Guerres des Anges

Les forces du bien et du mal s'affrontent, les anges loyaux et les infidèles. Le Christ et Satan ne s'entendent pas et ne pourront jamais s'entendre. À toutes les époques, la véritable Église de Dieu a lutté contre les forces du mal. Dans cette lutte entre les mauvais anges et les méchants, d'une part, et les anges du ciel et les vrais croyants, d'autre part, se poursuivra jusqu'à la fin du conflit, et cette violente bataille s'intensifiera à mesure que la fin approchera. Ceux qui s'unissent aux agents sataniques, le Seigneur les a désignés comme les enfants des ténèbres. Il n'y a pas, et il ne peut pas y avoir, d'inimitié naturelle entre les anges déchus et les êtres humains déchus. Tous deux sont méchants. A cause de l'apostasie, ils nourrissent tous deux de mauvais sentiments. Les mauvais anges et les anges méchants ont formé une confédération désespérée contre le bien. Satan savait que s'il pouvait inciter la race humaine à s'allier avec les armées des ténèbres et avec sa rébellion, comme il l'avait fait avec les anges, il formerait une force puissante avec laquelle il pourrait poursuivre sa rébellion ; cependant, au milieu des armées du mal, il y a de l'irritation et des querelles, mais tous sont fermement alliés dans la lutte contre le Ciel. Les forces du bien et du mal s'affrontent, les anges loyaux et les infidèles. Le Christ et Satan ne s'entendent pas et ne pourront jamais s'entendre. À toutes les époques, la véritable Église de Dieu a lutté contre les forces du mal. Dans cette lutte entre les mauvais anges et les méchants, d'une part, et les anges du ciel et les vrais croyants, d'autre part, se poursuivra jusqu'à la fin du conflit, et cette violente bataille s'intensifiera à mesure que la fin approchera. Ceux qui s'unissent aux agents sataniques, le Seigneur les a désignés comme les enfants des ténèbres. Il n'y a pas, et il ne peut pas y avoir, d'inimitié naturelle entre les anges déchus et les êtres humains déchus. Tous deux sont méchants. A cause de l'apostasie, ils nourrissent tous deux de mauvais sentiments. Les mauvais anges et les anges méchants ont formé une confédération désespérée contre le bien. Satan savait que s'il pouvait inciter la race humaine à s'allier avec les armées des ténèbres et avec sa rébellion, comme il l'avait fait avec les anges, il formerait une force puissante avec laquelle il pourrait poursuivre sa rébellion ; cependant, au milieu des armées du mal, il y a de l'irritation et des querelles, mais tous sont fermement alliés dans la lutte contre le Ciel.

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Guerre des Anges cherchez-vous?” “C’est moi.” Ils tombèrent par terre. Jésus posa cette question afin qu’ils puissent se rendre compte de sa puissance, et avoir la preuve qu’il pouvait se délivrer luimême de leurs mains, s’il le voulait. La foule se releva. Les soldats romains, les prêtres, avec Judas, se rassemblèrent autour du Christ. Ils paraissaient honteux de leur faiblesse, et craignaient que Jésus ne voulût s’échapper.—Les Signes du Temps, August 21, 1879. {TA 196.5} Les disciples s’étaient imaginé que le Maître ne se laisserait pas prendre. Ils pensaient que la puissance qui avait jeté à terre ces gens pouvait les y maintenir jusqu’à ce que Jésus et ses compagnons se fussent mis en sûreté. Ils éprouvèrent du désappointement et de l’indignation quand on apporta des cordes pour lier les mains de celui qu’ils aimaient. Saisi de colère, Pierre tira brusquement son épée et voulut défendre son Maître, mais il ne réussit qu’à couper une oreille au serviteur du souverain sacrificateur. A cette vue Jésus dégagea ses mains, bien qu’elles fussent fermement tenues par les soldats romains, et il leur dit: “Tenez-vous en là!” Il toucha l’oreille blessée, et la guérit à l’instant même. Ensuite il dit à Pierre: “Remets ton épée à sa place; car tous ceux qui prendront l’épée périront par l’épée. Penses-tu que je ne puisse pas invoquer mon Père, qui me donnerait à l’instant plus de douze légions d’anges?” Une légion pour chacun des disciples. Pourquoi, pensaient les disciples, ne se sauve-t-il pas lui-même et nous avec lui? Pour répondre à cette pensée cachée, Jésus ajouta: “Comment donc s’accompliraient les Ecritures d’après lesquelles il doit en être ainsi?” “La coupe que le Père m’a donnée, ne la boirai-je pas?”— Jésus-Christ, 696. {TA 197.1} Lorsque ces paroles furent prononcées les anges reprirent espoir. Ils étaient prêts à entourer leur chef et à disperser cette foule excitée. Mais la tristesse revint sur leurs traits quand Jésus ajouta : “Comment donc s’accompliraient les Ecritures, d’après lesquelles il doit en être ainsi.” Le cœur des disciples aussi sombrait dans le désespoir, amèrement déçu, lorsqu’ils virent Jésus se laisser emmener par ses ennemis ...—Les Dons Spirituels 1: 48. {TA 197.2} Devant Anne et Caïphe Jésus devait paraître devant le sanhédrin ; mais il fut d’abord soumis à un examen préliminaire, en présence d’Anne. {TA 197.3} Quand le conseil se fut rassemblé dans la salle du tribunal, Caïphe prit place sur le fauteuil présidentiel. A ses côtés se tenaient les juges et ceux qui s’intéressaient plus particulièrement au procès. Des soldats romains montaient la garde sur l’estrade au-dessous du siège au pied duquel se tenait Jésus; tous les regards étaient fixés sur lui. L’agitation était extrême. Jésus, seul, calme et serein, paraissait entouré d’une atmosphère de sainte influence.—Jésus-Christ, 698, 703, 704. {TA 198.1} Tout le ciel contempla la cruauté envers le Christ. Dans les événements terribles qui se 142

