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Portfolio : Le Chili à l'argentique

Lors de l’année 2021, j’ai postulé pour une mobilité d’un semestre au Chili. S’ensuivent de nombreuses recherches pour la réalisation de ce projet. Puis finalement le 21 février 2022, j’arrive à Santiago après de 16 heures de vol, et 24 heures de trajet. Lors de mon semestre, j’ai réussi à me dégager beaucoup de temps libre pour découvrir le Chili dans sa quasi-intégralité. Pratiquant la photographie argentique depuis peu, cette mobilité est une opportunité pour expérimenter la photo et ramener d’uniques souvenirs. Avec un nombre limité de pellicules en poches, du matériel au volume et poids conséquent, l’argentique est contraignant. Cela reste cependant un moyen idéal pour contempler mon environnement. Voici donc certains clichés pour vous conter mes aventures.

Lors de l’année 2021, j’ai postulé pour une mobilité d’un semestre au Chili. S’ensuivent de nombreuses recherches pour la réalisation de ce projet. Puis finalement le 21 février 2022, j’arrive à Santiago
après de 16 heures de vol, et 24 heures de trajet.
Lors de mon semestre, j’ai réussi à me dégager beaucoup de temps libre pour découvrir le Chili dans sa quasi-intégralité. Pratiquant la photographie argentique depuis peu, cette mobilité est une opportunité pour expérimenter la photo et ramener d’uniques souvenirs. Avec un nombre limité de pellicules en poches, du matériel au volume et poids conséquent, l’argentique est contraignant. Cela reste cependant un moyen idéal pour contempler mon environnement.
Voici donc certains clichés pour vous conter mes aventures.

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PORTFOLIO

Le Chili à l’argentique

février - juin 2022



Sommaire

Préface 35

Santiago 6

Auto-stop sur la Carraterra Austral 12

Puerto Varas 12

Cerro Castillo 16

Puerto Ibanez 20

Rio Tranquilo 24

Confluenzia y parque Patagonia 28

Caleta Tortel 32

Puerto Cisnes 38

Chaiten 42

Chiloé 48

Concepcion 52

Atacama 56

Villarica 64

Cobquecura 68

Valparaiso 74

La Serena et Coquimbo 78

Conguillio 82

Valdivia 90

Objectif Bolivie: dernière aventure 94

Humberstone 94

Lauca 100

Epilogue 105



Préface

Lors de l’année 2021, j’ai postulé pour une mobilité

d’un semestre au Chili. S’ensuivent de nombreuses

recherches pour la réalisation de ce projet.

Puis finalement le 21 février 2022, j’arrive à Santiago

après de 16 heures de vol, et 24 heures de trajet.

Lors de mon semestre, j’ai réussi à me dégager

beaucoup de temps libre pour découvrir le Chili

dans sa quasi-intégralité. Pratiquant la photographie

argentique depuis peu, cette mobilité est une

opportunité pour expérimenter la photo et ramener

d’uniques souvenirs. Avec un nombre limité de pellicules

en poches, du matériel au volume et poids

conséquent, l’argentique est contraignant. Cela reste

cependant un moyen idéal pour contempler mon environnement.

Voici donc certains clichés pour vous conter

mes aventures.

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Santiago

Santiago

Mon voyage commence et se termine

dans la capitale Santiago. Ville tumultueuse,

avec une identité très occidentale, et un important

contraste entre les quartiers.

L’architecture présente assez peu d’intérêt, et

l’on sent encore la trace des soulèvements populaires

de 2019. Les rues sont marquées de

graffitis, les façades délabrées, les vitrines

grillagées.

Mes péripéties me mèneront plusieurs fois

dans l’immense Santiago, me permettant de

visiter certaines parties de la ville.

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Auto-stop

sur la

Carraterra

Austral

PUERTO VARAS

Ma rencontre avec le continent sud-américain,

et avec la langue espagnole, me mène

à une première problématique. J’ai 15 jours

avant de commencer l’université, les cours

sont tous en espagnol, et mes rares connaissances

datent d’il y a plus de 6 ans lors d’un

cours de LV3 ...

