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Support de cours maintenance micro-ordinateurs pc

EAN : 978491902-17-9 Ce support de cours de maintenance pc comprend de nombreuses illustrations commentées. Leur contenu est codifié avec des icônes indiquant la nature de l'information : procédure, information, conseil, danger, exemple... Il n'a ni la prétention, ni l'objectif d'être exhaustif mais plutôt de donner une compréhension synthétique du fonctionnement d'un micro-ordinateur sous Windows afin de vous rendre autonome dans son exploitation et sa maintenance. Comment ont évolué les micro-ordinateurs pc depuis leur création ? Les micro-processeurs, les sockets, les chipsets, les bus… De quoi est fait un micro-ordinateur pc ? Processeur, carte mère, mémoire, carte graphique, ports, périphériques… Quelles sont les normes matérielles et logicielles à ce jour Comment s'articulent les couches logicielles ? Le BIOS, L'UEFI, le système d'exploitation, les applications... Windows 10 ? Configuration logicielle, configuration matérielle, configuration réseau et internet, configuration système, maintenance, sécurité… Powershell ise ? L’éditeur, les commandes, les scripts, le fichier .bat… Maintenance ? Recherche d'informations, structure système, table des partitions, table des registres, problèmes matériels et logiciels, remèdes... Dictionnaire ? Les termes de l'informatique... Ce cours répond à toutes ces questions et bien d'autres encore, de manière simple, illustrée et commentée.

EAN : 978491902-17-9
Ce support de cours de maintenance pc comprend de nombreuses illustrations commentées. Leur contenu est codifié avec des icônes indiquant la nature de l'information : procédure, information, conseil, danger, exemple...
Il n'a ni la prétention, ni l'objectif d'être exhaustif mais plutôt de donner une compréhension synthétique du fonctionnement d'un micro-ordinateur sous Windows afin de vous rendre autonome dans son exploitation et sa maintenance.
Comment ont évolué les micro-ordinateurs pc depuis leur création ? Les micro-processeurs, les sockets, les chipsets, les bus…
De quoi est fait un micro-ordinateur pc ? Processeur, carte mère, mémoire, carte graphique, ports, périphériques…
Quelles sont les normes matérielles et logicielles à ce jour
Comment s'articulent les couches logicielles ? Le BIOS, L'UEFI, le système d'exploitation, les applications...
Windows 10 ? Configuration logicielle, configuration matérielle, configuration réseau et internet, configuration système, maintenance, sécurité…
Powershell ise ? L’éditeur, les commandes, les scripts, le fichier .bat…
Maintenance ? Recherche d'informations, structure système, table des partitions, table des registres, problèmes matériels et logiciels, remèdes...
Dictionnaire ? Les termes de l'informatique...
Ce cours répond à toutes ces questions et bien d'autres encore, de manière simple, illustrée et commentée.

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<strong>Support</strong> <strong>de</strong> <strong>cours</strong><br />

Maintenance PC<br />

Maj JUIN 2022


Comment ont évolué les <strong>micro</strong>-<strong>ordinateurs</strong> <strong>pc</strong> <strong>de</strong>puis leur création ? Les<br />

<strong>micro</strong>-processeurs, les sockets, les chipsets, les bus…<br />

De quoi est fait un <strong>micro</strong>-ordinateur <strong>pc</strong> ? Processeur, carte mère, mémoire, carte<br />

graphique, ports, périphériques…<br />

Quelles sont les normes matérielles et logicielles à ce jour<br />

Comment s'articulent les couches logicielles ? Le BIOS, L'UEFI, le système<br />

d'exploitation, les applications...<br />

Windows 10 ? Configuration logicielle, configuration matérielle, configuration réseau<br />

et internet, configuration système, <strong>maintenance</strong>, sécurité…<br />

Powershell ise ? L’éditeur, les comman<strong>de</strong>s, les scripts, le fichier .bat…<br />

Maintenance ? Recherche d'informations, structure système, table <strong>de</strong>s partitions,<br />

table <strong>de</strong>s registres, problèmes matériels et logiciels, remè<strong>de</strong>s...<br />

Dictionnaire ? Les termes <strong>de</strong> l'informatique...<br />

Ce <strong>cours</strong> répond à toutes ces questions et bien d'autres encore, <strong>de</strong> manière simple,<br />

illustrée et commentée.<br />

Cet ouvrage a été entièrement réalisé avec<br />

Microsoft Word 2021 ®,<br />

Images <strong>de</strong>s fonds <strong>de</strong> couverture reproduite avec l'aimable autorisation <strong>de</strong> Microsoft


SOMMAIRE<br />

I. ÉVOLUTION 1<br />

A. L'IBM PC 1<br />

B. L'IBM PC XT 2<br />

C. L'IBM PC AT 2<br />

D. L'IBM PC AT II 2<br />

E. LES PC 386 3<br />

F. LES PC 486 3<br />

G. LES PENTIUMS 4<br />

H. LES CORES 5<br />

II. LE MATÉRIEL (HARDWARE) 7<br />

A. LE MICROPROCESSEUR 7<br />

1. FONCTIONNEMENT – ARCHITECTURE 7<br />

2. INTEL 8<br />

3. AMD 14<br />

4. APPLE 15<br />

5. ÉVOLUTION 16<br />

B. LA CARTE MÈRE 18<br />

1. TYPES DE CARTES MÈRES 19<br />

2. LE SOCKET 20<br />

3. L'ALIMENTATION ÉLECTRIQUE 21<br />

4. L'HORLOGE ET LE CMOS 22<br />

5. LES DIFFÉRENTS TYPES DE BUS 22<br />

6. LES CHIPSETS 27<br />

7. LE BIOS – L'UEFI 32<br />

8. IRQ - DMA - ADRESSES 33<br />

9. LE PLUG AND PLAY 35<br />

10. DÉMARRAGE DE L’ORDINATEUR 37<br />

C. LES MÉMOIRES 38<br />

1. LES MÉMOIRES MORTES 38<br />

2. LA MÉMOIRE VIVE 39<br />

3. LA MÉMOIRE VIDÉO 42<br />

D. LES MÉMOIRES DE STOCKAGE 43<br />

1. LES CONTRÔLEURS 43<br />

2. LES PÉRIPHÉRIQUES DE STOCKAGE 45<br />

E. LES CARTES GRAPHIQUES 56<br />

1. FONCTIONNEMENT 56<br />

2. CARACTÉRISTIQUES DES CARTES 56<br />

3. CONNEXIONS 58<br />

F. LES PORTS DE COMMUNICATION 59<br />

1. LE PORT SÉRIE 59<br />

2. LE PORT PARALLÈLE 60<br />

3. LE PORT SCSI 60<br />

4. LE PORT PMCIA 60<br />

5. LE PORT USB 60<br />

6. LE PORT HDMI 60<br />

G. LES PÉRIPHÉRIQUES D'ENTRÉE 61<br />

1. LE CLAVIER 61<br />

2. LA SOURIS 61<br />

3. LE SCANNER 63<br />

4. LE MICROPHONE / LA CARTE SON 64<br />

H. LES PÉRIPHÉRIQUES DE SORTIE 69<br />

1. L'ÉCRAN 69<br />

2. L'IMPRIMANTE 73<br />

3. LE MODEM 75


I. LES RÉSEAUX 77<br />

1. CONNECTION 77<br />

2. NORMES 78<br />

3. TECHNOLOGIES 79<br />

4. MÉTHODES D'ACCÈS 79<br />

5. TRANSMISSION 80<br />

III. LES LOGICIELS (SOFTWARE) 83<br />

A. LES DONNÉES 83<br />

B. LES LANGAGES 84<br />

C. LES LOGICIELS 84<br />

D. LES SYSTÈMES D'EXPLOITATION 84<br />

IV. WINDOWS 10 85<br />

A. LA CONFIGURATION LOGICIELLE 85<br />

1. LE MENU D’ADMINISTRATION 85<br />

2. LA BARRE DES TACHES 87<br />

3. LES BARRES D'OUTILS 89<br />

4. ZONE DE NOTIFICATION 89<br />

5. LES APPLICATIONS 91<br />

6. LES DONNÉES 96<br />

7. LES UTILISATEURS ET LES MOTS DE PASSE 102<br />

B. LA CONFIGURATION MATÉRIELLE 108<br />

1. LES PÉRIPHÉRIQUES 109<br />

2. GÉRER LES PÉRIPHÉRIQUES 109<br />

3. PROPRIÉTÉS DES PÉRIPHÉRIQUES 110<br />

4. INSTALLER UN PÉRIPHÉRIQUE USB 111<br />

5. ENLEVER UN PÉRIPHÉRIQUE USB 112<br />

6. DÉSACTIVER UN PÉRIPHÉRIQUE 112<br />

7. DÉSINSTALLER UN PÉRIPHÉRIQUE 113<br />

8. METTRE A JOUR LE PILOTE 113<br />

C. LA CONFIGURATION RÉSEAU ET INTERNET 114<br />

1. LA CONNEXION AU RÉSEAU 115<br />

2. LE PARTAGE DES RESSOURCES 126<br />

3. L'ACCÈS AUX RESSOURCES 131<br />

D. LA MAINTENANCE ET LA SÉCURITÉ 135<br />

1. LES OUTILS DE MAINTENANCE 135<br />

2. LES OUTILS DE PROTECTION 150<br />

3. LES OUTILS DE SÉCURITÉ 152<br />

4. EN CAS DE PROBLÈMES 164<br />

V. POWERSHELL ISE 173<br />

A. ACCÈS (rappel) 173<br />

B. AVANTAGES 174<br />

C. UTILISATION 174<br />

1. AFFICHER LA CONSOLE 174<br />

2. UTILISER LA CONSOLE 174<br />

3. UTILISER L'ÉDITEUR 174<br />

D. COMMANDES DE BASE 175<br />

1. CHEMIN 175<br />

2. CRÉER UN DOSSIER 176<br />

3. SUPPRIMER UN DOSSIER 176<br />

4. LISTER LES FICHIERS 176<br />

5. COPIER DES FICHIERS 178<br />

6. RENOMMER DES FICHIERS 178<br />

7. DÉTRUIRE DES FICHIERS 179<br />

8. ATTRIBUTS DE FICHIER 180<br />

9. COPIER UN DOSSIER 181<br />

E. COMMANDES WINDOWS 182


F. ÉCRIRE UN SCRIPT SIMPLE 183<br />

1. AUTORISER LES SCRIPTS 183<br />

2. CRÉER UN SCRIPT SIMPLE 184<br />

3. ENREGISTRER UN SCRIPT 186<br />

4. CRÉER UN FICHIER BAT 186<br />

VI. MAINTENANCE DE L'ENSEMBLE MATÉRIEL / LOGICIEL 187<br />

A. LA RECHERCHE D'INFORMATIONS 187<br />

B. LA STRUCTURE SYSTÈME 187<br />

1. LES TABLES DE PARTITION 187<br />

2. LA BASE DES REGISTRES 190<br />

C. LA RÉSOLUTION DE PROBLÈMES 195<br />

1. LES SYMPTÔMES ET LEURS REMÈDES 195<br />

2. LES PROBLÈMES MATÉRIELS 200<br />

3. L'ÉVOLUTION DES CONFIGURATIONS 203<br />

VII. DICTIONNAIRE 207


Ce <strong>cours</strong> présente différentes rubriques repérées par une icône<br />

<strong>de</strong>s procédures décrivent la marche à suivre pour effectuer une action :<br />

3 comman<strong>de</strong>s à se rappeler :<br />

pour appuyer sur le bouton gauche <strong>de</strong> la souris avec l'in<strong>de</strong>x<br />

pour appuyer sur le bouton droit <strong>de</strong> la souris avec le majeur<br />

pour appuyer <strong>de</strong>ux fois <strong>de</strong> suite très rapi<strong>de</strong>ment sur le bouton gauche<br />

<strong>de</strong> la souris avec l'in<strong>de</strong>x<br />

<strong>de</strong>s exemples viennent illustrer ces procédures<br />

<strong>de</strong>s mises en gar<strong>de</strong> vous permettent d'éviter les pièges ou d'en sortir<br />

<strong>de</strong>s procédures avancées décrivent <strong>de</strong>s actions plus complexes<br />

<strong>de</strong>s conseils vous ai<strong>de</strong>nt à mettre en pratique vos connaissances<br />

<strong>de</strong>s informations viennent compléter ces procédures<br />

<strong>de</strong>s exercices permettent <strong>de</strong> tester les procédures et d'appliquer vos connaissances<br />

<strong>de</strong>s emplacements vous permettent <strong>de</strong> prendre <strong>de</strong>s notes directement sur le support en bas<br />

<strong>de</strong> chaque page


I – ÉVOLUTION 1<br />

Le mot INFORMATIQUE provient <strong>de</strong> la synergie <strong>de</strong> <strong>de</strong>ux mots : Information et automatisme. Elle<br />

est définie comme la science du traitement rationnel, notamment par <strong>de</strong>s machines<br />

automatiques, <strong>de</strong> l'information considérée comme le support <strong>de</strong>s connaissances et <strong>de</strong>s<br />

communications dans les domaines techniques, économiques et sociaux.<br />

L'automatisation du calcul remonte à très longtemps.<br />

Depuis le boulier ou l'abaque inventée par les Chinois en passant par la machine <strong>de</strong> PASCAL<br />

(1642) et celle <strong>de</strong> BARBAGE (1801) résultant <strong>de</strong> la conjugaison <strong>de</strong> la machine <strong>de</strong> PASCAL et du<br />

métier à tisser <strong>de</strong> JACQUARD (1728) qui fonctionnait avec <strong>de</strong>s cartes perforée, l'automatisation<br />

arrive à un tournant avec la trieuse <strong>de</strong> cartes perforées et la calculatrice électromécanique mise<br />

au point par HOUERITH pour effectuer le recensement <strong>de</strong>s Etats-Unis.<br />

1924 : BULL (NORVEGE) dépose les brevets <strong>de</strong> machines électromécaniques<br />

1938 : AIKEN construit une machine mathématique universelle puis <strong>de</strong>s calculateurs à<br />

programmes extérieurs (MARK)<br />

1946 : VON NEUMANN pose les principes du premier ordinateur et le construit.<br />

Années 50 : emploi <strong>de</strong> tubes à vi<strong>de</strong><br />

Début années 60 : emploi <strong>de</strong> transistors<br />

Fin années 60 : emploi <strong>de</strong> circuits intégrés<br />

début années 70 : intégration <strong>de</strong>s semi-conducteurs<br />

Début années 80 : premiers PC à base <strong>de</strong> processeurs 8088<br />

Puis équipement <strong>de</strong>s PC <strong>de</strong> bureau <strong>de</strong> processeurs 8086 puis 80286, 80386, 80486,<br />

pentium II, III et IV.<br />

Actuellement, l'informatique est basée sur l'électronique (électron / électricité) ; peu à peu, la<br />

photonique (photon / lumière) va remplacer l'électronique. Déjà, la fibre optique remplace le fil<br />

<strong>de</strong> cuivre.


2


I – ÉVOLUTION 3<br />

Après le 386, les <strong>micro</strong>-<strong>ordinateurs</strong> <strong>de</strong> bureau évoluent très vite avec la fabrication par Intel <strong>de</strong>s<br />

486.<br />

Ils fonctionnaient à une vitesse d'horloge <strong>de</strong> 16 Mh, 20 Mh et 33 Mh pour les plus puissants et<br />

permettaient <strong>de</strong> faire tourner <strong>de</strong>s applications Windows3.11 type Excel4, Word2 et autres <strong>de</strong> la<br />

même génération.<br />

À noter que l'on distinguait les processeurs DX qui sont <strong>de</strong>s processeurs complets et les<br />

processeurs SX qui sont i<strong>de</strong>ntiques à la base mais dont le coprocesseur interne avait été<br />

neutralisé (stratégie <strong>de</strong> positionnement marketing <strong>de</strong>s produits).Les 486 DX2-66 et DX4-100 font tourner<br />

<strong>de</strong> manière assez rapi<strong>de</strong> les applications bureautiques standard correspondant à cette<br />

génération (Excel5, Word6...). Ils ont pendant longtemps été utilisé comme serveur <strong>de</strong> fichiers. Ils<br />

étaient disponibles en 25 Mh et 33 Mh, en DX2-50 et DX2-66 et enfin en DX4-75 et DX4-100.<br />

Les versions 50 et 66 sont les versions 25 et 33 dont la fréquence d'horloge est doublée par un<br />

processus interne au processeur, les versions 75 et 100 sont les mêmes versions dont la<br />

fréquence est triplée. La vitesse d'horloge <strong>de</strong> base du processeur est liée à celle <strong>de</strong> la carte<br />

mère, d'où l'impossibilité <strong>de</strong> mettre un processeur à vitesse <strong>de</strong> base <strong>de</strong> 33 Mh sur une carte à 25<br />

Mh.


4<br />

Cette génération <strong>de</strong> processeurs a remplacé les 486. Leur fréquence a commencé à 75 Mhz ;<br />

puis 166 Mh, 200 Mh et 233 Mh…<br />

Les PENTIUM II ont peu à peu remplacé les Pentiums. Ils étaient constitués d'environ 7,5<br />

millions <strong>de</strong> transistors et fonctionnaient jusqu'à 450 Mh.<br />

Les PENTIUM III sont une évolution <strong>de</strong> la gamme Pentium II sortis en février 2000 en<br />

version 450 Mhz ; ils comprenaient environ 28 millions <strong>de</strong> transistors et étaient équipés <strong>de</strong><br />

72 nouvelles instructions (KNI). Utilisant tout comme le 3D Now ! (AMD) la technologique<br />

SIMD (Single Instruction, Multiple Data), le KNI est principalement dédié à la 3D, à la vidéo<br />

(compression MPEG-2) et à la reconnaissance vocale. Contrairement au MMX qui partageait<br />

ses registres avec ceux <strong>de</strong> la FPU (le switch entre les <strong>de</strong>ux mo<strong>de</strong>s était donc coûteux en cycles<br />

CPU), le KNI dispose <strong>de</strong> 8 registres 128 bits.<br />

Les <strong>de</strong>rnières versions du "PENTIUM III", plus puissantes et allant jusqu’à 1000 MHz,<br />

nécessitaient une vitesse <strong>de</strong> bus <strong>de</strong> 133 MHz. Le Chipset BX ne supportant pas cette<br />

fréquence, Intel introduisit un nouveau chipset, connu sous le nom d'Intel 820. Le bus à<br />

133 MHz n'est pas la seule innovation, puisque l'Intel 820 supporte également l'Ultra ATA<br />

66, l'AGP 4x, ainsi que la mémoire vive <strong>de</strong> type Direct RAMBUS (en sus <strong>de</strong> la mémoire <strong>de</strong> type<br />

SDRAM, toujours supportée).<br />

Les PENTIUM IV sont basés sur une architecture appelée NetBurst.<br />

Ils comportent 42 millions <strong>de</strong> transistors, avec une architecture 32 bits, un nouveau socket,<br />

<strong>de</strong> type PGA 423 (remplacé mi-2001 par le PGA 478), une fréquence <strong>de</strong> bus (externe) <strong>de</strong> 200<br />

Mhz, qui passera à 400 début 2002.<br />

Sorti début 2003, le PENTIUM IV à 3,06 Ghz inclus l'hypertreading.<br />

Sorti mi-2004, le socket 775, un format FPGA, remplace le 478 (un connecteur ZIF). C'est le<br />

socket qui inclut les pin dorénavant. Intel en profite également pour changer les notations<br />

<strong>de</strong> ses processeurs. En 2005, une version Dual-core, nommée Pentium IV D est<br />

également sortie. Contrairement au Pentium IV EE, il ne gérait pas l'hypertreading<br />

En 2006, l'architecture est remplacée par l'Intel Core, moins gourman<strong>de</strong> en énergie, mais<br />

surtout permettant <strong>de</strong> monter en fréquence. La taille du pipeline est également diminuée,<br />

diminuant le temps <strong>de</strong> latente lors <strong>de</strong>s transferts mémoires


I – ÉVOLUTION 5<br />

À partir <strong>de</strong> 2005, Intel sort les processeurs "CORE" possédant <strong>de</strong> 1 à 16 cœurs et pouvant<br />

dépasser les 3 Ghz puis les générations se succè<strong>de</strong>nt.<br />

Date Nom Nombre <strong>de</strong><br />

transistors<br />

Finesse <strong>de</strong><br />

gravure (nm)<br />

Nbr<br />

cœurs<br />

Fréquence<br />

1971 Intel 4004 2 300 10 000 1 740 kHz<br />

1974 Intel 8080 6 000 6 000 1 2 MHz<br />

1979 Intel 8088 29 000 3 000 1 5 MHz<br />

1982 Intel 80286 134 000 1 500 1 6 à 16 MHz (20 MHz chez<br />

AMD)<br />

1985 Intel 80386 275 000 1 500 1 16 à 40 MHz<br />

1989 Intel 80486 1 200 000 1 000 à 800 1 16 à 100 MHz<br />

1993 Pentium (Intel P5) 3 100 000 800 à 250 1 60 à 233 MHz<br />

1997 Pentium II 7 500 000 350 à 250 1 233 à 450 MHz<br />

1999 Pentium III 9 500 000 250 à 130 1 450 à 1 400 MHz<br />

2000 Pentium 4 42 000 000 180 à 65 1 1,3 à 3,8 GHz<br />

2004 Pentium 4 D (Prescott) 125 000 000 90 à 65 1 2.66 à 3,6 GHz<br />

2006 Core 2 Duo (Conroe) 291 000 000 65 2 2,4 GHz (E6600)<br />

2007 Core 2 Quad Kentsfield) 2*291 000 00 65 4 3 GHz (Q6850)<br />

0<br />

2008 Core 2 Duo (Wolfdale) 410 000 000 45 2 3,33 GHz (E8600)<br />

2008 Core 2 Quad (Yorkfield) 2*410 000 00 45 4 3,2 GHz (QX9770)<br />

0<br />

2008 Intel Core i7 Bloomfield) 731 000 000 45 4 3,33 GHz (Core i7 975X)<br />

2009 Intel Core i5/i7 Lynnfield) 774 000 000 45 4 3,06 GHz (I7 880)<br />

2010 Intel Core i7 (Gulftown) 1 170 000 000 32 6 3,47 GHz (Core i7 990X)<br />

2011 Intel Core i3/i5/i7 (Sandy Bridge) 1 160 000 000 32 4 3,5 GHz (Core i7 2700K)<br />

2011 Intel Core i7/Xeon (Sandy Bridge- 2 270 000 000 32 4 à 6 3,5 GHz (Core i7 3970X)<br />

E)<br />

2012 Intel Core i3/i5/i7 (Ivy Bridge) 1 400 000 000 22 4 à 6 3,5 GHz (Core i7 3770K)<br />

2013 Intel Core i3/i5/i7 (Haswell) 1 400 000 000 22 4 à 6 3,8 GHz (Core i7 4770K)<br />

2014 Intel Core i3/i5/i7 (Broadwell) 1 400 000 000 14 4-10 3,8 GHz (Core i7 5775R)<br />

2015 Intel Core i3/i5/i7 (Skylake) 1 750 000 000 14 4 à 8 4 GHz (Core i7 6700K)<br />

2016 Intel Core i3/i5/i7 (Kabylake) 14 4 4.2 GHz (Core i7 7700K)<br />

2017 Intel Core i3/i5/i7 (Coffee Lake) 14 6 5.0 GHz (Core i7 8086K)<br />

2019 Intel Core i3/i5/i7 (Coffee Lake) 14 8 5.0 GHz (Core i7 9900KS)<br />

2019 Intel Core i3/i5/i7/i9 (Ice Lake) 10 4 4.1 GHz (Core i7-1068NG7)<br />

2019 Intel Core i3/i5/i7/i9 (Tiger Lake) 10 4 5.0 GHz (Core i7-11375H)<br />

2020 Intel Core i3/i5/i7/i9 (Comet Lake) 14 8 5.3 GHz (Core i9-10900K)<br />

2021 Intel Core i3/i5/i7/i9 (Rocket Lake) 14 8 5.3 GHz (Core i9-11900K)<br />

2021 Intel Core i3/i5/i7/i9 (Al<strong>de</strong>r Lake) 10 16 5.3 GHz (Core i9-12900K)<br />

2023 Intel Core i3/i5/i7/i9 (Meteor Lake) 7<br />

SOURCE WIKIPEDIA


II - LE MATÉRIEL (HARDWARE) 7<br />

Un <strong>micro</strong>-ordinateur est composé <strong>de</strong>s éléments suivants :<br />

un <strong>micro</strong>processeur (au minimum)<br />

<strong>de</strong>s mémoires<br />

un ou plusieurs périphériques d'entrée<br />

un ou plusieurs périphériques <strong>de</strong> sortie<br />

C'est un circuit intégré (puce / chips) ; il est composé d'un très grand nombre <strong>de</strong> transistors et tient<br />

dans la paume <strong>de</strong> la main. C'est le cœur <strong>de</strong> l'ordinateur.<br />

Le système d'exploitation et les applications fonctionnent avec un type <strong>de</strong> processeur donné<br />

(les nouvelles versions <strong>de</strong> processeurs restent le plus souvent compatibles entre elles -<br />

architecture x86). Cependant, l'optimisation du fonctionnement <strong>de</strong> ces applications passe par<br />

leur réécriture en exploitant au mieux le <strong>micro</strong>co<strong>de</strong> du <strong>micro</strong>processeur <strong>de</strong> la machine et<br />

notamment, maintenant, les différents noyaux<br />

1. FONCTIONNEMENT – ARCHITECTURE<br />

Les processeurs se différencient par un certain nombre <strong>de</strong> caractéristiques :<br />

Leur technologie (épaisseur <strong>de</strong> la couche <strong>de</strong> silicium en <strong>micro</strong>ns)<br />

Leur nombre <strong>de</strong> transistors (en millions)<br />

Leur voltage (<strong>de</strong> 1,4 à 5 volts) - plus il est grand, plus le processeur chauffe<br />

La taille <strong>de</strong> la mémoire cache intégrée<br />

Leur architecture interne : RISC (nombre d'instructions réduit), CISC (), pipelines (l'exécution d'une<br />

instruction commence avant que la précé<strong>de</strong>nte ne soit terminée)...<br />

Leur cycle d'horloge (plus petite unité <strong>de</strong> temps reconnue)<br />

Leur métho<strong>de</strong> d'insertion sur la carte mère (slot, socket…)<br />

Le nombre <strong>de</strong> noyaux (core)<br />

Les fonctionnalités intégrées (réseau, audio, vidéo…)


2. INTEL<br />

Intel est le principal fabricant <strong>de</strong> processeurs PC.<br />

a) ARCHITECTURES<br />

L'architecture <strong>de</strong>s processeurs Intel a énormément évolué en taille <strong>de</strong> gravure, en structure…<br />

MICRO-PROCESSEUR NEHALEM SOURCE : CHIP ARCHITECT


II - LE MATÉRIEL (HARDWARE) 9<br />

MICRO-PROCESSEUR BROADWELL SOURCE : LAPTOPSPIRIT<br />

Toutes les informations passent par le processeur. II exécute les ordres <strong>de</strong>s logiciels, envoie <strong>de</strong>s<br />

instructions au disque dur, à la mémoire vive et à l’écran. Sa puissance dépend du nombre<br />

d’instructions traitées en un cycle et <strong>de</strong> la fréquence d’horloge (nombre <strong>de</strong> cycles exécutés par<br />

secon<strong>de</strong>). Cette fréquence se mesure en mégahertz (ou millions <strong>de</strong> cycles par secon<strong>de</strong> : MHz). Plus<br />

elle est élevée, plus le processeur est rapi<strong>de</strong>.<br />

MICRO-PROCESSEUR ALDER LAKE SOURCE : INTEL.FR


la douzième génération <strong>de</strong>s Core <strong>de</strong> bureau à hautes performances, entérine le procédé <strong>de</strong><br />

gravure en 10 nm avec une architecture hybri<strong>de</strong>. Deux types <strong>de</strong> cœurs sont présents dans le<br />

même die : les P-Cores (pour “Performances”), optimisés pour les tâches réclamant <strong>de</strong> la<br />

puissance, et les E-Cores (pour “Efficient”), pour les tâches <strong>de</strong> fond. Seuls les premiers bénéficient<br />

<strong>de</strong> l’Hyper-Threading.<br />

Les principaux fabricants <strong>de</strong> <strong>micro</strong>processeurs PC sont Intel et Amd. D'autres fabricants<br />

proposent <strong>de</strong>s processeurs spécialisés pour les tablettes ou les smartphones (samsung,<br />

Qualcomm) ou spécifiques.<br />

b) PROCESSEURS DE DERNIÈRES GÉNÉRATIONS<br />

Processeur<br />

Type Année Gravure Nombre<br />

<strong>de</strong><br />

Cores<br />

mbre<br />

<strong>de</strong><br />

Threads<br />

Frequence<br />

maxi<br />

(GHz)<br />

Mémoire Socket Processeur<br />

Graphique<br />

i9-12900 i9 2021 Intel 7 16 24 5,20 DDR5-4800, DDR4-3200 LGA1700 UHD 770<br />

i9-12900KF i9 2021 Intel 7 16 24 5,20 DDR5-4800, DDR4-3200 LGA1700 No<br />

i9-12900F i9 2022 Intel 7 16 24 5,10 DDR5-4800, DDR4-3200 LGA1700 No<br />

i9-12900 i9 2022 Intel 7 16 24 5,10 DDR5-4800, DDR4-3200 LGA1700 UHD 770<br />

i7-12700 i7 2022 Intel 7 12 20 4,90 DDR5-4800, DDR4-3200 LGA1700 UHD 770<br />

i7-12700F i7 2022 Intel 7 12 20 4,90 DDR5-4800, DDR4-3200 LGA1700 No<br />

i9-12900T i9 2021 Intel 7 16 24 4,90 DDR5-4800, DDR4-3200 LGA1700 UHD 770<br />

i7-12700K i7 2022 Intel 7 12 20 5,00 DDR5-4800, DDR4-3200 LGA1700 UHD 770<br />

i7-12700KF i7 2022 Intel 7 12 20 5,00 DDR5-4800, DDR4-3200 LGA1700 No<br />

15-12600 i5 2022 Intel 7 6 12 4,80 DDR5-4800, DDR4-3200 LGA1700 UHD 770<br />

i5-12400 i5 2022 Intel 7 6 12 4,40 DDR5-4800, DDR4-3200 LGA1700 UHD 730<br />

i5-12400F i5 2022 Intel 7 6 12 4,40 DDR5-4800, DDR4-3200 LGA1700 No<br />

i7-12700T i7 2022 Intel 7 12 20 4,70 DDR5-4800, DDR4-3200 LGA1700 UHD 770<br />

i5-12400T i5 2022 Intel 7 6 12 4,20 DDR5-4800, DDR4-3200 LGA1700 UHD 730<br />

i5-12500 i5 2022 Intel 7 6 12 4,60 DDR5-4800, DDR4-3200 LGA1700 UHD 770<br />

i5-12500T i5 2022 Intel 7 6 12 4,40 DDR5-4800, DDR4-3200 LGA1700 UHD 770<br />

i5-12600K i5 2022 Intel 7 10 16 4,90 DDR5-4800, DDR4-3200 LGA1700 UHD 770<br />

i5-12600KF i5 2021 Intel 7 10 16 4,90 DDR5-4800, DDR4-3200 LGA1700 No<br />

i3-12300 i3 2022 Intel 7 4 8 4,40 DDR5-4800, DDR4-3200 LGA1700 UHD 730<br />

i3-12100 i3 2022 Intel 7 4 8 4,30 DDR5-4800, DDR4-3200 LGA1700 UHD 730<br />

i3-12100F i3 2022 Intel 7 4 8 4,30 DDR5-4800, DDR4-3200 LGA1700 No<br />

i5-12600T i5 2022 Intel 7 6 12 4,60 DDR5-4800, DDR4-3200 LGA1700 UHD 770<br />

i3-12300T i3 2022 Intel 7 4 8 4,20 DDR5-4800, DDR4-3200 LGA1700 UHD 730<br />

i3-12100T i3 2022 Intel 7 4 8 4,10 DDR5-4800, DDR4-3200 LGA1700 UHD 730<br />

i7-11700 i7 2021 14 8 16 4,90 DDR4-3200 LGA1200 UHD 750<br />

i9-11900T i9 2021 14 8 16 4,90 DDR4-3200 LGA1200 UHD 750


II - LE MATÉRIEL (HARDWARE) 11<br />

Processeur<br />

Type Année Gravure Nombre<br />

<strong>de</strong><br />

Cores<br />

mbre<br />

<strong>de</strong><br />

Threads<br />

Frequence<br />

maxi<br />

(GHz)<br />

Mémoire Socket Processeur<br />

Graphique<br />

i9-11900KF i9 2021 14 8 16 5,20 DDR4-3200 LGA1200 No<br />

i9-11900K i9 2021 14 8 16 5,20 DDR4-3200 LGA1200 UHD 750<br />

i9-11900F i9 2021 14 8 16 5,10 DDR4-3200 LGA1200 No<br />

i9-11900 i9 2021 14 8 16 5,10 DDR4-3200 LGA1200 UHD 750<br />

i7-11700T i7 2021 14 8 16 4,60 DDR4-3200 LGA1200 UHD 750<br />

i7-11700KF i7 2021 14 8 16 5,00 DDR4-3200 LGA1200 No<br />

i7-11700K i7 2021 14 8 16 5,00 DDR4-3200 LGA1200 UHD 750<br />

i7-11700F i7 2021 14 8 16 4,90 DDR4-3200 LGA1200 No<br />

i5-11600T i5 2021 14 6 12 4,10 DDR4-3200 LGA1200 UHD 750<br />

i5-11600KF i5 2021 14 6 12 4,90 DDR4-3200 LGA1200 No<br />

i5-11600K i5 2021 14 6 12 4,90 DDR4-3200 LGA1200 UHD 750<br />

i5-11600 i5 2021 14 6 12 4,80 DDR4-3200 LGA1200 UHD 750<br />

i5-11500T i5 2021 14 6 12 3,90 DDR4-3200 LGA1200 UHD 750<br />

i5-11500 i5 2021 14 6 12 4,60 DDR4-3200 LGA1200 UHD 750<br />

i5-11400F i5 2021 14 6 12 4,40 DDR4-3200 LGA1200 No<br />

i3-10325 i3 2021 14 4 8 4,70 DDR4-2666 LGA1200 UHD 630<br />

i3-10305T i3 2021 14 4 8 4,00 DDR4-2666 LGA1200 UHD 630<br />

i3-10305 i3 2021 14 4 8 4,50 DDR4-2666 LGA1200 UHD 630<br />

i3-10105T i3 2021 14 4 8 3,90 DDR4-2666 LGA1200 UHD 630<br />

i3-10105 i3 2021 14 4 8 4,40 DDR4-2666 LGA1200 UHD 630<br />

i3-10105F i3 2021 14 4 8 4,40 DDR4-2666 LGA1200 No<br />

i3-10100F i3 2020 14 4 8 4,30 DDR4-2666 LGA1200 No<br />

i9-10850K i9 2020 14 10 20 5,10 DDR4-2933 LGA1200 UHD 630<br />

i9-10900T i9 2020 14 10 20 4,60 DDR4-2933 LGA1200 UHD 630<br />

i9-10900KF i9 2020 14 10 20 5,20 DDR4-2933 LGA1200 No<br />

i9-10900K i9 2020 14 10 20 5,20 DDR4-2933 LGA1200 UHD 630<br />

i9-10900F i9 2020 14 10 20 5,10 DDR4-2933 LGA1200 No<br />

i9-10900 i9 2020 14 10 20 5,10 DDR4-2933 LGA1200 UHD 630<br />

i7-10700T i7 2020 14 8 16 4,50 DDR4-2933 LGA1200 UHD 630<br />

i7-10700KF i7 2020 14 8 16 5,10 DDR4-2933 LGA1200 No<br />

i7-10700K i7 2020 14 8 16 5,10 DDR4-2933 LGA1200 UHD 630<br />

i7-10700F i7 2020 14 8 16 4,80 DDR4-2933 LGA1200 No


Processeur<br />

Type Année Gravure Nombre<br />

<strong>de</strong><br />

Cores<br />

mbre<br />

<strong>de</strong><br />

Threads<br />

Frequence<br />

maxi<br />

(GHz)<br />

Mémoire Socket Processeur<br />

Graphique<br />

i7-10700 i7 2020 14 8 16 4,80 DDR4-2933 LGA1200 UHD 630<br />

i5-10600T i5 2020 14 6 12 4,00 DDR4-2666 LGA1200 UHD 630<br />

i5-10600KF i5 2020 14 6 12 4,80 DDR4-2666 LGA1200 No<br />

i5-10600K i5 2020 14 6 12 4,80 DDR4-2666 LGA1200 UHD 630<br />

i5-10600 i5 2020 14 6 12 4,80 DDR4-2666 LGA1200 UHD 630<br />

i5-10500T i5 2020 14 6 12 3,80 DDR4-2666 LGA1200 UHD 630<br />

i5-10500 i5 2020 14 6 12 4,50 DDR4-2666 LGA1200 UHD 630<br />

i5-10400T i5 2020 14 6 12 3,60 DDR4-2666 LGA1200 UHD 630<br />

i5-10400F i5 2020 14 6 12 4,30 DDR4-2666 LGA1200 No<br />

i5-10400 i5 2020 14 6 12 4,30 DDR4-2666 LGA1200 UHD 630<br />

i3-10320 i3 2020 14 4 8 4,60 DDR4-2666 LGA1200 UHD 630<br />

i3-10300T i3 2020 14 4 8 3,90 DDR4-2666 LGA1200 UHD 630<br />

i3-10300 i3 2020 14 4 8 4,40 DDR4-2666 LGA1200 UHD 630<br />

i3-10100T i3 2020 14 4 8 3,80 DDR4-2666 LGA1200 UHD 630<br />

i3-10100 i3 2020 14 4 8 4,30 DDR4-2666 LGA1200 UHD 630<br />

SOURCE : INTEL<br />

c) DÉSIGNATION PROCESSEURS<br />

La numérotation <strong>de</strong>s processeurs Intel® Core <strong>de</strong> la première génération est composée :<br />

d'un i<strong>de</strong>ntifiant alphanumérique<br />

d'une série <strong>de</strong> trois chiffres<br />

La numérotation <strong>de</strong> la <strong>de</strong>uxième génération <strong>de</strong>s processeurs Intel® Core est composée :<br />

d'un i<strong>de</strong>ntifiant alphanumérique<br />

d'une série <strong>de</strong> quatre chiffres<br />

d'un suffixe alphanumérique<br />

suffixes alphanumériques<br />

K Déverrouillé - S Performances optimisées - T Ren<strong>de</strong>ment énergétique optimisé


II - LE MATÉRIEL (HARDWARE) 13<br />

La numérotation <strong>de</strong>s processeurs Intel Core2 est composée :<br />

d'un préfixe alphanumérique<br />

d'une série <strong>de</strong> quatre chiffres<br />

d'un suffixe alphanumérique (S pour les modèles basse-tension)<br />

-<br />

préfixes alphabétiques<br />

QX Processeur 4 cœurs (Q) pour PC <strong>de</strong> bureau ou portables – performances extrêmes (X)<br />

X Processeur double cœur pour PC <strong>de</strong> bureau ou portables – performances extrêmes (X)<br />

Q Processeur quatre cœurs (Q) pour PC <strong>de</strong> bureau – hautes performances<br />

E Processeur pour PC <strong>de</strong> bureau à haut ren<strong>de</strong>ment énergétique : PDT ≥ 55 W<br />

T Processeur pour PC portables à haut ren<strong>de</strong>ment énergétique : 30 W ≤ PDT ≤ 39 W<br />

P Processeur pour PC portables à haut ren<strong>de</strong>ment énergétique : 20 W ≤ PDT ≤ 29 W<br />

L Processeur pour PC portables très économe en énergie : 12 W ≤ PDT ≤ 19 W<br />

U Processeur à très haut ren<strong>de</strong>ment énergétique : PDT ≤ 11,9 W<br />

S Processeur pour PC portables petit format (S), en conditionnement BGA 22x22<br />

4<br />

La numérotation <strong>de</strong>s processeurs Intel Corei7 est composée :<br />

d'un préfixe alphanumérique <strong>de</strong> 2 caractères (i7)<br />

d'une série <strong>de</strong> quatre chiffres (8650) indiquant la génération du processeur (8 ème ) et la<br />

famille (650)<br />

d'un suffixe alphanumérique (0,1 ou 2 lettres) indiquant une caractéristique spécifique du<br />

processeur<br />

suffixes alphanumériques<br />

sans lettre et F : consommation classique<br />

Y : ultra basse consommation<br />

ET: trés basse consommation<br />

U, TE et T : basse consommation<br />

H : consommation classique<br />

K et KF : consommation élevée<br />

X : consommation très élevée<br />

HK : overclocking possible<br />

K : Overclockable par l’utilisateur<br />

Q : Quad Core (Quatre Coeurs)<br />

M : mobile<br />

X : Extrême Performances<br />

G1 : Intel Graphics UHD (entrée <strong>de</strong> gamme)<br />

G4 : Intel Iris Plus (milieu <strong>de</strong> gamme)<br />

G7 : Intel Iris Plus (haut <strong>de</strong> gamme)