Guerre des Anges déroulaient dans la salle du tribunal. Devant l'univers céleste, Dieu dévoila l'esprit que manifesteraient ceux qui refusent d’obéir à la loi divine.—Publication des Manuscrits 12: 412. {TA 198.2} Il était difficile aux anges de supporter ce spectacle. Ils auraient voulu délivrer Jésus, mais ceux qui les commandaient les en empêchaient, en leur disant qu’une grande rançon devait être payée pour l’homme, une rançon complète qui devait coûter la vie à Celui qui avait pouvoir sur la mort. Jésus savait que les anges assistaient à la scène d’humiliation. L’ange le plus faible aurait suffi pour anéantir cette foule en délire et délivrer Jésus. Le Sauveur savait que s’il le demandait à son Père, des anges viendraient immédiatement le délivrer. Mais il fallait qu’il souffrît la violence des méchants, afin de réaliser le plan du salut. {TA 198.3} Doux et humble, Jésus se tenait devant la foule furieuse qui lui faisait subir les plus viles injures. On lui crachait au visage, ce visage dont ces hommes impies voudront un jour se cacher, qui illuminera la cité de Dieu d’une lumière plus resplendissante que celle du soleil. Le Christ n’avait aucune animosité contre ces malfaiteurs. Ils lui couvrirent la tête d’un vieux vêtement, lui bandèrent les yeux et le frappèrent au visage, en disant : “Devine qui t’a frappé !” Les anges s’agitèrent ; ils auraient aimé le secourir instantanément ; mais ceux qui les commandaient les retinrent.—Les Dons Spirituels 1: 50, 51. {TA 198.4} Devant Pilate Les hommes étaient imprégnés d'un esprit satanique au moment où ils décidèrent d’accepter Barabbas, un voleur et un meurtrier, de préférence au Fils de Dieu. La puissance démoniaque triompha sur l'humanité ; des légions d'anges maléfiques s’emparèrent des esprits de la foule déchaînée. Le gouverneur, Pilate, prenant la parole, leur dit : "Lequel des deux voulez-vous que je vous relâche ?" Ils répondirent : "Barabbas !" Ils s'écrièrent tous ensemble : "Fais mourir celui-ci, et relâche-nous Barabbas." Lorsque Pilate leur parla à nouveau, l’on entendit le cri sauvage d’une foule furibonde et diabolique, appelant Barabbas. Pilate leur dit : "Que ferai-je donc de Jésus, qu’on appelle Christ ?" Tous répondirent : "Qu’il soit crucifié !" En obéissant la voix des agences démoniaques, les hommes furent entraînés par la supercherie du grand apostat. {TA 199.1} Les mondes non déchus regardaient cette scène avec étonnement, incapables de comprendre la dégradation du péché. Des légions de mauvais anges contrôlaient les prêtres et les dirigeants, et donnaient voix aux suggestions de Satan. Ils persuadèrent et tentèrent le peuple de rejeter le Fils de Dieu, par des mensonges et des pots-de-vin. Et ils les incitaient de choisir un voleur et un meurtrier à sa place. Quel spectacle s’offrait à la vue de Dieu, des séraphins et des chérubins ! Le Fils Unique de Dieu, la Majesté des Cieux, le Roi de Gloire, ridiculisé, insulté, raillé, méprisé et crucifié par ceux qu’il était venu sauver, qui se sont soumis à l'emprise de Satan.—La Revue et Herald, April 14, 1896. {TA 199.2} 143