Puerto Varas

Je pars ainsi dans ma première aventure

avec un objectif: faire la Carraterra Austral en

stop. Voyager seul et en stop me force ainsi

à apprendre la langue à vitesse éclair. Cette

route construite dans les années 60 permet de

relier Puerto Montt à Villa O’Higgins. C’est-àdire

traverser la partie nord de la Patagonie.

Parti depuis Concepcion, je vais tout d’abord à

Temuco en bus avant de faire cap vers Puerto

Varas. Je prends enfin conscience du chemin à

parcourir et mon itinéraire s’affine.

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CERRO CASTILLO

Afin de gagner du temps et pouvoir

rendre mon parcours réalisable, je prends avec

regret un avion pour aller jusqu’à Balmaceda.

Je foule alors la terre patagonienne pour la

première fois. Epris d’une liberté absolue, je

ressens enfin les sensations d’aventures que

j’étais venu chercher. Ici à l’autre bout du

monde, avec une carte SIM marchant partiellement,

je vois des étendues infinies de pampa

avant d’enfin rentrer dans le parc du Cerro

Castillo.

Cerro Castillo

Le lendemain matin, vers 10h car je suis pas

vraiment un lève-tôt, je poursuis mon voyage

par une première longue randonnée. Une

bonne mise en jambes de 10km et 1500m de

dénivelé positif pour un citadin inexpérimenté.

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PUERTO IBANEZ

Une nouvelle journée et une nouvelle

destination, plutôt proche pour cette fois. Je

me retrouve à Puerto Ibanez dans le but de

prendre un bateau pour traverser le lac General

Carrera, deuxième plus grand lac d’Amérique

du Sud, et rejoindre Chile Chico.

Arrivé sur place, de forts vents empêchent

la navigation pour plusieurs jours et je ferai

donc marche arrière le lendemain pour continuer

par voie terrestre depuis Villa Cerro Castillo.

Puerto Ingenerio

Ibanez

Les quelques heures sur place me permettent

tout de même de prendre de jolis clichés. Je

rencontre ensuite 3 jeunes chiliens que je retrouverai

plusieurs fois durant mon voyage.

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RIO TRANQUILO

Le rythme de voyage commence à s’installer

doucement: 15 minutes d’attente sur le

bord de route, un camion avec du bétail à l’arrière

qui s’arrête, un bref échange en espagnol

maladroit et me voilà entre un père et ses deux

fils me racontant leur vie.

Mon trip sur la Carraterra Austral n’a commencé

que depuis 5 jours et j’ai l’impression de me

ballader depuis 3 semaines. A ce stade, j’en

suis à environ 620km parcourus en autostop

grâce à 15 véhicules différents, pour un temps

de trajet de 13h de voiture et environ 4h d’attente

le pouce en l’air.

Puerto Rio

Tranquilo

Une courte excursion en bateau me permet de

voir les grottes de marbre et d’autres secrets

de ce fabuleux lac.

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CONFLUENZIA

Y PARQUE

PATAGONIA

Le hasard de l’auto-stop me permet de

découvrir des joyaux que je n’avais pas prévu

dans mon itinéraire.

Tel fut le cas pour la confluence des fleuves

Baker et Neff. Un mélange de couleurs unique

au monde, puisque l’un des deux fleuves découle

directement du Campo de Hielo Norte de

Patagonie.

Cochrane

Les paysages que je vois dans le parc Patagonia

autour de Cochrane forment un souvenir

inaliénable. Le climat est clément, environ 20°.

Le lac Cochrane est par ailleurs réputé pour

avoir l’eau la plus translucide au monde. C’est

donc sans hésiter que je mets la tête sous

l’eau, pour boire la tasse.

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CALETA TORTEL

Me voilà à la destination la plus au sud

du Chili que j’ai atteind. Je sors de la route

principale pour rejoindre ce petit port mythique,

après plusieurs heures sous la pluie à

l’arrière d’un pick-up.