3. AMD<br />

AMD produit principalement <strong>de</strong>s processeurs et <strong>de</strong>s cartes graphiques.<br />

En 1999, AMD faisait un retour remarqué avec l'Athlon. Ce processeur, plus puissant qu'un<br />

Pentium III (Katmai) et <strong>de</strong> même fréquence lui permettait <strong>de</strong> dépasser pour la première fois<br />

<strong>de</strong>puis <strong>de</strong>s années INTEL<br />

AMD propose un choix <strong>de</strong> processeurs équivalent à celui D'INTEL avec <strong>de</strong>s prix très abordables et<br />

maintenant <strong>de</strong>s gravures en 7 nm.<br />

a) MODÈLES<br />

Le Fx (multimédia)<br />

Les APU (avec puce graphique) - A10 - A8 – A6 – A4)<br />

L'ATHLON ET L'ATHLON II<br />

Le PHENOM<br />

Le SEMPRON<br />

Les SÉRIES A<br />

Les RYZEN<br />

b) PROCESSEURS DE DERNIÈRES GÉNÉRATIONS<br />

Nom Année Gravure Cœurs Threads Base Turbo Cache mémoire PCIe PDT<br />

AMD Ryzen 5 5625U 2022 Q2 7 nm 6 12 2,30 GHz 4,3 GHz 16 MB 64 GB 20 15 W<br />

AMD Ryzen 5 5600 2022 Q2 7 nm 6 12 3,5 GHz 4,4 GHz 32 MB 128 GB 24 65 W<br />

AMD Ryzen 5 5500 2022 Q2 7 nm 6 12 3,6 GHz 4,2 GHz 16 MB 128 GB 24 65 W<br />

AMD Ryzen 5 4500 2022 Q2 7 nm 6 12 3,6 GHz 4,1 GHz 8 MB 128 GB 24 65 W<br />

AMD Ryzen 5 6600U 2022 Q1 6 nm 6 12 2,9 GHz 4,5 GHz 16 MB 128 GB 20 28 W<br />

AMD Ryzen 5 6600HS 2022 Q1 6 nm 6 12 3,30 GHz 4,5 GHz 16 MB 128 GB 20 35 W<br />

AMD Ryzen 5 6600H 2022 Q1 6 nm 6 12 3,30 GHz 4,5 GHz 16 MB 128 GB 20 45 W<br />

AMD Ryzen 5 PRO 5650U 2021 Q2 7 nm 6 12 2,30 GHz 4,2 GHz 16 MB 64 GB 12 15 W<br />

AMD Ryzen 5 PRO 5650G 2021 Q2 7 nm 6 12 3,9 GHz 4,4 GHz 16 MB 64 GB 12 65 W<br />

AMD Ryzen 5 5600GE 2021 Q2 7 nm 6 12 3,4 GHz 4,4 GHz 16 MB 128 GB 20 35 W<br />

AMD Ryzen 5 5600G 2021 Q2 7 nm 6 12 3,9 GHz 4,4 GHz 16 MB 128 GB 20 65 W<br />

AMD Ryzen 5 4680U 2021 Q2 7 nm 6 12 2,1 GHz 4 GHz 8 MB 32 GB 16 15 W<br />

AMD Ryzen 5 5600U 2021 Q1 7 nm 6 12 2,30 GHz 4,2 GHz 16 MB 32 GB 16 15 W<br />

AMD Ryzen 5 5600HS 2021 Q1 7 nm 6 12 3 GHz 4,2 GHz 16 MB 32 GB 12 35 W<br />

AMD Ryzen 5 5600H 2021 Q1 7 nm 6 12 3,30 GHz 4,2 GHz 16 MB 32 GB 12 45 W<br />

AMD Ryzen 5 5500U 2021 Q1 7 nm 6 12 2,1 GHz 4 GHz 8 MB 32 GB 12 15 W<br />

AMD Ryzen 5 5600X 2020 Q4 7 nm 6 12 3,7 GHz 4,60 GHz 32 MB 128 GB 24 65 W<br />

AMD Ryzen 5 3450U 2020 Q4 12 nm 4 8 2,1 GHz 3,5 GHz 4 MB 32 GB 12 15 W<br />

AMD Ryzen 5 3350G 2020 Q4 12 nm 4 8 3,6 GHz 4 GHz 4 MB 64 GB 12 65 W<br />

AMD Ryzen 5 PRO 2020 Q3 7 nm 6 12 3,30 GHz 4,25 GHz 8 MB 64 GB 12 35 W<br />

4650GE<br />

AMD Ryzen 5 PRO 4650G 2020 Q3 7 nm 6 12 3,7 GHz 4,3 GHz 8 MB 64 GB 12 65 W<br />

AMD Ryzen 5 PRO 4400G 2020 Q3 7 nm 6 12 3,7 GHz 4,2 GHz 8 MB 64 GB 12 65 W<br />

AMD Ryzen 5 PRO 2020 Q3 12 nm 4 4 3,30 GHz 3,9 GHz 4 MB 64 GB 12 35 W<br />

3350GE<br />

AMD Ryzen 5 PRO 3350G 2020 Q3 12 nm 4 8 3,6 GHz 4 GHz 4 MB 64 GB 12 65 W<br />

AMD Ryzen 5 4600G 2020 Q3 7 nm 6 12 3,7 GHz 4,2 GHz 8 MB 64 GB 24 65 W<br />

AMD Ryzen 5 3600XT 2020 Q3 7 nm 6 12 3,80 GHz 4,5 GHz 32 MB 128 GB 20 95 W<br />

AMD Ryzen 5 3500C 2020 Q3 12 nm 4 8 2,1 GHz 3,7 GHz 4 MB 32 GB 12 15 W<br />

AMD Ryzen 5 3350GE 2020 Q3 12 nm 4 8 3,30 GHz 3,9 GHz 4 MB 64 GB 12 65 W<br />

AMD Ryzen 5 PRO 4650U 2020 Q2 7 nm 6 12 2,1 GHz 4 GHz 8 MB 32 GB 16 15 W


II - LE MATÉRIEL (HARDWARE) 15<br />

Nom Année Gravure Cœurs Threads Base Turbo Cache Capacité PCIe PD<br />

AMD Ryzen 5 4600U 2020 Q1 7 nm 6 12 2,1 GHz 4 GHz 8 MB 32 GB 12 15 W<br />

AMD Ryzen 5 4600HS 2020 Q1 7 nm 6 12 3 GHz 4 GHz 8 MB 32 GB 12 35 W<br />

AMD Ryzen 5 4600H 2020 Q1 7 nm 6 12 3 GHz 4 GHz 8 MB 32 GB 12 45 W<br />

AMD Ryzen 5 4500U 2020 Q1 7 nm 6 6 2,30 GHz 4 GHz 8 MB 32 GB 12 15 W<br />

AMD Ryzen 5 3550U 2020 Q1 12 nm 4 8 2,1 GHz 3,7 GHz 4 MB 32 GB 12 35 W<br />

AMD Ryzen 5 1600 AF 2020 Q1 12 nm 6 12 3,2 GHz 3,6 GHz 16 MB 64 GB 20 65 W<br />

AMD Ryzen 5 3580U 2019 Q4 12 nm 4 8 2,1 GHz 3,7 GHz 4 MB 32 GB 12 15 W<br />

AMD Ryzen 5 3500X 2019 Q4 7 nm 6 6 3,6 GHz 4,1 GHz 32 MB 128 GB 16 65 W<br />

AMD Ryzen 5 3500 2019 Q4 7 nm 6 6 3,6 GHz 4,1 GHz 16 MB 128 GB 20 65 W<br />

AMD Ryzen 5 PRO 3600 2019 Q3 7 nm 6 12 3,6 GHz 4,2 GHz 32 MB 128 GB 20 65 W<br />

AMD Ryzen 5 PRO 2019 Q3 12 nm 4 8 3,30 GHz 4 GHz 4 MB 64 GB 20 35 W<br />

3400GE<br />

AMD Ryzen 5 PRO 3400G 2019 Q3 12 nm 4 8 3,7 GHz 4,2 GHz 4 MB 64 GB 20 65 W<br />

AMD Ryzen 5 3600X 2019 Q3 7 nm 6 12 3,80 GHz 4,4 GHz 32 MB 128 GB 20 95 W<br />

AMD Ryzen 5 3600 2019 Q3 7 nm 6 12 3,6 GHz 4,2 GHz 32 MB 128 GB 20 65 W<br />

AMD Ryzen 5 3400G 2019 Q3 12 nm 4 8 3,7 GHz 4,2 GHz 4 MB 64 GB 12 65 W<br />

AMD Ryzen 5 PRO 3500U 2019 Q2 12 nm 4 8 2,1 GHz 3,7 GHz 4 MB 32 GB 12 15 W<br />

AMD Ryzen 5 3550H 2019 Q1 12 nm 4 8 2,1 GHz 3,7 GHz 4 MB 32 GB 12 35 W<br />

AMD Ryzen 5 3500U 2019 Q1 12 nm 4 8 2,1 GHz 3,7 GHz 4 MB 32 GB 12 15 W<br />

AMD Ryzen 5 2500X 2018 Q3 12 nm 4 8 3,6 GHz 4 GHz 8 MB 64 GB 20 65 W<br />

AMD Ryzen 5 PRO 2500U 2018 Q2 14 nm 4 8 2 GHz 3,6 GHz 4 MB 32 GB 12 15 W<br />

AMD Ryzen 5 2600X 2018 Q2 12 nm 6 12 3,6 GHz 4,2 GHz 16 MB 64 GB 20 95 W<br />

AMD Ryzen 5 2600 2018 Q2 12 nm 6 12 3,4 GHz 3,9 GHz 16 MB 64 GB 20 65 W<br />

AMD Ryzen 5 PRO 2018 Q1 14 nm 4 8 3,2 GHz 3,80 GHz 4 MB 64 GB 8 35 W<br />

2400GE<br />

AMD Ryzen 5 2400GE 2018 Q1 14 nm 4 8 3,2 GHz 3,80 GHz 4 MB 64 GB 8 35 W<br />

AMD Ryzen 5 2400G 2018 Q1 14 nm 4 8 3,6 GHz 3,9 GHz 16 MB 64 GB 12 65 W<br />

AMD Ryzen 5 2500U 2017 Q4 14 nm 4 8 2 GHz 3,6 GHz 4 MB 32 GB 12 15 W<br />

AMD Ryzen 5 1500X 2017 Q2 14 nm 4 8 3,5 GHz 3,7 GHz 16 MB 64 GB 20 65 W<br />

AMD Ryzen 5 1400 2017 Q2 14 nm 4 8 3,2 GHz 3,4 GHz 8 MB 64 GB 20 65 W<br />

AMD Ryzen 5 1600X 2017 Q1 14 nm 6 12 3,6 GHz 4 GHz 16 MB 64 GB 24 95 W<br />

AMD Ryzen 5 1600 2017 Q1 14 nm 6 12 3,2 GHz 3,6 GHz 16 MB 64 GB 20 65 W<br />

SOURCE : HTTPS://FR.GADGETVERSUS.COM/<br />

4. APPLE<br />

Le mon<strong>de</strong> APPLE a évolué lui aussi mais <strong>de</strong> son côté ; les processeurs MOTOROLA <strong>de</strong> la<br />

famille 68000 (20, 30 ,40, 50, 60) ont été remplacés par le Power<strong>pc</strong>, développé conjointement<br />

par MOTOROLA, IBM et APPLE. Ces processeurs tournaient à <strong>de</strong>s fréquences supérieures au<br />

gigahertz. Ils permettaient d'utiliser non seulement le système d'exploitation système d'APPLE<br />

mais aussi d'autres systèmes d'exploitation. La génération Power<strong>pc</strong>, équivalente aux Pentium<br />

d'INTEL pouvait être utilisée en environnement multiprocesseurs dans <strong>de</strong>s supercalculateurs ; la<br />

technologie RISC (nombre d'instructions limitées) utilisée pour ces processeurs rendait leur coût <strong>de</strong><br />

production plus faible. Apple a abandonné le Power<strong>pc</strong> en 2006 pour les processeurs INTEL puis<br />

revient vers ses propres processeurs M1 « maison » équipant les nouveaux MacBook.


5. ÉVOLUTION<br />

Les <strong>micro</strong>-processeurs ont évolué sur bien <strong>de</strong>s points <strong>de</strong>puis leur origine.<br />

a) LOI DE MOORE<br />

L'évolution <strong>de</strong>s processeurs a suivi jusqu'à présent une loi mathématique dite loi <strong>de</strong> MOORE,<br />

permettant <strong>de</strong> prédire le nombre <strong>de</strong> transistors intégrés dans un <strong>micro</strong>processeur (doublement tous<br />

les 2 ans).<br />

SOURCE: WIKIPÉDIA


II - LE MATÉRIEL (HARDWARE) 17<br />

b) REPRÉSENTATION<br />

Le pionnier <strong>de</strong> l'intelligence artificielle Hans Moravec propose un graphique mettant en rapport<br />

l'évolution <strong>de</strong> la puissance et du coût d'un ordinateur et celle d'un cerveau jusqu'au cerveau<br />

humain.<br />

SOURCE : MOCOM 2002


La carte mère est la carte principale <strong>de</strong> l'ordinateur. Elle va recevoir le <strong>micro</strong>processeur, les<br />

mémoires, les cartes d'extensions... Elles sont caractérisées par :<br />

les processeurs qu'elles supportent<br />

Leur type<br />

leur alimentation électrique<br />

leur fréquence<br />

leur bus <strong>de</strong> connexion<br />

leur chipset<br />

leur bios<br />

leur intégration<br />

EXEMPLE : CARTE MÈRE MSI MICRO ATX SOCKET 1151 INTEL B360 EXPRESS


II - LE MATÉRIEL (HARDWARE) 19<br />

Caractéristiques<br />

Type<br />

<strong>micro</strong> ATX<br />

Type <strong>de</strong> chipset Intel B360<br />

Socket<br />

LGA1151<br />

Processeurs<br />

Compatibles<br />

Celeron, Core i5, Core i3, Core i7, Pentium Gold (supports Intel Core<br />

i3/i5/i7/Pentium Gold/Celeron 8e génération)<br />

RAM<br />

DDR4 - 64 Go maxi<br />

Horloge <strong>de</strong> bus 2400 MHz, 2133 MHz, 2666 MHz<br />

Architecture <strong>de</strong> mémoire bicanal, profiles Intel XMP (Extreme Memory Profile) -<br />

Fonctions<br />

puce TPM 2.0 pour le passage à windows 11<br />

Audio<br />

Audio HD (8 canaux) - 2x Realtek ALC892 - aute définition<br />

Contrôleur réseau Gigabit Ethernet - Intel I219V<br />

Extensions 1 x CPU 4 x DIMM 288 broches 2 x PCIe 3.0 x16 (mo<strong>de</strong> x16/x4) 2 x PCIe 3.0 x1<br />

Interfaces <strong>de</strong><br />

stockage<br />

SATA-600 -connecteurs : ATA série 4 x 7 broches SATA-600 / PCIe 3.0 -<br />

connecteurs : 1 x M.2 PCIe 3.0 -connecteurs : 1 x M.2<br />

1 x HDMI 1 x LAN (Gigabit Ethernet) 4 x USB 2.0 1 x clavier / souris PS/2 1 x DVI-D<br />

1 x DisplayPort 1 x sortie <strong>de</strong> ligne audio - mini-jack 1 x TOSLINK 1 x USB 3.1 Gen 2<br />

Interfaces<br />

1 x USB-C Gen2<br />

2 x USB 2.0 - connecteur 2 x USB 3.1 Gen 1 - connecteur 1 x audio - connecteur 1<br />

Interfaces internes x USB-C Gen2 - connecteur<br />

Alimentation Connecteur d'alimentation auxiliaire 24 broches, connecteur ATX12V 8 broches<br />

1. TYPES DE CARTES MÈRES<br />

Une carte mère a <strong>de</strong>s dimensions normalisées afin que le boitier qui la reçoit et les composants<br />

qu'elle reçoit soient adaptés.<br />

Origine Désignation Dimensions<br />

Ibm ATX 305 mm x 244 mm<br />

Intel <strong>micro</strong>ATX 244 mm x 244 mm<br />

Intel FlexATX 229 mm x 191 mm<br />

Intel Mini ATX 284 mm x 208 mm<br />

Via Mini ITX 170 mm x 170 mm<br />

Via Nano ITX 120 mm x 120 mm<br />

Intel BTX 325 mm x 267 mm<br />

Intel <strong>micro</strong>BTX 264 mm x 267 mm<br />

Intel picoBTX 203 mm x 267 mm<br />

AMD miniDTX 170 mm x 203 mm<br />

À noter que le mini ITX (170 x 170) est un format <strong>de</strong> plus en plus utilisé pour ce que l'on appelle<br />

les "barebones" (unité centrale miniature)


2. LE SOCKET<br />

Les cartes mères sont prévues pour fonctionner avec un type <strong>de</strong> <strong>micro</strong>processeur donné. Ce<br />

<strong>micro</strong>processeur va être adapté sur un support <strong>de</strong>stiné à le recevoir, le slot ou socket. (Le slot<br />

permet l'insertion d'une carte fille supportant le processeur, le cache, le ventilateur...) La plupart <strong>de</strong>s<br />

processeurs utilisent un support <strong>de</strong> type Socket.<br />

LGA 2066<br />

La vitesse interne <strong>de</strong> la carte mère est en rapport avec le processeur. Un coefficient<br />

multiplicateur permet d’adapter la vitesse du processeur à celle <strong>de</strong> la vitesse d'horloge <strong>de</strong> la<br />

carte mère en un multiple <strong>de</strong> celle-ci (pour une vitesse d'horloge <strong>de</strong> 133 MHz et un coefficient<br />

multiplicateur <strong>de</strong> 10x, le CPU fonctionne à 1333 MHz). Cette opération est automatisée sur la<br />

plupart <strong>de</strong>s cartes (à moins <strong>de</strong> vouloir faire <strong>de</strong> l'overclocking)).<br />

SOCKET Cpu Intel Fréquence<br />

SLOT 1 pentium 3, celeron 233 - 1000<br />

SOCKET 370 pentium 3, celeron 75 – 570<br />

SOCKET 423 pentium 4, celeron 1300 - 2000<br />

SOCKET 478 pentium 4, celeron 1200 - 3460<br />

SOCKET 775 pentium 4, celeron, pentium d, core 2duo, core 2quad 1600 - 3800<br />

LGA 1151<br />

Core I5 et I7 Skylake<br />

LGA 1150 Core I5 et I7 Broavwell et Haswell 1000 – 4400<br />

LGA 1155 Core I3,I5 et I7 IvyBridge et Sandybridge 1200 – 3700<br />

LGA 1156 intel celeron dual-core - intel core 1860 - 3600<br />

LGA 1366 intel core i7 1600 - 4400<br />

G1/RPGA988A intel mobile et coremobile 1600 – 2800<br />

G2/RPGA988B intel mobile et coremobile 1500 - 3000<br />

G3/RPGA946B intel mobile et coremobile 2000 - 3100<br />

M/MPGA478MT intel celeron m - intel core duo et solo 1460 – 2333<br />

LGA 2066 Core i5, i7, i9 2066<br />

LGA 1200 Celeron, i3, i5, i7, i9 1200


II - LE MATÉRIEL (HARDWARE) 21<br />

SOCKET Cpu Amd Fréquence<br />

SLOT A duron, athlon 75- 570<br />

SOCKET A duron, athlon, athlon xp, sempron 600 - 2333<br />

SOCKET 754 athlon 64, mobile athlon 64, sempron, turion 1000 - 2600<br />

SOCKET 939 athlon 64, athlon fx, athlon x2, sempron, opteron 1800 - 3000<br />

SOCKET 940 opteron et athlon 64 fx 1400 - 3000<br />

SOCKET AM2 athlon 64, athlon fx, athlon x2, sempron, phenom 1600 - 2800<br />

SOCKET AM2+ athlon 64, athlon fx, athlon x2, sempron, phenom 1600 - 2800<br />

SOCKET AM3 phenom ii, athlon ii et sempron 1600 - 2800<br />

SOCKET AM4 ryzen 1600 - 3600<br />

SOCKET FM1 a4 – a6 – a8- atlhon ii – sempron x2 2100 - 3000<br />

SOCKET FM2 a4 – a6 – a8- a10 - atlhon ii – sempron x2 2100 - 4000<br />

SOCKET FM2+ a4 – a6 – a8- atlhon ii – sempron x2 3100 - 3900<br />

SOCKET FS1 a4 – a6 – a8 pour notebooks 1400 - 2300<br />

SOCKET S1 dual-core mobile athlon ii, phenom ii et sempron mobile 1600 - 3200<br />

3. L'ALIMENTATION ÉLECTRIQUE<br />

L'alimentation électrique <strong>de</strong>s cartes mères s'effectue en 12 volts. Elle est liée à la consommation<br />

du processeur et <strong>de</strong>s différents composants, notamment la carte vidéo qui exige souvent 2<br />

alimentations séparées. Cette alimentation est fournie par l'alimentation générale du boitier.<br />

critères :<br />

puissance <strong>de</strong> l'alimentation en Watts (<strong>de</strong> 250 à 750 w)<br />

nombre <strong>de</strong> sorties disponibles pour alimenter chaque composant<br />

type d'alimentation (ATX ou SATA)<br />

ALIMENTATION ATX<br />

ALIMENTATION SATA<br />

connecteurs auxiliaires (un ou <strong>de</strong>ux) CPU 12 volts à 4 ou à 8 broches <strong>de</strong>stinés à<br />

l’alimentation du processeur.<br />

connecteur PCI-Express 6+2 broches (un ou plusieurs)


4. L'HORLOGE ET LE CMOS<br />

L'horloge temps réel (notée RTC, pour Real Time Clock) est un circuit chargé <strong>de</strong> la synchronisation<br />

<strong>de</strong>s signaux du système. Elle est constituée d'un cristal qui, en vibrant, donne <strong>de</strong>s impulsions<br />

(appelés tops d'horloge) afin <strong>de</strong> ca<strong>de</strong>ncer le système. On appelle fréquence <strong>de</strong> l'horloge (exprimée en<br />

MHz) le nombre <strong>de</strong> vibrations du cristal par secon<strong>de</strong>, c'est-à-dire le nombre <strong>de</strong> tops d'horloge<br />

émis par secon<strong>de</strong>. Plus la fréquence est élevée, plus le système peut traiter d'informations.<br />

5. LES DIFFÉRENTS TYPES DE BUS<br />

Les bus sont les lignes qui relient les différents composants. Ils sont nombreux et fonctionnent<br />

avec <strong>de</strong>s débits différents. Le processeur a évi<strong>de</strong>mment un rôle central et doit pouvoir<br />

communiquer avec tous les périphériques. Cependant, le processeur n’est pas connecté<br />

directement avec tous les périphériques, cette solution rendrait les cartes mères trop complexe<br />

et nécessiterait un changement <strong>de</strong> processeur à chaque nouvelle technologie <strong>de</strong> composant.<br />

Les périphériques se connectent sur un bus relié au processeur. Chaque périphérique dialogue<br />

avec le processeur selon un protocole <strong>de</strong> communication commun. Ce standard <strong>de</strong><br />

communication permet <strong>de</strong> limiter les connecteurs et les technologies donc les coûts et permet<br />

facilement <strong>de</strong> supporter les nouveaux composants. D’où l’universalité et l’évolution <strong>de</strong>s éléments<br />

intégrés dans les <strong>ordinateurs</strong> "compatible PC".<br />

Ceci est une simplification du fonctionnement réel, car ce sont les contrôleurs <strong>de</strong> composant<br />

(disque dur, mémoire...) qui se connectent à ce bus commun affranchissant les périphériques<br />

en eux-mêmes <strong>de</strong> ce contrôle. Du côté du processeur un contrôleur <strong>de</strong> bus (gestionnaire <strong>de</strong>s<br />

protocoles <strong>de</strong> communications) externe au processeur est chargé <strong>de</strong> dialoguer sur ces bus.<br />

C’est ce qu’on appelle les ponts (bridge).<br />

Il n’y a pas qu’un seul bus car cela pourrait poser <strong>de</strong>s problèmes <strong>de</strong> bouchons et <strong>de</strong><br />

transmissions, <strong>de</strong> plus certains périphériques ont besoin <strong>de</strong> bien plus <strong>de</strong> ban<strong>de</strong> passante que<br />

d’autre (par exemple : carte réseau / mémoire). Il y a plusieurs types <strong>de</strong> bus fonctionnant à <strong>de</strong>s<br />

fréquences et <strong>de</strong>s transmissions en parallèle ou en série, donc débits différents.<br />

Les transmissions séries, c’est-à-dire avec un seul fil sur lequel transite toutes les données<br />

sont l’avenir, ils permettent <strong>de</strong>s montées en fréquence, à opposer aux anciennes<br />

transmissions parallèles sur plusieurs fils, qui posaient <strong>de</strong>s problèmes <strong>de</strong> synchronisations<br />

et <strong>de</strong> gestions lors <strong>de</strong>s montées en fréquences<br />

a) BUS PROCESSEUR<br />

Le socket processeur est unique pour chaque génération <strong>de</strong> processeur. Il limite donc<br />

l’évolutivité <strong>de</strong> la configuration. Ce socket permet d’accueillir les multiples broches du<br />

processeur qui sont autant <strong>de</strong> lignes qui constituent le bus processeur. Chaque génération <strong>de</strong><br />

processeur a un nombre <strong>de</strong> broches différent et <strong>de</strong>s fonctionnalités particulières pour chacune<br />

d’elle, d’où l’incompatibilité d’une génération à l’autre.<br />

Le bus processeur ou FSB (Front Si<strong>de</strong> Bus) relie le processeur au northbridge et indirectement à<br />

tous les autres éléments <strong>de</strong> la carte mère. Il est un <strong>de</strong>s plus influents sur les performances<br />

générales du système. Ce bus est constitué <strong>de</strong> trois bus aux rôles différents le bus <strong>de</strong> données,<br />

le bus d’adresse et le bus <strong>de</strong> comman<strong>de</strong>.


II - LE MATÉRIEL (HARDWARE) 23<br />

(1) BUS DE DONNÉES<br />

C’est souvent lui qui définit l’ensemble du bus processeur ; pratiquement toutes les informations<br />

doivent y passer, d’où son importance. Sa fréquence <strong>de</strong> fonctionnement dépend du processeur<br />

utilisé et n’a <strong>de</strong> cesse d’augmenter dès qu’une nouvelle génération <strong>de</strong> processeur apparaît,<br />

complètement lié aux caractéristiques <strong>de</strong> celui-ci.<br />

La formule <strong>de</strong> calcul du débit est la suivante<br />

Débit = (fréquence du bus ) x (largeur du bus en d’octet) x 4<br />

266 * 8 * 4 = = 8512 Mo/s = 8 Go/s.<br />

Avec le processeur Nehalem, Intel a introduit un nouveau bus <strong>de</strong> données baptisé QPI ou<br />

QuickPath Interconnect. Le contrôleur mémoire étant intégré directement au processeur, ce<br />

bus sert essentiellement à la communication entre le processeur et son chipset pour les<br />

échanges avec le sous-système <strong>de</strong> stockage ou le système graphique par exemple. Similaire<br />

au bus HyperTransport d'AMD, le bus QPI est <strong>de</strong> type point à point et peut servir, dans une<br />

configuration serveur multi-processeurs, à interfacer directement les processeurs entre eux.<br />

Plus récemment ,le bus UPI avec une vitesse <strong>de</strong> transfert <strong>de</strong> 10,4 Gb/s vient remplacer le QPI.<br />

VITESSE<br />

BANDE PASSANTE<br />

QPI 4,8 GB/S 9,6 GB/S<br />

QPI 5,6 GB/S 11,2 GB/S<br />

QPI 6,4 GB/S 12,8 GB/S<br />

QPI 7,2 GB/S 14,4 GB/S<br />

QPI 8,0 GB/S 16,0 GB/S<br />

QPI 9,6 GB/S 19,2 GB/S<br />

UPI 10,4 GB/S 20,8 GB/S<br />

(2) BUS DE COMMANDE<br />

Le bus <strong>de</strong> comman<strong>de</strong> ou bus <strong>de</strong> contrôle transporte les ordres et les signaux <strong>de</strong> synchronisation<br />

entre le processeur et les autres composants.<br />

Le bus <strong>de</strong> comman<strong>de</strong> permet d’envoyer les requêtes associées avec l’envoi <strong>de</strong>s données et <strong>de</strong>s<br />

adresses dans les <strong>de</strong>ux autres bus. Par exemple, les requêtes <strong>de</strong> lecture ou d’écriture lors <strong>de</strong><br />

transfert entre processeur et mémoire.


(3) BUS D'ADRESSE<br />

Dès que le processeur a besoin d’une donnée, il envoie son adresse par le bus d’adresse en<br />

direction du composant visé. Bien souvent une adresse en mémoire vive, mais aussi un autre<br />

composant ou périphérique grâce aux ports d’Entrée/Sortie qui sont <strong>de</strong>s i<strong>de</strong>ntifiants uniques qui<br />

les caractérisent. La mémoire ou le périphérique reçoit le signal d’adressage et renvoie la<br />

donnée visée par le bus <strong>de</strong> données. De même lorsque le processeur veut envoyer <strong>de</strong>s<br />

données à un composant, il envoie les données par le bus <strong>de</strong> données et l’adresse où il<br />

souhaite qu’elle soit sauvegardée par le bus d’adresse.<br />

La largeur du bus d’adresse entre processeur et mémoire influent sur les quantités <strong>de</strong> mémoire<br />

adressable donc la quantité <strong>de</strong> mémoire que l’on peut utiliser sur une plateforme. Au début <strong>de</strong><br />

l’informatique le bus <strong>de</strong> 20 bits permettait d’adresser 1 Mo <strong>de</strong> mémoire vive, plus tard, <strong>de</strong>s bus à<br />

36 bits (<strong>de</strong>s Pentium 4 par exemple) permettent d’adresser 64 Go <strong>de</strong> mémoire vive. Enfin avec<br />

l'architecture x86_64, les adresses sont codées sur 64 bits : la taille maximale theorique <strong>de</strong> la<br />

mémoire adressable est donc 2 puissance 64 octets.<br />

b) BUS MÉMOIRE<br />

Le contrôleur mémoire est présent dans le NORTHBRIDGE (Intel) ou inclut dans le processeur pour<br />

les modèles AMD. C’est ce contrôleur qui permet <strong>de</strong> gérer <strong>de</strong> la mémoire vive avec <strong>de</strong>s<br />

fréquences et <strong>de</strong>s latences plus ou moins élevées.<br />

La fréquence du bus est modulable selon celles supportées par les barrettes qui l’équipent.<br />

c) BUS D’EXTENSION PCI<br />

Avant le PCI Express, tous les bus PC et les connecteurs d’extension utilisaient une<br />

communication parallèle ( plusieurs bits sont transférés en même temps) ou série (les bits sont transférés à<br />

la suite, un par cycle d’horloge).<br />

Géré par le SOUTHBRIDGE (chipset), le PCI offre à l'origine un débit <strong>de</strong> 133 Mo/s mais son débit<br />

n’était plus suffisant et même limitant beaucoup les performances, car la ban<strong>de</strong> passante est<br />

divisée entre les périphériques connectés. Peu à peu pour les plus rapi<strong>de</strong>s, la connexion est<br />

faite directement avec le Northbridge (processeur).<br />

SOURCE: TESTED.COM<br />

Une ligne PCI Express est une paire <strong>de</strong> liens fonctionnant chacun à 2,5 Gbit/s chacun, soit<br />

250 Mo/s et pas 320 Mo/s car pour un octet (8 bits) le bus transmet en réalité 10 bits. Cette<br />

transmission série est d’ailleurs utilisée par les ports SATA, USB ou FireWire en<br />

remplacement <strong>de</strong>s anciennes technologies parallèles <strong>de</strong>s ports Ata ou port Parallèle<br />

Les interfaces rapi<strong>de</strong>s (contrôleur SATA par exemple) peuvent maintenant être utilisées efficacement<br />

sans goulet d’étranglement du bus PCI.


II - LE MATÉRIEL (HARDWARE) 25<br />

Les versions s'échelonnent : PCIe 1.0 (2003), PCIe 2.0 (2007),PCIe 3.0 (2010), PCIe 4.0 (2017),<br />

PCIe 5.0 (2019), PCIe 6.0 (2021) avec <strong>de</strong>s débits allant jusqu'à 128 Gb/s pour le PCIe 6.0 avec<br />

une carte mère gérant 16 voies.<br />

ÉVOLUTION DES TAUX DE TRANSFERT POUR UNE VOIE<br />

La principale différence entre PCI Express et PCI est l’utilisation <strong>de</strong> ligne <strong>de</strong> transmission série<br />

là où le PCI utilise <strong>de</strong>s transmissions en parallèle.<br />

En série, les bits sont envoyés sur une seule et même ligne. Cette solution facilite la<br />

synchronisation <strong>de</strong>s envois et permet d’augmenter plus facilement le débit par rapport à<br />

l’utilisation <strong>de</strong> multiple ligne parallèle<br />

Cependant, les <strong>de</strong>ux ports ne fonctionnent pas obligatoirement en 16x, le nombre <strong>de</strong> ligne<br />

activable est limité. Ils peuvent fonctionner en 16x/4x ou 8x/8x, à vérifier selon les constructeurs.<br />

Année<br />

d'introd<br />

uctiona<br />

Fréquence<br />

Puissance<br />

max délivrée<br />

(12V+3V3)<br />

Ban<strong>de</strong><br />

passante<br />

Débit par<br />

lignec<br />

Débit pour<br />

16 lignes<br />

PCI 2.2 (32bits) 1992 33 MHz 25 watts 133 Mo/s - -<br />

PCI-Express 1.x 2003 100 MHz 75 watts 2,5 GT/s 250 Mo/s 4 Go/s<br />

PCI-Express 2.x 2007 100 MHz 75 watts 5 GT/s 500 Mo/s 8 Go/s<br />

PCI-Express 3.x 2012 100 MHz 75 watts 8 GT/s 984,6 Mo/s 15,754 Go/s<br />

PCI-Express 4.x 2017 100 MHz 75 watts 16 GT/s 1969,2 Mo/s 31,508 Go/s<br />

PCI-Express 5.x 2019 100 MHz 75 watts 32 GT/s 3938 Mo/s 63,02 Go/s<br />

PCI-Express 6.x 2022 100 MHz 75 watts 64 GT/s<br />

SOURCE WIKIPÉDIA


d) BUS GRAPHIQUE<br />

L’ancien AGP a été déjà remplacé <strong>de</strong>puis plusieurs années mais NVidia propose encore avec<br />

son chipset "NFORCE 3" <strong>de</strong>s cartes graphiques en AGP 16x avec un débit <strong>de</strong> 4 Go par secon<strong>de</strong>.<br />

Le PCI Express est le bus idéal pour connecter <strong>de</strong>s cartes graphiques<br />

Les systèmes SLI NVIDIA ou CROSSFIRE d’ATI permettent <strong>de</strong> faire fonctionner <strong>de</strong>ux cartes<br />

graphiques ensemble, les cartes mères sont alors équipées <strong>de</strong> <strong>de</strong>ux ports PCI Express.<br />

e) BUS USB (Universal Sérial Bus)<br />

Il mérite une place à part car comme son nom l'indique, il permet <strong>de</strong> presque tout faire.<br />

(1) ÉVOLUTION<br />

Le bus USB permet <strong>de</strong> connecter <strong>de</strong>s périphériques quand l'ordinateur est en marche et en<br />

bénéficiant du Plug and Play. Il permet aussi d'alimenter les périphériques peu gourmands en<br />

énergie.<br />

USB1 : jusqu'à 1,5 Mo/s<br />

USB2 : jusqu'à 60 Mo/s ; l'évolution OTG permet à 2 périphériques <strong>de</strong> communiquer sans<br />

passer par un ordinateur<br />

USB3 : jusqu'à 625 Mo/s et une puissance électrique accrue (4,5watts)<br />

USB3.1 : jusqu'à 1,2 Go/s et plus <strong>de</strong> sens pour le branchement<br />

USB3.2 GEN 1 : jusqu'à 5 Gb/s<br />

USB3.2 GEN 2 : jusqu'à 10 Gb/s<br />

USB3.2 GEN 2X2 : jusqu'à 20 Gb/s<br />

THUNDERBOLT3 : association <strong>de</strong> la technologie <strong>de</strong> transfert haut débit THUNDERBOLT avec<br />

le nouveau format USB-C réversible<br />

THUNDERBOLT4 : prise en charge native <strong>de</strong> la norme USB 4<br />

La technologie THUNDERBOLT INTEL permet d'atteindre 40 Gbit/s. La ban<strong>de</strong> passante est<br />

suffisante pour relier en série plusieurs appareils haut débit, sans utiliser ni hub ni<br />

commutateur<br />

(2) PROTOCOLES<br />

Le port usb en utilise 5 types :<br />

transfert <strong>de</strong> comman<strong>de</strong>, utilisé pour l'énumération et la configuration <strong>de</strong>s périphériques.<br />

transfert d’interruption, utilisé pour fournir <strong>de</strong>s informations <strong>de</strong> petite taille (claviers,<br />

souris) ;<br />

transfert isochrone, utilisé pour effectuer <strong>de</strong>s transferts volumineux en temps réel avec<br />

garantie <strong>de</strong> ban<strong>de</strong> passante (flux audio et vidéo) ;<br />

transfert en masse, utilisé pour transférer <strong>de</strong>s informations volumineuses avec garantie<br />

d'acheminement (dispositifs <strong>de</strong> stockage).<br />

Alternate Mo<strong>de</strong> qui permet d'étendre l'usage <strong>de</strong> l'USB à d'autres fonctions


II - LE MATÉRIEL (HARDWARE) 27<br />

(3) CONNECTEURS<br />

Les connecteurs utilisés ont eux aussi évolués :<br />

Usb1/usb2 type A : Usb1/usb2 type B : Usb3 type A : Usb3 type B :<br />

Mini USB 2 : Micro USB 2 : Micro USB 3 : USB type C(réversible)<br />

f) BUS M.2<br />

Le bus M.2 ou NGFF (Next Generation Form Factor) est le successeur du mSata concu pour<br />

connecter <strong>de</strong>s cartes filles et plutôt <strong>de</strong>stinés aux portables, tablettes et ultrabook.<br />

6. LES CHIPSETS<br />

Le CHIPSETS est un composant électronique servant d'interface entre le processeur et ses<br />

périphériques, Il est spécifiquement conçu pour ce <strong>micro</strong>processeur. Il existe <strong>de</strong> différentes<br />

fabricants (AMD, NVIDIA, VIA...) mais ceux d'INTEL sont les plus courants<br />

Chipset<br />

Intel® Q170 Intel® Q150 Intel® H110 Intel® Z170 Intel® B150 Intel® H170<br />

Chipset Chipset Chipset Chipset Chipset Chipset<br />

Famille série 100 série 100 série 100 série 100 série 100 série 100<br />

Lancement Q3'15 Q3'15 Q3'15 Q3'15 Q3'15 Q3'15<br />

Vitesse bus 8 GT/s 8 GT/s 5 GT/s 8 GT/s 8 GT/s 8 GT/s<br />

Gravure 22 nm 22 nm 22 nm 22 nm 22 nm 22 nm<br />

PDT 6 W 6 W 6 W 6 W 6 W 6 W<br />

Barrettes DIMM<br />

par canal<br />

2 2 1 2 2 2<br />

Nbre écrans 3 3 2 3 3 3<br />

Révision PCI E 3 3 2 3 3 3<br />

Configurations<br />

PCI Express<br />

x1, x2, x4 x1, x2, x4 x1, x2, x4 x1, x2, x4 x1, x2, x4 x1, x2, x4<br />

Voies PCI E 20 10 6 20 8 16<br />

Ports USB 14 14 10 14 12 14<br />

Révision USB 3,0/2.0 3,0/2.0 3,0/2.0 3,0/2.0 3,0/2.0 3,0/2.0<br />

USB 3.0 10 8 4 10 6 8<br />

USB 2.0 14 14 10 14 12 14<br />

Ports SATA à 6,0 6 6 4 6 6 6<br />

Go/s<br />

Configuration<br />

RAID<br />

PCIe* 0,1,5 /<br />

SATA 0,1,5,10<br />

N/A N/A PCIe* 0,1,5 /<br />

SATA 0,1,5,10<br />

N/A PCIe* 0,1,5 /<br />

SATA 0,1,5,10<br />

Contrôleur LAN Integrated Integrated Integrated Integrated Integrated Integrated<br />

intégré<br />

Configurations<br />

PCIE processeur<br />

MAC<br />

1x16 or 2x8 or<br />

1x8+2x4<br />

MAC MAC MAC<br />

1x16 1x16 1x16 or 2x8 or<br />

1x8+2x4<br />

MAC<br />

1x16<br />

MAC<br />

1x16


Chipset<br />

Intel® X299 Intel® Q250 Intel® B250 Intel® Q270 Intel® Z270 Intel® H270<br />

Chipset Chipset Chipset Chipset Chipset Chipset<br />

Famille série 200 série 200 série 200 série 200 série 200 série 200<br />

Lancement Q2'17 Q1'17 Q1'17 Q1'17 Q1'17 Q1'17<br />

Vitesse bus 8 GT/s 8 GT/s 8 GT/s 8 GT/s 8 GT/s 8 GT/s<br />

Gravure 22 nm 22 nm 22 nm 22 nm 22 nm 22 nm<br />

PDT 6 W 6 W 6 W 6 W 6 W 6 W<br />

Barrettes DIMM<br />

par canal<br />

2 2 2 2 2<br />

Nbre écrans 3 3 3 3 3<br />

Révision PCI E 3 3 3 3 3 3<br />

Configurations x1, x2, x4 x1, x2, x4 x1, x2, x4 x1, x2, x4 x1, x2, x4 x1, x2, x4<br />

