sommaire - Hachette

– « lieder » = fusion poésie + musique (ex. : Schubert,
Schumann)
=> classement du plus général (thème principal)
aux éléments plus précis.
6. Origine : poésie chantée (poésie + musique). Époq.
romantiq. => lien fondamental : musique = meilleur
moyen artistiq. pr. sentiments.
Deux parties essentielles :
I. Influences de la musique sur la poésie
II. Apports de la littérature à la musique
Sous-parties = différents genres concernés. Un seul ex.
par sous-partie.
7. Deux solutions peuvent paraître intéressantes :
– suivre le découpage et le développement de la synthèse
(déjà le fruit d’une réflexion organisée) ;
– élaborer une hiérarchie personnelle avec des idées
classées selon leur importance (question 3).
Écrire
4 Mettre en forme
V. Hugo, Le Dernier Jour d’un condamné
1. Champ lexical de la punition par la justice : jugent et
condamnent (l. 1), prison perpétuelle (l. 5), prison (l. 7),
punisse (l. 12), punir (l. 13, 16), châtiment (l. 14)… :
débat sur la légitimité de la peine de mort.
2. À quoi bon la mort ? (l. 6) / Pas de bourreau où le
geôlier suffit (l. 10), corriger pour améliorer (l. 17).
3. a. Chaque paragraphe = argument des tenants de la
peine de mort et réfutation de V. Hugo.
§ 1 : prison ou exécution pour le criminel.
§ 2 : inutilité de la peine de mort.
§ 3 : une société vengeresse.
§ 4 : distinction entre punition et vengeance.
§ 5 : la « théorie de l’exemple ».
b. Idées allant par couple : argument pour la peine de
mort ; puis contre-argument (prison) => structure dialogique.
Trois arguments au total :
Argument (en faveur
de la peine de mort)
1 er § : la peine de mort
empêche les criminels de
récidiver.
3 e et 4 e § : la société doit
punir pour se venger.
5e § : il faut faire des
exemples pour dissuader
les criminels d’agir.
4.
1. Certains crimes (viols,
pédophilie) ne peuvent
être pardonnés.
2. Les criminels ressortent
vite pour bonne conduite
et récidivent.
3. Les prisons coûtent
chères à l’entretien :
la peine de mort est moins
onéreuse.
Contre-argument
(contre la peine de mort)
2 e § : enfermer un criminel
suffit à l’empêcher de
nuire.
3 e et 4 e § : il faut corriger
pour améliorer.
Aucun contre-argument
dans le texte.
1. Les erreurs judiciaires
sont très fréquentes.
On ne peut courir le
moindre risque.
2. La prison permet aux
hommes de changer en
comprenant leurs erreurs.
3. Les criminels peuvent
apprendre un métier,
obtenir un diplôme
et espérer se réinsérer.
5. « D’abord » (l. 2) = 1 er arg.
=> 1 er § : peine de mort nécessaire : empêche criminels
de nuire ≠ prison suffisante (1 er et 2 e §).
« Mais » (l. 11) = intro. 2 e arg.
=> 3 e et 4 e § : nécessité punir criminel ≠ « corriger
pour améliorer »
« Reste la 3 e et dernière raison » (l. 20) = annonce
3 e arg.
=> 5 e § = « théorie de l’exemple »
=> 1 tiret du texte = 1 nouvelle idée. 1 arg. puis
1 contre-arg.
Total : 3 arg. ≠ 2 contre-arg.
Prolongement : lire le discours prononcé par
R. Badinter le jour de l’abolition de la peine de mort
➜ p. 156, et le présenter sous la forme d’une fiche
(auteur, contexte, principales parties du discours et
idées).
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