sommaire - Hachette

c. argumentation = apologue, essai… ; efficace = qui
réussit en matière de stratégie argumentative ; lutter =
dénoncer ; inégalités = injustices.
d. héros = personnage principal ; roman réaliste =
genre littéraire du xix e siècle.
e. succès = réussite ; actuel = contemporain ; pièces
classiques = théâtre sous Louis xIV.
f. attendez-vous = souhaitez-vous ; roman = récit fictif ;
opposition entre exotique et actuel (évasion ou réalisme).
4. a. Quelle perception de la réalité le romancier offret-il
?
b. Le théâtre doit-il être représenté pour être abouti ?
c. La littérature d’idées est-elle le seul genre apte à lutter
contre les injustices ?
d. Le réalisme soutient-il encore la notion d’héroïsme ?
e. Une pièce classique est-elle une pièce dépassée ?
f. Quelles sont les caractéristiques propres à l’univers
romanesque ?
4 Analyser les mots clés
1. A. Un discours est-il réussi seulement si l’auditeur
adhère à la thèse de l’orateur ?
B. La tragédie nous représentera des tyrans et des
héros . Qu’en avons-nous à faire ? Sommes-nous faits
pour en avoir ou le devenir ?
2 et 3.
A. discours, auditeur = sermon, plaidoyer… oral => l’art
oratoire, les registres ironique et polémique.
réussi = objectif atteint ; adhérer = faire sienne => stratégie
argumentative (convaincre, délibérer, persuader).
thèse = idée défendue ➜ Le texte argumentatif, p. 371 ;
Les notions propres à l’argumentation, p. 390.
B. tragédie = genre dramatique => catharsis, terreur et
pitié, registre tragique.
tyrans, héros = personnages hors du commun.
4. A. Séquence 7, Les pouvoirs du discours ➜ p. 144
=> synthèse sur l’art oratoire, corpus de discours.
B. Séquence 3, Racine et ses sources ➜ p. 70
Séquence 4, La tragédie classique et sa postérité
➜ p. 89 => figures de rois avec Agamemnon (Racine
➜ p. 80) et Mithridate (Racine ➜ p. 98) et de héros
avec Lorenzaccio (Musset ➜ p. 96) et Ruy Blas (Hugo
➜ p. 100).
5. A. Texte A : Bossuet, Sermon du mauvais riche
➜ p. 145
Texte B : Voltaire, Candide ➜ p. 149
300
Texte C : Beccaria, Des délits et des peines ➜ p. 154
Texte D : Saint-Just, Discours à la Convention ➜ p. 162
Objet d’étude : Genres et formes de l’argumentation :
xvii e et xviii e siècles.
B. Texte A : J. Racine, Andromaque ➜ p. 72
Texte B : J. Racine, Britannicus ➜ p. 76
Texte C : J. Racine, Iphigénie ➜ p. 80
Texte D : P. Quinault, Thésée ➜ p. 87-88
Objet d’étude : La tragédie et la comédie au xvii e siècle :
le classicisme.
5 Analyser le sujet
1 et 2. A. Comment expliquez-vous que la fable
(= apologue / ≠ essai) convainque (= décide, soit
efficace / ≠ dissuade) davantage que la vérité (= réalité
/ ≠ mensonge) toute nue (= stricte / ≠ déguisée,
enrobée) => efficacité de la fable ; opposition entre les
genres de l’argumentation directe et ceux de l’argumentation
indirecte.
B. La poésie (= versification / ≠ prose) se réduit
(= s’en tient / ≠ s’étend)-elle à une confidence (= révélation
/ ≠ évidence) de l’auteur (= poète / ≠ lecteur) ?
=> complicité avec le lecteur, besoin de s’épancher du
poète ; lyrisme personnel ou engagement en poésie.
C. La rencontre amoureuse (= relation sentimentale /
≠ distance, indifférence) est-elle l’étape obligée
(= lieu commun, topos ≠ possible) d’un roman
(= récit / ≠ poème) ? => d’autres relations entre les
personnages ; relation sentimentale sans précision sur
la rencontre ; autres genres où la rencontre amoureuse
peut être décrite (poésie, théâtre).
3. A. Argumentation directe ou indirecte.
B. Fonctions de la poésie, sources d’inspiration, évolution
formelle de la poésie.
C. Intrigue romanesque, relations entre les personnages,
originalité ou lieux communs.
4. A. davantage que = comparaison, supériorité de la
fable. Analyse indispensable pour percevoir qu’il s’agit
de comparer deux genres argumentatifs.
B. se réduit-elle = verbe pronominal => conception
propre au genre.
C. est = verbe d’état => changement a priori impossible,
mais mis en débat dans cette dissertation.
5. A. Texte A : J. de La Fontaine, Fables, « La Cigale et la
Fourmi » ➜ p. 111
Texte B : J. de La Fontaine, Fables, « Le Pouvoir des
fables » ➜ p. 123
Texte C : J.-M. G. Le Clézio, « Dans la forêt des paradoxes
» ➜ p. 163