PCI Express<br />

Voies PCI E 24 14 12 24 24 20<br />

Ports USB 14 14 12 14 14 14<br />

Révision USB 3,0/2.0 3,0/2.0 3,0/2.0 3,0/2.0 3,0/2.0 3,0/2.0<br />

USB 3.0 10 8 6 10 10 8<br />

USB 2.0 14 14 12 14 14 14<br />

Ports SATA à 6,0 8 6 6 6 6 6<br />

Go/s<br />

Configuration<br />

RAID<br />

0, 1, 5, 10 N/A N/A PCIe* 0,1,5 /<br />

SATA 0,1,5,10<br />

PCIe* 0,1,5 /<br />

SATA 0,1,5,10<br />

PCIe* 0,1,5 /<br />

SATA 0,1,5,10<br />

Contrôleur LAN<br />

intégré<br />

Configurations<br />

PCIE processeur<br />

Integrated<br />

MAC<br />

Integrated<br />

MAC<br />

Integrated<br />

MAC<br />

Integrated<br />

MAC<br />

1x16 1x16 1x16 or 2x8 or<br />

1x8+2x4<br />

Integrated<br />

MAC<br />

1x16 or 2x8 or<br />

1x8+2x4<br />

Integrated<br />

MAC<br />

Chipset<br />

Intel® Z370 Intel® Q370 Intel® H370 Intel® Z390 Intel® B360 Intel® H310<br />

Chipset Chipset Chipset Chipset Chipset Chipset<br />

Famille série 300 série 300 série 300 série 300 série 300 série 300<br />

Lancement Q4'17 Q2'18 Q2'18 Q4'18 Q2'18 Q2'18<br />

Vitesse bus 8 GT/s 8 GT/s 8 GT/s 8 GT/s 8 GT/s 5 GT/s<br />

Gravure<br />

PDT 6 W 6 W 6 W 6 W 6 W 6 W<br />

1x16<br />

14 nm<br />

Barrettes DIMM 2 2 2 2 2 1<br />

par canal<br />

Nbre écrans 3 3 3 3 3 2<br />

Révision PCI E 3 3 3 3 3 2<br />

Configurations x1, x2, x4 x1, x2, x4 x1, x2, x4 x1, x2, x4 x1, x2, x4 x1, x2, x4<br />

PCI Express<br />

Voies PCI E 24 24 20 24 12 6<br />

Ports USB 14 14 14 14 12 10<br />

Révision USB 3,0/2.0 3,1/2.0 3,1/2.0 3,1/2.0 3,1/2.0 3,1/2.0<br />

USB 3.0<br />

10 Total USB<br />

3.1<br />

USB 2.0 - 6 USB 3.1<br />

Gen 2<br />

Configuration<br />

USB<br />

Configuration<br />

USB<br />

8 Total USB<br />

3.1<br />

- 4 USB 3.1<br />

Gen 2<br />

10 Total USB<br />

3.1<br />

- 6 USB 3.1<br />

Gen 2<br />

6 Total USB<br />

3.1<br />

- 4 USB 3.1<br />

Gen 2<br />

- 10 USB 3.1 - 8 USB 3.1 - 10 USB 3.1 - 6 USB 3.1<br />

Gen 1 Gen 1 Gen 1 Gen 1<br />

14 USB 2.0 14 USB 2.0 14 USB 2.0 12 USB 2.0<br />

4 USB 3.1 Gen<br />

1 Ports<br />

10 USB 2.0<br />

Ports


II - LE MATÉRIEL (HARDWARE) 29<br />

Ports SATA à 6,0<br />

Go/s<br />

Configuration<br />

RAID<br />

Contrôleur LAN<br />

intégré<br />

Configurations<br />

PCIE processeur<br />

6 6 6 6 6 4<br />

PCIe* 0,1,5 /<br />

SATA 0,1,5,10<br />

Integrated<br />

MAC<br />

1x16 or 2x8 or<br />

1x8+2x4<br />

Integrated<br />

MAC<br />

1x16 or 2x8 or<br />

1x8+2x4<br />

PCIe* 0,1,5 /<br />

SATA 0,1,5,10<br />

Integrated<br />

MAC<br />

1x16<br />

Integrated<br />

MAC<br />

1x16 or 2x8 or<br />

1x8+2x4<br />

Integrated<br />

MAC<br />

1x16<br />

Integrated<br />

MAC<br />

1x16<br />

Chipset<br />

Intel® B365 Intel® Z490 Intel® H470 Intel® Q470 Intel® B460 Intel® H410<br />

Chipset Chipset Chipset Chipset Chipset Chipset<br />

Famille série 300 série 400 série 400 série 400 série 400 série 400<br />

Lancement Q4'18 Q2'20 Q2'20 Q2'20 Q2'20 Q2'20<br />

Vitesse bus 8 GT/s 8 GT/s 8 GT/s 8 GT/s 8 GT/s 8 GT/s<br />

PDT 6 W 6 W 6 W 6 W 6 W 6 W<br />

Barrettes DIMM 2 2 2 2 2 1<br />

par canal<br />

Nbre écrans 3 3 3 3 3 2<br />

Révision PCI E 3 3 3 3 3 3<br />

Configurations x1, x2, x4 x1, x2, x4 x1, x2, x4 x1, x2, x4 x1, x2, x4 x1, x2, x4<br />

PCI Express<br />

Voies PCI E. 20 24 20 24 16 6<br />

Ports USB 14 14 14 14 12 10<br />

Révision USB 3,0/2.0 3,2/2.0 3,2/2.0 3,2/2.0 3,2/2.0 3,2/2.0<br />

USB 3.0<br />

10 Total USB<br />

3.2<br />

8 Total USB<br />

3.2<br />

10 Total USB<br />

3.2<br />

8 Total USB<br />

3.2<br />

4 Total USB<br />

3.2<br />

USB 2.0 - 6 USB 3.2<br />

Gen 2x1<br />

(10Gb/s)<br />

- 4 USB 3.2<br />

Gen 2x1<br />

(10Gb/s)<br />

- 6 USB 3.2<br />

Gen 2x1<br />

(10Gb/s)<br />

- 0 USB 3.2<br />

Gen 2x1<br />

(10Gb/s)<br />

- 0 USB 3.2<br />

Gen 2x1<br />

(10Gb/s)<br />

Configuration<br />

USB<br />

Configuration<br />

USB<br />

Ports SATA à 6,0<br />

Go/s<br />

Configuration<br />

RAID<br />

Contrôleur LAN<br />

intégré<br />

Configurations<br />

PCIE processeur<br />

- 10 USB 3.2<br />

Gen 1x1<br />

(5Gb/s)<br />

- 8 USB 3.2<br />

Gen 1x1<br />

(5Gb/s)<br />

- 10 USB 3.2<br />

Gen 1x1<br />

(5Gb/s)<br />

- 8 USB 3.2<br />

Gen 1x1<br />

(5Gb/s)<br />

- 4 USB 3.2<br />

Gen 1x1<br />

(5Gb/s)<br />

14 USB 2.0 14 USB 2.0 14 USB 2.0 12 USB 2.0 10 USB 2.0<br />

6 6 6 6 6 4<br />

PCIe* 0,1,5 /<br />

SATA 0,1,5,10<br />

Integrated<br />

MAC<br />

1x16<br />

0,1,5,10(SATA<br />

)<br />

Integrated<br />

MAC<br />

1x16 or 2x8 or<br />

1x8+2x4<br />

Sans fil intégré Intel® Wi-Fi 6<br />

AX201<br />

0,1,5,10(SATA<br />

)<br />

Integrated<br />

MAC<br />

1x16<br />

Intel® Wi-Fi 6<br />

AX201<br />

0,1,5,10(SATA<br />

)<br />

Integrated<br />

MAC<br />

1x16 or 2x8 or<br />

1x8+2x4<br />

Intel® Wi-Fi 6<br />

AX201<br />

0,1,5,10(SATA<br />

)<br />

Integrated<br />

MAC<br />

1x16<br />

N/A<br />

Integrated<br />

MAC<br />

1x16<br />

Chipset<br />

Intel® W480 Intel® H420E Intel® W480E Intel® Q470E Intel® W580 Intel® Q570<br />

Chipset Chipset Chipset Chipset Chipset Chipset<br />

Famille série 400 série 400 série 400 série 400 série 500 série 500<br />

Lancement Q2'20 Q2'20 Q2'20 Q2'20 02'21 02'21<br />

Vitesse bus 8 GT/s 8 GT/s 8 GT/s 8 GT/s 8 GT/s 8 GT/s<br />

Gravure<br />

PDT 6 W 6 W 6 W 6 W 6 W 6 W<br />

Non


Barrettes DIMM 2 1 2 2 2 2<br />

/ canal<br />

Nbre écrans 3 2 3 3 3 3<br />

Révision PCI E 3 3 3 3 3 3<br />

Configurations<br />

PCI Express<br />

x1, x2, x4 x1, x2, x4 x1, x2, x4 x1, x2, x4 x1, x2, x4 x1, x2, x4<br />

Nb. voies PCI E 24 6 24 24 24 24<br />

Ports USB 14 10 14 14 14 14<br />

Révision USB 3,2/2.0 3,2/2.0 3,2/2.0 3,2/2.0 3,2/2.0 3,2/2.0<br />

USB 3.0<br />

USB 2.0<br />

Configuration<br />

USB<br />

Configuration<br />

USB<br />

Ports SATA à 6,0<br />

Go/s<br />

Configuration<br />

RAID<br />

Contrôleur LAN<br />

intégré<br />

Configurations<br />

PCIE processeur<br />

10 Total USB<br />

3.2<br />

- 8 USB<br />

3.2Gen 2x1<br />

(10Gb/s)<br />

- 10 USB 3.2<br />

Gen 1x1<br />

(5Gb/s)<br />

14 USB 2.0<br />

Ports<br />

6 Total USB<br />

3.2<br />

- 10 USB 3.2<br />

Gen 2x1<br />

(10Gb/s)<br />

- 6 USB 3.2<br />

Gen 1x1<br />

(5Gb/s)<br />

10 USB 2.0<br />

Ports<br />

10 Total USB<br />

3.2<br />

- 8 USB 3.2<br />

Gen 2x1<br />

(10Gb/s)<br />

- 10 USB 3.2<br />

Gen 1x1<br />

(5Gb/s)<br />

14 USB 2.0<br />

Ports<br />

10 Total USB<br />

3.2<br />

- 6 USB 3.2<br />

Gen 2x1<br />

(10Gb/s)<br />

- 10 USB 3.2<br />

Gen 1x1<br />

(5Gb/s)<br />

14 USB 2.0<br />

Ports<br />

- 3 USB 3.2<br />

Gen 2x2<br />

(20Gb/s)<br />

- 10 USB 3.2<br />

Gen 2x1<br />

(10Gb/s)<br />

- 10 USB 3.2<br />

Gen 1x1<br />

(5Gb/s)<br />

14 USB 2.0<br />

Ports<br />

- 3 USB 3.2 Gen<br />

2x2 (20Gb/s)<br />

- 8 USB 3.2 Gen<br />

2x1 (10Gb/s)<br />

- 10 USB 3.2 Gen<br />

1x1 (5Gb/s)<br />

14 USB 2.0 Ports<br />

8 4 8 6 8 6<br />

0,1,5,10<br />

(SATA)<br />

Integrated<br />

MAC<br />

1x16 or 2x8<br />

or 1x8+2x4<br />

Sans fil intégré Intel® Wi-Fi 6<br />

AX201<br />

N/A 0,1,5,10<br />

(SATA)<br />

Integrated Integrated<br />

MAC MAC<br />

1x16<br />

Non<br />

1x16 or 2x8<br />

or 1x8+2x4<br />

Intel®<br />

Wireless-AC<br />

MAC<br />

0,1,5,10<br />

(SATA)<br />

Integrated<br />

MAC<br />

1x16 or 2x8<br />

or 1x8+2x4<br />

Intel®<br />

Wireless-AC<br />

MAC<br />

0,1,5,10<br />

(SATA)<br />

Integrated<br />

MAC<br />

1x16+1x4 or<br />

2x8+1x4 or<br />

1x8+3x4<br />

Intel® Wi-Fi 6<br />

AX201<br />

0,1,5,10<br />

(SATA)<br />

Integrated MAC<br />

1x16+1x4 or<br />

2x8+1x4 or<br />

1x8+3x4<br />

Intel® Wi-Fi 6<br />

AX201<br />

Chipset<br />

Intel® Z590 Intel® H570 Intel® B560 Intel® H510 Intel® Q670 Intel® H610<br />

Chipset Chipset Chipset Chipset Chipset Chipset<br />

Famille série 500 série 500 série 500 série 500 série 600 série 600<br />

Lancement 01'21 01'21 01'21 01'21 Q1'22 Q1'22<br />

Vitesse bus 8 GT/s 8 GT/s 8 GT/s 8 GT/s<br />

Gravure<br />

PDT 6 W 6 W 6 W 6 W 6 W 6 W<br />

Barrettes DIMM 2 2 2 1 2 1<br />

/ canal<br />

Nbre écrans 3 3 3 2 4 3<br />

Révision PCI E 3 3 3 3 3,0, 4.0 3<br />

Configurations x1, x2, x4 x1, x2, x4 x1, x2, x4 x1, x2, x4 x1,x2,x4 x1,x2,x4<br />

PCI E<br />

Voies PCI E 24 20 12 6 24 12<br />

Ports USB 14 14 12 10 14 10<br />

Révision USB 3,2/2.0 3,2/2.0 3,2/2.0 3,2/2.0 3,2, 2.0 3,2, 2.0<br />

USB 3.0 - 3 USB 3.2<br />

Gen 2x2<br />

(20Gb/s)<br />

- 2 USB 3.2<br />

Gen 2x2<br />

(20Gb/s)<br />

- 2 USB 3.2<br />

Gen 2x2<br />

(20Gb/s)<br />

- 4 USB 3.2<br />

Gen 1x1<br />

(5Gb/s)<br />

4 - USB 3.2<br />

Gen 2x2<br />

(20Gb/s)<br />

2 - USB 3.2<br />

Gen 2x1<br />

(10Gb/s)


II - LE MATÉRIEL (HARDWARE) 31<br />

USB 2.0 - 10 USB 3.2<br />

Gen 2x1<br />

(10Gb/s)<br />

Configuration<br />

USB<br />

Configuration<br />

USB<br />

Ports SATA à 6,0<br />

Go/s<br />

Configuration<br />

RAID<br />

Contrôleur LAN<br />

intégré<br />

Configurations<br />

PCIE processeur<br />

- 10 USB 3.2<br />

Gen 1x1<br />

(5Gb/s)<br />

Sans fil intégré Intel® Wi-Fi 6<br />

- 4 USB 3.2<br />

Gen 2x1<br />

(10Gb/s)<br />

- 8 USB 3.2<br />

Gen 1x1<br />

(5Gb/s)<br />

- 4 USB 3.2<br />

Gen 2x1<br />

(10Gb/s)<br />

- 6 USB 3.2<br />

Gen 1x1<br />

(5Gb/s)<br />

10 USB 2.0 8 - USB 3.2<br />

Gen 2x1<br />

(10Gb/s)<br />

10 - USB 3.2<br />

Gen 1x1<br />

(5Gb/s)<br />

14 USB 2.0 14 USB 2.0 12 USB 2.0 14 USB 2.0<br />

4 - USB 3.2<br />

Gen 1x1<br />

(5Gb/s)<br />

10 USB 2.0<br />

6 6 6 4 8 4<br />

0,1,5,10(SATA) 0,1,5,10(SATA) 0,15,10 -<br />

PCIe/SATA<br />

Integrated Integrated Integrated Integrated Integrated<br />

MAC<br />

MAC MAC MAC MAC<br />

1x16+1x4 or 1x16+1x4 1x16+1x4 1x16 1x16+1x4 or<br />

2x8+1x4 or<br />

2x8+1x4<br />

1x8+3x4<br />

Intel® Wi-Fi 6 Intel® Wi-Fi 6 Intel® Wi-Fi 6 Intel® Wi-Fi 6E<br />

AX201 AX201 AX201 AX201 AX211(Gig+)<br />

N/A<br />

Integrated<br />

MAC<br />

1x16<br />

Intel® Wi-Fi 6E<br />

AX211(Gig+)<br />

DMI 4.0 4.0<br />

Voies DMI 8 4<br />

Chipset Intel® H670 Intel® B660 Intel® Z690 Intel® W680 Intel® H610E Intel® Q670E Intel® R680E<br />

Chipset Chipset Chipset Chipset Chipset Chipset Chipset<br />

Famille série 600 série 600 série 600 série 600 série 600 série 600 série 600<br />

Lancement Q1'22 Q1'22 Q4'21 Q1'22 Q1'22 Q1'22 Q1'22<br />

PDT 6 W 6 W 6 W 6 W 6 W 6 W 6 W<br />

Barrettes<br />

2 2 2 2 1 2 2<br />

DIMM / canal<br />

Nbre écrans 4 4 4 4 3 4 4<br />

Révision PCI E 3,0, 4.0 3,0, 4.0 3,0, 4.0 3,0, 4.0 3 3,0, 4.0 3,0, 4.0<br />

Configurations x1,x2,x4 x1,x2,x4 x1,x2,x4 x1,x2,x4 x1,x2,x4 x1,x2,x4 x1,x2,x4<br />

PCI E<br />

Voies PCI E 24 14 28 28 12 24 28<br />

Ports USB 14 12 14 14 10 14 14<br />

Révision USB 3,2, 2.0 3,2, 2.0 3,2, 2.0 3,2, 2.0 3,2, 2.0 3,2, 2.0 3,2, 2.0<br />

USB 3.0 2 - USB 3.2<br />

Gen 2x2<br />

(20Gb/s)<br />

USB 2.0 4 - USB 3.2<br />

Gen 2x1<br />

(10Gb/s)<br />

Configuration<br />

USB<br />

Configuration<br />

USB<br />

Ports SATA à<br />

6,0 Go/s<br />

Configuration<br />

RAID<br />

8 - USB 3.2<br />

Gen 1x1<br />

(5Gb/s)<br />

2 - USB 3.2<br />

Gen 2x2<br />

(20Gb/s)<br />

4 - USB 3.2<br />

Gen 2x1<br />

(10Gb/s)<br />

6 - USB 3.2<br />

Gen 1x1<br />

(5Gb/s)<br />

4 - USB 3.2<br />

Gen 2x2<br />

(20Gb/s)<br />

10 - USB 3.2<br />

Gen 2x1<br />

(10Gb/s)<br />

10 - USB 3.2<br />

Gen 1x1<br />

(5Gb/s)<br />

4 - USB 3.2<br />

Gen 2x2<br />

(20Gb/s)<br />

10 - USB 3.2<br />

Gen 2x1<br />

(10Gb/s)<br />

10 - USB 3.2<br />

Gen 1x1<br />

(5Gb/s)<br />

2 - USB 3.2<br />

Gen 2x1<br />

(10Gb/s)<br />

4 - USB 3.2<br />

Gen 1x1<br />

(5Gb/s)<br />

4 - USB 3.2<br />

Gen 2x2<br />

(20Gb/s)<br />

8 - USB 3.2<br />

Gen 2x1<br />

(10Gb/s)<br />

10 USB 2.0 10 - USB 3.2<br />

Gen 1x1<br />

(5Gb/s)<br />

4 - USB 3.2<br />

Gen 2x2<br />

(20Gb/s)<br />

10 - USB 3.2<br />

Gen 2x1<br />

(10Gb/s)<br />

10 - USB 3.2<br />

Gen 1x1<br />

(5Gb/s)<br />

14 USB 2.0 12 USB 2.0 14 USB 2.0 14 USB 2.0 14 USB 2.0 14 USB 2.0<br />

8 4 8 8 4 8 8<br />

0,15,10 -<br />

PCIe/SATA<br />

0,15,10 -<br />

SATA<br />

0,15,10 -<br />

PCIe/SATA<br />

0,15,10 -<br />

PCIe/SATA<br />

N/A 0,15,10 -<br />

PCIe/SATA<br />

0,15,10 -<br />

PCIe/SATA


Contrôleur<br />

LAN intégré<br />

Configuration<br />

PCIE<br />

processeur<br />

Sans fil intégré<br />

Integrated<br />

MAC<br />

1x16+1x4 or<br />

2x8+1x4<br />

Intel® Wi-Fi<br />

6E<br />

AX211(Gig+)<br />

Integrated<br />

MAC<br />

1x16+1x4<br />

Intel® Wi-Fi<br />

6E<br />

AX211(Gig+)<br />

Integrated<br />

MAC<br />

1x16+1x4 or<br />

2x8+1x4<br />

Intel® Wi-Fi<br />

6E<br />

AX211(Gig+)<br />

Integrated<br />

MAC<br />

1x16+1x4 or<br />

2x8+1x4<br />

Intel® Wi-Fi<br />

6E<br />

AX211(Gig+)<br />

Integrated<br />

MAC<br />

1x16<br />

Intel® Wi-Fi<br />

6E<br />

AX211(Gig+)<br />

Integrated<br />

MAC<br />

1x16+1x4 or<br />

2x8+1x4<br />

Intel®<br />

Wireless-AC<br />

9560 +<br />

Bluetooth 5,0<br />

Integrated<br />

MAC<br />

1x16+1x4 or<br />

2x8+1x4<br />

Intel®<br />

Wireless-AC<br />

9560 +<br />

Bluetooth 5,0<br />

DMI 4.0 4.0 4.0 4.0 4.0 4.0 4.0<br />

Voies DMI 8 4 8 8 4 8 8<br />

7. LE BIOS – L'UEFI<br />

SOURCE : INTEL<br />

Le BIOS permet aux différentes parties <strong>de</strong> l'ordinateur <strong>de</strong> communiquer entre elles ; il est stocké<br />

dans une ROM sur la carte mère ; le BIOS peut être mis à jour. Le bios indique par <strong>de</strong>s sons ou<br />

par un co<strong>de</strong> erreur le résultat <strong>de</strong>s tests qu'il effectue à la mise en route.<br />

Sur la plupart <strong>de</strong>s machines, le BIOS peut être appelé par une combinaison <strong>de</strong> touches juste<br />

après la mise en route du <strong>micro</strong> :<br />

<br />

( POUR LES CARTES MÈRES INTEL).<br />

L’UEFI (Unified Extensible Firmware Interface) remplace le BIOS (Basic Input/Output System). Il améliore<br />

l’interopérabilité <strong>de</strong>s logiciels et remédie aux limitations du BIOS :<br />

Interface plus ergonomique<br />

possibilité d’utiliser le BIOS avec un matériel UEFI, notamment avec une souris.<br />

sécurité au démarrage contre les attaques virales<br />

temps <strong>de</strong> démarrage et sortie <strong>de</strong> la mise en veille prolongée plus rapi<strong>de</strong>s.<br />

prise en charge <strong>de</strong>s lecteurs supérieurs à 2,2 téraoctets.<br />

prise en charge <strong>de</strong> pilotes <strong>de</strong> périphériques durant le démarrage.


II - LE MATÉRIEL (HARDWARE) 33<br />

Un Extensible Firmware Interface (EFI) est un logiciel intermédiaire entre le <strong>micro</strong>logiciel<br />

(firmware) et le système d'exploitation (OS) d'un ordinateur. C'est le successeur du BIOS.<br />

L'EFI est capable <strong>de</strong> gérer les hautes résolutions, capable <strong>de</strong> prendre en charge beaucoup <strong>de</strong><br />

fonctionnalités réseaux qui lui sont intégrées en standard ; il peut aussi proposer une véritable<br />

interface graphique contrairement au BIOS.<br />

Alors que le BIOS est écrit en assembleur, il est à signaler que L'EFI est entièrement développé<br />

en C, ce qui lui confère une certaine souplesse pour ses évolutions futures<br />

8. IRQ - DMA - ADRESSES<br />

Une ligne IRQ est une ligne <strong>de</strong> <strong>de</strong>man<strong>de</strong> d'interruption qui permet à un périphérique <strong>de</strong> signaler à<br />

un processeur qu'un événement est survenu, qui requiert son attention <strong>de</strong> manière plus ou<br />

moins impérative.<br />

a) LE PIC<br />

Le PC XT disposait <strong>de</strong> 8 lignes contrôlées par un circuit PIC 8259 ; le PC AT portait ce nombre<br />

clairement insuffisant à 16 avec un second circuit PIC 8259, la ligne IRQ 2 étant inutilisable car<br />

servant <strong>de</strong> relais en casca<strong>de</strong> vers les IRQ 8 à 15 (qui ont par la même une priorité supérieure aux<br />

IRQ 3 à 7) ; <strong>de</strong> plus certaines cartes exigeaient un IRQ précis<br />

Le plus haut niveau <strong>de</strong> priorité étant l’IRQ 0<br />

b) L'APIC<br />

Les chipsets intègrent maintenant, en plus du PIC standard, un APIC ("Advanced Programmable<br />

Interrupt Controler"). Il est présent sur toutes les machines multiprocesseurs et sur les nouvelles<br />

générations <strong>de</strong> PC. L'APIC permet <strong>de</strong> traiter jusqu'à 256 requêtes d'interruption différentes - les<br />

16 premières étant équivalentes aux 16 IRQ que nous venons <strong>de</strong> décrire. L'APIC est présent dans<br />

le chipset <strong>de</strong>s PC mo<strong>de</strong>rnes, au même titre que le simple PIC.


X2APIC est la plus récente génération du contrôleur d'interruption programmable Intel, introduite<br />

avec la <strong>micro</strong>architecture Nehalem. Il prend en charge les différents processeurs et la<br />

performance <strong>de</strong> l'interface. Le X2APIC utilise 32 bits d'adresse CPU, permettant à adresse<br />

jusqu'à 2 32 - 1 processeurs en utilisant le mo<strong>de</strong> <strong>de</strong> <strong>de</strong>stination physique. Le mo<strong>de</strong> <strong>de</strong> <strong>de</strong>stination<br />

logique fonctionne différemment et introduit <strong>de</strong>s grappes ; en utilisant ce mo<strong>de</strong>, on peut adresser<br />

jusqu'à 2 20 - 16 processeurs −. L'architecture X2APIC fournit également un mo<strong>de</strong> <strong>de</strong> compatibilité<br />

<strong>de</strong>scendante pour l'Architecture Intel APIC (introduite avec le Pentium/P6) et avec l'architecture <strong>de</strong><br />

XAPIC (introduite avec le Pentium 4).<br />

APICV est le support <strong>de</strong> virtualisation <strong>de</strong> matériel visant à optimiser la gestion <strong>de</strong>s interruptions<br />

matérielles. APICV a été introduit dans les processeurs Ivy Bridge-EP.<br />

c) L'ACPI<br />

L'acpi (Advanced Configuration & Power Interface) est une norme <strong>de</strong>stinée à gérer et réduire la<br />

consommation <strong>de</strong>s <strong>ordinateurs</strong> : système d’exploitation et périphériques matériels (compatibles<br />

ACPI) communiquent par <strong>de</strong>s signaux :<br />

G0/S0 en service : l’ordinateur est entièrement en service.<br />

G1 sommeil :<br />

G1/S1 power on suspend: l’alimentation est toujours en service mais les disques sont stoppés (comme dans<br />

tous les états suivants).<br />

G1/S2 : état <strong>de</strong> sommeil plus profond, les processeurs <strong>de</strong>vront être réinitialisés au réveil, le système<br />

d’exploitation <strong>de</strong>vra ensuite restaurer les différents contextes d’exécution. (rarement mis en œuvre).<br />

G1/S3 standby ou suspend to ram : l’alimentation principale est éteinte, mais l’état <strong>de</strong> la mémoire centrale<br />

est maintenu en employant une alimentation permanente (appelé 5VSB) pour une restauration plus<br />

rapi<strong>de</strong>ment qu’en G1/S4.<br />

G1/S4 hibernate ou suspend to disk : l’état du système est sauvegardé (dans un fichier d’hibernation sur<br />

disque dur). L’ensemble <strong>de</strong>s composants <strong>de</strong> l’ordinateur est sans alimentation. À sa remise en service le<br />

système d’exploitation <strong>de</strong>vra recharger ce fichier d’hibernation et restaurera alors l’état <strong>de</strong> l’ordinateur.<br />

G2/S5 arrêt piloté (soft off) : la consommation électrique est la plus réduite possible et<br />

aucun état courant <strong>de</strong> l’ordinateur n’a été sauvegardé. Lors <strong>de</strong> la remise en service le<br />

système d’exploitation <strong>de</strong>vra exécuter toute la séquence d’amorçage avant d’être<br />

disponible.


II - LE MATÉRIEL (HARDWARE) 35<br />

G3 arrêt mécanique : dans cet état un interrupteur mécanique a été manœuvré et seule<br />

une manœuvre humaine peut permettre <strong>de</strong> démarrer l’ordinateur.<br />

d) DMA<br />

Un canal DMA permet à un périphérique d'accé<strong>de</strong>r directement à la mémoire sans passer par le<br />

processeur.<br />

e) E/S<br />

Les périphériques sont reliés au reste du système par <strong>de</strong>s circuits appelés ports d'entrées et/ou<br />

<strong>de</strong> sortie. Les échanges d'informations entre le processeur et les périphériques associés<br />

transitent par ces ports :<br />

Les entrées sont les données envoyées par un périphérique (disque, réseau, clavier…) à<br />

<strong>de</strong>stination du processeur ;<br />

Les sorties sont les données émises par le processeur à <strong>de</strong>stination d'un périphérique<br />

(disque, réseau, écran…).<br />

9. LE PLUG AND PLAY<br />

Le PLUG AND PLAY est une architecture dont la finalité est <strong>de</strong> pouvoir ajouter ou enlever <strong>de</strong>s<br />

périphériques quels qu'ils soient sans que ne se pose aucun problème <strong>de</strong> fonctionnement ; c'est<br />

à dire que l'ordinateur reconnaît automatiquement la présence ou la non présence <strong>de</strong> ces<br />

périphériques et optimise leur fonctionnement dans le cadre <strong>de</strong> la structure <strong>de</strong> l'ordinateur (IRQ,<br />

DMA, PORTS E/S).


LA LISTE SUIVANTE DÉFINIT LES TERMES CLÉS D'UNIVERSAL PLUG AND PLAY :<br />

Action : Comman<strong>de</strong> utilisée pour déclencher les services pour exécuter une fonction.<br />

Point <strong>de</strong> contrôle : Logiciel qui récupère les <strong>de</strong>scriptions <strong>de</strong>s services et <strong>de</strong>s périphériques<br />

Universal Plug and Play, envoie les actions aux services et reçoit les événements <strong>de</strong>s<br />

services.<br />

Périphérique : Objet conteneur pour un ou plusieurs services, soit un périphérique<br />

physique tel qu'un caméscope soit un périphérique logique tel qu'un ordinateur agissant<br />

en tant que caméscope.<br />

Événement : Message d'un périphérique à un point <strong>de</strong> contrôle, utilisé pour que les points<br />

<strong>de</strong> contrôle abonnés soient tenus au courant <strong>de</strong> l'état <strong>de</strong>s périphériques.<br />

Service : Fonctionnalité <strong>de</strong> périphérique qui peut être contrôlée par les points <strong>de</strong> contrôle.<br />

Abonnement : Relation entre un point <strong>de</strong> contrôle et un service.<br />

La fonctionnalité Universal Plug and Play comprend cinq processus :<br />

Détection : Un périphérique Universal Plug and Play avertit les autres périphériques et<br />

points <strong>de</strong> contrôle <strong>de</strong> sa présence sur le réseau en utilisant le protocole SSDP (Simple<br />

Service Discovery Protocol). Les informations échangées entre le périphérique et le point <strong>de</strong><br />

contrôle sont limitées aux messages <strong>de</strong> détection fournissant <strong>de</strong>s informations <strong>de</strong> base sur<br />

les périphériques et leurs services ainsi qu'une URL <strong>de</strong> <strong>de</strong>scription qui peut être utilisée<br />

pour rassembler <strong>de</strong>s informations supplémentaires sur le périphérique.<br />

Description : En utilisant l'URL fournie dans le processus <strong>de</strong> détection, un point <strong>de</strong> contrôle<br />

reçoit <strong>de</strong>s informations XML sur le périphérique, telles que la marque, le modèle et le<br />

numéro <strong>de</strong> série. En outre, le processus <strong>de</strong> <strong>de</strong>scription peut inclure une liste <strong>de</strong>s<br />

périphériques intégrés, <strong>de</strong>s services intégrés et <strong>de</strong>s URL utilisées pour accé<strong>de</strong>r aux<br />

fonctions du périphérique.<br />

Contrôle : Les points <strong>de</strong> contrôle utilisent les URL fournies lors du processus <strong>de</strong><br />

<strong>de</strong>scription pour accé<strong>de</strong>r aux informations XML supplémentaires qui décrivent les actions<br />

auxquelles les services <strong>de</strong>s périphériques Universal Plug and Play répon<strong>de</strong>nt ainsi que les<br />

paramètres pour chaque action. Les messages <strong>de</strong> contrôle sont au format XML et utilisent<br />

le protocole SOAP.<br />

Envoi d'événements : Lorsqu'un point <strong>de</strong> contrôle s'abonne à un service, le service lui<br />

envoie <strong>de</strong>s messages d'événement pour annoncer les modifications d'état du<br />

périphérique. Les messages d'événement sont au format XML et utilisent l'architecture<br />

GENA (General Event Notification Architecture).<br />

Présentation : Si un périphérique Universal Plug and Play fournit une URL <strong>de</strong><br />

présentation, un navigateur peut être utilisé pour accé<strong>de</strong>r aux fonctions <strong>de</strong> contrôle<br />

d'interface, aux informations sur les services ou le périphérique ou à toute autre capacité<br />

du périphérique implémentée par le fabricant.<br />

Source Microsoft


II - LE MATÉRIEL (HARDWARE) 37<br />

10. DÉMARRAGE DE L’ORDINATEUR<br />

Entre le moment où l'on allume la machine et celui où le système d'exploitation se charge, se<br />

déroule une procédure appelée AMORÇAGE (boot).<br />

À l'allumage du PC, le CPU exécute un ensemble d'instructions inscrite en ROM sur la carte mère.<br />

3 sous ensembles :<br />

le POST (POWER ON SELF TEST) qui ne s'exécute qu'après l'allumage (démarrage à froid)<br />

L'INITIALISATION qui s'exécute aussi après chaque REBOOT <strong>de</strong> l'utilisateur par CTRL-ALT-DEL<br />

(démarrage à chaud)<br />

Le BIOS (BASIC INPUT OUTPUT SYSTEM) ou UEFI utilisé par le système d'exploitation pour accé<strong>de</strong>r<br />

aux périphériques.<br />

Il initialise l'affichage et la mémoire, démarre les disques durs et teste le clavier et la souris. Un<br />

bip unique indique un bon fonctionnement. Ensuite la procédure d'amorçage cherche à démarrer<br />

un système d'exploitation à partir du premier disque déclaré amorçable. Il s'agit d'un SSD, disque<br />

dur, CD-ROM ou réseau.<br />

La procédure d'amorçage lit le premier secteur <strong>de</strong> 512 octets du disque dur. Le premier<br />

enregistrement <strong>de</strong> ce secteur est le MASTER BOOT RECORD (MBR), un petit programme <strong>de</strong> 446<br />

octets. Suivent <strong>de</strong>rrière <strong>de</strong>ux octets d'en-tête puis la table <strong>de</strong>s partitions (une table à 4 entrées <strong>de</strong><br />

16 octets chacune). À chaque entrée correspond une partition; on peut donc avoir quatre partitions<br />

principales, ou trois partitions principales et une partition étendue, cette <strong>de</strong>rnière pouvant<br />

contenir <strong>de</strong>s unités logiques.<br />

Le programme MBR regar<strong>de</strong> la table <strong>de</strong>s partitions et sélectionne la partition primaire marquée<br />

comme "Active". Il lit alors le premier secteur <strong>de</strong> 512 octets <strong>de</strong> cette partition et passe ainsi la<br />

main au chargement du système d'exploitation.<br />

Le MBR est le premier programme qui s'exécute à partir du disque ou <strong>de</strong> la disquette. Il est, <strong>de</strong><br />

ce fait, la cible <strong>de</strong>s virus dits "virus <strong>de</strong> boot" (voir Virus). Mais c'est également le lieu idéal pour<br />

placer un programme <strong>de</strong> sélection manuelle <strong>de</strong> partition, donc par extension, <strong>de</strong> système<br />

d'exploitation. Que ce soit NTLDR <strong>de</strong> Windows NT, LILO <strong>de</strong> Linux ou System Comman<strong>de</strong>r,<br />

ces gestionnaires d'amorçage s'installent en premier lieu dans ce très convoité MBR<br />

Hormis quelques exceptions, chaque système d'exploitation possè<strong>de</strong> son propre système <strong>de</strong><br />

fichiers. Il est donc indispensable <strong>de</strong> cloisonner le disque dur. C'est ce que l'on appelle le<br />

PARTITIONNEMENT, une phase préliminaire indispensable avant d'installer tout système<br />

d'exploitation. La plupart <strong>de</strong>s systèmes d'exploitation intègrent dans leur procédure d'installation<br />

<strong>de</strong>s fonctions <strong>de</strong> PARTITIONNEMENT, souvent réduites au strict minimum : suppression et création.<br />

La première partition active qui contient un système FAT est appelée PARTITION PRIMAIRE DOS et<br />

prend la lettre C: si elle est sur le premier disque. Cette partition est importante car les systèmes<br />

MICROSOFT, même s'ils peuvent s'installer ailleurs, ont besoin <strong>de</strong> cette partition primaire pour<br />

stocker <strong>de</strong>s informations <strong>de</strong> démarrage (secteur d'amorçage, menu <strong>de</strong> démarrage, etc.). Si l'on veut<br />

faire cohabiter un système MICROSOFT avec un système NON-MICROSOFT, la présence <strong>de</strong> cette<br />

partition est donc impérative.<br />

Des outils comme "EaseUs partition master" sont alors très pratiques


PLUSIEURS TYPES :<br />

LA MÉMOIRE MORTE où sont stockées les informations liées au fonctionnement <strong>de</strong>s éléments<br />

constituant l'ordinateur.<br />

LA MÉMOIRE VIVE qui sert d'espace <strong>de</strong> travail pour l'utilisateur ; plus elle est importante, plus il<br />

peut faire <strong>de</strong> choses en même temps.<br />

LA MÉMOIRE CACHE permettant <strong>de</strong> stocker temporairement <strong>de</strong>s données pour accélérer les<br />

processus.<br />

1. LES MÉMOIRES MORTES<br />

Les ROM (Read Only Memory) dont le contenu est défini lors <strong>de</strong> la fabrication.<br />

Les PROM (Programmable Read Only Memory) sont programmables par l’utilisateur, mais une<br />

seule fois en raison du moyen <strong>de</strong> stockage, les données sont stockées par <strong>de</strong>s fusibles.<br />

Les EPROM (Erasable Programmable Read Only Memory) sont effaçables et programmables par<br />

l’utilisateur. Comme l’effaçage se fait en plaçant la mémoire dans une machine spéciale, la<br />

mémoire doit être facilement ôtable <strong>de</strong> son support. Voir UVPROM<br />

Les EEPROM (Electrically Erasable Programmable Read Only Memory) sont effaçables et<br />

programmables par l’utilisateur. Elles sont plus faciles à effacer que les EPROM car elles<br />

sont effaçables électriquement donc sans manipulations physiques.<br />

Les UVPROM (Ultra Violet Programmable Read Only Memory) sont <strong>de</strong>s mémoires programmables<br />

par l'utilisateur. Elles sont effaçables en les mettant dans une chambre à ultraviolet. Les<br />