Caleta Tortel est entièrement construit en bois

sur pilotis. Les paysages pour y accéder sont

irréelles, les cascades ne se comptent plus, et

les fjords deviennent enfin visibles.

Tortel

J’aimerai atteindre la fin de la Carraterra Austral

avec Villa O’Higgins mais par manque de

temps je dois faire demi-tour. J’ai pris le dernier

transbordeur, mais le stop ne marche

plus. Je dois attendre les prochaines voitures

le lendemain, ou amorcer mon retour. Je me

tourne alors vers la seconde option.

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PUERTO CISNES

En seulement deux jours, j’ai remonté

quelques 650km de piste puis de route

avant d’arriver de nouveau en terre inconnue,

au-dessus de la grande ville de Coyhaique.

Le petit village Puerto Cisnes, en-dehors des

recommendations touristiques me charme

durant deux journées. J’y rencontre d’adorables

personnes et en apprend un peu plus

sur la société chilienne.

Puerto Cisnes

Une excursion sur un bateau de pêcheurs me

permet également de découvrir l’avifaune locale,

ainsi que de voir des cétacés, ou encore

de me baigner dans des thermes naturels

d’une île inhabitée.

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CHAITEN

Cette grande ville patagonienne compte

à peine 5000 habitants. Comme beaucoup de

villes au Chili, elle n’a que peu d’intérêts. Elle

est cependant adjacente au fameux parc Pumalin,

qui abrite le volcan Chaiten.

Ce dernier est entré en éruption en 2017. Les

dommages sont encore clairement visibles. Il

y ainsi un étrange entrelacement entre nature

désolée et forêts primaires.

Chaiten

Je prends énormément de plaisir à shooter.

Pris par l’eexcitation, je me retrouve seul au

milieu du parc à la nuit tombée. Je marche depuis

2h déjà sans croiser personne. Je me suis

fait à l’idée de devoir marcher 6h de nuit afin

de rentrer, quand par chance une voiture déjà

connue me reprend en stop une seconde fois.

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CHILOE

Après une traversée en bâteau depuis

Chaiten, me voilà de nouveau sorti de la Patagonie.

La fameuse île Chiloé m’accueille avec

les premiers rayons de soleil depuis plusieurs

jours.

Je vais tout de suite en direction du grand parc

de l’île et me retrouve seul dans un camping

avec un jeune chilien.

Ce dernier est tout juste diplômé en ingénierie

forestière. Il commentera la randonnée le lendemain

lors de la visite du parc.

Isla Grande

de Chiloé

Je passe ma dernière nuit à Castro, et je sens

que mon voyage touche à sa fin. La nostalgie

est déjà présente et je remonte en une journée

les 800km qui me sépare de mon université.

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Concepcion

Entre chacune de mes pérégrinations, je

passe quelques jours dans ma ville étudiante:

Concepcion.

Concepcion

Je me suis arrangé pour n’avoir cours que les

lundi et mardi. Le campus de mon université

est connu dans tout le pays, et il faut avouer

qu’y vivre est fort agréable.

Quand je ne suis pas en vadrouille, je reste tranquillement

dans ma colocation: la Casa Abuelita.

De longs échanges avec mes amis chiliens

me permettent d’en savoir un peu mieux sur ce

pays.

Le Chili est victime d’un ultralibéralisme mené

par les USA. Une chose est sûre, la jeunesse

chilienne a foi en la reconstruction de son pays.

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Atacama

San Pedro

de Atacama

Mes premières semaines au Chili ont

fait des envieux. Après un mois seulement,

mes chers parents saisissent l’opportunité de

voyager pour la première fois à l’autre bout du

monde.

Nous sommes logiquement allé dans le fameux

désert d’Atacama, réputé être le plus sec

au monde.

Les visites sont beaucoup plus organisées. Le

confort est également au rendez-vous et c’est

avec grand plaisir que je profite de ces chaleureux

moments.

Pour la première fois de ma vie, je rencontre

des paysages de ce genre, et je dépasse l’altitude

du Mont-Blanc.