Guerre <strong>des</strong> <strong>Anges</strong><br />

déroulaient dans la salle du tribunal. Devant l'univers céleste, Dieu dévoila l'esprit que<br />

manifesteraient ceux qui refusent d’obéir à la loi divine.—Publication <strong>des</strong> Manuscrits 12:<br />

412. {TA 198.2}<br />

Il était difficile aux anges de supporter ce spectacle. Ils auraient voulu délivrer Jésus,<br />

mais ceux qui les commandaient les en empêchaient, en leur disant qu’une grande rançon<br />

devait être payée pour l’homme, une rançon complète qui devait coûter la vie à Celui qui<br />

avait pouvoir sur la mort. Jésus savait que les anges assistaient à la scène d’humiliation.<br />

L’ange le plus faible aurait suffi pour anéantir cette foule en délire et délivrer Jésus. Le<br />

Sauveur savait que s’il le demandait à son Père, <strong>des</strong> anges viendraient immédiatement le<br />

délivrer. Mais il fallait qu’il souffrît la violence <strong>des</strong> méchants, afin de réaliser le plan du<br />

salut. {TA 198.3}<br />

Doux et humble, Jésus se tenait devant la foule furieuse qui lui faisait subir les plus viles<br />

injures. On lui crachait au visage, ce visage dont ces hommes impies voudront un jour se<br />

cacher, qui illuminera la cité de Dieu d’une lumière plus resplendissante que celle du soleil.<br />

Le Christ n’avait aucune animosité contre ces malfaiteurs. Ils lui couvrirent la tête d’un<br />

vieux vêtement, lui bandèrent les yeux et le frappèrent au visage, en disant : “Devine qui<br />

t’a frappé !” Les anges s’agitèrent ; ils auraient aimé le secourir instantanément ; mais ceux<br />

qui les commandaient les retinrent.—Les Dons Spirituels 1: 50, 51. {TA 198.4}<br />

Devant Pilate<br />

Les hommes étaient imprégnés d'un esprit satanique au moment où ils décidèrent<br />

d’accepter Barabbas, un voleur et un meurtrier, de préférence au Fils de Dieu. La puissance<br />

démoniaque triompha sur l'humanité ; <strong>des</strong> légions d'anges maléfiques s’emparèrent <strong>des</strong><br />

esprits de la foule déchaînée. Le gouverneur, Pilate, prenant la parole, leur dit : "Lequel<br />

<strong>des</strong> deux voulez-vous que je vous relâche ?" Ils répondirent : "Barabbas !" Ils s'écrièrent<br />

tous ensemble : "Fais mourir celui-ci, et relâche-nous Barabbas." Lorsque Pilate leur parla<br />

à nouveau, l’on entendit le cri sauvage d’une foule furibonde et diabolique, appelant<br />

Barabbas. Pilate leur dit : "Que ferai-je donc de Jésus, qu’on appelle Christ ?" Tous<br />

répondirent : "Qu’il soit crucifié !" En obéissant la voix <strong>des</strong> agences démoniaques, les<br />

hommes furent entraînés par la supercherie du grand apostat. {TA 199.1}<br />

Les mon<strong>des</strong> non déchus regardaient cette scène avec étonnement, incapables de<br />

comprendre la dégradation du péché. Des légions de mauvais anges contrôlaient les prêtres<br />

et les dirigeants, et donnaient voix aux suggestions de Satan. Ils persuadèrent et tentèrent<br />

le peuple de rejeter le Fils de Dieu, par <strong>des</strong> mensonges et <strong>des</strong> pots-de-vin. Et ils les<br />

incitaient de choisir un voleur et un meurtrier à sa place. Quel spectacle s’offrait à la vue<br />

de Dieu, <strong>des</strong> séraphins et <strong>des</strong> chérubins ! Le Fils Unique de Dieu, la Majesté <strong>des</strong> Cieux, le<br />

Roi de Gloire, ridiculisé, insulté, raillé, méprisé et crucifié par ceux qu’il était venu sauver,<br />

qui se sont soumis à l'emprise de Satan.—La Revue et Herald, April 14, 1896. {TA 199.2}<br />

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