UV Prom n'ont plus <strong>de</strong> raison d'être car <strong>de</strong> nouvelles mémoires (mémoire Flash) bien plus<br />

pratiques les remplacent.<br />

La MÉMOIRE FLASH est un compromis entre les mémoires <strong>de</strong> type RAM et les mémoires<br />

mortes. En effet, la mémoire Flash possè<strong>de</strong> la non-volatilité <strong>de</strong>s mémoires mortes tout en<br />

pouvant facilement être accessible en lecture ou en écriture. En contrepartie les temps<br />

d'accès <strong>de</strong>s mémoires flash sont plus importants que ceux <strong>de</strong> la mémoire vive.<br />

Les puces NAND 3D permettent la fabrication <strong>de</strong> mémoires flash d'une capacité <strong>de</strong> 1 To, le<br />

principe pour la NAND 3D étant d'adopter une architecture verticale pour empiler les couches<br />

tout en assurant leur connexion (jusqu'à 48 à ce jour)


II - LE MATÉRIEL (HARDWARE) 39<br />

2. LA MÉMOIRE VIVE<br />

La RAM présente la particularité <strong>de</strong> pouvoir être accédée à la fois en lecture et en écriture. On<br />

l'appelle aussi DRAM (Dynamic RAM)<br />

Elle est constituée <strong>de</strong> centaines <strong>de</strong> milliers <strong>de</strong> petits con<strong>de</strong>nsateurs emmagasinant <strong>de</strong>s charges.<br />

Lorsqu'il est chargé, l'état logique du con<strong>de</strong>nsateur est égal à 1, dans le cas contraire il est à 0,<br />

ce qui signifie que chaque con<strong>de</strong>nsateur représente un bit <strong>de</strong> la mémoire.<br />

Étant donné que les con<strong>de</strong>nsateurs se déchargent, il faut constamment les recharger (le terme<br />

exact est rafraîchir, en anglais refresh) à un intervalle <strong>de</strong> temps régulier appelé cycle <strong>de</strong><br />

rafraîchissement. Les mémoires DRAM nécessitent par exemple <strong>de</strong>s cycles <strong>de</strong> rafraîchissement<br />

est d'environ 15 nanosecon<strong>de</strong>s (ns).<br />

Chaque con<strong>de</strong>nsateur est couplé à un transistor (<strong>de</strong> type MOS) permettant <strong>de</strong> récupérer ou <strong>de</strong><br />

modifier l'état du con<strong>de</strong>nsateur. Ces transistors sont rangés sous forme <strong>de</strong> tableau (matrice),<br />

c'est-à-dire que l'on accè<strong>de</strong> à une case mémoire (aussi appelée point mémoire) par une ligne et une<br />

colonne.<br />

Chaque point mémoire est donc caractérisé par une adresse, correspondant à un numéro <strong>de</strong><br />

ligne (en anglais row) et un numéro <strong>de</strong> colonne (en anglais column). Or cet accès n'est pas<br />

instantané et s'effectue pendant un délai appelé temps <strong>de</strong> latence. Par conséquent l'accès à une<br />

donnée en mémoire dure un temps égal au temps <strong>de</strong> cycle auquel il faut ajouter le temps <strong>de</strong><br />

latence.<br />

Ainsi, pour une mémoire <strong>de</strong> type DRAM, le temps d'accès est <strong>de</strong> 60 nanosecon<strong>de</strong>s (35ns <strong>de</strong> délai<br />

<strong>de</strong> cycle et 25 ns <strong>de</strong> temps <strong>de</strong> latence). Sur un ordinateur, le temps <strong>de</strong> cycle correspond à l'inverse <strong>de</strong><br />

la fréquence <strong>de</strong> l'horloge, par exemple pour un ordinateur ca<strong>de</strong>ncé à 200 MHz, le temps <strong>de</strong><br />

cycle est <strong>de</strong> 5 ns (1/(200*106)).<br />

Par conséquent un ordinateur ayant une fréquence élevée et utilisant <strong>de</strong>s mémoires dont le<br />

temps d'accès est beaucoup plus long que le temps <strong>de</strong> cycle du processeur doit effectuer <strong>de</strong>s<br />

cycles d'attente (en anglais wait state) pour accé<strong>de</strong>r à la mémoire. Dans le cas d'un ordinateur<br />

ca<strong>de</strong>ncé à 200 MHz utilisant <strong>de</strong>s mémoires <strong>de</strong> types DRAM (dont le temps d'accès est <strong>de</strong> 60ns),<br />

il y a 11 cycles d'attente pour un cycle <strong>de</strong> transfert. Les performances <strong>de</strong> l'ordinateur sont<br />

d'autant diminuées qu'il y a <strong>de</strong> cycles d'attentes, il est donc conseillé d'utiliser <strong>de</strong>s mémoires plus<br />

rapi<strong>de</strong>s.


a) TYPES<br />

De nombreux types <strong>de</strong> mémoire existent.<br />

SDRAM (Synchronous Dynamic RAM). Elle est utilisée comme mémoire principale et vidéo.<br />

Elle tend à être remplacée par la DDR SDRAM. Pour les machines <strong>de</strong> la génération Pentium<br />

II, Pentium III. On distingue la SDRAM 66, 100 et 133 (fréquence d'accès en MHz). Elle<br />

comporte normalement 168 broches.<br />

VRAM (Vi<strong>de</strong>o RAM). Présente dans les cartes graphiques. Elle sert à construire l'image<br />

vidéo qui sera envoyée à l'écran d'ordinateur via le convertisseur RamDac.<br />

RDRAM (Rambus Dynamic RAM). Développée par la société Rambus, elle souffre<br />

notamment d'un prix beaucoup plus élevé que les autres types <strong>de</strong> mémoires et <strong>de</strong> brevets<br />

trop restrictifs <strong>de</strong> la part <strong>de</strong> la société créatrice. Elle est utilisée pour les machines <strong>de</strong><br />

génération Pentium III et Pentium 4.<br />

DDR SDRAM (Double Data Rate Synchronous Dynamic RAM). Utilisée comme mémoire<br />

principale et comme mémoire vidéo, elle est synchrone avec l'horloge système mais elle<br />

double également la largeur <strong>de</strong> ban<strong>de</strong> passante en transférant <strong>de</strong>s données <strong>de</strong>ux fois par<br />

cycles au lieu d'une seule pour la SDRAM simple. Elle est aussi plus chère. On distingue<br />

les DDR PC1600, PC2100, PC2700, PC3200, etc. Le numéro représente la quantité<br />

théorique maximale <strong>de</strong> transfert d'information en Mégaoctets par secon<strong>de</strong> (il faut multiplier<br />

par 8 pour obtenir cette vitesse en Mégabits par secon<strong>de</strong>, un octet étant composé <strong>de</strong> 8 bits). Pour les<br />

machines <strong>de</strong> génération Pentium III et Pentium 4. Elle comporte normalement 184<br />

broches.<br />

DDR2 SDRAM (Double Data Rate two SDRAM). On distingue les DDR2-400, DDR2-533, DDR2-<br />

667, DDR2-800 et DDR2-1066. Le numéro (400, 533, …) représente la fréquence <strong>de</strong><br />

fonctionnement. Certains constructeurs privilégient la technique d'appellation basée sur la<br />

quantité <strong>de</strong> données théoriquement transportables (PC2-4200, PC2-5300, etc.), mais certains<br />

semblent retourner à la vitesse réelle <strong>de</strong> fonctionnement afin <strong>de</strong> distinguer plus clairement<br />

la DDR2 <strong>de</strong> la génération précé<strong>de</strong>nte. Pour les machines <strong>de</strong> génération Pentium 4 et plus.<br />

Elle comporte normalement 240 broches.<br />

DDR3 SDRAM (Double Data Rate three SDRAM). Il s'agit <strong>de</strong> la 3 e génération <strong>de</strong> la technologie<br />

DDR. On distingue les DDR3-800, DDR3-1066, DDR3-1333 et DDR3-1600. Les barettes<br />

portent le nom <strong>de</strong> PC3-6400, PC3-8500, PC3-10600 et PC3-12800. Les premiers <strong>micro</strong><strong>ordinateurs</strong><br />

pouvant utiliser la DDR3 sont arrivés sur le marché fin 2007.<br />

XDR DRAM (XDimm Rambus RAM). Technologie basée sur la technologie Flexio développée<br />

par Rambus. Elle permet d'envisager <strong>de</strong>s débits théoriques <strong>de</strong> 6,4 Go/s à 12,8 Go/s en<br />

rafale.<br />

DDR4 SDRAM (Double Data Rate four SDRAM) utilise une tension plus basse (1,2 v) et un<br />

taux <strong>de</strong> transfert plus élevé. Le taux <strong>de</strong> transfert est <strong>de</strong> 2133 ~ 3200 MT/s. DDR4 utilise<br />

quatre nouvelles technologies :<br />

- Chaque groupe <strong>de</strong> mémoire fonctionne en solitaire<br />

- traitement <strong>de</strong> 4 données par cycle d'horloge<br />

- DBI (Inversion <strong>de</strong> Bus <strong>de</strong> données)<br />

- CRC (Cyclic Redundancy Check)<br />

DDR5 (Double Data Rate five SDRAM) La norme DDR 5 améliore l'intégrité du signal et la<br />

stabilité <strong>de</strong> transmission. Elle permet <strong>de</strong> stocker 128 giga-octets sur une seule barrette. Sa<br />

vitesse, actuellement <strong>de</strong> 3200 Mhz à 5200 Mhz, pourrait atteindre jusqu'à 10 000 Mhz<br />

avec une augmentation <strong>de</strong> la ban<strong>de</strong> passante<br />

ECC la mémoire scanne en temps réel les données pour <strong>de</strong>s bits erronés et les corrige<br />

avec un algorithme spécifique


II - LE MATÉRIEL (HARDWARE) 41<br />

b) FORMATS<br />

SOURCE : RAMBUS<br />

La mémoire vive se présente sous forme <strong>de</strong> barrettes, maintenant standardisées, dites barrettes<br />

SIMM ou DIMM. La capacité <strong>de</strong> ces barrettes varie <strong>de</strong> 256 Mo à 1 Go par barrette ; elles existent<br />

en 32 bits et 64 bits. Les cartes mères actuelles proposent le plus souvent <strong>de</strong>ux emplacements<br />

64 bits. Leur vitesse est le plus souvent <strong>de</strong> 60 à 70 ns. Elles se différencient aussi par le nombre<br />

<strong>de</strong> chips dont elles sont composées.<br />

2 FORMATS DE BARRETTES :<br />

la SIMM (Single In line Memory Module)<br />

Les mémoires SIMM gèrent 32 bits. Elles se présentent sous la forme <strong>de</strong> barrettes avec 72<br />

connecteurs et <strong>de</strong> 10,8 cm <strong>de</strong> long sur 2,5 cm <strong>de</strong> large. Elles sont constituées le plus souvent <strong>de</strong><br />

8 chips ; Leur vitesse d'accès est couramment <strong>de</strong> 70 ns. Existent aussi les barrettes <strong>de</strong> 36 bits<br />

avec contrôle <strong>de</strong> parité. Elles sont peu à peu abandonnées.<br />

la DIMM (Dual In line Memory Module)<br />

Les mémoires DIMM gèrent 64 bits. Elles sont plus rapi<strong>de</strong>s et se présentent sous la forme <strong>de</strong><br />

barrettes <strong>de</strong> 13 cm <strong>de</strong> long sur 2,5 cm <strong>de</strong> large avec <strong>de</strong> 184 à 240 connecteurs sur chaque face.


la DIMM permet <strong>de</strong> mélanger <strong>de</strong>s barrettes <strong>de</strong> différentes tailles<br />

Dans les mémoires à parité, un neuvième bit (dit <strong>de</strong> contrôle <strong>de</strong> parité) existe sans être<br />

apparent. Les mémoires à correction automatique d'erreur (ECC) possè<strong>de</strong>nt jusqu'à six bits<br />

(invisibles) en plus<br />

il est fortement déconseillé <strong>de</strong> mélanger les barrettes ayant <strong>de</strong>s marques, <strong>de</strong>s vitesses ou un<br />

nombre <strong>de</strong> chips différent.<br />

3. LA MÉMOIRE VIDÉO<br />

Elle est un élément essentiel <strong>de</strong> la carte graphique et est utilisée pour stocker les textures<br />

(généralement sous formes d'images).<br />

TYPES DE MÉMOIRE VIDÉO :<br />

La mémoire GDDR 2 (DDR pour DOUBLE DATA RATE), exploite les fronts montants et <strong>de</strong>scendants<br />

<strong>de</strong> la mémoire.<br />

La mémoire GDDR 3 est presque i<strong>de</strong>ntique à la GDDR 2 ; elle gagne en fréquence et sa<br />

tension d'alimentation diminue.<br />

La mémoire GDDR4 (Graphics Double Data Rate, version 4) atteint <strong>de</strong>s vitesses supérieures à<br />

1,4 GHz) (2,8 GBit/s).<br />

La mémoire GDDR5 (Graphics Double Data Rate, version 5) supporte une ban<strong>de</strong> passante <strong>de</strong> 20<br />

Gb/s sur un bus <strong>de</strong> 32 bits. Elle atteint 290 Go/s avec un bus 256 bits et 432 Go/s avec un<br />

bus <strong>de</strong> bus 384 bits soit 12 puces <strong>de</strong> 1 Go.<br />

La mémoire GDDR5X (Graphics Double Data Rate, version 5 x. La ban<strong>de</strong> passante maximale est <strong>de</strong><br />

352 Go/s avec un bus 256 bits et culmine à 528 Go/s avec un bus <strong>de</strong> 384 bits soit 12 puces<br />

<strong>de</strong> 1 Go.<br />

La mémoire GDDR6 (Graphics Double Data Rate, version 6) a ne vitesse <strong>de</strong> 18 Gb/s, soit le<br />

double <strong>de</strong> la GDDR5. Sur un bus 256 bits (8 puces 16 Go), la ban<strong>de</strong> passante atteint 576<br />

Go/s et jusqu'à 864 Go/s avec 12 puces pour 24 Go sur un bus 384 bits.


II - LE MATÉRIEL (HARDWARE) 43<br />

Les mémoires <strong>de</strong> stockage permettent <strong>de</strong> conserver indéfiniment les informations, et ce<br />

indépendamment d'une alimentation électrique. De nombreux supports différents s'offrent à<br />

l'utilisateur dont le plus courant reste le disque dur. Un contrôleur gère la lecture et l'écriture sur<br />

le périphérique <strong>de</strong> stockage<br />

1. LES CONTRÔLEURS<br />

Les protocoles <strong>de</strong> communication les plus utilisés actuellement sont le SATA et le SCSI.<br />

Alors que SATA est réservé aux disques durs, scsi s'applique à tous les périphériques (CD-ROM,<br />

imprimante, HD etc..).<br />

(1) ST506<br />

Cette technologie a disparu.<br />

(2) ESDI<br />

On ne trouve plus <strong>de</strong> machines équipées <strong>de</strong> ce type <strong>de</strong> carte et disque dur (91-92).<br />

(3) IDE<br />

La technologie IDE gère normalement 2 périphériques (disques durs, cd, dvd).. Dans le cas <strong>de</strong> 2<br />

disques durs, il est indispensable <strong>de</strong> déclarer le premier comme maître (master) et le second<br />

comme esclave (slave) à l'ai<strong>de</strong> <strong>de</strong> cavaliers. Son taux <strong>de</strong> transfert avoisine les 4 Mo/s. Cette<br />

technologie a évolué en E-IDE (enhanced i<strong>de</strong>) appelé aussi FAST IDE. Le taux <strong>de</strong> transfert est alors<br />

<strong>de</strong> 10 Mo/s et quatre unités peuvent être gérées (ex : 2 disques durs, un cd rom…).<br />

(4) SATA<br />

Le Serial ATA permet d'obtenir <strong>de</strong>s débits <strong>de</strong> l'ordre <strong>de</strong> 187.5 Mo/s (1,5 Gb/s), or chaque octet est<br />

transmis avec un bit <strong>de</strong> démarrage (start bit) et un bit d'arrêt (stop bit), soit un débit utile théorique<br />

<strong>de</strong> 150 Mo/s (1,2 Gb/s). Le standard Serial ATA II permet d'avoisiner les 375 Mo/s (3 Gb/s), soit<br />

300 Mo/s utiles théoriques et le Serial ATA III atteint 750 Mo/s (6 Gb/s), soit 600 Mo/s utiles<br />

théoriques.<br />

Revision #<br />

Débit<br />

théorique<br />

Gbit/s<br />

Débit<br />

théorique<br />

Mo/s<br />

Débit<br />

pratique<br />

Mo/s<br />

SATA I 1,5 192 150<br />

SATA II 3 384 300<br />

SATA III 6 768 600<br />

Les disques durs natifs en Serial ATA exigent également un connecteur électrique<br />

d'alimentation différent, faisant partie <strong>de</strong> la norme. Le connecteur standard d'alimentation<br />

ressemble à celui <strong>de</strong>s données, mais en plus large


(5) M2<br />

Le port M2 permet à un SSD <strong>de</strong> se connecter directement sans passer par un contrôleur SATA.<br />

En contournant le contrôleur SATA, M2 est seulement limité par la vitesse du SSD même et le<br />

nombre <strong>de</strong> voies qu'il utilise. En utilisant seulement quatre voies PCI-E 2.0, M2 peut<br />

théoriquement avoir un débit maximal plus élevé que 2 Gbit/s (plus <strong>de</strong> trois fois plus rapi<strong>de</strong> que le SATA<br />

III à 600 Mo/s).<br />

Contrairement aux disques SATA, M2 permet une variété <strong>de</strong> dimensions, <strong>de</strong> connecteurs et<br />

même d'interfaces logiques.<br />

Puisque M2 est composé <strong>de</strong> trois niveaux (SATA, PCI-E X 2 ET X 4 PCI-E), il y a aussi plusieurs<br />

niveaux <strong>de</strong> performances possibles.<br />

M.2 Connection flux maximum<br />

théorique<br />

flux maximum réel<br />

SATA III 6.0 Gb/s (750 MB/s) 4.8 Gb/s (600 MB/s)<br />

PCI-E 2.0 x2 8 Gb/s (1 GB/s) 6.4 Gb/s (800 MB/s)<br />

PCI-E 2.0 x4 16 Gb/s (2 GB/s) 12.8 Gb/s (1.6 GB/s)<br />

PCI-E 3.0 x4 32 Gb/s (4 GB/s) 25.6 Gb/s (3.2 GB/s)<br />

M2 étant essentiellement une interface PCI-E, M2 peut théoriquement être utilisé à <strong>de</strong>s fins<br />

diverses y compris WiFi, Bluetooth et GPS.<br />

(6) SCSI<br />

Les périphériques SCSI sont équipés d'électronique sophistiquée : (voir page 44)<br />

Le processeur étant déchargé, en parti, du travail d'organisation et <strong>de</strong> contrôle <strong>de</strong>s données, il<br />

peut exécuter d'autres travaux pendant que le disque SCSI travaille (on parle alors <strong>de</strong> taux<br />

d'occupation du processeur). La norme SCSI n'est pas comme IDE réservée aux disques durs ; elle<br />

s'applique aussi à d'autres périphériques : cd rom, scanners, imprimantes, DAT... Cette norme a<br />

elle aussi évolué. La norme SCSI2 a suivi ainsi que SCSI3.<br />

SCSI2 : son taux <strong>de</strong> transfert atteint 10 Mo/s ; elle permet <strong>de</strong> chaîner jusqu'à 7 périphériques et<br />

supporte les disques jusqu'à 8,4 Go.<br />

FAST SCSI2 (15 à 20 Mo/s) et WIDE SCSI2 (jusqu'à 40 Mo/s - 16 bits- connexion sur 64 broches au lieu <strong>de</strong> 50)<br />

sont dérivés <strong>de</strong> ce standard et intermédiaire avec la norme SCSI3.<br />

SCSI-3 intègre <strong>de</strong> nouvelles comman<strong>de</strong>s, et permet le chaînage <strong>de</strong> 32 périphériques ainsi qu'un<br />

débit maximal <strong>de</strong> 640 Mo/s (en mo<strong>de</strong> Ultra-640).<br />

Il est préférable <strong>de</strong> choisir <strong>de</strong>s cartes <strong>de</strong> ce type pouvant être connectées à un bus local (PCI).<br />

SATA Express prend en charge les périphériques <strong>de</strong> stockage PCI Express et SATA en utilisant<br />

plusieurs accès PCI Express et <strong>de</strong>ux SATA 3.0 (6 GB/s) ports à travers le connecteur SATA<br />

Express.<br />

Aucun paramétrage physique ou logique n'est nécessaire avec une carte ou <strong>de</strong>s périphériques<br />

SCSI. Il suffit d'indiquer un numéro propre à chaque périphérique au dos <strong>de</strong> chaque<br />

périphérique et <strong>de</strong> mettre un "bouchon" en fin <strong>de</strong> chaîne


II - LE MATÉRIEL (HARDWARE) 45<br />

Interface<br />

Vitesse Bus<br />

(Mo/s)<br />

Fréquence <strong>de</strong> bus<br />

(MHz)<br />

Taille Bus<br />

(bits)<br />

SCSI-1 SCSI 5 5 8<br />

SCSI-2 Wi<strong>de</strong> SCSI 10 5 16<br />

Fast SCSI 10 10 8<br />

Fast Wi<strong>de</strong> SCSI 20 10 16<br />

SCSI-3 Ultra SCSI 20 20 8<br />

Ultra Wi<strong>de</strong> SCSI 40 20 16<br />

Ultra2 SCSI 40 40 8<br />

Ultra2 Wi<strong>de</strong> SCSI 80 40 16<br />

Ultra3 SCSI 80 80 8<br />

Ultra-160 SCSI (U3<br />

Wi<strong>de</strong> SCSI)<br />

160 80 16<br />

Ultra-320 SCSI 320 160 (80 MHz DDR) 16<br />

Ultra-640 SCSI 640 320 (80 MHz QDR) 16<br />

SOURCE : WIKIPÉDIA<br />

2. LES PÉRIPHÉRIQUES DE STOCKAGE<br />

a) LECTEUR DE DISQUETTES<br />

Il a disparu.<br />

b) LE ZIP<br />

Là encore une technologie disparue. Le ZIP était une disquette fabriquée par le constructeur<br />

IOMEGA dont la taille pouvait être <strong>de</strong> 100 Mo (ZIP) ou <strong>de</strong> 1Go (JAZZ) ; moins fragile qu'un disque<br />

dur, il permettait <strong>de</strong>s temps d'accès suffisants. Il est remplacé par les mémoires Flash.<br />

c) CLÉ USB<br />

Elle est petite, rapi<strong>de</strong> et peut stocker <strong>de</strong> 1 Go à 256 Go <strong>de</strong> données sur une mémoire Flash (voir<br />

mémoires page 38). Elle est simple à utiliser. Sa technologie <strong>de</strong> reconnaissance est basée sur le<br />

port USB2 ou USB3.<br />

Des Informations, lisibles par le système d'exploitation sont stockées dans une mémoire morte<br />

et lui permettent d'être reconnue aussitôt.


d) CARTES SD / XD…<br />

Elles sont encore plus petites et sont réservées à <strong>de</strong>s usages spécifiques (lecteur mp3, appareil<br />

photo, téléphone…) qui autorisent un échange avec l'ordinateur. Celui-ci doit être équipé d'un<br />

lecteur <strong>de</strong> cartes spécial. il existe une dizaine <strong>de</strong> formats <strong>de</strong> cartes mais les déclinaisons du<br />

format SD sont majoritaires, à savoir MICRO SD plutôt pour les téléphones portables, cameras,<br />

appareils photos et SD plutôt pour les <strong>ordinateurs</strong> tablettes et autres…<br />

Carte<br />

Dimensions<br />

(mm)<br />

Taux<br />

transfert<br />

Format Broches Taille max.<br />

théorique<br />

Compact Flash type I 43 x 36 x 3,3 20 Mo/s nd 50 137 Go<br />

Compact Flash type II 43 x 36 x 5 20 Mo/s nd 50 137 Go<br />

SmartMedia 37 x 45 x 0,8 2 Mo/s nd 22 128 Mo<br />

MMC 24 x 32 x 1,4 20 Mo/s nd 7 128 Go<br />

MMC Plus 24 x 32 x 1,4 52 Mo/s nd 7 128 Go<br />

RS-MMC MMC Mobile 24 x 16 x 1,4 8 Mo/s nd 13 128 Go<br />

MMC Micro 14 x 12 x 1,1 20 Mo/s nd 13 128 Go<br />

Memory Stick Standard 21,5 x 50 x 2,8 2 Mo/s nd 10 128 Mo<br />

Memory Stick Duo, Pro 20 x 31 x 1,6 20 Mo/s nd 10 32 Go<br />

Memory Stick Pro-HG 20 x 31 x 1,6 60 Mo/s nd 10 32 Go<br />

Memory Stick Micro M2 12,5 x 15 x 1,2 20 Mo/s nd 10 32 Go<br />

xD 25 x 20 x 1,8 9 Mo/s nd 18 8 Go<br />

SD 24 x 32 x 2,1 20 Mo/s FAT16 9 32 Go<br />

MiniSD 20 x 21,5 x 1,4 12 Mo/s FAT16 11 32 Go<br />

<strong>micro</strong> SD 15 x 11 x 1 10 Mo/s FAT16 8 32 Go<br />

SD (SDHC : haute capacité) 24 x 32 x 2,1 20 Mo/s FAT32 9 32 Go<br />

SDXC 15 x 11 x 1 250 Mo/s EXFAT 8 2 To<br />

<strong>micro</strong>SDXC 15 x 11 x 1 250 Mo/s EXFAT 8 2 To<br />

SDUC (en prévision) EXFAT 128To<br />

Les classes <strong>de</strong> vitesse associées sont :<br />

ClasseSD<br />

Vitesse<br />

minimale<br />

Classe UHS<br />

Vitesse<br />

Minimale<br />

classe V<br />

Vitesse<br />

minimale<br />

2 2Mo/s 1 10Mo/s V10 10Mo/s<br />

4 4Mo/s 3 30Mo/s V30 30Mo/s<br />

6 6Mo/s V60 60Mo/s<br />

8 8Mo/s V90 90Mo/s<br />

10/u1 10Mo/s<br />

SOURCE : WIKIPÉDIA


II - LE MATÉRIEL (HARDWARE) 47<br />

Pour une utilisation vidéo<br />

SOURCE : SD ASSOCIATION<br />

e) LES CD / DVR / BLUE RAY<br />

(1) LE CD ROM<br />

Le CD peut stocker jusqu'à 800 Mo <strong>de</strong> données (le DVD jusqu'à 4,7 Go, les DVD double couche jusqu'à 8,5<br />

Go);(Cdrom : Compact Disc Read-Only Memory)<br />

COMPATIBILITÉ<br />

Lecteurs<br />

D i s q u e s<br />

CD-<br />

ROM<br />

CD-<br />

R<br />

CD-<br />

RW<br />

DVD-<br />

ROM<br />

DVD-<br />

R<br />

DVD-<br />

RAM<br />

DVD-<br />

RW<br />

CD-ROM Oui Oui Oui Non Non Non Non Non<br />

CD-RW Oui Oui Oui Non Non Non Non Non<br />

DVD-ROM Oui Oui Oui Oui Oui* Oui* Non Non<br />

DVD-R Oui Oui Oui Oui Oui Non Non Non<br />

DVD-RAM Oui* Oui* Oui* Oui* Oui* Oui Non Non<br />

DVD-RW Oui Oui Oui Oui Oui Non Oui Oui<br />

DVD+RW Oui Oui Oui Oui Oui Non Oui Oui<br />

DVD+RW


CARACTÉRISTIQUES<br />

INTERNE/EXTERNE : un lecteur interne est mieux intégré à l'ordinateur<br />

MÉCANIQUE : Le lecteur à tiroir ou lecteur à caddie (plus fragile).<br />

VITESSE : maintenant, jusqu'à 52X.<br />

TAUX DE TRANSFERT : Il détermine le la quantité d'information transmise par le lecteur <strong>de</strong> cd<br />

rom au <strong>pc</strong>, par secon<strong>de</strong>, les lecteurs x32 ont un taux <strong>de</strong> 32 fois 150 ko/s, (soit 4,8 Go/s)<br />

TEMPS MOYEN D'ACCÈS : C'est le temps que met la tête <strong>de</strong> lecture (le faisceau laser) pour<br />

trouver une information ; il est en moyenne <strong>de</strong> 120 ms.<br />

CONTRÔLEUR : il peut être SATA, SCSI ou IDE .<br />

COMPATIBILITÉ : le lecteur doit être compatible XA multisessions ; il peut alors lire les<br />

fichiers son, les fichiers image, les fichiers vidéo ainsi que les cd photos.<br />

NORMES : la norme MPC garantit que le lecteur fonctionne dans une chaîne multimédia.<br />

Une cellule photoélectrique permet <strong>de</strong> capter le rayon réfléchi, grâce à un miroir semiréfléchissant.<br />

Au passage sur le CD le rayon laser se réfléchit sur les différentes alvéoles avec<br />

<strong>de</strong>s variations du signal qui grâce à la cellule photoélectrique permettent sa traduction en<br />

système binaire<br />

FONCTIONNEMENT<br />

Le disque <strong>de</strong> 12 cm <strong>de</strong> diamètre et d'une épaisseur <strong>de</strong> 1,2 mm enregistre les informations sous<br />

forme <strong>de</strong> <strong>micro</strong>cuvettes réparties en spirale tout au long <strong>de</strong> sa surface ; chaque alvéole ne<br />

mesure pas plus <strong>de</strong> 0,12 <strong>micro</strong>ns <strong>de</strong> profon<strong>de</strong>ur et 0,6 <strong>micro</strong>n <strong>de</strong> largeur.<br />

L'information générée est par défaut <strong>de</strong> 0 ; elle ne passe à un que lorsque le faisceau laser<br />

rencontre un pic. Un faisceau laser est envoyé vers le disque ; celui-ci est réfléchi et dévié par<br />

un prisme vers le photodétecteur qui le déco<strong>de</strong>. Le changement d'intensité lumineuse du au<br />

passage sur un pic porte la valeur <strong>de</strong> l'information à un ; cette <strong>de</strong>rnière restant à 0 tout pendant<br />

que l'intensité lumineuse est constante. La tête <strong>de</strong> lecture doit survoler les alvéoles à vitesse<br />

constante et la vitesse <strong>de</strong> rotation doit rester linéairement constante : pour maintenir un débit<br />

constant, le système <strong>de</strong> rotation du lecteur, puisque c'est le disque qui tourne, doit modifier sa<br />

vitesse angulaire, celle-ci passant <strong>de</strong> 535 par minutes prés du centre à 200 tours par minute<br />

prés <strong>de</strong> la périphérie.


II - LE MATÉRIEL (HARDWARE) 49<br />

(2) LE DVD<br />

Le DVD permet <strong>de</strong> stocker <strong>de</strong> 4,7 Go (simple face / simple couche) jusqu'à 17 Go (double face./ double<br />

couche). Il est utilisé pour stocker les films vidéo. Les nouveaux DVD peuvent stocker 60 Go avec<br />

le DVD-HD ou le BLU-RAY (double couche double face) et bientôt plus <strong>de</strong> 200 Go (double face en<br />

quadruple ou sextuple couche)<br />

TYPES<br />

DVD 5 couche unique, face unique : environ 4,7 GB<br />

DVD DL couche double, face unique : environ 8,54 GB<br />

DVD couche unique, double face : environ 8,54 GB<br />

DVD couche double, double face (peu fréquent) : environ 17,08 GB<br />

MiniDVD : couche unique, face unique : environ 1,4 GB<br />

MiniDVD : couche unique, double face : environ 2,66 GB<br />

MiniDVD : double couche, face unique : environ 2,66 GB<br />

MiniDVD : double couche, double face : environ 5,2 GB<br />

CARACTÉRISTIQUES<br />

Le taux <strong>de</strong> transfert théorique d'un DVD ROM 5X est <strong>de</strong> 6250 ko/s mais dans les faits, il est<br />

beaucoup moins élevé car cette vitesse n'est atteinte que sur les pistes intérieures. Le temps<br />

d'accès est très proche d'un lecteur <strong>de</strong> CDROM classique. Les vitesses atteintes sont proches<br />

d'un lecteur CD X24/32 classique. Les lecteurs <strong>de</strong> DVD <strong>de</strong> <strong>de</strong>uxième génération permettent <strong>de</strong><br />

lire les CD (système à double focalisation).<br />

FONCTIONNEMENT<br />

Les DVD existent en version "double couche" et sont constitués d'une couche transparente à<br />

base d'or et d'une couche réflexive à base d'argent. La lecture <strong>de</strong>s <strong>de</strong>ux zones est possible<br />

grâce à <strong>de</strong>s intensités variables du laser : avec une intensité faible le rayon se réfléchit sur la<br />

surface dorée - lorsqu'on augmente cette intensité le rayon traverse la première couche et se<br />

réfléchit sur la surface argentée


DVD HD<br />

Le HD DVD est le produit <strong>de</strong> la recherche menée par un groupement <strong>de</strong> constructeur à la tête<br />

<strong>de</strong>squels se trouve Toshiba. Il partage la même structure <strong>de</strong> base que le DVD avec son collage<br />

recto-verso <strong>de</strong> <strong>de</strong>ux substrats <strong>de</strong> 120 mm <strong>de</strong> diamètre et <strong>de</strong> 0,6 mm d'épaisseur chacun. A<br />

l'instar <strong>de</strong> la technologie DVD, le HD DVD enregistre <strong>de</strong>s informations comme une série <strong>de</strong> trous<br />

<strong>micro</strong>scopiques disposés dans une longue spirale sur le disque. Les données sont écrites sur<br />

une couche à 0,6 mm <strong>de</strong> la surface. Cela signifie que les disques HD DVD peuvent être créés<br />

avec les mêmes métho<strong>de</strong>s <strong>de</strong> fabrication que celles utilisées actuellement pour la technologie<br />

DVD. Le HD DVD est donc compatible avec le DVD, le lecteur HD DVD peut également lire les DVD.<br />

Contrairement au DVD qui se base sur la technologie laser rouge, le HD DVD utilise la technologie<br />

laser bleu pour augmenter la capacité <strong>de</strong> stockage. Avec une longueur d'on<strong>de</strong>s moins élevée <strong>de</strong><br />

405 nanomètres (par rapport à 650 nanomètres pour le dvd), la technologie laser bleu permet <strong>de</strong><br />

stocker plus <strong>de</strong> données sur un disque HD DVD. Les longueurs d'on<strong>de</strong>s moins élevées sont<br />

essentielles car elles subissent moins <strong>de</strong> diffraction, ce qui permet une concentration plus étroite<br />

sur la surface <strong>de</strong> lecture/écriture. La technologie du laser bleu permet d'écrire et <strong>de</strong> stocker un<br />

plus grand nombre <strong>de</strong> données sur un disque du même diamètre que le DVD standard actuel. En<br />

concurrence avec la prépondérance du BLU-RAY, le HD DVD s'est trouvé relégué à un rôle<br />

d'accessoire intégré.<br />

(3) BLU-RAY<br />

Le BLU-RAY est le produit <strong>de</strong> la recherche menée par un groupement <strong>de</strong> constructeur à la tête<br />

<strong>de</strong>squels se trouve Sony. Il a pris le pas sur le HD-DVD mais n'a néanmoins pas reçu le succès<br />

escompté du fait <strong>de</strong> son prix élevé.<br />

Ayant été le support <strong>de</strong> choix <strong>de</strong> contenus audios et vidéos, le besoin <strong>de</strong> support physique<br />

est en pleine décroissante avec l'avènement du streaming. Aucun remplaçant n'est<br />

actuellement en <strong>cours</strong> <strong>de</strong> développement.<br />

Par rapport au DVD, il possè<strong>de</strong> les caractéristiques suivantes :


II - LE MATÉRIEL (HARDWARE) 51<br />

Un rayon plus étroit<br />

Une lentille qui capte plus <strong>de</strong> lumière<br />

Des pits <strong>de</strong>ux fois moins longs<br />

Des données mieux protégées<br />

Le diamètre du rayon lumineux qui éclaire les PITS<br />

lors <strong>de</strong> l'écriture et <strong>de</strong> la lecture doit être adapté à<br />

leur largeur (afin <strong>de</strong> ne pas « débor<strong>de</strong>r » sur les parties<br />

mitoyennes du sillon). Ce diamètre est lié à la couleur<br />

du laser ou, plus exactement, à sa longueur d'on<strong>de</strong>.<br />

La longueur d'on<strong>de</strong> est comprise, pour la lumière<br />

visible, entre 0,380 <strong>micro</strong>mètre pour le violet, et<br />

0,780 <strong>micro</strong>mètre pour le rouge. Alors que la<br />

technologie DVD utilise un laser rouge, d'une<br />

longueur d'on<strong>de</strong> <strong>de</strong> 0,650 <strong>micro</strong>mètre, celle du BLU-<br />

RAY emploie un laser bleu-violet, plus fin que le laser<br />

rouge, d'une longueur d'on<strong>de</strong> <strong>de</strong> 0,405 <strong>micro</strong>mètre<br />

Le système optique d'un lecteur BLU-RAY, doit capter<br />

la lumière renvoyée par la couche réfléchissante.<br />

Cette lumière forme un cône dont le sommet<br />

correspond au point d'impact du faisceau laser et<br />

dont la base est délimitée par la circonférence <strong>de</strong> la<br />

lentille du système optique. Comme les PITS d'un<br />

disque BLU-RAY sont plus petits et plus rapprochés<br />

que sur un DVD, ils renvoient aussi moins <strong>de</strong><br />

lumière : « l'œil » du lecteur BLU-RAY doit donc être<br />

plus sensible que celui <strong>de</strong>s DVD. La solution<br />

adoptée : augmenter la sensibilité <strong>de</strong>s lecteurs BLU-<br />

RAY en utilisant une lentille plus large, capable <strong>de</strong><br />

recevoir plus <strong>de</strong> lumière<br />

Un disque BLU-RAY peut contenir beaucoup plus <strong>de</strong><br />

données qu'un DVD. Comme sur les DVD, les 0 et<br />

les 1 correspon<strong>de</strong>nt à <strong>de</strong>s suites <strong>de</strong> minuscules<br />

trous, appelés PITS. Alors que leur longueur atteint<br />

0,40 <strong>micro</strong>mètre (millionième <strong>de</strong> mètre) sur un DVD,<br />

ils ne mesurent que 0,138 <strong>micro</strong>mètre <strong>de</strong> long, soit<br />

2,6 fois moins, sur un disque BLU-RAY ! Ces PITS sont<br />

disposés sur un sillon (on parle aussi <strong>de</strong> « piste ») qui<br />

se déroule <strong>de</strong> l'intérieur vers l'extérieur, dans le sens<br />

<strong>de</strong>s aiguilles d'une montre. Sur un DVD, la largeur<br />

du sillon est <strong>de</strong> 0,74 <strong>micro</strong>mètre, contre<br />

0,32 <strong>micro</strong>mètre sur un disque BLU-RAY<br />

A l'instar du DVD, un disque BLU-RAY est constitué <strong>de</strong> plusieurs couches, ou layers. La première,<br />

composée <strong>de</strong> plastique (un substrat <strong>de</strong> polycarbonate), assure la rigidité du disque (son épaisseur est<br />

<strong>de</strong> 1,1 mm). La couche métallique réfléchissante, placée entre le plastique et la couche <strong>de</strong><br />

données, est chargée <strong>de</strong> renvoyer, vers le bloc optique, la lumière qui transperce la couche <strong>de</strong><br />

données. Enfin, toutes ces strates sont recouvertes d'une couche <strong>de</strong> polycarbonate transparent.<br />

Cette couche est bien plus fine sur un disque BLU-RAY (0,1 mm) que sur un DVD (0,6 mm). Les<br />

données sont ainsi plus proches du rayon laser. C'est pour cela qu'un vernis très résistant,<br />

conçu spécifiquement pour les disques BLU-RAY, protège l'ensemble.


f) LE DISQUE DUR<br />

Les disques durs sont caractérisés par quatre critères :<br />

LEUR TAILLE : ils ont une taille <strong>de</strong> 3p ½ ou 5p ¼ pour les <strong>ordinateurs</strong> <strong>de</strong> bureau, 2,5 "pour<br />

les portables et 1.8" pour les machines plus petites.<br />

LEUR CAPACITÉ : une capacité <strong>de</strong> plusieurs To (6-8To…) est maintenant chose courante ;<br />

Le traitement multimédia (surtout les vidéos...) exige <strong>de</strong> gros disques durs ; le stockage sur le<br />

cloud ne rend plus leur présence indispensable<br />

LE TEMPS D'ACCÈS : il est défini en ms (milli secon<strong>de</strong>s) ; il est proportionnel à la capacité du<br />

disque et compris entre 9 et 15 ms ; plus il est bas, plus l'accès aux données est rapi<strong>de</strong>.<br />

Une mémoire cache intégrée <strong>de</strong> 8 à 64 Mo accélère l'accès aux données.<br />

LE TAUX DE TRANSFERT : il mesure, en méga octets par secon<strong>de</strong> (Mo/s) la quantité<br />

d'information que le disque dur est capable <strong>de</strong> transmettre. Elle dépend du type <strong>de</strong><br />

contrôleur et <strong>de</strong> bus.<br />

Il y a <strong>de</strong> plus en plus sur le marché <strong>de</strong> disques durs IDE <strong>de</strong> 7200 trs/min et certains disques SCSI<br />

tournent à 10000 trs/min. cependant, la vitesse <strong>de</strong> rotation n'est pas tout.


