux.
2. A. Plan concessif : subjectivité a priori inévitable car
la beauté est relative.
B. Plan concessif : exposé de la thèse de l’auteur puis
d’une autre, en antithèse.
3. A. Corpus de textes :
Texte A : A. de Lamartine, Méditations poétiques, « Le
lac » ➜ p. 186
Texte B : G. de Nerval, Odelettes, « Une allée du Luxembourg
» ➜ p. 195
Texte C : G. Apollinaire, Alcools, « Zone » ➜ p. 245
Texte D : J. Prévert, Paroles, « Chasse à l’enfant »
➜ p. 208
Notions utiles : Les notions propres à la poésie ➜ p. 402
B. Corpus de textes :
Texte A : Eschyle, Agamemnon ➜ p. 82
Texte B : P. Corneille, Horace ➜ p. 90