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Villarica

Une semaine plus tard, mes parents

passent me récupérer à Concepcion puis nous

partons vers Pucon et Villarica.

Villarica

Les deux villes voisines sont réputées pour

leurs volcans ainsi que pour les parcs qui les

entourent. Ces derniers sont peuplés de nombreuses

expèces endémiques dont fait partie

l’auracaria.

Je propose logiquement une courte randonnée

de 5/6h avec quelques 600m dénivelé à mes

parents pour visiter le parc Villarica. J’avais

oublié de prendre en compte la différence de

condition physique , mais nous arrivons tout

de même au bout de nos peines face au volcan

fumant. Les piles de mon appareil lachent

malheureusement en cours de route.

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Cobquecura

A quelques heures de Concepcion

existent des villages de vilégiature pour les

chiliens des grandes villes. Les longues plages

de la côte pacifique offrent aussi de multiples

spots pour les surfeurs.

Cobquecura

Arrivé sur une longue plage, je vois de nombreux

chiliens qui se dirigent vers un gros rocher

au milieu de l’eau. Des cris se distinguent

du vent qui vient frapper la côte. J’aperçois

alors un amas de lions de mer au milieu de

l’eau.

Je déambule par la suite dans des cavités naturelles

sous des bras de terre, et j’observe les

surfeurs faire leurs pirouettes dans les vagues

surpuissantes du Pacifique.

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Valparaiso

Valparaiso

La fameuse ville portuaire fait souvent

parler d’elle pour ses habitations multicolores

et les nombreux artistes qu’elle inspire.

Valpo a un charme particulier. Je la trouve

comparable à Marseille: grande ville portuaire

à la mauvaise réputation mais aux habitants

accueillants. C’est également un musée à ciel

ouvert avec les façades couvertes d’oeuvres

urbaines.

D’un point de vue architectural, elle contraste

fortement avec les autres villes chiliennes

de par sa morphologie et celle des édifices.

Ceux-ci étaient originellement construits en

terre puis recouvert de taules peintes avec les

couches de protection des bateaux.

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La Serena

y

Coquimbo

La Serena

La Serena est la ville balnéaire par excellence.

C’es également l’une des plus vieilles

villes chiliennes puisqu’elle accueillait l’un

des foyers de peuplement sud-américain

avant l’arrivée des colons.

Coquimbo est une ville accolée avec une très

mauvaise réputation. C’est d’ailleurs la seule

fois dans ce pays où des habitants me disent

clairement de ne pas me ballader seul. Je ne

monterai malheureusement pas ces si jolis escaliers

qui m’appellent depuis le port.

La visite de ces deux villes est uniquement une

étape avant la Valle del Elqui. Ce petit havre de

paix est vraiment un coup coeur, notamment

avec la petite ville de Vicuña. Je suis malheureusement

à sec de pellicules photos...

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Conguillio

Le parc Conguillio est l’un des joyaux

chiliens. Il est souvent ignoré des touristes, à

tort, mais cela fait bien mon bonheur.

Conguillio

Cette escapade est unique car je suis avec

une amie en van. Le voyage pour y aller est

très compliqué à cause des récentes chutes de

neige. Les nuits sont aussi difficiles à cause du

froid.

Les forêts sont flamboyantes en automne, et il

s’agit de la meilleure période pour découvrir le

parc. Ce dernier est frappant par la variété de

paysages:

des forêts d’auracaria, un volcan à la forme

imposante, une coulée de lave, un lac calme ...

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Valdivia

Le Chili est un pays très hétéroclyte. De

nombreux européens sont venus s’y installer

au début du 20ème siècle, et notamment des

allemands.

Valdivia

Valdivia est une très vieille ville puisqu’on y

trouve des vestiges de forts espagnols. Placée

à l’embouchure de plusieurs rivières, elle est

connue pour ses fortifications et son marché

fluvial.

Etant le fief allemand du Chili, Valdivia est

présente sur les étiquettes de bière des plus

grandes brasseries chiliennes.