II - LE MATÉRIEL (HARDWARE) 53<br />

(1) VITESSE LINÉAIRE ET VITESSE ANGULAIRE<br />

Quand on dit qu'un disque tourne à 5400 trs/min on parle <strong>de</strong> vitesse angulaire (1 tour = 1 angle <strong>de</strong><br />

360 °) et cette vitesse est constante. Par contre la vitesse linéaire varie en permanence et est<br />

fonction <strong>de</strong> la position <strong>de</strong>s têtes du disque par rapport à son axe <strong>de</strong> rotation (son centre). Plus les<br />

têtes s'éloignent du centre, plus la vitesse linéaire augmente. Or, plus la vitesse linéaire est<br />

gran<strong>de</strong>, plus le débit est important.<br />

(une donnée située au bord du disque va être lue plus vite qu'une donnée située près du centre).<br />

(2) DENSITÉ D'INFORMATIONS<br />

La <strong>de</strong>nsité est la quantité d'informations stockée sur une surface donnée. (ex: 10 Ko/mm²). Elle<br />

n'influence que le débit du disque et en est la principale caractéristique.<br />

(3) TEMPS D'ACCÈS<br />

C'est le temps moyen que mettent les têtes <strong>de</strong> lectures pour se déplacer sur les plateaux <strong>de</strong><br />

votre disque dur. En 1992, le temps d'accès moyen était <strong>de</strong> 14 ms contre 9 à 10 ms <strong>de</strong>puis<br />

1999. La différence n'est pas énorme ! Cette faible évolution est un problème d'inertie. L'inertie<br />

est l'énergie dépensée pour arrêter un objet en mouvement : (E = (MV²)/2 soit Énergie = [Masse *<br />

(Vitesse)²] /2)<br />

Le terme qui a le plus d'influence est la vitesse (car elle est au carré). En augmentant légèrement la<br />

vitesse, l'inertie fait <strong>de</strong>s bonds, rendant la maitrise <strong>de</strong> la mécanique du disque rapi<strong>de</strong>ment<br />

incontrôlable. Une <strong>de</strong>s possibilités d'évolution <strong>de</strong>s disques durs, pour améliorer les temps<br />

d'accès, est <strong>de</strong> les fabriquer plus petits, (2"1/2). Les bras <strong>de</strong> tête seront plus petits, donc moins<br />

lourd. Mais surtout la distance moyenne à parcourir pour les têtes, sera plus faible.<br />

(4) TEMPS DE LATENCE<br />

Son calcul est simple et ne dépend que <strong>de</strong> la vitesse <strong>de</strong> rotation. Il est égal à :<br />

(60 / VITESSE DE ROTATION DU DISQUE) / 2<br />

Plus le disque a une vitesse élevée plus le temps <strong>de</strong> latence est court.<br />

Plus il y a <strong>de</strong> plateaux, plus le débit est rapi<strong>de</strong> (plus d''informations sont stockées au bord du<br />

plateau).<br />

Les disques <strong>de</strong> plus forte capacité présentent <strong>de</strong>s caractéristiques plus intéressantes que les<br />

disques durs plus petits car ces <strong>de</strong>rniers ne disposent que d'1 ou 2 plateaux.<br />

Un disque doit lire un fichier situé sur les pistes 37 et 38 mais celle-ci n'est pas entièrement utilisée.<br />

Il lit la piste 37, puis passe à la piste 38 mais la bonne donnée est peut-être un petit peu plus loin sur<br />

la piste. Le disque doit donc attendre ¼ tour, ½ tour, etc... pour que la tête <strong>de</strong> lecture soit au-<strong>de</strong>ssus<br />

<strong>de</strong> la bonne donnée. Évi<strong>de</strong>mment pendant ce temps le disque ne fait rien. C'est le temps <strong>de</strong> latence<br />

(5) ENREGISTREMENT PERPENDICULAIRE<br />

Cette technique (française) est censée offrir une <strong>de</strong>nsité plus <strong>de</strong> 3 fois supérieure à un<br />

enregistrement classique (longitudinal), sur le même support. Les disques durs approchent<br />

rapi<strong>de</strong>ment <strong>de</strong>s limites <strong>de</strong>s possibilités <strong>de</strong> l'enregistrement longitudinal, estimées entre 100 et<br />

200 gigabits par pouce carré. On prévoit une capacité <strong>de</strong> 1 Térabit par pouce carré pour<br />

l'enregistrement perpendiculaire.


Dans l'enregistrement traditionnel (longitudinal), les particules magnétiques sont polarisées<br />

horizontalement (les axes nord/sud sont parallèles à la surface du disque). La réduction <strong>de</strong> la taille<br />

<strong>de</strong>s particules pour augmenter la <strong>de</strong>nsité d'enregistrement peut engendrer une instabilité<br />

<strong>de</strong> la polarisation.<br />

L'enregistrement perpendiculaire positionne les axes nord/sud <strong>de</strong>s particules magnétiques<br />

perpendiculairement à la surface du disque, ce qui permet <strong>de</strong> gagner <strong>de</strong> la place et<br />

d'augmenter ainsi la <strong>de</strong>nsité. Une couche <strong>de</strong> transport placée sous la couche<br />

d'enregistrement est nécessaire pour propager le champ magnétique lors <strong>de</strong> l'écriture.<br />

g) LES DISQUES SSD<br />

SOURCE : WWW.01NET.COM<br />

Le Solid State Drive (SSD) est une unité <strong>de</strong> stockage constituée <strong>de</strong> mémoire flash.<br />

(1) TYPES<br />

Le disque SLC (Single Level Cell) stocke les données dans une cellule unique composée <strong>de</strong><br />

transistors, un seul bit est stocké par cellule<br />

Le disque type MLC (Multi Level Cell) peut stocker <strong>de</strong>ux bits par cellule<br />

Le disque type TLC (Triple Level Cell) peut stocker trois bits par cellule<br />

le SLC affiche une durée <strong>de</strong> vie <strong>de</strong>s cellules supérieure au MLC qui affiche une durée <strong>de</strong> vie<br />

supérieure au TLC<br />

(2) TAILLE ET CONNEXIONS<br />

Plusieurs options sont possibles.<br />

2,5" : Format standard, Ils se connectent en SATA et permettent <strong>de</strong>s taux <strong>de</strong> transfert <strong>de</strong><br />

600 Mo/s.<br />

M2 SATA : Destinés aux PC portables et ultrabooks, Ils sont très légers et ont un taux <strong>de</strong><br />

transfert <strong>de</strong> 550 Mo/s en lecture et 520 Mo/s en écriture.<br />

M2 NVMe : Compatibles avec le protocole NVMe, ils ont un taux <strong>de</strong> transfert <strong>de</strong> 7 Go/s.<br />

U2 : Moins connu, leur taux <strong>de</strong> transfert atteint 4 Go/s.


II - LE MATÉRIEL (HARDWARE) 55<br />

(3) AVANTAGES / DÉFAUTS<br />

AVANTAGES<br />

pas d'usure mécanique : pas <strong>de</strong> plateau tournant ni <strong>de</strong> bras <strong>de</strong> lecture mobile<br />

meilleure résistance aux chocs puisqu’aucune partie mobile n'est présente<br />

silence <strong>de</strong> fonctionnement (sifflement lors <strong>de</strong> forte activité)<br />

temps d’accès inférieurs à 0,5 ms (disque dur environ 13 ms) ;<br />

faible consommation électrique : environ 0,1 Watt en veille, environ 0,9 en activité (plusieurs<br />

watts pour les disques durs)<br />

fragmentation <strong>de</strong>s fichiers sans conséquence (réduit les performances <strong>de</strong>s disques durs).<br />

capacité <strong>de</strong>venue suffisante pour assurer les besoins d'un PC : les fabricants proposent<br />

<strong>de</strong>s unités <strong>de</strong> stockage SSD d'une capacité très élevée jusqu'à 1 To (mais à un prix qui reste<br />

exorbitant)<br />

DÉFAUTS<br />

Nombre <strong>de</strong> cycles d’écriture limité<br />

Prix supérieur à celui d’un disque dur.<br />

la mémoire NAND 3D empile jusqu'à 48 couches <strong>de</strong> cellules, ce qui permet d'envisager <strong>de</strong><br />

créer <strong>de</strong>s disques SSD compacts possédant <strong>de</strong>s capacités <strong>de</strong> stockage jusqu'à 3,5 To et <strong>de</strong>s<br />

disques SSD 2,5 pouces atteignant <strong>de</strong>s capacités <strong>de</strong> plus <strong>de</strong> 10 To.<br />

(4) SSD ET HDD<br />

Les <strong>de</strong>ux sont tout à fait compatibles. Le système et les applications trouvent leur place sur le<br />

SSD pour être exécutés rapi<strong>de</strong>ment, les données plus volumineuses sur le HDD qui n'aura besoin<br />

d'être accédé que lors <strong>de</strong> l'ouverture ou <strong>de</strong> l'enregistrement.<br />

Les disques durs hybri<strong>de</strong>s permettent d'accé<strong>de</strong>r au meilleur <strong>de</strong>s 2 technologies dans un seul<br />

périphérique.<br />

SOURCE : HTTP://WWW.ERENUMERIQUE.FR/


La carte graphique a un rôle d'intermédiaire auprès <strong>de</strong> l'écran. Les composants <strong>de</strong> la carte<br />

graphique peuvent être intégrés sur la carte mère ou peut être emboîtée dans un emplacement<br />

spécifique. Dans les <strong>de</strong>ux cas, la carte va communiquer avec le processeur par un bus.<br />

La carte graphique est l'un <strong>de</strong>s rares périphériques reconnus par le PC dès l'initialisation <strong>de</strong> la<br />

machine. Elle permet <strong>de</strong> convertir <strong>de</strong>s données numériques brutes en données pouvant être<br />

affichées sur un périphérique <strong>de</strong>stiné à cet usage (écran, vidéo projecteur, etc...). Son rôle ne se<br />

limite cependant pas à ça puisqu'elle décharge <strong>de</strong> plus en plus le processeur central <strong>de</strong>s calculs<br />

complexes 3D et ce au moyen <strong>de</strong> diverses techniques que nous allons voir plus bas.<br />

Depuis le début <strong>de</strong> la <strong>micro</strong>-informatique telle qu´on la connaît aujourd´hui, la carte graphique<br />

a changé <strong>de</strong> bus à <strong>de</strong> nombreuses reprises. De l´ISA on est passé au VLB, puis au PCI, pour<br />

arriver au bus AGP puis revenir au PCI mais Express. La transition PCI/AGP a commencé en<br />

1997, date à laquelle les premiers chipsets supportant l´AGP sont sortis. La transition entre<br />

AGP et PCI s´est faite assez rapi<strong>de</strong>ment, du fait <strong>de</strong>s nombreux avantages <strong>de</strong> ce bus dédié à la<br />

carte graphique. D´une part, l´AGP permettait <strong>de</strong> libérer <strong>de</strong> la ban<strong>de</strong> passante sur le bus PCI,<br />

et d´autre part, il permettait à la carte graphique d´aller plus vite grâce à une ban<strong>de</strong> passante<br />

plus importante (533 Mo /s en AGP 2x contre 133 Mo /s pour le PCI). Pour finir, le bus AGP<br />

disposait d´une fonction appelée AGP Texturing qui permettait à la carte graphique d´accé<strong>de</strong>r<br />

directement à la mémoire vive afin d´y stocker <strong>de</strong>s données<br />

1. FONCTIONNEMENT<br />

Lorsqu'un ordre d'affichage arrive au processeur, il transmet les données à la carte graphique,<br />

via le bus ; à partir <strong>de</strong> ce moment, le processeur graphique (<strong>de</strong> la carte) prend le relais : il traite les<br />

données puis envoie le résultat, l'image, vers la mémoire vidéo. Le RAMDAC (convertisseur<br />

numérique / analogique) convertit le contenu <strong>de</strong> la mémoire vidéo en un signal analogique, transmis<br />

à l'écran via le connecteur VGA <strong>de</strong> la carte.<br />

2. CARACTÉRISTIQUES DES CARTES<br />

Une carte graphique est composée <strong>de</strong> quatre éléments principaux :<br />

a) LE GPU (GRAPHICAL PROCESSING UNIT)<br />

C'est le processeur central <strong>de</strong> la carte graphique. Son<br />

principal intérêt est <strong>de</strong> soulager le processeur central,<br />

d'augmenter la qualité <strong>de</strong>s images tout en faisant chuter le<br />

moins possible les performances<br />

Le gpu gère les vertex, c’est-à-dire les points entre lesquels sont tracées les arêtes d’un<br />

objet (les vertex sont les sommets <strong>de</strong>s objets en trois dimensions). Le processeur construit<br />

les objets multidimensionnels. Si les objets sont en <strong>de</strong>ux dimensions, ou qu’il s’agit <strong>de</strong><br />

vidéos, les données sont directement envoyées à la fenêtre d’affichage.<br />

Le processeur graphique applique ensuite aux faces <strong>de</strong>s objets les textures puisées sur le<br />

disque dur grâce au Pixel Pipeline. Le moteur graphique envoie ensuite au processeur <strong>de</strong>s<br />

données sur l’éclairage <strong>de</strong>s polygones, que celui-ci se charge <strong>de</strong> mettre en œuvre pour<br />

éclairer la scène. Ensuite, la puce graphique applique à l’image les divers filtres<br />

(anticrénelage ou filtrage anisotrope), et envoie le résultat à la fenêtre d’affichage, qui<br />

"aplatit" l’image pour l’afficher à l’écran


II - LE MATÉRIEL (HARDWARE) 57<br />

b) LE RAMDAC<br />

Le RAMDAC (RANDOM ACCESS MEMORY DIGITAL ANALOG CONVERTER) est <strong>de</strong>stiné à convertir les données<br />

numériques en données analogiques compréhensibles par les écrans cathodiques. La<br />

fréquence définit le nombre maximal d'images par secon<strong>de</strong> que la carte peut afficher (on parle <strong>de</strong><br />

fréquence <strong>de</strong> rafraîchissement mesurée en hertz).<br />

Le RAMDAC n'est utilisé que pour les prises VGA et S-VIDÉO nécessitant un signal analogique.<br />

Dans ce cas, le RAMDAC doit faire la conversion. Dans le cas d'une connectique DVI, le RAMDAC<br />

n'est pas utilisé car la conversion n'est pas nécessaire, (ce sont <strong>de</strong>s signaux numériques qui sont<br />

envoyés directement au moniteur).<br />

c) LA MÉMOIRE VIDÉO<br />

Elle est un élément essentiel <strong>de</strong> la carte graphique et est utilisée pour stocker les textures<br />

(généralement sous formes d'images).<br />

TYPES:<br />

La mémoire GDDR 2 (DDR pour DOUBLE DATA RATE), exploite les fronts montants et <strong>de</strong>scendants<br />

<strong>de</strong> la mémoire.<br />

La mémoire GDDR 3 est presque i<strong>de</strong>ntique à la GDDR 2 ; elle gagne en fréquence et sa<br />

tension d'alimentation diminue.<br />

La mémoire GDDR4 (Graphics Double Data Rate, version 4) atteint <strong>de</strong>s vitesses supérieures à<br />

1,4 GHz) (2,8 Gbit/s).<br />

La mémoire GDDR5 (Graphics Double Data Rate, version 5) supporte une ban<strong>de</strong> passante <strong>de</strong> 20<br />

Gbit/s sur un bus <strong>de</strong> 32 bits, ce qui autorise <strong>de</strong>s configurations <strong>de</strong> mémoire <strong>de</strong> 1Go à 160<br />

Gbit/s avec seulement 8 circuits sur un bus <strong>de</strong> 256 bits.<br />

d) LES ENTRÉES-SORTIES VIDÉOS<br />

PLUSIEURS TYPES<br />

L'interface VGA standard est composée d'un connecteur VGA 15 broches (Mini Sub-D,<br />

composé <strong>de</strong> 3 séries <strong>de</strong> 5 broches), généralement <strong>de</strong> couleur bleue, permettant notamment la<br />

connexion d'un écran CRT. Les cartes graphiques en sont <strong>de</strong> moins en moins souvent<br />

équipées Ce type d'interface permet d'envoyer à l'écran 3 signaux analogiques<br />

correspondant aux composantes rouges, bleues et vertes <strong>de</strong> l'image.<br />

L'interface DVI (Digital Vi<strong>de</strong>o Interface) permet d'envoyer, aux écrans LCD, <strong>de</strong>s<br />

données numériques. Ceci permet d'éviter les conversions numérique/analogique puis<br />

analogique/numérique inutiles.<br />

L'interface S-Vi<strong>de</strong>o permettant l'affichage sur une télévision ; elle est souvent<br />

appelée prise télé (TV-out).<br />

L’interface HDMI (High-Definition Multimedia Interface) rassemble sur un même<br />

connecteur les signaux vidéo et audio. Ceux-ci sont transmis numériquement et peuvent<br />

être cryptés (protection du contenu contre la copie). Elle permet d’interconnecter une source<br />

audio/vidéo (lecteur DVD ou BLU-RAY, ordinateur, console <strong>de</strong> jeu ou téléviseur HD). Elle supporte aussi<br />

bien la vidéo standard que la haute définition. Elle se base sur l’interface DVI. Il existe<br />

plusieurs versions <strong>de</strong> la norme HDMI (1.0, 1.1, 1.2, 1.3…, 2, 2.0a, 2.1). La version 2.1 permet la<br />

prise en charge du HIGH DYNAMIC RANGE ou HDR et <strong>de</strong>s taux <strong>de</strong> transfert <strong>de</strong> 48 Gbits/s .


3. CONNEXIONS<br />

La plupart <strong>de</strong>s cartes graphiques sont insérées sur <strong>de</strong>s ports PCI Express.<br />

a) AGP<br />

Le port AGP permet <strong>de</strong> partager la mémoire vive du PC quand la mémoire <strong>de</strong> la carte graphique<br />

est saturée. Cependant cette métho<strong>de</strong> d'accès est nettement plus lente que celle <strong>de</strong> l'accès à la<br />

mémoire <strong>de</strong> la carte graphique. On différencie trois normes AGP:<br />

l'AGP 2X (500 Mo par secon<strong>de</strong>)<br />

l'AGP 4X (1 Go par secon<strong>de</strong>)<br />

l'AGP 8X (2 Go par secon<strong>de</strong>)<br />

b) PCI EXPRESS<br />

Le PCI EXPRESS est la norme qui a remplacé l' AGP sur le marché <strong>de</strong>s cartes graphiques. Plus<br />

rapi<strong>de</strong>, existant en <strong>de</strong> nombreux formats, il remplace avantageusement les ports PCI et AGP. Il<br />

existe en différents débits : On différencie les ports en fonction du nombre <strong>de</strong> connecteurs <strong>de</strong><br />

ligne dont ils disposent (voir page 24).<br />

Alors que le PCI utilise un unique bus <strong>de</strong> largeur 32 bit bidirectionnel alterné (half duplex)<br />

pour l’ensemble <strong>de</strong>s périphériques, le PCI EXPRESS utilise une interface série (<strong>de</strong> largeur 1 bit)<br />

à base <strong>de</strong> lignes bidirectionnelles. On pourra ainsi parler d’une carte mère possédant 20<br />

lignes PCI e. Une ligne permet théoriquement <strong>de</strong>s échanges full duplex à 250 Mo/s pour la<br />

version 1.1 du protocole. Les différents périphériques communiquent alors par échange <strong>de</strong><br />

paquets et l’arbitrage du bus PCI est remplacé par un commutateur<br />

Le principe <strong>de</strong> fonctionnement est semblable à <strong>de</strong> la commutation <strong>de</strong> paquets selon un modèle à<br />

quatre couches :<br />

couche logicielle : codage/décodage <strong>de</strong>s paquets <strong>de</strong> données.<br />

couche transaction : rajout/suppression d’un en-tête <strong>de</strong> début et d’un en-tête <strong>de</strong><br />

séquencement ou <strong>de</strong> numérotation du paquet.<br />

couche liaison : rajout/suppression d’un co<strong>de</strong> <strong>de</strong> correction d’erreur (contrôle <strong>de</strong> redondance<br />

cyclique).<br />

couche physique : transmission du paquet (transmission série "point à point").


II - LE MATÉRIEL (HARDWARE) 59<br />

Un port est un connecteur externe alors qu'un bus est ensemble <strong>de</strong> lignes internes véhiculant <strong>de</strong>s<br />

signaux électriques ; les technologies utilisées sont cependant i<strong>de</strong>ntiques.<br />

TYPES :<br />

Port SÉRIE ➔ connexion <strong>de</strong> mo<strong>de</strong>m... (ancien)<br />

Port PARALLÈLE ➔ connexion d'imprimantes... (ancien)<br />

Port SCSI utilisant un bus SCSI (moins courant sur un <strong>pc</strong>) ➔ connexion <strong>de</strong> scanners, DAT...<br />

Port PMCIA réservé aux portables et aux box<br />

Port USB plus récent et plus performant<br />

1. LE PORT SÉRIE<br />

Généralement standardisée selon la norme RS-232 qui repose sur un principe simple : la<br />

transmission <strong>de</strong>s données se fait bit par bit sur un seul fil. Avantage : une gran<strong>de</strong> fiabilité <strong>de</strong><br />

communication. Inconvénient : la lenteur du flux, qui interdit l'échange <strong>de</strong> très gran<strong>de</strong>s quantités<br />

<strong>de</strong> données.<br />

D'autres normes existent, RS-422 (MAC), RS-499, TTY. L'interface série procè<strong>de</strong> à la transmission<br />

<strong>de</strong>s données bit par bit, et non octet par octet. De plus, dans le cas <strong>de</strong> la RS-232, la<br />

communication peut être réalisée en bidirectionnel simultané (FULL DUPLEX), les lignes <strong>de</strong><br />

transmission et <strong>de</strong> réception étant indépendantes. La vitesse <strong>de</strong> transmission doit être i<strong>de</strong>ntique<br />

aux <strong>de</strong>ux extrémités, chez l'émetteur et chez le récepteur; et constante pour permettre la<br />

synchronisation <strong>de</strong> l'émission et <strong>de</strong> la réception. La longueur maximale <strong>de</strong> câble est <strong>de</strong> 15<br />

mètres.<br />

2 MODES DE TRANSMISSION :<br />

*<br />

SYNCHRONE : en métho<strong>de</strong> BINAIRE, les bits sont transmis en synchronisation avec un signal<br />

d'horloge. En métho<strong>de</strong> SYNCHRONISATION PAR CARACTÈRE, 256 octets sont transmis d'un<br />

bloc. Le bloc en question est encadré d'un caractère début <strong>de</strong> données (STX) et d'un<br />

caractère fin <strong>de</strong> données (ETX). Avant et après chaque bloc est également placé un<br />

caractère <strong>de</strong> synchronisation (SYN), détecté par le récepteur.<br />

ASYNCHRONE : la transmission s'effectue 8 bits par 8 bits, la synchronisation s'effectuant<br />

donc à chaque octet rencontré. Les données ne peuvent alors pas être traitées en bloc.<br />

Ce port a été beaucoup utilisé dans l'industrie pour faire communiquer un ordinateur avec une<br />

machine pour recevoir (capteurs) ou envoyer (programmes) <strong>de</strong>s informations ; Le port usb ne l'a<br />

pas encore remplacé partout même s'il a quasiment disparu


2. LE PORT PARALLÈLE<br />

La liaison parallèle était la plus commune pour relier un <strong>micro</strong>-ordinateur et une imprimante : bon<br />

marché, fiable et standardisée (même si les connecteurs sont parfois différents : 15, 25 ou 36 broches). La<br />

gran<strong>de</strong> originalité <strong>de</strong> l'interface parallèle était d'utiliser huit fils indépendants pour acheminer les<br />

données octet par octet, chaque fil correspondant à un bit. Les bits circulent donc en parallèle<br />

par paquets <strong>de</strong> huit. Les autres fils correspon<strong>de</strong>nt à <strong>de</strong>s signaux <strong>de</strong> service permettant <strong>de</strong><br />

synchroniser la communication, d'alerter l'ordinateur en cas <strong>de</strong> problème... L'interface parallèle<br />

autorisait <strong>de</strong>s débits allant jusqu'à 500 Kbits par secon<strong>de</strong>. En contrepartie, elle ne supporte pas<br />

<strong>de</strong> longueur <strong>de</strong> câble trop importante (3 à 4 mètres maxi)<br />

Comment est transmis "hello" avec un câble //<br />

Le port parallèle n'est plus du tout supporté<br />

3. LE PORT SCSI<br />

Les périphériques SCSI peuvent être chaînés en leur affectant simplement <strong>de</strong>s numéros (voir page<br />

44).<br />

Le type <strong>de</strong> connecteur dépend du modèle d'interface SCSI<br />

4. LE PORT PMCIA<br />

Les normes PMCIA étaient surtout adaptées aux PORTABLES. Les cartes PMCIA permettaient<br />

d'intégrer aussi bien un disque dur que <strong>de</strong> la mémoire vive supplémentaire ou un FAX/MODEM.<br />

Dans tous les cas, la taille <strong>de</strong>s cartes ainsi que leurs connecteurs sont i<strong>de</strong>ntiques.<br />

5. LE PORT USB<br />

Il utilise un connecteur USB pour relier différents périphériques à l'ordinateur (voir bus usb page 26).<br />

6. LE PORT HDMI<br />

Il permet le transfert d'informations audio et vidéos avec une éventuelle synchronisation <strong>de</strong>s<br />

périphériques.<br />

Colonne1 HDMI 2.1 HDMI 2.0 HDMI 1.4<br />

Débits Jusqu'à 48 Gbps Jusqu'à 18 Gbps Jusqu'à 10,2 Gbps<br />

Définition Jusqu'à 8K à 60 fps Jusqu'à 4K 60 fps Jusqu'à 4K à 24 fps<br />

<strong>Support</strong> Dolby Vision Oui Oui Non<br />

<strong>Support</strong> HDR10 et HDR10+ Oui Oui Non<br />

Profon<strong>de</strong>ur <strong>de</strong> couleur Encodage 10 bits Encodage 10 bits Encodage 8 bits<br />

Espace colorimétrique Gamut BT.2020 Gamut BT.2020 Adobe RGB<br />

Échantillonnage son Jusqu'à 1536 kHz Jusqu'à 1536 kHz Jusqu'à 768 kHz<br />

Canaux audio Jusqu'à 32 Jusqu'à 32 Jusqu'à 8<br />

SOURCE : PHONANDROID.COM


II - LE MATÉRIEL (HARDWARE) 61<br />

Ils permettent d'entrer <strong>de</strong>s données dans l'ordinateur.<br />

1. LE CLAVIER<br />

Le CLAVIER est le périphérique d'entrée le plus courant.<br />

Le modèle standard est en France le clavier AZERTY 105 touches avec pavé <strong>de</strong> flèches et pavé<br />

numérique séparés. Il est connecté à l'unité centrale par une prise type DIN (carte baby AT) ou MINI-<br />

DIN (carte ATX) ou le plus souvent USB ; lorsqu'on est amené à intervenir sur <strong>de</strong>s <strong>ordinateurs</strong> <strong>de</strong><br />

marques différentes.<br />

2. LA SOURIS<br />

La SOURIS est l'unité d'entrée la plus conviviale.<br />

Elle est indispensable pour tout ce qui est mise en forme.<br />

Elle se présente sous la forme d'une petite boîte avec une bille en <strong>de</strong>ssous et <strong>de</strong>ux (ou trois)<br />

touches sur le <strong>de</strong>ssus et éventuellement sur les côtés. Le curseur se déplace parallèlement au<br />

mouvement <strong>de</strong> la souris.<br />

Selon le type <strong>de</strong> souris et d'ordinateur, elle va se connecter le plus souvent sur un port USB. Elle<br />

a été mécanique puis optique et maintenant laser, avec ou sans fil.<br />

a) LA SOURIS MÉCANIQUE<br />

Une boule <strong>de</strong> caoutchouc, ou d'acier recouvert <strong>de</strong> caoutchouc, sous la souris, tourne selon le<br />

même mouvement que la souris ; cette boule entraîne par friction <strong>de</strong>ux rouleaux qui la touchent<br />

en <strong>de</strong>ux points. Un <strong>de</strong>s rouleaux obéit aux déplacements verticaux ; le second, perpendiculaire<br />

au premier, gère les mouvements horizontaux ; chaque rouleau communique ses rotations à un<br />

petit disque appelé enco<strong>de</strong>ur, par l'intermédiaire d'un axe. Sur le pourtour <strong>de</strong> chaque enco<strong>de</strong>ur<br />

se trouvent <strong>de</strong> minuscules points <strong>de</strong> contact métalliques.<br />

Des lamelles métalliques complètent le système et effleurent les points <strong>de</strong> contact lorsqu'ils<br />

tournent. Chaque fois qu'une lamelle touche un point, il en résulte un signal électrique ; le<br />

nombre <strong>de</strong> signaux indique avec combien <strong>de</strong> points les lamelles sont entrées en contact. Plus il<br />

y a <strong>de</strong> signaux, plus ample a été le déplacement <strong>de</strong> la souris. Les signaux sont transmis à<br />

l'ordinateur jusqu'au driver <strong>de</strong> contrôle <strong>de</strong> la souris ; celui-ci traduit le nombre, la combinaison et<br />

la fréquence <strong>de</strong>s signaux délivrés par les <strong>de</strong>ux enco<strong>de</strong>urs en facteurs <strong>de</strong> distance, direction et<br />

vitesse, nécessaires au déplacement du curseur à l'écran.<br />

b) LA SOURIS OPTIQUE<br />

Une dio<strong>de</strong> lumineuse rouge projette <strong>de</strong> la lumière sur la surface. Parallèlement, une caméra<br />

simplifiée prend un cliché <strong>de</strong> la surface à une fréquence régulière. Ces images sont ensuite<br />

réceptionnées par un capteur qui comme en photo numérique est capable <strong>de</strong> traiter un certain<br />

nombre <strong>de</strong> pixels pour restituer l’image sous forme numérique à l’électronique. La puce compare<br />

ensuite les images numériques entre elles et grâce aux différences enregistrées, calcule le<br />

déplacement <strong>de</strong> la souris. Jusqu’à aujourd’hui, <strong>de</strong>ux valeurs étaient communément admises<br />

pour qualifier les performances du capteur. Il s’agit d’une part du nombre d’images prises et<br />

analysées par secon<strong>de</strong> et d’autre part <strong>de</strong> la résolution soit le nombre <strong>de</strong> prises <strong>de</strong> vues<br />

possibles sur une distance donnée. Le premier facteur se comprend aisément : plus il y a <strong>de</strong><br />

mesures dans un temps imparti, meilleur sera la réactivité et la précision. Pour la résolution,<br />

c’est plus compliqué. Exprimée par les constructeurs en dpi ou ppp en français (points par pouce),<br />

il s’agit en réalité <strong>de</strong> CPI (count per inch) ou encore le nombre <strong>de</strong> mesures effectuées sur une<br />

distance d’un pouce soit 2,54 cm. La résolution influe sur <strong>de</strong>ux facteurs physiques. En<br />

augmentant, elle améliore la précision puisqu'il y a plus <strong>de</strong> mesures pour une distance donnée<br />

mais d’autre part, la souris parcourt aussi moins <strong>de</strong> distance physique. Ce corollaire est


intéressant pour les hautes résolutions à l’écran, puisqu’il faudra moins <strong>de</strong> déplacement manuel<br />

pour parvenir d’un angle <strong>de</strong> l’écran à l’autre.<br />

c) LA SOURIS LASER<br />

La DEL <strong>de</strong> la souris optique est remplacée par un petit laser, ainsi la source <strong>de</strong> lumière est plus<br />

intense et plus ciblée, permettant d'obtenir un meilleur cliché <strong>de</strong> la surface ; Une matrice CMOS<br />

(COMPLEMENTARY METAL OXIDE SEMICONDUCTOR qui est en fait un capteur basé sur l’effet photoélectrique) 30x30<br />

pixels permettant <strong>de</strong>s captures jusqu'à 6400 images par secon<strong>de</strong>.<br />

d) LA SOURIS BLUETRACK<br />

Développée par les laboratoires Microsoft, cette technologie remplace l'illumination au laser <strong>de</strong>s<br />

souris actuelles par un faisceau lumineux plus large dans le but d'éclairer la surface <strong>de</strong> glisse <strong>de</strong><br />

manière plus importante. En élargissant le faisceau, les rebonds <strong>de</strong> la lumière sur la surface<br />

seront plus nombreux, particulièrement si la surface en question contient <strong>de</strong>s aspérités. Un<br />

faisceau à LED bleue offre un meilleur contraste avec un bruit nettement moindre pour un suivi<br />

<strong>de</strong>s mouvements aussi précis que possible ; <strong>de</strong> plus, l'illumination bleue serait moins sensible<br />

aux poussières que les illuminations laser traditionnelles. L'intensité lumineuse est la même sur<br />

toute la largeur du faisceau afin d'éviter d'avoir <strong>de</strong>s zones plus lumineuses que d'autres.<br />

SOURCE MICROSOFT


II - LE MATÉRIEL (HARDWARE) 63<br />

3. LE SCANNER<br />

Le SCANNER est un périphérique d'entrée souvent utilisé ; il permet :<br />

<strong>de</strong> convertir une photo ou une image en fichier-image, utilisable et modifiable par<br />

l'ordinateur<br />

<strong>de</strong> convertir un document papier, sur lequel figure du texte, en fichier image, au sein<br />

duquel un logiciel d'OCR (OPTICAL CHARACTER RECOGNITION) est à même <strong>de</strong> reconnaître les<br />

différentes lettres et donc <strong>de</strong> le transformer en un fichier texte exploitable dans un<br />

traitement <strong>de</strong> texte.<br />

a) TYPES DE SCANNERS<br />

Il existe plusieurs types <strong>de</strong> scanner dont les plus courants sont :<br />

Le scanner à plat<br />

le scanner à tambour<br />

La source lumineuse est mobile et balaye la<br />

plaque <strong>de</strong> verre sur laquelle est posé l'original. Un<br />

miroir se déplace avec elle et se charge<br />

"d'envoyer" le résultat à un bloc fixe généralement<br />

composé d'un autre miroir et du circuit ccd.<br />

Inconvénient, la lumière traverse <strong>de</strong>ux fois le verre<br />

(légère perte <strong>de</strong> luminosité), mais surtout, l'image est<br />

obtenue par réflexion <strong>de</strong> la lumière sur l'original.<br />

De ceci résulte une très gran<strong>de</strong> perte <strong>de</strong> lumière et<br />

surtout <strong>de</strong> contraste.<br />

Le rayon <strong>de</strong> lumière traverse le document<br />

(transparent) qui est lui-même monté sur un<br />

cylindre <strong>de</strong> verre rotatif. Un jeu <strong>de</strong> miroirs assez<br />

simple permet d'atteindre trois capteurs<br />

photosensibles, un par composante <strong>de</strong> la lumière<br />

b) TYPE DE CONNEXION<br />

Le type <strong>de</strong> connexion conseillée pour un scanner est une connexion SCSI ou USB; Il faut éviter<br />

toutes les interfaces propriétaires.<br />

c) RÉSOLUTION<br />

La résolution (exprimée en points par pouce) est le 1er critère pour choisir un scanner. Distinguer:<br />

LA RÉSOLUTION RÉELLE (ou optique) est ce que le scanner voit réellement ; une résolution <strong>de</strong><br />

600 x 600 ppp (points par pouce) signifie que, sur un carré d'un pouce <strong>de</strong> coté (645 mm2<br />

environ), l'appareil distingue 360 000 points différents. Plus la résolution est élevée, plus le<br />

résultat est précis.<br />

LA RÉSOLUTION PAR INTERPOLATION permet d'améliorer artificiellement l'acuité du scanner ;<br />

il s'agit d'un procédé logiciel pour calculer les points intermédiaires et augmenter la<br />

résolution.


d) MODE D'ACQUISITION DES DONNÉES<br />

Le mo<strong>de</strong> d'acquisition <strong>de</strong>s données (ou <strong>de</strong> numérisation) désigne le nombre <strong>de</strong> bits affecté à la<br />

représentation d'un point ; plus ce nombre est élevé, mieux le scanner sera capable <strong>de</strong><br />

reconnaître les couleurs. Ainsi, une acquisition en mo<strong>de</strong> binaire (sur 2 bits) permet <strong>de</strong> co<strong>de</strong>r le<br />

noir et blanc. Pour les scanners à plat, le mo<strong>de</strong> d'acquisition peut être sur 24 bits (16,7 millions <strong>de</strong><br />

couleurs), 32 bits, (1 milliard <strong>de</strong> couleurs) ou 64 bits (68 milliards <strong>de</strong> couleurs).<br />

e) RAPIDITÉ<br />

Le scanner travaille maintenant le plus souvent en une seule passe :<br />

En une passe, toutes les opérations <strong>de</strong> reconnaissance s'effectuent en une seule fois<br />

En plusieurs passes, (souvent trois --> une passe par couleur primaire : bleu, rouge, vert) se posent<br />

les problèmes <strong>de</strong> calage <strong>de</strong>s images générées et <strong>de</strong> rapidité.<br />

f) COMPATIBILITÉ<br />

Le fichier-image généré par le scanner doit être reconnu dans son format (le plus souvent JPEG)<br />

par les logiciels <strong>de</strong> traitement d'image du marché ; pour cela, le scanner est compatible TWAIN<br />

(standard développé par ALDUS, CAERE, KODAK, LOGITECH et HP).<br />

4. LE MICROPHONE / LA CARTE SON<br />

Le traitement du son fait partie intégrante <strong>de</strong>s fonctionnalités d'un <strong>micro</strong> ; aussi bien la<br />

reconnaissance vocale qui va permettre <strong>de</strong> donner <strong>de</strong>s ordres à l'ordinateur ou <strong>de</strong> dicter du texte à<br />

un traitement <strong>de</strong> texte que la synthèse vocale qui va permettre à l'ordinateur <strong>de</strong> lire un texte.<br />

a) ENREGISTREMENT DU SON<br />

Un signal sonore est un signal analogique visible sous une forme sinusoïdale ; or, en numérique,<br />

on utilise <strong>de</strong>s bit (0 ou 1) pour stocker l'information. Lorsque l'on enregistre du son, il faut trouver<br />

le moyen <strong>de</strong> le convertir d'une source analogique en numérique.<br />

Plus la fréquence d'échantillonnage est élevée, plus on diminue l'intervalle <strong>de</strong> temps entre <strong>de</strong>ux<br />

"prises <strong>de</strong> valeur", et donc plus la précision est gran<strong>de</strong>. A chaque pério<strong>de</strong> il va donc falloir<br />

récupérer la "valeur <strong>de</strong> la courbe", c'est là que l'on va parler <strong>de</strong> son "24 bit" par exemple. Quand<br />

on parle <strong>de</strong> son "24 bit" il s'agit en fait du niveau <strong>de</strong> précision avec laquelle on va lire la courbe.<br />

On regar<strong>de</strong> donc la "hauteur" <strong>de</strong> la courbe et on la convertit en nombre stocké sur un nombre<br />

<strong>de</strong> bit défini. En effet, si nous stockons par exemple ce nombre sur 1 bit, il n'y a que 0 ou 1<br />

comme possibilités (en gros si la courbe est en <strong>de</strong>ssous <strong>de</strong> l'axe <strong>de</strong>s abscisses on utilisera 0 et sinon 1). Le<br />

son ne ressemblera donc à rien car la précision utilisée est bien trop faible. Il faut donc<br />

augmenter la précision verticale (la fréquence d'échantillonnage augmentant la précision horizontale). On<br />

pourra donc par exemple co<strong>de</strong>r la hauteur en 16 bit ce qui permet 65536 valeurs possibles<br />

(2^16). En 24 bits on peut co<strong>de</strong>r 16777216 valeurs différentes, ce qui permet d'avoir une<br />

précision plus gran<strong>de</strong>.


II - LE MATÉRIEL (HARDWARE) 65<br />

b) CARACTÉRISTIQUES<br />

Aujourd'hui, une carte son standard possè<strong>de</strong> une sortie stéréo au format mini jack, une entrée<br />

ligne stéréo ainsi qu'une prise <strong>micro</strong>. Ce type <strong>de</strong> carte sera suffisant pour une utilisation<br />

bureautique, ou bien encore surfer sur Internet et écouter un peu <strong>de</strong> musique<br />

occasionnellement. D'autres cartes offrent le double stéréo. Sous Windows, cela n'a que peu<br />

d'intérêt, on pourra simplement brancher <strong>de</strong>ux paires d'enceintes. Par contre, dans les jeux<br />

vidéo ou même dans les DVD Vidéo, chaque voix pourra être gérée indépendamment si le<br />

logiciel le permet.<br />

Enfin les cartes sons 5.1, gèrent 5 voix. Il existe maintenant <strong>de</strong>s cartes-son gérant même le 7.1 !<br />

Cela ne sert que pour les disques Vidéo, ce système est comparable aux ensembles 5.1 <strong>de</strong> Home<br />

Cinéma. Il suffit juste <strong>de</strong> brancher 3 paires d'enceintes différentes. Il est aussi possible <strong>de</strong><br />

brancher ses enceintes via la sortie numérique <strong>de</strong> sa carte son, sur un ampli 5.1 par exemple.<br />

(1) Le DSP<br />

Chaque carte son possè<strong>de</strong> son processeur : le DSP (Digital Signal Processor). Cette puce va<br />

s'occuper <strong>de</strong> transcrire les signaux numériques qui proviennent du processeur et les transformer<br />

en sons audibles. Les DSP les plus évolués permettent <strong>de</strong> rajouter <strong>de</strong> l’écho, <strong>de</strong> la distorsion.<br />

C'est aussi lui qui distribue les différents sons sur les sorties. Le DSP va donc prendre en charge<br />

la plupart <strong>de</strong>s calculs audio, le reste sera laissé au processeur <strong>de</strong> l'ordinateur. Plus le DSP sera<br />

puissant, et moins le CPU <strong>de</strong> l'ordinateur travaillera.<br />

(2) LE SON INTÉGRÉ<br />

Beaucoup <strong>de</strong> cartes mères intègrent maintenant les composants <strong>de</strong> la carte son. Les chipsets<br />

intégrés ont fait d'énormes progrès et restent tout à fait acceptables.<br />

Parmi les chipsets intégrés, REALTECH, INTEL et NVIDIA sortent du lot que ce soit en terme <strong>de</strong><br />

qualité d'écoute ou <strong>de</strong> performances : NVIDIA, via ses chipsets NFORCE, propose un très bon APU<br />

(audio processing unit), et INTEL a notablement amélioré le sien en intégrant la technologie<br />

dénommée HIGH DÉFINITION AUDIO.<br />

(3) HIGH DÉFINITION AUDIO<br />

Cette technologie vise à reléguer l'AC 97 (norme utilisée par presque tous les anciens chipsets son<br />

intégrés, hormis ceux utilisant un chipset Nforce 2 et supérieurs). Elle supporte le son 7.1 (ce qui n'était le cas<br />

que sur <strong>de</strong> rares chipsets avec l'AC 97) et le son 24 bit à 192 KHz.


(4) LES CONNECTEURS INTERNES<br />

Outre <strong>de</strong>s connecteurs externes, toutes les cartes sons disposent au moins <strong>de</strong> <strong>de</strong>ux entrées<br />

internes : une entrée ligne ainsi qu'une entrée pour connecter le lecteur <strong>de</strong> CDROM pour les CD<br />

audio. Ensuite, cela dépend <strong>de</strong> la carte son, comme les entrées SPDIF (lecteur <strong>de</strong> DVD), entrée<br />

auxiliaire (par exemple la sortie d'une carte d'acquisition).<br />

C) FORMATS<br />

Un disque audio exploite <strong>de</strong>s données non compressées. La musique est numérisée au rythme<br />

<strong>de</strong> 44100 échantillons par secon<strong>de</strong>s, chacun <strong>de</strong> ces échantillons étant codé sur 16 bits (2 octets)<br />

et en stéréo. Cela donne un total <strong>de</strong> 176 ko pour une secon<strong>de</strong> <strong>de</strong> musique, ou environ 10 Mo<br />

pour une minute. Les formats <strong>de</strong> compression permettent <strong>de</strong> diviser cette quantité <strong>de</strong> données<br />

par un facteur variant <strong>de</strong> 8 à 15, avec une perte <strong>de</strong> qualité minime.<br />

Tous ces algorithmes <strong>de</strong> compression fonctionnent sur le même principe : éliminer les<br />

fréquences que l'oreille humaine ne perçoit pas du tout, ou très peu, et niveler les fréquences<br />

proches les unes <strong>de</strong>s autres à <strong>de</strong>s valeurs i<strong>de</strong>ntiques <strong>de</strong> façon à accroître la compression. Ce<br />

sont <strong>de</strong>s algorithmes dits "<strong>de</strong>structifs". Autrement dit, la conversion d'un fichier audio compressé<br />

à partir d'un CD audio à nouveau en format CD audio, les données résultantes ne seront pas les<br />

mêmes que celles du fichier originel. Selon les formats et les besoins, la compression pourra<br />

être plus ou moins importante. Elle est définie par ce que l'on appelle le débit, c'est-à-dire le flux<br />

d'informations par secon<strong>de</strong> <strong>de</strong> musique. Il peut osciller <strong>de</strong> 32 kbps (kilobits par secon<strong>de</strong>) à<br />

320 kbps.<br />

(1) LE MP3<br />

Conçu conjointement par l'institut Fraunhofer et Thomson et standardisé dès 1992, le MP3 est un<br />

dérivé <strong>de</strong> la compression sonore utilisé pour les vidéos au format MPEG-1 (MP3 signifie d'ailleurs<br />

MPEG-1 audio layer 3).<br />

Il s'agit du format qui offre le panel <strong>de</strong> paramétrage le plus important. On peut en effet définir un<br />

débit ("bitrate") allant <strong>de</strong> 32 à 320 kbps. À partir <strong>de</strong> 128 Kbps, la qualité audio <strong>de</strong>vient suffisante<br />

pour enco<strong>de</strong>r <strong>de</strong>s chansons. À 192 Kbps, la qualité est similaire à celle d'un CD audio. À ce taux<br />

<strong>de</strong> compression, une minute <strong>de</strong> musique équivaut à 1,4 Mo <strong>de</strong> données. Mais il est également<br />

possible d'opter pour un débit variable dit VBR (Variable Bit Rate). Dans ce cas, l'enco<strong>de</strong>ur<br />

augmentera le taux <strong>de</strong> compression sur les passages musicaux moins complexes, ce qui<br />

diminuera légèrement la taille du fichier final. Le gain dépend du type <strong>de</strong> morceau. Le gros<br />

avantage du MP3 <strong>de</strong>meure sa compatibilité avec l'ensemble <strong>de</strong>s bala<strong>de</strong>urs audionumériques,<br />

mais aussi certaines chaînes hi-fi, autoradios et lecteurs <strong>de</strong> DVD <strong>de</strong> salon. Quasiment universel,<br />

il figure sur tous les sites <strong>de</strong> téléchargement gratuit. En revanche, ce format montre <strong>de</strong>s<br />

faiblesses au niveau <strong>de</strong> la restitution <strong>de</strong>s fréquences aiguës et se montre donc moins adapté à<br />

la musique classique. Parmi les logiciels gratuits encodant en MP3(WinAmp). On notera enfin<br />

qu'il existe plusieurs algorithmes d'encodage MP3, le "FRAUNHOFER" étant le plus répandu et le<br />

"LAME" le plus efficace, ce <strong>de</strong>rnier étant supporté notamment par CDEX et MYMP3 PRO <strong>de</strong><br />

Pinnacle.


II - LE MATÉRIEL (HARDWARE) 67<br />

(2) LE MP3 PRO<br />

Le MP3 PRO a pour but d'améliorer la principale lacune du MP3 au niveau <strong>de</strong>s fréquences<br />

élevées. Ainsi, si le premier supprime purement et simplement les fréquences situées au-<strong>de</strong>là<br />

d'un spectre défini par le taux <strong>de</strong> compression, le second essaie, autant que faire ce peu, <strong>de</strong><br />

conserver certaines <strong>de</strong> ces hautes fréquences qui amélioreront la qualité d'écoute. Ainsi à un<br />

débit <strong>de</strong> 96 kbps, le MP3 PRO est légèrement plus efficace que le MP3 à 128 kbps, d'où un gain<br />

<strong>de</strong> poids <strong>de</strong> 25%. Plus le débit sera faible, et plus le gain sera élevé. Et en corollaire, avec un<br />

débit supérieur ou égal à 192 kbps, la différence apparaît quasi imperceptible. La qualité CD en<br />

MP3 PRO est obtenue à 96 kbps, soit 720 ko pour une minute. Toutefois, il n'existe pas<br />

d'enco<strong>de</strong>ur gratuit supportant le MP3 PRO. Les fichiers MP3 PRO peuvent en théorie être lus par<br />

<strong>de</strong>s bala<strong>de</strong>urs ne supportant que le MP3 mais dans la pratique la qualité sonore obtenue est<br />

souvent sujette à caution.<br />

(3) LE WMA<br />

Lancé en 1999 par Microsoft, le WMA (Windows Media Audio) n'a eu pour but que <strong>de</strong> contrer l'essor<br />

du MP3. Exploitant plus efficacement les caractéristiques <strong>de</strong> l'oreille humaine au niveau du<br />

spectre audible, le WMA parvient à supprimer les fréquences réellement inutiles tout en<br />

conservant certaines hautes fréquences qui ont une influence sur la qualité sonore. L'algorithme<br />

<strong>de</strong> compression, relativement efficace, permet <strong>de</strong> conserver une qualité équivalente à un CD<br />

audio avec un débit <strong>de</strong> 128 kbps, soit 1 Mo pour une minute <strong>de</strong> chanson.<br />

Totalement gratuit, le WMA a en plus l'avantage <strong>de</strong> disposer d'un enco<strong>de</strong>ur intégré au lecteur<br />

Windows Media Player. Une façon efficace d'assurer la diffusion <strong>de</strong> ce support. D'autant que ce<br />

format est lié à une gestion pointue <strong>de</strong>s droits d'auteur (DRM ou Digital Right Management) qui permet<br />

<strong>de</strong> définir par exemple une durée <strong>de</strong> vie limitée pour les fichiers ou d'interdire les possibilités <strong>de</strong><br />

gravure. C'est pourquoi il est utilisé par certains sites <strong>de</strong> musique en téléchargement. De<br />

nombreux bala<strong>de</strong>urs audionumériques supportent également le WMA et <strong>de</strong>s sharewares réputés<br />

tels WinAmp permettent d'enco<strong>de</strong>r dans ce format.<br />

(4) L'AAC<br />

L'AAC (Advanced Audio Coding) n'est pas un format développé par Apple mais par un consortium au<br />

sein duquel se retrouvent l'institut Fraunhofer (le père du MP3), Sony ou encore Dolby. L'AAC est<br />

sans aucun doute l'algorithme <strong>de</strong> compression le plus efficace. Contrairement au MP3 et au WMA,<br />

il ne s'appuie pas sur le MPEG-1 mais sur le MPEG-4 (format à l'origine du DIVX). Ce choix semble<br />

avoir porté ses fruits puisque cela lui permet <strong>de</strong> disposer d'un meilleur compromis entre le taux<br />

<strong>de</strong> compression et la qualité sonore. Ainsi en AAC, on obtient l'équivalent d'une qualité CD audio<br />

avec un débit <strong>de</strong> seulement 96 kbps. À cela s'ajoute, comme pour le WMA, <strong>de</strong>s propriétés <strong>de</strong><br />

gestion <strong>de</strong>s droits d'auteur (DRM) et la possibilité <strong>de</strong> gérer <strong>de</strong>s sons sur 48 canaux différents, ce<br />

qui le rend apte à enco<strong>de</strong>r <strong>de</strong>s DVD audio ou vidéo en conservant la spatialisation sonore<br />

d'origine (les six canaux du Dolby Digital par exemple), bien que cette possibilité ne soit pour l'heure<br />

pas vraiment exploitée. On retrouve l' AAC sur le site <strong>de</strong> musique en ligne iTunes d'Apple et<br />

dans son bala<strong>de</strong>ur IPOD. Mais il est également intégré à <strong>de</strong>s logiciels tel WinAmp.<br />

(5) L'OGG VORBIS<br />

L'OGG VORBIS est au format <strong>de</strong> compression audio ce que Linux est aux systèmes d'exploitation.<br />

Il s'agit en effet d'un format "ouvert" dont les co<strong>de</strong>s source sont publics et peuvent être adaptés<br />

et modifiés par tout un chacun. Il n'en reste pas moins un format assez efficace. À 128 kbps, on<br />

atteint le niveau <strong>de</strong> qualité d'un CD Audio (1 Mo pour 1 minute). La structure <strong>de</strong> compression du<br />

format OGG est par ailleurs sensiblement différentes <strong>de</strong>s MP3, WMA et autres AAC. Il segmente les<br />

sources audios en paquets successifs, l'algorithme <strong>de</strong> compression agissant dans un premier<br />

temps sur chaque paquet indépendamment <strong>de</strong>s autres. Cela lui permet <strong>de</strong> ne pas avoir vraiment<br />

<strong>de</strong> faiblesse sur certaines fréquences et <strong>de</strong> conserver la même qualité quel que soit le type <strong>de</strong><br />

musique.


À cela s'ajoute <strong>de</strong>s fonctions <strong>de</strong> polyphonie permettant <strong>de</strong> restituer jusqu'à 255 canaux son. La<br />

structure en paquet le rend en plus bien adapté à une utilisation en diffusion<br />

continue (streaming) sur l'internet, notamment pour les radios en ligne. Ouvert, le OGG VORBIS<br />

<strong>de</strong>vrait rapi<strong>de</strong>ment évoluer et peut-être se rapprocher <strong>de</strong> l'AAC en termes <strong>de</strong> débit. Signalons par<br />

ailleurs que la compatibilité <strong>de</strong>scendante est assurée, un fichier OGG VORBIS quelle que soit la<br />

version <strong>de</strong> son enco<strong>de</strong>ur peut être lu par un lecteur plus ancien. (<strong>de</strong> nombreux enco<strong>de</strong>urs et lecteurs<br />

sont compatibles avec L'OGG).<br />

(6) TABLEAU RÉCAPITULATIF<br />

Format Débit qualité CD Poids 1 Mn audio Taille fichier/ 4 Mn Polyphonie<br />

MP3 192 Kbps 1,4 Mo 5,6 Mo Stéréo<br />

MP3 Pro 96 Kbps 720 Ko 2,8 Mo Stéréo<br />

WMA 128 Kbps 1 Mo 4 Mo Stéréo<br />

AAC 96 Kbps 720 Ko 2,8 Mo 48 canaux<br />

OGG Vorbis 128 Kbps 1 Mo 4 Mo 255 canaux


II - LE MATÉRIEL (HARDWARE) 69<br />

1. L'ÉCRAN<br />

Carte vidéo et écran sont intimement liés puisque la qualité <strong>de</strong> l'affichage va dépendre autant <strong>de</strong><br />

l'un que <strong>de</strong> l'autre. Le choix d'un écran va dépendre <strong>de</strong> l'utilisation que l'on veut en faire. Plus<br />

l'importance <strong>de</strong> l'affichage est gran<strong>de</strong> (PAO, CAO, CFAO...), plus l'écran doit être grand et ses<br />

caractéristiques <strong>de</strong> qualité.<br />

a) LES ÉCRANS CATHODIQUES<br />

Ils ne sont plus guère utilisés du fait <strong>de</strong> leur volume et <strong>de</strong> leur consommation.<br />

CARACTÉRISTIQUES :<br />

la taille<br />

le panneau <strong>de</strong> contrôle<br />

le tube<br />

le pitch<br />

la fréquence horizontale et verticale<br />

le mo<strong>de</strong><br />

(1) LA TAILLE<br />

La taille <strong>de</strong> l'écran se mesure en diagonale, d'un coin <strong>de</strong> l'écran au coin opposé, et en pouces.<br />

(2) LE TUBE<br />

Un tube se détache très largement <strong>de</strong>s autres au niveau <strong>de</strong> la qualité ; c'est le tube TRINITRON<br />

créé par SONY ; sa technologie ayant ensuite été adoptée par d'autres constructeurs (EIZO).<br />

Un seul canon à électrons envoie les trois rayons sur <strong>de</strong>s luminophores disposés en ban<strong>de</strong>s<br />

verticales juxtaposées. Le masque d'ouverture est remplacé par un film <strong>de</strong> ban<strong>de</strong>s verticales<br />

RVB, sans grille. Ce masque souple est stabilisé par un ou <strong>de</strong>ux fils amortisseurs horizontaux.<br />

Cette disposition autorise <strong>de</strong>s valeurs <strong>de</strong> pas <strong>de</strong> masque <strong>de</strong> 0,25 mm. Le contraste est lui aussi<br />

amélioré par le système trinitron : la transparence du masque améliore la luminosité du blanc ; la<br />

surface cylindrique (et non sphérique comme les autres écrans) est moins sensible aux réflexions<br />

parasites <strong>de</strong> l'éclairage ambiant et améliore l'opacité <strong>de</strong>s noirs ; enfin, le choix <strong>de</strong>s phosphores<br />

assure <strong>de</strong>s teintes rouge brillant.<br />

(3) LES BOUTONS DE RÉGLAGE<br />

Le panneau <strong>de</strong> contrôle permet <strong>de</strong> régler le contraste, la luminosité, la largeur et la hauteur <strong>de</strong><br />

l'image, sa position dans l'écran. Les boutons <strong>de</strong> réglage doivent être en faça<strong>de</strong> pour plus <strong>de</strong><br />

confort ;<br />

Vérifier que l'affichage s'effectue sur la totalité <strong>de</strong> l'écran et non seulement sur une partie (ban<strong>de</strong>s<br />

noires horizontales et verticales autour <strong>de</strong> l'image).<br />

(4) LE PITCH<br />

La taille <strong>de</strong>s points affichés à l'écran est appelée PITCH ou PAS DE MASQUE en français ; il se<br />

mesure en millimètres et est fonction <strong>de</strong> <strong>de</strong>ux paramètres : la résolution et la taille <strong>de</strong> l'écran.<br />

Plus la définition est élevée, plus les points sont petits mais plus l'écran est grand, plus les points<br />

affichés pour une même définition sont grands.


(5) LA FRÉQUENCE<br />

La FRÉQUENCE VERTICALE ou <strong>de</strong> RAFRAÎCHISSEMENT indique le nombre <strong>de</strong> rafraîchissements <strong>de</strong><br />

l'image par secon<strong>de</strong> (en mo<strong>de</strong> non entrelacé). Plus cette fréquence est élevée, plus l'affichage <strong>de</strong><br />

l'image sera stable ; par ailleurs, plus un moniteur est grand, plus le rafraîchissement doit être<br />

rapi<strong>de</strong> ; elle est comprise entre 60 et 80 Hz ; plus elle est importante, meilleure est la stabilité <strong>de</strong><br />

l'image.<br />

La FRÉQUENCE HORIZONTALE ou <strong>de</strong> SYNCHRONISATION définit la vitesse à laquelle une ligne <strong>de</strong><br />

pixels est activée. Elle s'élève avec la définition et la fréquence <strong>de</strong> rafraîchissement. C'est la<br />

fréquence horizontale qui indique la compatibilité du moniteur avec un signal donné. Les<br />

moniteurs multifréquences acceptent plusieurs fréquences <strong>de</strong> synchronisation horizontale.<br />

(6) LE MODE<br />

Le mo<strong>de</strong> peut être entrelacé ou non entrelacé :<br />

lorsque le mo<strong>de</strong> est ENTRELACÉ, l'écran n'affiche alternativement qu'une ligne sur 2<br />

lorsque le mo<strong>de</strong> est NON ENTRELACÉ, l'écran affiche une image entière à chaque balayage ;<br />

la qualité est alors supérieure.<br />

b) LES ÉCRANS À CRISTAUX LIQUIDES<br />

Les écrans à cristaux liqui<strong>de</strong>s ont remplacé les tubes cathodiques. .<br />

À chaque pixel correspon<strong>de</strong>nt 3 bâtonnets (1 par couleur), chacun d'entre eux étant<br />

contrôlé par 1 transistor propre. La résolution maximum est donc fonction du<br />

nombre <strong>de</strong> transistors. Par exemple pour un écran LCD <strong>de</strong> 15" en diagonale avec<br />

une résolution <strong>de</strong> 1024*768, il faut 2.539.296 transistors et bâtonnets.<br />

(1) LA RÉSOLUTION<br />

Elle définit le nombre <strong>de</strong> colonnes par le nombre <strong>de</strong> lignes <strong>de</strong> l'écran, c'est-à-dire le nombre <strong>de</strong><br />

points à leurs intersections. Elle progresse extrêmement rapi<strong>de</strong>ment, tirée notamment par la<br />

<strong>de</strong>man<strong>de</strong> en matière <strong>de</strong> télévision ultra haute définition.<br />

SOURCE : WIKIPÉDIA


II - LE MATÉRIEL (HARDWARE) 71<br />

Les résolutions en <strong>cours</strong> sont les suivantes :<br />

4K : à l'origine, cette appellation faisait référence à une définition <strong>de</strong> 4 096 pixels en<br />

largeur <strong>de</strong> l'image et était réservée au cinéma numérique<br />

8K : format du cinéma numérique faisant référence à la résolution horizontale <strong>de</strong> ce<br />

format, <strong>de</strong> l'ordre <strong>de</strong> 8000 pixels<br />

Ces <strong>de</strong>ux appellations sont cependant couramment employées pour les formats d'écran:<br />

ULTRA HD : écrans proposant une définition <strong>de</strong> 3 840 × 2 160 pixels<br />

FUHD : écrans proposant une définition <strong>de</strong> 7680 × 4320<br />

(2) LE TEMPS DE RÉPONSE<br />

Il s'agit d'une mesure mise en place par les constructeurs, dérivée <strong>de</strong> la norme ISO 13406-2. Il<br />

mesure le temps nécessaire pour passer d'un point blanc à n'importe quel niveau <strong>de</strong> gris, puis<br />

revenir au blanc. Cela donne <strong>de</strong>ux valeurs en millisecon<strong>de</strong>s, appelées temps <strong>de</strong> montée (TR) et<br />

temps <strong>de</strong> <strong>de</strong>scente (TF), qui sont additionnés.<br />

(3) L'ANGLE DE VISION<br />

Pour les TN, les angles <strong>de</strong> vision réels, c'est-à-dire ceux sur lesquels l'image reste bonne, sont<br />

plutôt <strong>de</strong> 60° sur les côtés, 50° vers le haut et 10° vers le bas. Soit 120° en latéral, 60° en<br />

vertical. Les IPS bénéficient d'angles <strong>de</strong> vision vraiment très larges (supérieur à 170°). Les<br />

angles <strong>de</strong>s MVA et PVA sont larges, mais pas autant que les IPS. Ils sont plutôt <strong>de</strong> 45° dans tous<br />

les sens (au-<strong>de</strong>là, les couleurs per<strong>de</strong>nt <strong>de</strong> leur éclat). Soit 90° en vertical et en latéral.<br />

(4) LA LUMINOSITÉ<br />

Une luminosité <strong>de</strong> 400 candélas par mètre carré (cd/m²) est intéressante pour les écrans publics ;<br />

250 cd/m² peut être suffisant sur un écran personnel.<br />

(5) LE TAUX DE CONTRASTE<br />

Il s'agit du rapport, <strong>de</strong> la division, entre la luminosité d'un carré blanc avec celle d'un carré noir.<br />

Idéalement le noir <strong>de</strong>vrait être parfait et donc afficher une luminosité nulle. Ce n'est hélas jamais<br />

le cas. Il y a toujours un peu <strong>de</strong> lumière qui passe. Bénéficier d'un taux <strong>de</strong> contraste le plus fort<br />

possible assure donc un niveau <strong>de</strong> noir profond et <strong>de</strong> ce fait une meilleure restitution <strong>de</strong>s<br />

couleurs sombres. Les écrans avec un contraste bas confon<strong>de</strong>nt souvent les gris foncés avec<br />

du noir. Les écrans OLED disposent du meilleur contraste.<br />

(6) LA DALLE<br />

C'est une donnée presque jamais communiquée et pourtant elle est essentielle. Il existe 4<br />

gran<strong>de</strong>s familles : les TN, les IPS (en perte <strong>de</strong> vitesse car chères), les MVA et les PVA.<br />

TN ( Twisted Nematic) : Ce sont les premiers écrans lcd et les plus rapi<strong>de</strong>s. Leurs défauts :<br />

un fourmillement marqué dans les films et un angle <strong>de</strong> vision inférieur quasi nul.<br />

MVA (multi-domain Vertical Alignment) : Ce sont les écrans les plus polyvalents. Leur réactivité<br />

est comparable à celle <strong>de</strong>s TN 8 ms, leur contraste très bon, leur angle <strong>de</strong> vision inférieur<br />

est plus large et ils ont un fourmillement moindre dans les films. Leur défaut : leur rendu<br />

<strong>de</strong>s couleurs par défaut est très moyen, moins bon que sur les PVA.<br />

les PVA (Patterned Vertical Alignment) : Ils offrent un rendu <strong>de</strong>s couleurs bien meilleur. Leur<br />

problème : un fort fourmillement dans les films.


les IPS (In-Plane Switching) ont une forte rémanence mais acceptent <strong>de</strong>s angles <strong>de</strong> vision,<br />

encore plus larges que les MVA et PVA.<br />

Les QLED (Quantum-dot Light Emitting Dio<strong>de</strong>) sont fabriquées par Samsung. Les filtres à puits<br />

quantiques autorisent <strong>de</strong>s couleurs riches, <strong>de</strong>s détails fins, un bon contraste et une gran<strong>de</strong><br />

luminosité. Il n'a rien à voir avec L'OLED.<br />

Les MINI LED définissent les écrans Quantum Dot <strong>de</strong> Apple et ont une technologie proche<br />

du QLED.<br />

Les MICRO-LED sont composés <strong>de</strong> milliers <strong>de</strong> LED <strong>micro</strong>scopiques. Pour chaque pixel, on<br />

a trois leds <strong>de</strong> couleurs rouge, verte et bleue. Pour afficher du noir, elles sont toutes<br />

éteintes. Cette technique offre donc une excellentes colométrie, <strong>de</strong>s contrastes profonds,<br />

une excellente luminosité et une réactivité elle aussi excellente. Elle est encore en <strong>cours</strong><br />

<strong>de</strong> développement car si techniquement au point, elle se révèle trop couteuse à produite.<br />

(7) LE RETRO ÉCLAIRAGE<br />

Plusieurs techniques<br />

EDGE LED : Les LED sont situées sur les bords <strong>de</strong> la dalle et <strong>de</strong>s réflecteurs diffusent la<br />

lumière sur l'ensemble <strong>de</strong> la dalle<br />

EDGE LED WITH LOCAL DIMMING : i<strong>de</strong>m mais le "local dimming" gére l'activation <strong>de</strong> chaque<br />

dio<strong>de</strong> en fonction <strong>de</strong>s besoins en luminosité.<br />

FULL LED (Full Array Local Dimmming) : Plus il y a <strong>de</strong> zones indépendantes, meilleur est le<br />

rétro-éclairage<br />

c) LES ÉCRANS OLED<br />

OLED signifie "Organic Light-Emitting Dio<strong>de</strong>". L'écran est constitué <strong>de</strong> polymères organiques capables<br />

d'émettre leur propre lumière. C'est une technologie LG. Les écrans sont fins et légers (pas <strong>de</strong> rétroéclairages<br />

ni <strong>de</strong> filtres). Les dalles sont flexibles, le contraste est infini, le temps <strong>de</strong> réponse est très court<br />

(0,1 ms) mais la luminosité est moindre que sur les LCD même si ce point a beaucoup évolué avec les<br />

<strong>de</strong>rnières générations.<br />

d) COMPARAISON<br />

Technologie<br />

Angle vision Rapidité Couleurs contraste<br />

TN 1 4 2 2<br />

MVA/AMVA 2 1 3 3<br />

PVA/S-PVA-PSA 3 2 3 2<br />

UV²A 3 3 3 3<br />

S-IPS/AH-IPS/PLS/AHVA 4 3 3 2<br />

SUPER AMOLED/W-OLED 4 4 4 4<br />

1 : mauvais – 4 : excellent


II - LE MATÉRIEL (HARDWARE) 73<br />

2. L'IMPRIMANTE<br />

PLUSIEURS TYPES :<br />

l'imprimante laser<br />

l'imprimante à jet d'encre / bulles d'encre<br />

l'imprimante matricielle (à aiguilles)<br />

l'imprimante à marguerite<br />

a) L'IMPRIMANTE À MARGUERITE<br />

Les imprimantes à marguerite sont basées sur le principe <strong>de</strong>s machines dactylographiques.<br />

Tous les caractères sont imprimés en relief sur une matrice en forme <strong>de</strong> marguerite. Pour<br />

imprimer, un ruban imbibé d'encre est placé entre la marguerite et la feuille <strong>de</strong> telle façon que<br />

lorsque la matrice frappe le ruban, celui-ci dépose <strong>de</strong> l'encre uniquement au niveau du relief du<br />

caractère.<br />

Ce type d'imprimantes est <strong>de</strong>venu obsolète car elles sont beaucoup trop bruyantes et très peu<br />

rapi<strong>de</strong>s.<br />

b) L'IMPRIMANTE MATRICIELLE<br />

Elle permet d'imprimer <strong>de</strong>s documents grâce à un va-et-vient <strong>de</strong> la tête sur le papier. La tête est<br />

constituée <strong>de</strong> petites aiguilles, poussées par <strong>de</strong>s électro-aimants, qui viennent taper contre un<br />

ruban <strong>de</strong> carbone situé entre la tête et le papier. Les imprimantes matricielles les plus récentes<br />

sont équipées <strong>de</strong> têtes d'impression comportant 24 aiguilles, ce qui leur permet d'imprimer avec<br />

une résolution <strong>de</strong> 216 points par pouce.<br />

Le ruban <strong>de</strong> carbone défile pour qu'il y ait<br />

continuellement <strong>de</strong> l'encre <strong>de</strong>ssus.<br />

À chaque fin <strong>de</strong> ligne un rouleau fait<br />

tourner la feuille<br />

L'imprimante matricielle est encore utilisée, du fait <strong>de</strong> son coût à la page très réduit, et<br />

notamment dans les secteurs où plusieurs exemplaires i<strong>de</strong>ntiques et simultanés <strong>de</strong><br />

l'impression sont nécessaires


c) L'IMPRIMANTE JET D'ENCRE / BULLE D'ENCRE<br />

La formation d’une goutte d'encre se produit par application d'une pression contrôlée sur une<br />

encre liqui<strong>de</strong> contenue dans un réservoir et qui s'écoule à travers un orifice. A la sortie le flux<br />

d'encre résultant se fragmente en petites gouttes. Cependant plusieurs techniques sont<br />

actuellement disponibles, toutes dérivant <strong>de</strong> <strong>de</strong>ux technologies principales : le CJ ("Continuous Jet"<br />

– jet continu) et DOD ("Drop On Demand" –goutte à la <strong>de</strong>man<strong>de</strong>). Le tableau ci-<strong>de</strong>ssous permet <strong>de</strong><br />

mieux comprendre la filiation <strong>de</strong>s différentes techniques<br />

(1) TECHNOLOGIE JET CONTINU (CJ)<br />

La formation en jet continu repose sur le principe thermodynamique <strong>de</strong> l'énergie minimale. Un<br />

liqui<strong>de</strong> (encre) s’écoulant à travers un orifice tend à se séparer en gouttelettes si la surface<br />

externe <strong>de</strong> la masse <strong>de</strong> liqui<strong>de</strong> est plus gran<strong>de</strong> que la surface extérieure <strong>de</strong>s gouttelettes. La<br />

formation <strong>de</strong> gouttes va donc permettre <strong>de</strong> réduire l'énergie totale du système. Pour induire la<br />

séparation du jet sous forme <strong>de</strong> gouttes, on va agir sur la pression du flui<strong>de</strong> (et donc sa vitesse), les<br />

dimensions <strong>de</strong> l'orifice et les perturbations appliquées au système sous forme <strong>de</strong> vibrations (noter<br />

que la géométrie <strong>de</strong> l'orifice peut aussi influencer largement la réponse du système). Les vibrations sont<br />

nécessaires pour assurer la formation <strong>de</strong> gouttes homogènes et sont générées par <strong>de</strong>s cristaux<br />

piézo-électriques fixés aux réservoirs d'encre.<br />

(2) TECHNOLOGIE GOUTTE À LA DEMANDE (DOD)<br />

Contrairement à la technologie jet continu, dans la technologie goutte à la <strong>de</strong>man<strong>de</strong> la formation<br />

<strong>de</strong> gouttes n'est pas continue mais est fonction du motif à reproduire. Ainsi toutes les gouttes<br />

générées vont atteindre le support. Le principe <strong>de</strong> formation <strong>de</strong>s gouttes repose sur l'expansion<br />

d'un flui<strong>de</strong> dans une chambre ayant un orifice <strong>de</strong> petites dimensions. L'expansion étant<br />

déclenchée et contrôlée électroniquement, il est donc possible <strong>de</strong> former le nombre <strong>de</strong> gouttes<br />

désiré et, dans une certaine mesure, moduler les caractéristiques <strong>de</strong> ces gouttes. Comme<br />

précé<strong>de</strong>mment l'objectif est d'avoir <strong>de</strong>s gouttes homogènes.<br />

Cette technologie présente <strong>de</strong>s coûts <strong>de</strong> fabrication et <strong>maintenance</strong> moins élevés pour une<br />

meilleure qualité <strong>de</strong> reproduction (la limitation étant la moindre vitesse d'impression – on travaille<br />

actuellement à <strong>de</strong>s fréquences maximales <strong>de</strong> 30 à 40 KHz, presque 30 fois inférieures aux systèmes CJ). Il est<br />

donc normal qu'elle soit <strong>de</strong>venue la technologie la plus utilisée actuellement et celle sur laquelle<br />

sont focalisés les efforts <strong>de</strong> recherche et développement.


II - LE MATÉRIEL (HARDWARE) 75<br />

d) L'IMPRIMANTE LASER<br />

L'imprimante laser reproduit à l'ai<strong>de</strong> <strong>de</strong> points l'image que lui envoie le PC. Grâce au laser, les<br />

points sont plus petits et la définition est meilleure.<br />

Un ionisateur <strong>de</strong> papier charge les feuilles positivement.<br />

Un ionisateur <strong>de</strong> tambour charge le tambour négativement.<br />

Le laser quant à lui (grâce à un miroir qui lui permet <strong>de</strong> se placer) charge le tambour positivement<br />

en certains points. Du coup, l'encre du toner chargée négativement se dépose sur les<br />

parties du toner ayant été chargées par le laser, qui viendront se déposer sur le papier.<br />

L'imprimante laser est beaucoup plus rapi<strong>de</strong> et moins bruyante.<br />

e) LES LANGAGES DE DESCRIPTION DE PAGE<br />

Le langage <strong>de</strong> <strong>de</strong>scription <strong>de</strong> page est le langage standard que l'ordinateur utilise pour<br />

communiquer avec l'imprimante. En effet, il faut que l'imprimante soit capable d'interpréter les<br />

informations que l'ordinateur lui envoie.<br />

Les <strong>de</strong>ux langages <strong>de</strong> <strong>de</strong>scription <strong>de</strong> page principaux sont les suivants :<br />

Langage PCL: il s'agit d'un langage constitué <strong>de</strong> séquences binaires. Les caractères sont<br />

transmis selon leur co<strong>de</strong> ASCII<br />

Langage PostScript: ce langage, utilisé à l'origine pour les imprimantes Apple<br />

LaserWriter, est <strong>de</strong>venu le standard en matière <strong>de</strong> langage <strong>de</strong> <strong>de</strong>scription <strong>de</strong> page. Il s'agit<br />

d'un langage à part entière basé sur un ensemble d'instructions<br />

f) GOOGLE CLOUD PRINT<br />

Cet outil GOOGLE permet d'enregistrer son imprimante locale ou réseau auprès <strong>de</strong>s services<br />

google et d'y avoir accès <strong>de</strong> partout et avec n'importe quelle machine (<strong>pc</strong>, smartphone, tablette…)<br />

3. LE MODEM<br />

À l'origine, l'ordinateur et le téléphone par fil <strong>de</strong> cuivre n'avaient rien en commun :<br />

Le premier appartient à l'univers NUMÉRIQUE ; toutes les informations traitées par un<br />

ordinateur sont codées en système binaire, cad représentées par <strong>de</strong>s 0 et <strong>de</strong>s 1.<br />

Le second appartient au mon<strong>de</strong> ANALOGIQUE ; les on<strong>de</strong>s sonores sont transformées en<br />

courant électrique avant d'être véhiculé par <strong>de</strong>s lignes téléphoniques (heureusement, la mise<br />

en place <strong>de</strong> réseaux en fibre optique est en train <strong>de</strong> remédier à cet anachronisme).<br />

Pour mettre ces <strong>de</strong>ux mon<strong>de</strong>s en relation, le modulateur / démodulateur ou MODEM reçoit<br />

les informations numériques d'un ordinateur, les transforme en courant électrique puis les<br />

envoie par une ligne téléphonique vers un autre ordinateur, ou un autre mo<strong>de</strong>m effectue<br />

l'opération inverse.


Lorsqu'une communication s'établit entre <strong>de</strong>ux MODEMS, un son continu se fait entendre dans le<br />

haut-parleur : c'est la PORTEUSE, une on<strong>de</strong> sinusoïdale qui transporte les signaux. Dés que l'un<br />

<strong>de</strong>s MODEMS a capté la PORTEUSE <strong>de</strong> son homologue, ils échangent <strong>de</strong>s informations sur les<br />

paramètres <strong>de</strong> la communication, cad le PROTOCOLE DE COMMUNICATION<br />

Les différents types <strong>de</strong> MODEM sont définis par <strong>de</strong>s normes (<strong>de</strong>s avis émis par l'ITU). Ces normes<br />

évoluent sans cesse, <strong>de</strong> par les innovations technologiques <strong>de</strong>s constructeurs et dans la mesure<br />

ou le MODEM est un outil <strong>de</strong> communication (et qu'il faut un mo<strong>de</strong>m au départ et un autre à l'arrivée, la<br />

vitesse <strong>de</strong> transmission s'alignant sur le mo<strong>de</strong>m le moins rapi<strong>de</strong>).<br />

La multiplication <strong>de</strong>s Mo<strong>de</strong>ms a nécessité une standardisation <strong>de</strong>s protocoles <strong>de</strong> communication<br />

par Mo<strong>de</strong>m afin qu'ils parlent tous un "même langage". C'est pourquoi 2 organismes ont mis au<br />

point <strong>de</strong>s standards <strong>de</strong> communication en collaborant :<br />

Les Laboratoires BELL, précurseurs en matière <strong>de</strong> Télécommunications.<br />

Le CCITT (Comité Consultatif International <strong>de</strong> Téléphonie et Télégraphie), renommé <strong>de</strong>puis 1990<br />

en UIT (Union Internationale <strong>de</strong>s Télécommunications).<br />

a) LE MODEM ANALOGIQUE<br />

Il appartient au passé.<br />

L'UIT a pour but <strong>de</strong> définir les standards <strong>de</strong> communication internationaux. Les standards <strong>de</strong><br />

Mo<strong>de</strong>ms peuvent se diviser en 3 catégories :<br />

Les standards <strong>de</strong> modulation (par exemple : CCITT V.21)<br />

Les standards <strong>de</strong> correction d'erreurs (par exemple : CCITT V.42)<br />

Les standards <strong>de</strong> compression <strong>de</strong> données (par exemple : CCITT V.42 bis)<br />

STANDARDS<br />

V.21 : débit <strong>de</strong> 300 bps en duplex intégral (full-duplex, les 2 sens simultanément) ; modulation<br />

FSK ; mo<strong>de</strong> asynchrone ; fréquences utilisées : 980 et 1 180 Hz (pour le 0 et le 1) dans un<br />

sens, 1 650 et 1 850 Hz dans l’autre sens<br />

V.22bis : débit <strong>de</strong> 2 400 bps en duplex intégral ; mo<strong>de</strong> asynchrone ou synchrone ;<br />

fréquences porteuses <strong>de</strong> 1 200 Hz dans un sens, 2 400 Hz dans l’autre ; modulation QAM<br />

avec une constellation <strong>de</strong> 16 points<br />

V.32 : débit <strong>de</strong> 9 600 bps en duplex intégral ; porteuse à 1 800 Hz à la fois pour l’émission<br />

et la réception ; modulation à 2 400 bauds, avec une constellation <strong>de</strong> 32 points ; on<br />

transmet donc 5 bits par intervalle, mais le 5 e bit étant redondant, la vitesse effective est 4<br />

× 2 400, soit 9 600 bps.<br />

V.32bis : débit <strong>de</strong> 14,4 kbps ; modulation QAM ou treillis<br />

V.FAST : débit <strong>de</strong> 28,8 kbps<br />

V.34 : débit <strong>de</strong> 28,8 kbps<br />

V.90 : débit <strong>de</strong> 56 kbps pour la liaison <strong>de</strong>scendante (downstream, vers l’utilisateur), mais<br />

33,6 kbps pour la liaison montante (upstream, vers le réseau) ; on a donc une liaison<br />

asymétrique, comme pour l’ADSL


II - LE MATÉRIEL (HARDWARE) 77<br />

V.92 : débit <strong>de</strong>scendant jusqu’à 56 kbps, et débit montant jusqu’à 48 kbps. V92 ajoute<br />

aussi quelques fonctions supplémentaires (exemple : V44 plus performante que V42, prise d’appel<br />

téléphonique …).<br />

b) LE MODEM ADSL<br />

Un mo<strong>de</strong>m ADSL transforme les signaux numériques du PC en signaux analogiques qui partent<br />

sur la ligne téléphonique. Et vice-versa pour l'autre sens.<br />

De plus, le mo<strong>de</strong>m ADSL, contrairement aux mo<strong>de</strong>ms analogiques, modifie la fréquence du<br />

signal numérique pour que cette fréquence soit dans la ban<strong>de</strong> passante <strong>de</strong>s hautes fréquences.<br />

Les données véhiculées sur un câble téléphonique sont (par ordre <strong>de</strong> fréquences) :<br />

La première ban<strong>de</strong> <strong>de</strong> fréquence est pour la voix<br />

La <strong>de</strong>uxième est le canal montant (les données qui partent <strong>de</strong> votre PC)<br />

La troisième est le canal <strong>de</strong>scendant (les données arrivant à votre PC)<br />

(Les ban<strong>de</strong>s <strong>de</strong> fréquences ne se chevauchant pas, la téléphonie et l'accès internet sont simultanés)<br />

c) LE MODEM FIBRE OPTIQUE<br />

Ce n'est pas à proprement parler un mo<strong>de</strong>m puisqu'il n'y a pas <strong>de</strong> modulation / démodulation.<br />

C'est un convertisseur qui convertit le signal optique en signal électronique et le dispatche sur un<br />

réseau Ethernet.<br />

Les réseaux ont été créés afin <strong>de</strong> partager <strong>de</strong>s données. Le coût d'un réseau n'est pas élevé et<br />

ses possibilités sont nombreuses :<br />

transfert <strong>de</strong> fichiers<br />

partage <strong>de</strong> périphériques<br />

accès à <strong>de</strong>s unités <strong>de</strong> stockage supplémentaires<br />

Les réseaux locaux ou LAN (LOCAL AREA NETWORK) ont fait leur apparition dans les années 80 et<br />

correspon<strong>de</strong>nt à la multiplication <strong>de</strong>s <strong>micro</strong>-<strong>ordinateurs</strong>, leur débit va <strong>de</strong> plusieurs centaines <strong>de</strong><br />

Mégabits (<strong>ordinateurs</strong> <strong>de</strong> bureau) jusqu'à plusieurs centaines <strong>de</strong> Gigabit (datacenters).<br />

Quelle que soit leur topologie, bus, anneau ou étoile ou leur architecture, poste à poste ou<br />

client/serveur, les réseaux locaux ont la même fonction : relier <strong>de</strong>s <strong>ordinateurs</strong>, tablettes,<br />

mobiles… et <strong>de</strong>s périphériques, leur permettant <strong>de</strong> partager ainsi <strong>de</strong>s données et <strong>de</strong>s<br />

programmes et <strong>de</strong> communiquer.<br />

1. CONNECTION<br />

Une connexion au réseau nécessite 4 éléments principaux:<br />

le réseau et son système <strong>de</strong> diffusion (câblage, émetteur…)<br />

un adaptateur réseau (une carte réseau enfichée ou intégrée dans le P.C., un processeur wifi,<br />

bluetooth…)<br />

un ensemble logiciel adapté au protocole <strong>de</strong> communication du réseau (inclus dans le<br />

système d'exploitation),<br />

l'application cliente (logiciel) qui va dialoguer avec un serveur.<br />

Généralement, la connexion se fait directement sur le câble pour les réseaux locaux à travers la<br />

carte réseau et via le réseau fibre (ou encore le réseau téléphonique cuivre).