Je savais que le Chili était réputé pour ses

vins, mais je peux à présent affirmer que ses

bières sont tout aussi exquises.

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Objectif

Bolivie:

dernière

aventure

HUMBERSTONE

La visite de Humberstone marque le début

de ma dernière grande aventure en terres

chiliennes. Partis depuis Iquique avec deux

amis, l’objectif est de rejoindre la Bolivie en

auto-stop.

Humberstone

Humberstone est une ancienne ville minière, à

présent abandonnée, située le long de la Panaméricaine.

Avant de repartir pour plus de

300km d’auto-stop, nous nous arrêtons donc

pour visiter cette ville fantôme.

Le site est en très bon état de conservation, au

milieu de nulle part. Certaines habitations font

office de musée retraçant l’histoire de la ville.

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LAUCA

Après deux escales, une à Arica puis la

seconde dans le petit village de Putre, nous

voilà enfin à la frontière bolivienne.

Putre

En deux jours, nous passons du bord de mer

à plus de 4500m d’altitude, et je ressens pour

la première fois le mal des montagnes. Le parc

Lauca n’est pas du tout développé car très peu

de touristes le traversent.

Nous trouvons tout de même une petite randonnée

de 3h pou marcher seuls au monde.

La randonnée se prolonge d’une journée à

cause de la difficulté de marcher en altitude.

Nous installons un campement précaire par

manque de temps et de matériel, face au magnifique

volcan Parinacota à 4700m d’altitude.

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Epilogue

Ma mobilité ne se termine pas exactement sur

le parc Lauca, mais à vrai dire la chronologie a eu

assez peu d’importance lors de mes 4 mois au Chili.

Certains chapitres de ce portfolio ont été shooté avec

24h d’écart, tandis que d’autres sont séparés de plusieurs

semaines.

Le temps était stoppé lors de mes voyages, c’est d’ailleurs

ce sentiment que j’étais allé chercher. Après de

longs mois de covid, et plusieurs années d’études,

j’avais l’impression d’arriver à bout de souffle et

j’avais besoin de renouveau. Le Chili m’a accueilli

sans que je ne sache dans quelle aventure je me lançais.

Je n’avais pas la moindre idée du fonctionnement

de ce pays, de sa culture, de ses habitants.

Après ces dernières photos, je me retrouvais à l’arrière

d’un pick-up de carabineros, qui nous prennait

en stop jusqu’à la frontière bolivienne. Une semaine

plus tard, je retournai au Chili par une autre frontière

du côté de San Pedro de Atacama.

Je passa mes deux dernières semaines, avec mes

amis à Concepcion. Je tiens d’ailleurs à finir ce

voyage en saluant mes amis de Concepcion: la Casa

Abuelita ainsi que les autres personnes de la Comunidad,

les étudiants en mobilité et notamment ceux

avec qui j’ai pu voyager, mes compagnons de soirées,

les copains de l’Ultimate, et tous les chiliens avec qui

j’ai partagé de bons moments. Je salue également

les amis rencontrés de partout à travers le Chili, notamment

ceux en Patagonie et les autres qui m’ont

hébergé ou pris en auto-stop.

Au final, le Chili ce fut: 120 jours, 4000km en auto-stop,

une nouvelle langue apprise, de nouveaux

amis et d’uniques souvenirs.

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Portfolio entièrement réalisé par mes soins. Les photos ont été prises avec une large

variété de pellicules, et deux appareils : un Canon EOS 650 et un Olympus mju 1. Les différences

de tonalité entre les photos s’expliquent par la variété de pellicules que j’ai utilisé.

Elles ont toutes été développées dans un laboratoire à Concepcion.

Seules la première et la dernière de couverture ont été retouchées.

Je partage ce portfolio pour le plaisir de faire voyager. Merci de respecter le copyright de

chacune de ces images.

Afectuosamente,

Ciao Chile y nos vemos pronto.

© Baptiste Desgurse


baptistedesgurse@gmail.com

+33 6 95 96 26 65

10 rue de la Couronne

Aix en Provence

13100



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