2. NORMES<br />

Certains organismes ont la responsabilité <strong>de</strong> définir <strong>de</strong>s normes (ou standards) internationales <strong>de</strong><br />

communication et <strong>de</strong> réseaux locaux.<br />

ISO (INTERNATIONAL STANDARD ORGANISATION)<br />

ANSI (AMERICAN NATIONAL STANDARD INSTITUTE)<br />

IEEE (INSTITUTE OF ELECTRICAL AND ELECTRONIC ENGINEERS)<br />

UIT (UNION INTERNATIONALE DES COMMUNICATIONS)<br />

L'IEEE a eu la responsabilité <strong>de</strong> normaliser les technologies <strong>de</strong> réseaux locaux. Le comité 802<br />

est celui qui a développé ces normes.<br />

ARCHITECTURES<br />

Selon la définition, un réseau est un système qui relie entre eux <strong>de</strong>s postes <strong>de</strong> travail. C'est<br />

précisément cette manière <strong>de</strong> relier les stations <strong>de</strong> travail qui définit la topologie. Il existe trois<br />

topologies fondamentales : en bus, en étoile, en anneau.<br />

a) TOPOLOGIE EN BUS<br />

Les stations sont connectées le long d'un seul câble (ou segment), la limite théorique est <strong>de</strong> 255<br />

stations, ceci n'étant qu'une valeur théorique car la vitesse serait alors très faible. Chaque liaison<br />

au câble est appelée communément "nœud".<br />

Tout message transmis emprunte le câble pour atteindre les différentes stations. Chacune <strong>de</strong>s<br />

stations examine l'adresse spécifiée dans le message en <strong>cours</strong> <strong>de</strong> transmission pour déterminer<br />

s'il lui est <strong>de</strong>stiné. Les câbles utilisés pour cette topologie bus sont <strong>de</strong>s câbles coaxiaux.<br />

Lorsqu'un message est émis par une station, il est transmis dans les <strong>de</strong>ux sens à toutes les<br />

stations qui doivent alors déterminer si le message leur est <strong>de</strong>stiné.<br />

L’avantage du bus est qu’une station en panne ne perturbe pas le reste du réseau. Elle est, <strong>de</strong><br />

plus, très facile à mettre en place. Par contre, en cas <strong>de</strong> rupture du bus, le réseau <strong>de</strong>vient<br />

inutilisable. Par ailleurs, le signal n’est jamais régénéré, ce qui limite la longueur <strong>de</strong>s câbles.<br />

b) TOPOLOGIE EN ANNEAU<br />

Les stations sont connectées sur une boucle continue et fermée <strong>de</strong> câble. Les signaux se<br />

déplacent le long <strong>de</strong> la boucle dans une seule direction et passent par chacune <strong>de</strong>s stations. On<br />

peut, si on le désire, attribuer <strong>de</strong>s droits particuliers à un poste <strong>de</strong> travail que l'on appellera alors<br />

nœud privilégié.<br />

Chaque station fait office <strong>de</strong> répétiteur afin d'amplifier le signal et <strong>de</strong> l'envoyer à la station<br />

suivante. Cette topologie permet d’avoir un débit proche <strong>de</strong> 90% <strong>de</strong> la ban<strong>de</strong> passante. Cette<br />

topologie est fragile, il suffit qu'une connexion entre <strong>de</strong>ux stations ne fonctionne pas<br />

correctement pour que tout le réseau soit en panne.


II - LE MATÉRIEL (HARDWARE) 79<br />

c) TOPOLOGIE EN ETOILE (la plus utilisée)<br />

Les stations sont connectées par <strong>de</strong>s segments <strong>de</strong> câble à un composant central appelé<br />

concentrateur (hub). La solution du concentrateur offre certains avantages, notamment en cas <strong>de</strong><br />

coupure <strong>de</strong> liaisons. L'ensemble <strong>de</strong> la chaîne n'est pas interrompu comme dans une topologie<br />

en bus simple. Par l'intermédiaire <strong>de</strong> ces <strong>de</strong>rniers, les signaux sont transmis <strong>de</strong>puis l'ordinateur<br />

émetteur vers tous les <strong>ordinateurs</strong> du réseau. Toute communication entre <strong>de</strong>ux utilisateurs<br />

quelconques passe obligatoirement par le serveur.<br />

Si une panne survient dans le nœud central, c'est l'ensemble du réseau qui est alors paralysé.<br />

De plus, l'ajout d'une station nécessite un nouveau câble allant du serveur jusqu'à la nouvelle<br />

station. C'est la technologie la plus utilisées actuellement.<br />

d) LE RÉSEAU MAILLÉ<br />

Un réseau maillé possè<strong>de</strong> plusieurs liaisons point à point, chaque point étant relié à tous les<br />

autres. L'inconvénient est le nombre <strong>de</strong> liaisons nécessaires qui peut <strong>de</strong>venir très élevé en<br />

fonction du nombre <strong>de</strong> postes.<br />

Cette topologie se rencontre dans les grands réseaux <strong>de</strong> distribution (Internet). L'information<br />

parcourt le réseau selon <strong>de</strong>s itinéraires variés, sous le contrôle <strong>de</strong> superviseurs <strong>de</strong> réseau, ou<br />

grâce à <strong>de</strong>s métho<strong>de</strong>s <strong>de</strong> routage réparties.<br />

Elle existe aussi dans le cas <strong>de</strong> couverture Wi-Fi. On parle alors bien souvent <strong>de</strong> topologie MESH<br />

mais ne concerne que les routeurs Wi-Fi (protocole OLSR).<br />

Existent aussi le réseau hiérarchique, le réseau en grille, le réseau en hypercube moins<br />

utilisés<br />

3. TECHNOLOGIES<br />

Les réseaux locaux ont connu un énorme développement <strong>de</strong>puis les années 80. Plusieurs<br />

normes existent :<br />

TOKEN RING<br />

Réseau élaboré par IBM qui a été standardisé sous le n° IEEE 802.5. Basée sur le protocole<br />

du jeton sur une topologie en anneau.<br />

ARCNET<br />

Développé initialement par la compagnie Data Point, Arcnet est basé sur le protocole <strong>de</strong><br />

passage du jeton (token passing). Cette technologie accepte les technologies en bus et en<br />

étoile.<br />

ETHERNET (802.3) la plus utilisée<br />

Mise au point par Digital, Xerox et Intel, la communication est assurée par le protocole<br />

CSMA/CD. La transmission se fait sous forme <strong>de</strong> trame (Frame) ou bloc d'information.<br />

4. MÉTHODES D'ACCÈS<br />

Dans un réseau local, chaque nœud est susceptible d'émettre sur le même câble <strong>de</strong> liaison.<br />

L'ensemble <strong>de</strong>s règles d'accès, <strong>de</strong> durée d'utilisation et <strong>de</strong> surveillance constitue le protocole<br />

d'accès aux câbles ou aux médias <strong>de</strong> communication.<br />

CSMA/CD<br />

TOKEN (jeton)<br />

TDMA


5. TRANSMISSION<br />

La transmission peut s'effectuer avec ou sans câbles.<br />

a) TRANSMISSION PAR CÂBLE<br />

Le câble est le support essentiel <strong>de</strong> la transmission entre <strong>de</strong>ux réseaux, celui-ci diffère suivant le<br />

type <strong>de</strong> réseau.<br />

La paire <strong>de</strong> fils torsadée est encore le médium <strong>de</strong> transmission <strong>de</strong> données le plus utilisée.<br />

Il est réalisé à partir <strong>de</strong> paires <strong>de</strong> fils électriques, quelques fois blindés. Ce câble est<br />

employé notamment par les technologies Token Ring et Ethernet x base T.<br />

Le câble coaxial est spécialement conditionné et isolé (le conducteur central est appelé âme), il<br />

est capable <strong>de</strong> transmettre <strong>de</strong>s données à gran<strong>de</strong> vitesse.<br />

La fibre optique permet <strong>de</strong> transmettre d'énormes volumes <strong>de</strong> données à la vitesse <strong>de</strong> la<br />

lumière à travers <strong>de</strong> petit fils <strong>de</strong> verre ou <strong>de</strong> plastique. Il remplace <strong>de</strong> plus en plus<br />

rapi<strong>de</strong>ment tous les autres types <strong>de</strong> câble.<br />

Les fils électriques permettent aussi le transfert d'information. Dans cette technologie<br />

nommée CPL, le signal passe les phases par induction, mais le signal est très vite dégradé<br />

d'une phase à l'autre. Les adaptateurs se branchent directement sur les prises électriques<br />

avec <strong>de</strong>s débits allant <strong>de</strong> 200 Mbps et ceux à 500 Mbp (normes IEEE 1901 et à la norme<br />

HomePlug AV)<br />

b) TRANSMISSION SANS CÂBLE<br />

PLUSIEURS MÉTHODES<br />

LA TRANSMISSION PAR ONDES INFRAROUGES à courte distance est basée sur la fréquence <strong>de</strong><br />

la lumière et utilise une radiation électromagnétique d'une longueur d'on<strong>de</strong> située entre celle<br />

<strong>de</strong> la lumière visible et celles <strong>de</strong>s on<strong>de</strong>s radio.<br />

LA TRANSMISSION PAR ONDES TERRESTRES, ou liaisons hertziennes, projette <strong>de</strong>s données<br />

dans l'espace par l'intermédiaire <strong>de</strong> signaux radio à haute fréquence <strong>de</strong> l'ordre <strong>de</strong> 1000<br />

mégahertz (1GHz est égal à 1 milliard <strong>de</strong> cycles par secon<strong>de</strong>). Les données peuvent être<br />

transmises sur une route terrestre par <strong>de</strong>s répétiteurs distants d'environ 40 kilomètres.<br />

LES ONDES RADIO POUR RÉSEAU CELLULAIRE utilisent les hautes fréquences radio. Des<br />

antennes sont placées géographiquement dans une région pour transférer le signal d'un<br />

poste à l'autre.<br />

LE WIFI est un réseau wlan (wireless lan) utilisant <strong>de</strong>s fréquences spécifiques <strong>de</strong>s on<strong>de</strong>s<br />

terrestres. L'évolution <strong>de</strong>s normes 802.11 (b, a, g, i et n) porte sur le débit du réseau (54<br />

Mbps pour le 802.11 b jusqu'à 1 gigabit théorique pour le 802.11 n), sa sécurité (clés <strong>de</strong> cryptage<br />

pouvant atteindre 256 bits pour le 802.11 i) et sa portée (10 à 100 m actuellement selon les obstacles)<br />

LE BLUETOOTH permet l'échange bidirectionnel <strong>de</strong> données à courte distance en utilisant<br />

<strong>de</strong>s on<strong>de</strong>s radio (UHF 2,4 GHz). Il simplifie les connexions entre appareils proches en<br />

supprimant <strong>de</strong>s liaisons filaires. (Bluetooth est inspiré du nom d'un roi viking Harald Blåtan et le logo<br />

représente ses initiales en alphabet runique)<br />

LE WIMAX est un réseau wlan (wireless lan) <strong>de</strong> transmission <strong>de</strong> données à haut-débit, par<br />

voie hertzienne utilisant <strong>de</strong>s fréquences spécifiques <strong>de</strong>s on<strong>de</strong>s terrestres définies dans les<br />

normes IEEE 802.16. Il est plus ou moins abandonné<br />

La transmission par satellite a l'avantage <strong>de</strong> permettre la connexion <strong>de</strong> zones difficiles<br />

d'accès pour les autres médias. Le réseau "starlink' d'Ellon Mush (12 000 satellites entre 1 100<br />

et 1 300 kilomètres d'altitu<strong>de</strong>) est le plus avancé avec <strong>de</strong>s vitesses <strong>de</strong> transmission d'environ<br />

300 Mbits <strong>de</strong>scendant pour une quinzaine <strong>de</strong> Mbits montant.


II - LE MATÉRIEL (HARDWARE) 81<br />

c) DÉBITS<br />

Ils se mesurent en bits par secon<strong>de</strong>.<br />

SOURCE WIKIPÉDIA


III – LES LOGICIELS (SOFTWARE) 83<br />

Les logiciels sont <strong>de</strong>s programmes comprenant un certain nombre d'instructions écrites en un<br />

langage compréhensible par l'ordinateur. Ils permettent <strong>de</strong> faire effectuer à ce <strong>de</strong>rnier un certain<br />

nombre <strong>de</strong> tâches <strong>de</strong> façon rapi<strong>de</strong> et précise.<br />

Elles sont représentées sous forme électrique dans les circuits <strong>de</strong> l'ordinateur, ces <strong>de</strong>rniers ne<br />

pouvant présenter que <strong>de</strong>ux états <strong>de</strong> fonctionnement, ouvert ou fermé (soit 1 ou 0).<br />

Leur syntaxe obéit aux règles suivantes :<br />

le bit est un élément unique d'information pouvant avoir <strong>de</strong>ux valeurs 0 ou 1<br />

l'octet est un ensemble <strong>de</strong> huit bits représentant un caractère (lettre, chiffre...)<br />

Leur niveau d'agglomération exploitable par l'utilisateur est le fichier. Leur manipulation<br />

s'effectue par le biais du système d'exploitation en utilisant une syntaxe déterminée. On<br />

appelle fichier aussi bien un fichier <strong>de</strong> données qu'un fichier <strong>de</strong> programme<br />

Des tables font la correspondance entre les caractères et leur co<strong>de</strong> : les tables ASCII.


84<br />

À l'origine, un ordinateur ne comprend que le langage binaire (appelé aussi langage machine) qui<br />

n'est rien d'autre qu'une suite <strong>de</strong> 0 et <strong>de</strong> 1. Afin <strong>de</strong> faciliter son utilisation, un certain nombre <strong>de</strong><br />

langages ont été créés qui sont à mi-chemin entre le langage humain (l'anglais) et le langage<br />

machine ; plus un langage est près du langage humain, plus il est facile à utiliser mais plus il est<br />

lent. Plus un langage est près du langage machine, plus il est difficile à utiliser mais plus il est<br />

rapi<strong>de</strong> (ASSEMBLEUR, C, PASCAL, COBOL, BASIC).<br />

Ce sont <strong>de</strong>s programmes développés en vue du traitement d'un type <strong>de</strong> données, d'un métier ou<br />

d'une finalité.<br />

ON DISTINGUE<br />

Les traitements <strong>de</strong> texte<br />

Les tableurs<br />

les bases <strong>de</strong> données<br />

Les logiciels <strong>de</strong> traitement d'images<br />

Les logiciels <strong>de</strong> traitement vidéo<br />

Les logiciels <strong>de</strong> traitement <strong>de</strong> son<br />

Les logiciels <strong>de</strong> Cfao<br />

Les logiciels <strong>de</strong> comptabilité, <strong>de</strong> paie, <strong>de</strong> gestion…<br />

Ils sont composés d'un ensemble <strong>de</strong> programmes qui :<br />

permettent le bon déroulement <strong>de</strong>s applications<br />

gèrent le transfert <strong>de</strong>s données entre mémoire centrale et périphériques<br />

gèrent le rangement et l'accès aux fichiers <strong>de</strong> programme et aux fichiers <strong>de</strong> données<br />

Les interpréteurs <strong>de</strong> comman<strong>de</strong> donnent accès à <strong>de</strong>s comman<strong>de</strong>s en ligne au lieu d'utiliser<br />

l'interface graphique ; leur usage est souvent nécessaire en cas <strong>de</strong> problème et lorsque<br />

l'interface graphique ne peut pas être chargée :<br />

- Le programme COMMAND.COM sous MS-DOS, qui peut paraître désuet, mais qui occupe un<br />

minimum <strong>de</strong> place sur disque et en mémoire<br />

- Le programme CMD.EXE sous Windows NT et XP<br />

- WINDOWS POWERSHELL est l'interpréteur <strong>de</strong> Microsoft, fonctionnant avec Windows


V – WINDOWS 10 85<br />

Le fonctionnement <strong>de</strong> l’ordinateur est étroitement lié à celui du système d’exploitation<br />

La configuration avancée permet d'aller plus loin dans le paramétrage du système.<br />

1. LE MENU D’ADMINISTRATION<br />

Le menu démarrer ou la fenêtre paramètres donnent accès aux fonctionnalités avancées <strong>de</strong><br />

Windows, détaillées ci-après.<br />

a) MENU D’ADMINISTRATION<br />

Il est listé dans le menu démarrer mais est accessible aussi par le bouton droit <strong>de</strong> la souris ou un<br />

raccourci clavier. Il fait le plus souvent appel aux anciennes fenêtres <strong>de</strong> Windows.<br />

BOUTON DROIT<br />

SUR<br />

MENU DÉMARRER<br />

SUR<br />

MENU DÉMARRER<br />

SUR L’OUTIL<br />

X


Afficher le menu d’administration<br />

À noter que toutes les fenêtres ouvertes à partir <strong>de</strong>s paramètres correspon<strong>de</strong>nt à <strong>de</strong>s<br />

applications stockées dans le dossier "system32" <strong>de</strong> Windows.<br />

b) FENÊTRE PARAMÈTRES<br />

C’est le moyen classique d’accé<strong>de</strong>r au paramétrage avec l’ergonomie <strong>de</strong> Windows 10.<br />

SUR<br />

MENU DÉMARRER<br />

c) WINDOWS POWERSHELL<br />

L'invite <strong>de</strong> comman<strong>de</strong>s peut être remplacée par Windows PowerShell.<br />

PARAMÈTRES<br />

SUR<br />

SUR<br />

DE<br />

Windows PowerShell® est un interpréteur <strong>de</strong> ligne <strong>de</strong> comman<strong>de</strong> avec un langage <strong>de</strong> script<br />

conçu spécialement pour l'administration du système<br />

Remplacer l'invite <strong>de</strong> comman<strong>de</strong>s par Windows PowerShell<br />

Lancer Windows PowerShell puis le fermer


V – WINDOWS 10 87<br />

2. LA BARRE DES TACHES<br />

La barre <strong>de</strong>s tâches affiche les applications épinglées et les applications actives.<br />

BOUTON DÉMARRER<br />

APPLICATIONS ÉPINGLÉES<br />

a) DÉVERROUILLER LA BARRE DES TÂCHES<br />

APPLICATIONS ACTIVES<br />

Pour éviter toute erreur <strong>de</strong> manipulation, la barre <strong>de</strong>s tâches peut être verrouillée ; avant <strong>de</strong> modifier<br />

son paramétrage, il faut donc s'assurer qu'elle est bien déverrouillée.<br />

PARAMÈTRES<br />

BOUTON DROIT<br />

SUR<br />

SUR<br />

DE<br />

DANS UNE ZONE VIDE OU SUR<br />

DE LA BARRE DES TÂCHES<br />

SUR<br />

Pour ne plus afficher la barre <strong>de</strong>s tâches, cocher<br />

Si vous en avez besoin, pointer en bas <strong>de</strong> l'écran et elle se réaffiche automatiquement<br />

Déverrouiller la barre <strong>de</strong>s tâches<br />

Masquer la barre <strong>de</strong>s tâches puis pointer à son emplacement<br />

La réafficher<br />

b) ÉPINGLER UNE APPLICATION<br />

Une application peut être épinglée à la barre <strong>de</strong>s tâches à partir du menu démarrer ou du bureau<br />

; ainsi, elle sera plus facilement accessible.<br />

BUREAU<br />

SUR L'ICÔNE DE L'APPLICATION À<br />

ÉPINGLER<br />

SUR<br />

MENU DÉMARRER<br />

SUR L'ICÔNE DE L'APPLICATION<br />

SUR<br />

SUR<br />

Épingler l'application <strong>de</strong> votre choix à la barre <strong>de</strong>s tâches


c) DÉTACHER UNE APPLICATION<br />

Une application peut être détachée <strong>de</strong> la barre <strong>de</strong>s tâches aussi facilement.<br />

BUREAU<br />

SUR L'ICÔNE DE L'APPLICATION<br />

SUR<br />

MENU DÉMARRER<br />

SUR L'ICÔNE DE L'APPLICATION<br />

SUR<br />

SUR<br />

SUR L'ICÔNE DE L'APPLICATION<br />

SUR<br />

BARRE DES TACHES<br />

Épingler la calculatrice à la barre <strong>de</strong>s tâches (si elle l'est déjà, détachez-la <strong>de</strong> la barre puis<br />

épinglez-la <strong>de</strong> nouveau)<br />

d) AUTRES PARAMÈTRES<br />

<strong>de</strong> nombreux paramètres peuvent être gérés.<br />

PARAMÈTRES<br />

BARRE DES TACHES<br />

DANS UNE ZONE VIDE OU SUR<br />

SUR<br />

SUR<br />

La barre <strong>de</strong>s tâches s'affiche sur <strong>de</strong>ux niveaux lorsque les icônes sont trop nombreuses


V – WINDOWS 10 89<br />

3. LES BARRES D'OUTILS<br />

Elles peuvent être ajoutées à la barre <strong>de</strong>s tâches.<br />

BARRE DES TACHES<br />

DANS UNE ZONE VIDE OU SUR<br />

SUR<br />

SUR UNE BARRE POUR L'AFFICHER<br />

Les barres d'outils s'affichent.<br />

MENU BARRE DES TÂCHES BARRE D'ADRESSE LIEN BUREAU NOTIFICATIONS<br />

La barre d'adresse permet <strong>de</strong> saisir une adresse locale S ou internet<br />

La barre <strong>de</strong> liens affiche les liens existants<br />

La barre <strong>de</strong> bureau permet d'accé<strong>de</strong>r directement aux raccourcis du bureau en cliquant sur<br />

Afficher les barres "bureau" et "adresse"<br />

Accé<strong>de</strong>r à une application par la barre "bureau" puis fermer cette application<br />

Saisir dans la barre adresse "documents" et vali<strong>de</strong>r<br />

Saisir dans la barre "adresse" une adresse internet, vali<strong>de</strong>r puis ne plus afficher les barres<br />

4. ZONE DE NOTIFICATION<br />

Les icônes <strong>de</strong> notification affichent <strong>de</strong>s informations sur le système et les processus rési<strong>de</strong>nts.<br />

SUR<br />

MENU DÉMARRER<br />

À DROITE DE LA ZONE<br />

SUR<br />

NOTIFICATIONS<br />

SUR<br />

SUR<br />

ACTIVER OU DÉSACTIVER LES INTERRUPTEURS<br />

/


a) ICÔNES D'APPLICATION<br />

Elles vont pouvoir éventuellement s'afficher dans la zone <strong>de</strong> notification.<br />

SUR<br />

SUR<br />

ACTIVER OU DÉSACTIVER LES INTERRUPTEURS<br />

b) ICÔNES SYSTÈME<br />

Là aussi il est possible <strong>de</strong> choisir lesquelles afficher.<br />

SUR<br />

SUR<br />

ACTIVER OU DÉSACTIVER LES INTERRUPTEURS<br />

Activer les notifications que vous souhaitez voir affichées et désactiver les autres


V – WINDOWS 10 91<br />

5. LES APPLICATIONS<br />

L'installation et la suppression d'applications sont gérées par le système.<br />

a) INSTALLER UNE NOUVELLE APPLICATION<br />

L'installation commence le plus souvent automatiquement à la fin du téléchargement.<br />

BOUTON GAUCHE<br />

TÉLÉCHARGER L'APPLICATION (OU METTRE LE CD OU LE DVD DANS LE LECTEUR)<br />

SUR LE .EXE<br />

PASSER L'AVERTISSEMENT DE SÉCURITÉ WINDOWS<br />

SUIVRE LES INDICATIONS DE L'ÉDITEUR<br />

La plupart du temps, le programme d'installation <strong>de</strong>man<strong>de</strong> s'il doit créer une icône dans la barre <strong>de</strong>s<br />

tâches et/ou sur le bureau ; selon le <strong>de</strong>gré d'utilité et d'utilisation <strong>de</strong> l'application, répondre "oui" à<br />

l'un et/ou à l'autre<br />

b) MODIFIER / SUPPRIMER UNE APPLICATION EXISTANTE<br />

Vous pouvez modifier ou réinstaller une application qui ne fonctionne pas bien où encore<br />

supprimer définitivement une application non utilisée.<br />

PARAMÈTRES<br />

SÉLECTIONNER L'APPLICATION<br />

SUR<br />

2- ICI<br />

1- SÉLECTIONNER<br />

L'APPLICATION


c) UTILISER LE MODE COMPATIBILITÉ<br />

Certaines applications anciennes peuvent présenter <strong>de</strong>s problèmes <strong>de</strong> fonctionnement sous<br />

Windows 10 ; il est alors possible <strong>de</strong> démarrer une application en mo<strong>de</strong> compatible.<br />

BUREAU<br />

<br />

ONGLET<br />

SUR L'APPLICATION À MODIFIER<br />

COCHER<br />

MODIFIER LES PARAMÈTRES (Windows 95, Windows 98, Windows xp…)<br />

POUR VALIDER<br />

MENU DÉMARRER<br />

SUR L'APPLICATION À MODIFIER<br />

SUR<br />

SUR<br />

<br />

ONGLET<br />

SUR LE FICHIER EXÉCUTABLE À MODIFIER<br />

COCHER<br />

MODIFIER LES PARAMÈTRES (Windows 95, Windows 98, Windows xp…)<br />

POUR VALIDER<br />

POUR DÉROULER<br />

LES MODES DE COMPATIBILITÉ<br />

Si malgré tout, le programme ne fonctionne pas, essayer<br />

Si plusieurs utilisateurs recensés utilisent l'application, il est préférable <strong>de</strong> traiter les paramètres<br />

<strong>de</strong> tous les utilisateurs en même temps en cliquant sur<br />

Rechercher le programme lançant la calculatrice ; le paramétrer en mo<strong>de</strong> compatibilité<br />

"windows98" et vérifier si cela fonctionne – annuler


V – WINDOWS 10 93<br />

d) EXÉCUTER EN MODE ADMINISTRATEUR<br />

Certaines applications exigent <strong>de</strong> fonctionner en mo<strong>de</strong> "administrateur". Plutôt que <strong>de</strong> travailler<br />

tout le temps dans ce mo<strong>de</strong> qui fragilise la sécurité du <strong>micro</strong>-ordinateur, il est préférable <strong>de</strong><br />

paramétrer uniquement les applications (peu nombreuses et souvent anciennes) qui l'exigent ou<br />

d'utiliser ce mo<strong>de</strong> en fonction <strong>de</strong>s besoins.<br />

MENU DÉMARRER<br />

SUR L'APPLICATION À MODIFIER<br />

SUR<br />

SUR<br />

<br />

ONGLET<br />

COCHER<br />

BUREAU<br />

POUR VALIDER<br />

Paramétrer la calculatrice en mo<strong>de</strong> compatibilité "administrateur" et vérifier si cela<br />

fonctionne – annuler<br />

e) DÉFINIR UN PROGRAMME PAR DÉFAUT<br />

Un type <strong>de</strong> fichier donné est associé à un programme pour que son ouverture s'effectue avec<br />

l'application choisie. Ces associations, définies à l'installation <strong>de</strong> Windows, sont éventuellement<br />

modifiées lors <strong>de</strong> l'installation <strong>de</strong> nouvelles applications.<br />

PARAMÉTRES<br />

SUR<br />

SUR L'APPLICATION ACTUELLE<br />

SÉLECTIONNER LA NOUVELLE APPLICATION PAR DÉFAUT<br />

OU<br />

1- POUR<br />

CHANGER D'APPLICATION<br />

2- POUR<br />

SÉLECTIONNER L'APPLICATION


f) ASSOCIER UN TYPE DE FICHIER<br />

Le type <strong>de</strong> fichier <strong>de</strong> données peut aussi être directement associé à un programme. Les<br />

extensions <strong>de</strong> fichiers associés à ce programme peuvent être gérées individuellement.<br />

PARAMÉTRES<br />

SUR<br />

SUR<br />

SÉLECTIONNER L' APPLICATION<br />

SUR<br />

SUR L'APPLICATION ASSOCIÉE EN FACE DE L'EXTENSION<br />

MODIFIER ÉVENTUELLEMENT L'APPLICATION ASSOCIÉE<br />

Définir Paint comme programme par défaut pour tous les fichiers <strong>de</strong> type GIF, BMP et<br />

PNG<br />

Un type <strong>de</strong> fichier se reconnait par<br />

son icône<br />

elle indique l'application associée<br />

son suffixe (extension plus toujours affichée)<br />

Il est formé d'un point suivi <strong>de</strong> x caractères déterminant le type <strong>de</strong> fichier<br />

ICÔNE<br />

SUFFIXE


V – WINDOWS 10 95<br />

BOUTON DROIT<br />

DANS UNE FENÊTRE DE L'EXPLORATEUR<br />

SÉLECTIONNER UN FICHIER<br />

<br />

<br />

SUR<br />

SÉLECTIONNER UNE APPLICATION<br />

OU<br />

SUR (éventuellement )<br />

SUR L'APPLICATION<br />

COCHER<br />

POUR VALIDER<br />

POUR CHANGER<br />

L'APPLICATION ASSOCIÉE<br />

Vérifier que tous les fichiers <strong>de</strong> type "HTML" sont bien ouverts avec Microsoft Edge,<br />

sinon modifier le programme par défaut


6. LES DONNÉES<br />

Les fichiers <strong>de</strong> données se trouvent habituellement dans le dossier "DOCUMENTS" ou<br />

"ONEDRIVE", le dossier synchronisé.<br />

a) INDEXER LES DONNÉES<br />

Pour améliorer la précision et la rapidité d'une recherche, les fichiers <strong>de</strong> données sont in<strong>de</strong>xés.<br />

PARAMÈTRES<br />

SUR<br />

SUR<br />

DE<br />

la liste <strong>de</strong>s emplacements in<strong>de</strong>xés s'affiche<br />

permet d'accé<strong>de</strong>r directement à la liste <strong>de</strong>s exclusions<br />

sur<br />

affiche la liste complète <strong>de</strong>s emplacements avec une coche<br />

pour ceux in<strong>de</strong>xés - cocher le ou les dossiers à in<strong>de</strong>xer


V – WINDOWS 10 97<br />

permet <strong>de</strong> paramétrer le type <strong>de</strong> fichiers à in<strong>de</strong>xer, l'emplacement <strong>de</strong><br />

l'in<strong>de</strong>x et éventuellement <strong>de</strong> reconstruire ce <strong>de</strong>rnier<br />

Vérifier le bon paramétrage <strong>de</strong> l'in<strong>de</strong>xation et l'optimiser éventuellement<br />

b) RESTAURER UNE VERSION ANTÉRIEURE<br />

Le système gar<strong>de</strong> la trace <strong>de</strong> l'historique <strong>de</strong>s modifications effectuées dans un fichier ; il peut<br />

restaurer une version plus ancienne <strong>de</strong> ce fichier.<br />

(1) À PARTIR DU FICHIER<br />

La restauration peut s'effectuer à partir du fichier même dans l'explorateur <strong>de</strong> fichiers.<br />

EXPLORATEUR<br />

SÉLECTIONNER LE FICHIER<br />

<br />

SÉLECTIONNER LA VERSION<br />

SUR<br />

OU<br />

POUR OUVRIR LE FICHIER AVEC L'APPLICATION D'ORIGINE<br />

SUR<br />

POUR REMPLACER LE FICHIER EXISTANT PAR CETTE VERSION<br />

ENREGISTRER LE FICHIER RESTAURÉ AVEC UN NOM EXPLICITE


(2) À PARTIR DE L'HISTORIQUE DES VERSIONS<br />

La totalité <strong>de</strong> l'historique est ici disponible.<br />

EXPLORATEUR<br />

SÉLECTIONNER LE FICHIER<br />

<br />

SÉLECTIONNER LA VERSION<br />

SUR<br />

OU<br />

POUR OUVRIR LE FICHIER AVEC L'APPLICATION D'ORIGINE<br />

SUR<br />

POUR REMPLACER LE FICHIER EXISTANT PAR CETTE VERSION<br />

L'utilisation <strong>de</strong> ONEDRIVE garantit la fiabilité et la flexibilité <strong>de</strong> ce processus <strong>de</strong> restauration.<br />

Tester ce processus sur un fichier local et un fichier onedrive


V – WINDOWS 10 99<br />

c) PARTAGER UN DOSSIER OU UN FICHIER<br />

Partager un dossier, un fichier, c'est le mettre à disposition d'autres utilisateurs pour qu'ils le<br />

lisent, y ajoutent <strong>de</strong>s commentaires ou bien le modifient. Plusieurs possibilités existent :<br />

Le partage via ONEDRIVE<br />

Le partage avec un autre utilisateur du même <strong>micro</strong>-ordinateur<br />

Le partage avec <strong>de</strong>s machines à proximité<br />

Le partage avec votre téléphone<br />

(1) PARTAGE ONEDRIVE<br />

C'est là l'un <strong>de</strong>s principaux avantages du cloud <strong>de</strong> pouvoir partager et travailler en collaboration<br />

sur <strong>de</strong>s fichiers.<br />

SUR<br />

EN HAUT ET À DROITE POUR SÉLECTIONNER LE(S) DOSSIER(S) OU LE(S)<br />

FICHIER(S) À PARTAGER<br />

SUR<br />

ÉVENTUELLEMENT SUR<br />

INDIQUER L'ADRESSE MAIL DU/ DES DESTINATAIRES<br />

SUR<br />

Partager un dossier


(2) PARTAGE AVEC D'AUTRES UTILISATEURS<br />

Il concerne un fichier local et ne permet pas la collaboration, juste la mise à disposition<br />

EXPLORATEUR<br />

SÉLECTIONNER LE FICHIER OU LE DOSSIER<br />

<br />

ONGLET<br />

SUR<br />

SAISIR LE NOM D'UTILISATEUR<br />

OU<br />

SUR<br />

POUR DÉROULER LES UTILISATEURS<br />

SUR<br />

le nouvel utilisateur doit avoir un compte sur l'ordinateur<br />

AJOUTER ÉVENTUELLEMENT D'AUTRES UTILISATEURS<br />

SUR<br />

SUR<br />

Partager le ficher "emprunt" avec d'autres éventuels utilisateurs <strong>de</strong> l'ordinateur<br />

Tester le partage<br />

(3) PARTAGE À PROXIMITÉ<br />

Le partage s'effectue ici avec les machines d'un réseau WIFI ou BLUETOOTH.<br />

PARAMÈTRES<br />

SUR<br />

SUR<br />

DE


V – WINDOWS 10 101<br />

L'échange <strong>de</strong> données ente applications peut être paramétré ici.<br />

Activer le partage <strong>de</strong> proximité<br />

(4) PARTAGE AVEC VOTRE TÉLÉPHONE<br />

Télécharger sur le Windows Store l'application<br />

qui permet <strong>de</strong> recevoir les sms<br />

sur l'ordinateur et d'y répondre. Cette application a pour but <strong>de</strong> permettre <strong>de</strong> téléphoner et <strong>de</strong><br />

recevoir <strong>de</strong>s appels téléphoniques sur l'ordinateur.<br />

PARAMÈTRES<br />

SUR<br />

SUR<br />

SUIVRE LES INSTRUCTIONS<br />

Associer votre téléphone, tester puis annuler


7. LES UTILISATEURS ET LES MOTS DE PASSE<br />

La notion <strong>de</strong> profil d'utilisateur et <strong>de</strong> mot <strong>de</strong> passe est très importante dans Windows dix ;<br />

Windows gère l'accès aux dossiers et fichiers, locaux ou en ligne, ainsi que leur synchronisation<br />

sur la base <strong>de</strong> ces profils, le plus souvent lié à un compte Microsoft.<br />

a) AVATAR<br />

C'est l'image associée au compte utilisateur. Ce peut être une photo ou une image.<br />

PARAMÈTRES<br />

SUR<br />

SUR<br />

SUR<br />

SÉLECTIONNER UNE IMAGE<br />

SUR<br />

b) COMPTE<br />

POUR PRENDRE<br />

UNE PHOTO<br />

POUR CHOISIR<br />

UNE PHOTO<br />

Il i<strong>de</strong>ntifie l'utilisateur et les informations sont répartie en <strong>de</strong>ux endroits.<br />

PARAMÈTRES<br />

SUR<br />

SUR


V – WINDOWS 10 103<br />

COMPTE LIÉ AUX PRODUITS<br />

MICROSOFT UTILISÉS<br />

Conserver un compte en ligne pour pouvoir synchroniser vos mails, contacts et fichiers (ONEDRIVE)<br />

PARAMÈTRES<br />

SUR<br />

SUR


c) OPTIONS DE CONNEXION<br />

Elles gèrent l'accès à l'ordinateur.<br />

(1) MOT DE PASSE<br />

Il protège votre ordinateur <strong>de</strong>s intrusions. C'est l'option <strong>de</strong> connexion la plus simple si ce n'est<br />

pas la plus sécurisée…<br />

PARAMÈTRES<br />

SUR<br />

SUR<br />

CHOISIR UNE MÉTHODE<br />

NÉCESSITE UNE CAMÉRA<br />

TOUJOURS ACTIVÉE (NON<br />

RECOMMANDÉ)<br />

NÉCESSITE UN LECTEUR<br />

D'EMPREINTE<br />

NÉCESSITE UNE CLÉ USB<br />

SPÉCIFIQUE<br />

Pour mettre à jour son mot <strong>de</strong> passe<br />

SUR<br />

SUR<br />

SAISIR DEUX FOIS LE MOT DE PASSE<br />

POUR VALIDER


V – WINDOWS 10 105<br />

Microsoft peut vous <strong>de</strong>man<strong>de</strong>r <strong>de</strong> confirmer votre i<strong>de</strong>ntité, notamment pour modifier un compte<br />

Microsoft<br />

(2) VERROUILLAGE<br />

C'est aussi ici que la gestion <strong>de</strong> la sortie <strong>de</strong> la mise en veille <strong>de</strong> l'ordinateur est gérée<br />

Ainsi que son verrouillage<br />

Si votre ordinateur gère le Bluetooth, vous pouvez paramétrer ici son verrouillage lorsque<br />

votre téléphone ou montre Bluetooth ne sont plus à portée<br />

(3) CONFIDENTIALITÉ<br />

Ces paramètres gèrent l'utilisation par les applications <strong>de</strong> certaines informations du compte<br />

utilisateur.<br />

CONSEILLÉ


d) COMPTE PROFESSIONNEL OU SCOLAIRE<br />

Il est courant d'avoir, en plus <strong>de</strong> son adresse personnelle, une adresse professionnelle (et pour<br />

les jeunes, une adresse scolaire).<br />

PARAMÈTRES<br />

SUR<br />

SUR<br />

SUR POUR AJOUTER UN COMPTE<br />

RENSEIGNER LES INFORMATIONS<br />

e) AUTRES UTILISATEURS<br />

On peut ajouter <strong>de</strong> nouveaux utilisateurs à un ordinateur et gérer notamment la notion <strong>de</strong> famille.<br />

PARAMÈTRES<br />

SUR<br />

SUR<br />

SUR POUR AJOUTER UN UTILISATEUR<br />

RENSEIGNER LES INFORMATIONS


V – WINDOWS 10 107<br />

f) SYNCHRONISATION<br />

Il est courant d'avoir besoin <strong>de</strong> synchroniser <strong>de</strong>s informations entre divers appareils. Cette<br />

synchronisation s'effectue par le biais du compte Microsoft associé.<br />

PARAMÈTRES<br />

SUR<br />

SUR<br />

RENSEIGNER LES INFORMATIONS<br />

POUR ACTIVER


WINDOWS DIX est un système d'exploitation HOT PLUG AND PLAY, le système reconnaît<br />

automatiquement le matériel branché en <strong>cours</strong> <strong>de</strong> fonctionnement, ceci grâce notamment au bus<br />

USB (UNIVERSAL SÉRIAL BUS).<br />

WINDOWS affiche les caractéristiques matérielles <strong>de</strong> base du système tel qu'il l'a reconnu.<br />

Toutes les manipulations <strong>de</strong> base figurent dans le manuel "Windows 10, utilisation et<br />

configuration"<br />

PARAMÉTRES<br />

SUR<br />

DESCRIPTION DÉTAILLÉE<br />

Afficher les informations système <strong>de</strong> votre ordinateur


V – WINDOWS 10 109<br />

1. LES PÉRIPHÉRIQUES<br />

ILS PEUVENT ÊTRE :<br />

EXTERNES, ils sont souvent <strong>de</strong> type USB ou BLUETOOTH. Ils sont faciles à installer et peuvent<br />

être branchés ou débranchés sans arrêter l'ordinateur.<br />

INTERNES, ils sont plus complexes à installer, nécessitent l'ouverture du boitier <strong>de</strong><br />

l'ordinateur, l'utilisation d'un tournevis et la connaissance <strong>de</strong>s types <strong>de</strong> bus (sata, <strong>pc</strong>i…)<br />

Un périphérique USB est reconnu puis installé à chaque nouveau branchement du<br />

périphérique ou démarrage <strong>de</strong> l'ordinateur ; un périphérique <strong>de</strong> type IDE, SATA, PCI, PCI<br />

EXPRESS… est reconnu une fois pour toutes ; si la connexion BLUETOOTH est activée, un<br />

périphérique accepté une fois est reconnu postérieurement<br />

2. GÉRER LES PÉRIPHÉRIQUES<br />

Le gestionnaire <strong>de</strong> périphériques donne <strong>de</strong>s informations détaillées sur le matériel.<br />

PARAMÈTRES<br />

MENU DÉMARRER<br />

<br />

SUR


SUR<br />

appartenant<br />

SUR<br />

pour développer la classe indiquée et afficher les périphériques lui<br />

pour réduire la classe indiquée et ne plus afficher ses périphériques<br />

La barre d'outils<br />

permettent <strong>de</strong> gérer les périphériques<br />

ou le menu<br />

Le menu affichage permet <strong>de</strong> choisir le type d'arborescence présenté.<br />

3. PROPRIÉTÉS DES PÉRIPHÉRIQUES<br />

Les propriétés du périphérique permettent <strong>de</strong> vérifier son fonctionnement, mettre à jour le pilote…<br />

GESTIONNAIRE DE PÉRIPHÉRIQUES<br />

SÉLECTIONNER LE PÉRIPHÉRIQUE<br />

PROPRIÉTÉS


V – WINDOWS 10 111<br />

L'onglet indique les PLAGES MÉMOIRES et L'IRQ utilisées par le matériel ; ces<br />

ressources sont gérées automatiquement par le système et même si cela est encore<br />

possible, il est très rare d'avoir à le faire manuellement<br />

L'onglet gère le pilote du matériel, c'est-à-dire le programme qui fait le lien entre le matériel et le<br />

système d'exploitation. Un pilote est spécifique à un système d'exploitation ; à ce niveau, il est aussi<br />

possible <strong>de</strong> désactiver un périphérique non utilisé<br />

REND L'APPAREIL<br />

INACTIF<br />

SUPPRIME LE PILOTE<br />

4. INSTALLER UN PÉRIPHÉRIQUE USB<br />

Les périphériques externes sont le plus souvent <strong>de</strong> type USB ; pour les installer, il suffit <strong>de</strong> les<br />

raccor<strong>de</strong>r à l'ordinateur et d'allumer le périphérique. L'ensemble <strong>de</strong>s opérations est automatique.<br />

BRANCHER LE CÂBLE USB ENTRE LE PÉRIPHÉRIQUE ET<br />

L'ORDINATEUR<br />

ALLUMER LE PÉRIPHÉRIQUE<br />

Windows indique avec une icône <strong>de</strong> notification qu'un<br />

périphérique USB est en <strong>cours</strong> d'installation ; peu après,<br />

Windows indique "le périphérique est prêt à l'emploi"


5. ENLEVER UN PÉRIPHÉRIQUE USB<br />

Avant <strong>de</strong> débrancher un périphérique USB, il est préférable <strong>de</strong> prévenir le système d'exploitation afin<br />

qu'il coupe auparavant toute communication avec ce périphérique.<br />

ZONE DE NOTIFICATIONS<br />

SUR<br />

SUR<br />

SUR<br />

6. DÉSACTIVER UN PÉRIPHÉRIQUE<br />

Un périphérique peut aussi être désactivé ; il reste présent mais il est neutralisé et n'est plus actif.<br />

GESTIONNAIRE DE PÉRIPHÉRIQUES<br />

SÉLECTIONNER LE PÉRIPHÉRIQUE<br />

SUR<br />

OU<br />

PROPRIÉTÉS AFFICHÉES<br />

SUR<br />

Le périphérique étant toujours présent, il suffit <strong>de</strong> procé<strong>de</strong>r à la même opération pour le<br />

réactiver<br />

Un périphérique semble présenter <strong>de</strong>s problèmes <strong>de</strong> fonctionnement ; après s'être assuré que cela<br />

ne pose pas <strong>de</strong> problèmes, le désactiver puis le réactiver


V – WINDOWS 10 113<br />

7. DÉSINSTALLER UN PÉRIPHÉRIQUE<br />

Un périphérique peut être désinstallé s'il n'est plus utilisé ou s'il ne fonctionne pas bien.<br />

PARAMÈTRES<br />

GEST. PÉRIPHÉRIQUES<br />

SÉLECTIONNER LE PÉRIPHÉRIQUE<br />

SUR<br />

OU<br />

PROPRIÉTÉS AFFICHÉES<br />

ONGLET<br />

SUR PÉRIPHÉRIQUE<br />

SUR<br />

SUR<br />

Si le périphérique ne doit plus jamais être utilisé, cocher<br />

afin<br />

d'alléger le système ; i<strong>de</strong>m si la désinstallation est motivée par un mauvais fonctionnement ; il est<br />

alors préférable d'enlever le pilote puis <strong>de</strong> réinstaller l'ensemble<br />

Pour réinstaller le périphérique, il faut éventuellement rechercher <strong>de</strong> nouvelles modifications<br />

sur le matériel<br />

( OU MENU ACTIONS )<br />

8. METTRE A JOUR LE PILOTE<br />

WINDOWS DIX utilise ses propres pilotes. Il se peut que <strong>de</strong>s problèmes surviennent, notamment<br />

parce que beaucoup <strong>de</strong> constructeurs préfèrent ne pas développer <strong>de</strong> pilotes pour un<br />

périphérique un peu ancien afin d'inciter les consommateurs à faire évoluer leur matériel. Si un<br />

périphérique ne fonctionne pas, il faut d'abord essayer <strong>de</strong> le désinstaller complètement (Y COMPRIS<br />

LE PILOTE) puis <strong>de</strong> le réinstaller.<br />

GESTIONNAIRE DE PÉRIPHÉRIQUES<br />

SÉLECTIONNER LE PÉRIPHÉRIQUE<br />

SUR<br />

OU<br />

PROPRIÉTÉS AFFICHÉES<br />

ONGLET<br />

SUR


Que ce soit en entreprise ou à la maison, la notion <strong>de</strong> réseau est <strong>de</strong>venue une notion familière :<br />

on relie <strong>de</strong>s <strong>ordinateurs</strong>, <strong>de</strong>s tablettes, <strong>de</strong>s mobiles par câble ou par air afin <strong>de</strong> partager <strong>de</strong>s<br />

musiques, <strong>de</strong>s vidéos, <strong>de</strong>s images, <strong>de</strong> profiter <strong>de</strong>s ressources <strong>de</strong> l'un ou <strong>de</strong> l'autre, d'échanger<br />

<strong>de</strong>s informations ou encore <strong>de</strong> travailler ensemble sur un document.<br />

Pour partager <strong>de</strong>s fichiers <strong>de</strong> manière simple entre les utilisateurs <strong>de</strong> votre ordinateur ou avec les<br />

autres <strong>ordinateurs</strong> du réseau, travaillez directement dans le dossier ou la bibliothèque "PUBLIC" ou<br />

bien mettez les dossiers ou fichiers à partager dans le dossier "PUBLIC" et gar<strong>de</strong>r une copie <strong>de</strong>s<br />

originaux<br />

La fenêtre "RÉSEAU ET INTERNET" est le poste <strong>de</strong> comman<strong>de</strong>s <strong>de</strong> l'ensemble du réseau.<br />

NOTIFICATIONS<br />

PARAMÈTRES<br />

SUR<br />

SUR<br />

TYPE DE CONNEXION<br />

TYPE DE RÉSEAU


V – WINDOWS 10 115<br />

Rappel : La zone <strong>de</strong> notification permet d'afficher simplement les réseaux.<br />

NOTIFICATIONS<br />

SUR<br />

1. LA CONNEXION AU RÉSEAU<br />

La reconnaissance <strong>de</strong>s différentes connexions s'effectue automatiquement à l'installation <strong>de</strong><br />

Windows dix. Les réseaux sans fil s'affichent en fonction <strong>de</strong> l'emplacement géographique <strong>de</strong><br />

l'ordinateur et <strong>de</strong> l'éventuelle couverture par le WIFI.<br />

a) AFFICHER LES CONNEXIONS<br />

Une connexion correspond à une liaison avec un réseau.<br />

(1) LES TYPES DE CONNEXION<br />

Plusieurs types <strong>de</strong> connexions sont possibles :<br />

Le câble<br />

c'est habituellement un câble <strong>de</strong> catégorie 5 ou 6 avec une prise RJ45 ; les<br />

<strong>micro</strong>s et éventuellement d'autres périphériques (IMPRIMANTE) sont reliés en étoile (CÂBLE<br />

DROIT) à un hub/routeur ou à une box (ORANGE, FREE, SFR, BOUYGUES…) ; un NAS (ENSEMBLE DE<br />

DISQUES GÉRÉS ET PARTAGÉS) dédié peut jouer le rôle <strong>de</strong> serveur <strong>de</strong> fichiers mais ce n'est pas<br />

obligatoire.<br />

Le Wifi<br />

Les on<strong>de</strong>s radios, amplifiées par un émetteur et réceptionnées par une antenne, couvrent<br />

un territoire donné<br />

Le VPN<br />

Le Réseau Privé Virtuel n'est pas à proprement parler un type <strong>de</strong> connexion particulier<br />

puisqu'il utilise l'un ou l'autre <strong>de</strong>s mo<strong>de</strong>s <strong>de</strong> transport ci-<strong>de</strong>ssus pour créer, par le biais<br />

d'internet, un tunnel virtuel sécurisé par lequel les informations vont transiter.<br />

Si vous reliez <strong>de</strong>s <strong>ordinateurs</strong> par câble directement, sans passer par un hub/routeur, penser à<br />

utiliser du câble croisé et non du droit (L'ORDRE DES CÂBLES EST INVERSÉ D'UNE PRISE DU CÂBLE À L'AUTRE)<br />

Les portables sont équipés du WIFI mais les PC <strong>de</strong> bureau nécessitent le plus souvent l'adjonction<br />

d'un périphérique dédié (CLÉ USB, CARTE…) pour se connecter à un réseau WIFI


(2) LA GESTION DES CONNEXIONS<br />

Pour chaque couple "type <strong>de</strong> connexion/réseau connecté", une icône s'affiche dans la fenêtre <strong>de</strong><br />

gestion <strong>de</strong>s connexions.<br />

SUR<br />

SUR LA CONNEXION<br />

AFFICHE<br />

LES PROPRIÉTÉS<br />

(3) LES PROPRIÉTÉS DE LA CONNEXION<br />

Le statut <strong>de</strong> la connexion affiche l'état du réseau et la quantité d'information envoyée et reçue.<br />

SUR<br />

SUR<br />

SUR LA CONNEXION<br />

ADRESSE IPV6 DE<br />

LA CONNEXION<br />

ADRESSE IPV4 DE<br />

LA CONNEXION<br />

ADRESSE DU ROUTEUR<br />

OU DE LA BOX


V – WINDOWS 10 117<br />

b) TYPE DU RÉSEAU<br />

Les caractéristiques du réseau peuvent être modifiées.<br />

(1) LES CARACTÉRISTIQUES DU RÉSEAU<br />

Elles permettent <strong>de</strong> paramétrer chaque type <strong>de</strong> réseau, notamment "public" ou "privé" avec les<br />

options <strong>de</strong> sécurité appropriées. Selon ce type, l'une ou l'autre <strong>de</strong>s options ci-<strong>de</strong>ssous seront<br />

disponibles. Elles sont disponibles dans les mêmes fenêtres <strong>de</strong> propriété.<br />

SUR<br />

SUR<br />

SUR LA CONNEXION<br />

LE RÉSEAU UTILISÉ EST<br />

DÉCLARÉ COMME "PRIVÉ"<br />

SUR<br />

SUR


La découverte du réseau permet <strong>de</strong> voir les autres <strong>ordinateurs</strong> du réseau et d'être vu par eux.<br />

Le partage <strong>de</strong> fichiers et d'imprimantes met à disposition <strong>de</strong>s autres membres du réseau dossiers,<br />

fichiers et imprimantes. Il reste, dans un second temps, à préciser ce que vous partagez.<br />

La protection par mot <strong>de</strong> passe restreint l'accès aux ressources partagées aux seules personnes<br />

qui ont un compte (NOM ET MOT DE PASSE) sur cet ordinateur.<br />

Le chiffrement <strong>de</strong>s connexions garantit leur sécurité. Le chiffrement 128 bits est le plus sûr mais<br />

n'est pas reconnu par tous les périphériques.<br />

Le partage <strong>de</strong> fichiers multimédias permet aux autres membres du réseau <strong>de</strong> profiter <strong>de</strong> vos<br />

fichiers <strong>de</strong> musique, d'images, <strong>de</strong> vidéos….<br />

(2) RÉSEAU PRIVÉ OU PUBLIC<br />

Il détermine si le réseau est ouvert à tous ou non.<br />

Un réseau privé est un réseau réservé à <strong>de</strong>s utilisateurs définis ; Au sein <strong>de</strong> ce réseau privé, le<br />

groupe rési<strong>de</strong>ntiel sert à partager photos, films et musique ainsi que l'imprimante et la liaison<br />

internet. Votre ordinateur est alors visible par les autres <strong>ordinateurs</strong> du réseau.<br />

Un réseau public est ouvert à tous (RÉSEAUX WIFI D'AÉROPORTS, GARES, CYBERCAFÉS…). Votre ordinateur<br />

n'est alors pas visible par les autres <strong>ordinateurs</strong> du réseau mais Il doit être bien sécurisé.


V – WINDOWS 10 119<br />

(3) LE GROUPE DE TRAVAIL - LE DOMAINE<br />

Il détermine l'appartenance <strong>de</strong> l'ordinateur à un réseau à titre professionnel.<br />

Un groupe <strong>de</strong> travail est un ensemble d'<strong>ordinateurs</strong> homogènes appartenant à un même<br />

groupe (SERVICES D'UNE ENTREPRISE…)<br />

Un domaine est lié à un serveur <strong>de</strong> fichiers.<br />

PARAMÈTRES<br />

SUR<br />

SUR<br />

sur<br />

pour modifier le groupe <strong>de</strong> travail ou le domaine


appelle un assistant pour ai<strong>de</strong>r au paramétrage<br />

Il faut donner exactement le même nom <strong>de</strong> groupe <strong>de</strong> travail à tous les <strong>ordinateurs</strong> qui doivent<br />

partager <strong>de</strong>s ressources<br />

c) CONFIGURER LE RÉSEAU FILAIRE<br />

Dans la majorité <strong>de</strong>s cas, toute la configuration du réseau s'effectue automatiquement, y<br />

compris l'attribution <strong>de</strong>s adresses IP.<br />

PLAGE D'ADRESSES<br />

DYNAMIQUES<br />

En configuration automatique, un "serveur DHCP" attribue automatiquement aux périphériques<br />

<strong>de</strong>s adresses IP dans la plage indiquée (VOIR CI AVANT)<br />

Cependant et notamment sur un lieu <strong>de</strong> travail, la configuration est souvent effectuée<br />

manuellement afin <strong>de</strong> pouvoir sécuriser le réseau et surveiller son accès.<br />

Pendant l'installation <strong>de</strong> Windows dix (pour autant que le câble réseau soit branché), le système<br />

paramètre automatiquement le réseau et les protocoles nécessaires.<br />

PLUSIEURS POINTS DE PARAMÉTRAGE :<br />

L'ADRESSE IPv4 <strong>de</strong> l'ordinateur (peu à peu remplacée par l'adresse IPV6)<br />

c'est un chiffre <strong>de</strong> la forme xxx xxx xxx xxx qui i<strong>de</strong>ntifie un ordinateur<br />

Le GROUPE DE TRAVAIL <strong>de</strong> l'ordinateur<br />

c'est le nom donné à un groupe d'<strong>ordinateurs</strong> qui travaillent ensemble<br />

Le DOMAINE <strong>de</strong> l'ordinateur<br />

ce sont les ressources d'un serveur <strong>de</strong> fichiers réservées à un groupe d'utilisateurs<br />

(1) LES PROPRIÉTÉS DU RÉSEAU<br />

Elles sont accessibles à partir <strong>de</strong>s propriétés <strong>de</strong>s connexions.<br />

SUR<br />

SUR<br />

DE<br />

CHOISIR<br />

RENSEIGNER LES CARACTÉRISTIQUES<br />

SUR


V – WINDOWS 10 121<br />

ADRESSE IP UNIQUE<br />

ADRESSE DE LA BOX<br />

OU DU ROUTEUR<br />

ADRESSES DNS DU<br />

FOURNISSEUR D'ACCÈS<br />

(ICI FREE)<br />

Un protocole est une métho<strong>de</strong> formalisée <strong>de</strong> traitement <strong>de</strong>s informations (TRANSPORT,<br />

ENCAPSULAGE…)<br />

Si vous voulez paramétrer vous-mêmes votre réseau, quelques conseils :<br />

Donnez un numéro unique à chaque ordinateur (DU TYPE 192.168.X.X) - Si vous utilisez un routeur,<br />

prenez pour chaque ordinateur une adresse proche dans la liste <strong>de</strong> celle du routeur<br />

Indiquer 255.255.255.0 comme masque <strong>de</strong> sous-réseau<br />

Adresse ip Box / Routeur : 192.168.1.1<br />

Adresses ip Ordinateurs : entre 192.168.1.2 et 192.168.1.50<br />

Masque <strong>de</strong> sous-réseau : 255.255.255.0<br />

(2) LE RÉSEAU PRIVE VIRTUEL (VPN)<br />

Le réseau privé virtuel utilise une liaison internet pour connecter <strong>de</strong> manière sécurisée un ou<br />

plusieurs <strong>ordinateurs</strong> à un serveur (ou aux autres <strong>ordinateurs</strong> d'un réseau). Il utilise une clé <strong>de</strong><br />

chiffrage à l'entrée et à la sortie d'internet. Il est très utilisé en entreprise en télétravail.<br />

SUR<br />

ACTIVER LES OPTIONS<br />

SUR


d) CONFIGURER LE RÉSEAU SANS FIL<br />

Les réseaux sans fil (par on<strong>de</strong>s radios) sont <strong>de</strong> plus en plus puissants et faciles d'utilisation.<br />

Le centre <strong>de</strong> notification affiche<br />

(1) LES NORMES<br />

Le WIFI est un réseau wlan (wireless lan) utilisant <strong>de</strong>s fréquences spécifiques <strong>de</strong>s on<strong>de</strong>s<br />

terrestres. L'évolution <strong>de</strong>s normes 802.11 (b, a, g, i et n) porte sur le débit du réseau (54 Mbps<br />

pour le 802.11 b jusqu'à 1 gigabit théorique pour le 802.11 n), sa sécurité (clés <strong>de</strong> cryptage<br />

pouvant atteindre 256 bits pour le 802.11 i) et sa portée (10 à 100 m actuellement selon les<br />

obstacles).


V – WINDOWS 10 123<br />

Il est proposé en plusieurs déclinaisons :<br />

WIFI 1 / 802 11B utilise la longueur d'on<strong>de</strong> <strong>de</strong> 2,4 Ghz pour une vitesse maxi <strong>de</strong> 11<br />

Mbits/s. Il est autorisé en France à l'intérieur comme à l'extérieur<br />

WIFI 1 / 802 11 B+ variante du 11b pouvant atteindre une vitesse <strong>de</strong> 22 Mbits/s<br />

WIFI 2 / 802 11A utilise la fréquence <strong>de</strong>s 5 Ghz pour une vitesse maxi <strong>de</strong> 54 Mbits/s et<br />

n'est pas compatible avec les autres du fait <strong>de</strong> sa fréquence particulière ; il n'est autorisé<br />

qu'à l'intérieur <strong>de</strong> bâtiments.<br />

WIFI 3 / 802 11 G Comme le 802 11a, il atteint une vitesse <strong>de</strong> 54 Mbits/s mais emprunte<br />

la fréquence <strong>de</strong>s 2,4 Ghz, ce qui le rend compatible avec le 802 11 b ; attention, il est<br />

encore en <strong>cours</strong> <strong>de</strong> normalisation.<br />

WIFI 4 / 802 11 N permet un débit théorique allant jusqu'à 300 Mbit/s et une portée allant<br />

jusqu'à 91 mètres à l'intérieur et 182 mètres en extérieur. En pratique, le débit oscille plutôt<br />

entre 100 et 120 Mbit/s et la portée ne dépasse pas les 80 mètres.<br />

WIFI 5 / 802 11 AC permet une connexion sans fil haut débit en <strong>de</strong>ssous<br />

<strong>de</strong> 6 GHz (communément connu comme la ban<strong>de</strong> <strong>de</strong>s 5 GHz). Les canaux attendus offriraient<br />

500Mbp/s chacun, soit jusqu'à 8Gbp/s <strong>de</strong> débit pour un flux grâce au multiplexage<br />

WIFI 6 / 802.11AX améliore le débit jusqu'à 10Gbp/s et la portée à 35 m du Wifi 5 avec une<br />

nouvelle version du chiffrage WPA. Il utilise 4 fréquences : 2,4 GHz, 5 GHz - (faible vitesse),<br />

5 GHz et 6 GHz<br />

WIFI 7 / 802 11 BE avec un débit maximal théorique annoncé <strong>de</strong> 46 Gbps et une ban<strong>de</strong><br />

passante doublée, passant <strong>de</strong> 160 MHz à 320 MHz, le Wi-Fi 7 <strong>de</strong>vrait apparaître en 2023<br />

(2) L'ACTIVATION DU RÉSEAU<br />

Elle s'effectue à ce niveau.<br />

SUR<br />

(3) LE PARAMÉTRAGE<br />

Le seul paramétrage à effectuer consiste à définir une fois pour toutes les éléments <strong>de</strong><br />

connexion, notamment le mot <strong>de</strong> passe du réseau. La plupart <strong>de</strong>s éléments sont gérés<br />

automatiquement mais il reste possible <strong>de</strong> les gérer manuellement.<br />

N'hésitez pas dans un environnement sécurisé à modifier la clé <strong>de</strong> cryptage du routeur ou <strong>de</strong> la box<br />

en quelque chose <strong>de</strong> plus intelligible et mémorisable


C'est le routeur sans fil (ou la box) qui détermine le type <strong>de</strong> sécurité et <strong>de</strong> chiffrement à reprendre<br />

dans Windows. Pour un réseau domestique et si vous n'avez pas <strong>de</strong> données confi<strong>de</strong>ntielles ou<br />

<strong>de</strong> voisins proches susceptibles d'accaparer votre réseau, il n'est pas obligatoire <strong>de</strong> sécuriser<br />

outre mesure le réseau et un paramétrage simple est acceptable.<br />

SUR<br />

SUR<br />

<br />

SUR<br />

SUR L'ADAPTATEUR WIFI<br />

COCHER<br />

ONGLET "SÉCURITÉ"<br />

RENSEIGNER LES CARACTÉRISTIQUES DU CRYPTAGE<br />

(pour une box, la clé est sur une étiquette sous la box)<br />

POUR VALIDER<br />

La fenêtre "paramètres" permet uniquement d'afficher les caractéristiques du paramétrage.<br />

SUR<br />

SUR


V – WINDOWS 10 125<br />

(4) LA CONNEXION<br />

Une fois le paramétrage effectué, la connexion est automatique.<br />

ZONE DE NOTIFICATIONS<br />

SUR (SANS FIL) OU (FILAIRE) AFFICHE LES CONNEXIONS<br />

SUR UNE CONNEXION<br />

SUR<br />

POUR EFFECTUER LA CONNEXION<br />

SUR<br />

POUR ROMPRE LA CONNEXION<br />

ACCÈS DIRECT AUX<br />

PARAMÈTRES RÉSEAU<br />

e) CRÉER UNE NOUVELLE CONNEXION<br />

Une nouvelle connexion à distance peut être créée.<br />

SUR<br />

SUR<br />

SUIVRE LES INDICATIONS DE L'ASSISTANT


f) DIAGNOSTIC ET RÉPARATION DU RÉSEAU<br />

Les caractéristiques du réseau peuvent être affichées et si un problème se pose, un utilitaire<br />

permet <strong>de</strong> les diagnostiquer et <strong>de</strong> les résoudre.<br />

NOTIFICATIONS<br />

SUR<br />

SUR<br />

SUR<br />

OU<br />

Lors <strong>de</strong> la réparation, Windows vi<strong>de</strong> la mémoire tampon, désactive la carte réseau, la réactive<br />

et affecte <strong>de</strong> nouvelles adresses<br />

La plupart <strong>de</strong>s problèmes réseau sont générés par un câble défectueux / mal branché ou une<br />

adresse IP erronée<br />

2. LE PARTAGE DES RESSOURCES<br />

On appelle ressources les lecteurs (disques durs, lecteurs...) et leur contenu et les périphériques.<br />

a) PARTAGE AVANCÉ DE DONNÉES<br />

Le partage avancé permet <strong>de</strong> gérer précisément les autorisations à partir <strong>de</strong> l'explorateur.<br />

EXPLORATEUR<br />

SÉLECTIONNER LE FICHIER OU LE DOSSIER<br />

<br />

ONGLET<br />

SUR<br />

EXPLORATEUR - ONGLET PARTAGE<br />

GROUPE "PARTAGER AVEC"<br />

FICHIER SÉLECTIONNÉ<br />

SUR<br />

MODIFIER LE PROPRIÉTAIRE<br />

VÉRIFIER LES DROITS<br />

AJOUTER UN UTILISATEUR<br />

MODIFIER LES DROITS DE<br />

L'UTILISATEUR SÉLECTIONNÉ


V – WINDOWS 10 127<br />

sur <strong>de</strong> l'onglet et non <strong>de</strong> l'onglet<br />

b) MODIFIER LE PROPRIÉTAIRE<br />

Si le compte superadministrateur n'est pas activé, certaines opérations sur les fichiers ou<br />

dossiers, notamment <strong>de</strong>s dossiers Windows, Programmes… peuvent être interdites. Il faut alors<br />

modifier le propriétaire du dossier.<br />

SÉCURITÉ AVANCÉE<br />

SUR<br />

EN FACE DU PROPRIÉTAIRE<br />

SAISIR LE NOM DU NOUVEAU PROPRIÉTAIRE<br />

LE VÉRIFIER ÉVENTUELLEMENT AVEC<br />

POUR VALIDER<br />

Le propriétaire est modifié.<br />

c) AJOUTER UN UTILISATEUR<br />

Il est possible d'ajouter ici un utilisateur.<br />

SÉCURITÉ AVANCÉE<br />

SUR<br />

EN FACE DU PROPRIÉTAIRE<br />

SUR<br />

SAISIR LE NOM DU NOUVEL UTILISATEUR<br />

LE VÉRIFIER ÉVENTUELLEMENT AVEC<br />

POUR VALIDER<br />

COCHER LES AUTORISATIONS<br />

POUR VALIDER


d) VÉRIFIER L'ACCÈS EFFECTIF<br />

Il peut être utile pour <strong>de</strong>s dossiers sensibles <strong>de</strong> vérifier les droits réels d'un utilisateur, c’est-à-dire<br />

ceux acquis par son appartenance à un groupe d'utilisateurs et ceux acquis par lui-même.<br />

ONGLET<br />

SÉCURITÉ AVANCÉE<br />

SUR<br />

SAISIR LE NOM<br />

LE VÉRIFIER ÉVENTUELLEMENT AVEC<br />

SUR<br />

POUR VALIDER<br />

Bien appliquer les éventuelles modifications d'autorisation avant d'afficher les droits effectifs<br />

supprime les droits hérités du groupe


V – WINDOWS 10 129<br />

Actions Contrôle total Modifier Lecture<br />

PARCOURS DU DOSSIER/EXÉCUTER LE FICHIER x x<br />

LISTE DU DOSSIER/LECTURE DE DONNÉES x x x<br />

LECTURE x x x<br />

CRÉATION DE FICHIER/ÉCRITURE DE DONNÉES x x<br />

CRÉATION DE DOSSIER/AJOUT DE DONNÉES x x<br />

ÉCRITURE x x<br />

SUPPRESSION DE SOUS-DOSSIERS ET DE FICHIERS<br />

SUPPRIMER x x<br />

MODIFIER LES AUTORISATIONS<br />

APPROPRIATION<br />

SYNCHRONISER x x x<br />

Afficher les autorisations du dossier "exercices WINDOWS DIX "<br />

Ajouter un utilisateur en lecture et Modifier le propriétaire<br />

e) PARTAGER UNE CONNEXION<br />

Si tous un seul ordinateur du réseau est relié à internet, cet ordinateur peut partager sa<br />

connexion afin que les autres machines accè<strong>de</strong>nt à Internet.<br />

x<br />

x<br />

x<br />

SUR<br />

SUR<br />

SUR<br />

SÉLECTIONNER LA CONNEXION<br />

<br />

ONGLET<br />

COCHER<br />

SÉLECTIONNER LA CONNEXION (ICI WIFI)<br />

POUR VALIDER<br />

La connexion wifi est par défaut partagée<br />

permet <strong>de</strong> sélectionner les services auxquels les utilisateurs auront accès<br />

CONNEXION PARTAGÉE


f) PARTAGER UNE IMPRIMANTE<br />

Toute imprimante d'un réseau peut être partagée avec d'autres utilisateurs.<br />

PARAMÈTRES<br />

SUR<br />

SUR<br />

SÉLECTIONNER L'IMPRIMANTE À PARTAGER<br />

SUR<br />

SUR<br />

ONGLET<br />

COCHER<br />

POUR VALIDER<br />

l'imprimante est partagée par le biais du <strong>micro</strong>ordinateur mais celui-ci doit être allumé pour que<br />

l'imprimante puisse être utilisée<br />

g) SERVEUR D'IMPRESSION RÉSEAU<br />

Les données à imprimer sont gérées par un serveur d'impression qui les fait transiter par un port.<br />

Pour une imprimante réseau, ce port est lié à une adresse IP qu'il faut configurer.<br />

PARAMÈTRES<br />

SUR<br />

SUR<br />

SUR<br />

ONGLET<br />

SUR<br />

SÉLECTIONNER<br />

SUR<br />

SUR<br />

SAISIR L'ADRESSE IP DE L'IMPRIMANTE<br />

SUR<br />

POUR VALIDER<br />

L'onglet "ports" est aussi accessible à partir <strong>de</strong>s propriétés <strong>de</strong> l'imprimante


V – WINDOWS 10 131<br />

3. L'ACCÈS AUX RESSOURCES<br />

La disponibilité <strong>de</strong>s ressources partagées va dépendre <strong>de</strong>s choix effectués par celui qui met à<br />

disposition les ressources. En fonction <strong>de</strong> ces choix, il sera possible :<br />

d'accé<strong>de</strong>r à un dossier partagé et<br />

ouvrir les fichiers en lecture seule<br />

d'accé<strong>de</strong>r à un dossier partagé, lire,<br />

modifier et enregistrer ses fichiers<br />

d'utiliser une imprimante<br />

d'accé<strong>de</strong>r à un dossier partagé avec un mot <strong>de</strong><br />

passe, ouvrir les fichiers en lecture seule<br />

d'accé<strong>de</strong>r à un dossier partagé avec un mot <strong>de</strong><br />

passe, lire, modifier et enregistrer ses fichiers<br />

d'utiliser une imprimante avec un mot <strong>de</strong> passe<br />

a) AFFICHER LE RÉSEAU<br />

Le réseau va afficher les <strong>ordinateurs</strong> connectés du groupe <strong>de</strong> travail ou du domaine.<br />

PR1<br />

EXPLORATEUR<br />

SUR DE<br />

OU<br />

SUR<br />

BUREAU<br />

SUR


) UTILISER UN PROXY<br />

Un proxy peut faire le lien entre l'ordinateur <strong>de</strong> bureau et internet afin <strong>de</strong> gérer les boîtes aux<br />

lettres et <strong>de</strong> filtrer l'accès à Internet.<br />

PARAMÈTRES<br />

SUR<br />

SUR<br />

VÉRIFIER QUE<br />

EST ACTIVÉ<br />

OU<br />

SUR<br />

DE<br />

RENSEIGNER L'ADRESSE DU PROXY ET LES OPTIONS<br />

SUR


V – WINDOWS 10 133<br />

c) CONNECTER UN LECTEUR RÉSEAU (mapper)<br />

C'est attribuer une lettre à un dossier partagé par un autre ordinateur, pour qu'il soit reconnu<br />

comme une unité logique <strong>de</strong> votre propre ordinateur et disponible dans la fenêtre "ordinateur".<br />

EXPLORATEUR<br />

SUR DE<br />

DANS LE VOLET DE GAUCHE, SUR UN DOSSIER<br />

SUR<br />

ACCEPTER OU MODIFIER LA LETTRE D'UNITÉ LOGIQUE<br />

COCHER<br />

SUR<br />

Évi<strong>de</strong>mment, il faut que l'ordinateur sur lequel est stocké le dossier partagé soit allumé pour que la<br />

connexion puisse se faire<br />

LECTEUR MAPPÉ


d) CONNECTER UN SITE FTP<br />

Que ce soit par l'intermédiaire <strong>de</strong> Microsoft Azur, <strong>de</strong> Google, <strong>de</strong> Amazon, <strong>de</strong> votre hébergeur ou<br />

<strong>de</strong> votre fournisseur d'accès, il est aisé d'avoir <strong>de</strong> l'espace disque à disposition sur internet pour<br />

stocker ses données. Windows reconnait cet espace disque et l'utilise comme un disque local.<br />

EXPLORATEUR<br />

SUR<br />

SUR<br />

SUR<br />

SUR<br />

SUR<br />

SUR<br />

SAISIR L'ADRESSE FTP (file transfert processing) DU RÉSEAU<br />

(informations fournies par votre hébergeur du type ftp://)<br />

SUR<br />

ENTRER VOTRE NOM D'UTILISATEUR (décocher )<br />

le mot <strong>de</strong> passe sera <strong>de</strong>mandé à l'ouverture <strong>de</strong> la session<br />

SUR<br />

NOMMER L'EMPLACEMENT PUIS<br />

la fenêtre <strong>de</strong> connexion s'affiche au bout <strong>de</strong> quelques secon<strong>de</strong>s<br />

SAISIR LE MOT DE PASSE<br />

il ne sera plus <strong>de</strong>mandé<br />

SUR<br />

Le contenu du serveur distant s'affiche et il s'ajoute au contenu <strong>de</strong> l'ordinateur<br />

La fenêtre <strong>de</strong> connexion s'affiche et <strong>de</strong>man<strong>de</strong>, pour cette première connexion, le mot <strong>de</strong> passe.<br />

SITE DISTANT<br />

Le site FTP figure dans la fenêtre "ordinateur" au même titre qu'un dossier connecté classique.<br />

Pour stocker <strong>de</strong>s fichiers ou pour mettre à jour votre site Web, il suffit <strong>de</strong> copier les fichiers du<br />

dossier local vers le site FTP comme entre 2 unités locales<br />

Connecter un site ftp dont vous connaissez les informations <strong>de</strong> connexion


V – WINDOWS 10 135<br />

Windows dix est protégé contre les attaques et les défaillances <strong>de</strong>s applications qu'il fait fonctionner.<br />

Les données <strong>de</strong> l'utilisateur (accès, Internet, documents, mots <strong>de</strong> passe) sont elles aussi protégées ;<br />

Cependant, il est préférable <strong>de</strong> savoir utiliser les outils que le système met à votre disposition ainsi<br />

que <strong>de</strong> veiller à leur mise à jour pour qu'ils soient à la hauteur <strong>de</strong>s problèmes ou agressions.<br />

1. LES OUTILS DE MAINTENANCE<br />

Par <strong>maintenance</strong>, on entend conserver l'ordinateur en bon état <strong>de</strong> fonctionnement ; Les outils<br />

associés concernent :<br />

Le recueil d'informations sur le système La gestion <strong>de</strong>s pilotes<br />

La gestion <strong>de</strong> l'alimentation<br />

La mise à jour du système<br />

La gestion <strong>de</strong>s disques durs<br />

La sauvegar<strong>de</strong> du système<br />

Ils sont accessibles par le biais du panneau <strong>de</strong> configuration ou du menu outils systèmes dans<br />

les programmes "accessoires".<br />

a) MAINTENANCE AUTOMATIQUE<br />

La <strong>maintenance</strong> est automatisée et dispense l'utilisateur <strong>de</strong> la plupart <strong>de</strong>s interventions.<br />

PARAMÈTRES<br />

SUR<br />

SUR<br />

uniquement les utilitaires requis s'affichent<br />

SUR<br />

tous les utilitaires disponibles s'affichent<br />

sur<br />

pour afficher l'historique


) GÉRER L'ALIMENTATION<br />

La consommation électrique <strong>de</strong> l'ordinateur est un point <strong>de</strong> plus en plus important, non<br />

seulement pour les <strong>ordinateurs</strong> portables mais aussi pour les <strong>ordinateurs</strong> <strong>de</strong> bureau qui restent<br />

souvent allumés toute la journée (sinon la nuit). Windows 10 est conçu pour rester en<br />

permanence fonctionnel et pour se mettre en veille si non utilisé.<br />

PARAMÈTRES<br />

MENU DÉMARRER<br />

SUR LE MENU<br />

SUR<br />

SUR<br />

SUR<br />

donne accès au paramétrage spécifique <strong>de</strong> chaque<br />

composant (sortie mo<strong>de</strong> veille, états d'activité mini et maxi du processeur...)<br />

Dans le volet <strong>de</strong> tâches <strong>de</strong>s options d'alimentation, vous avez la possibilité <strong>de</strong> créer votre<br />

propre mo<strong>de</strong> <strong>de</strong> gestion <strong>de</strong> l'alimentation plutôt que <strong>de</strong> modifier les mo<strong>de</strong>s existants<br />

ainsi que <strong>de</strong> gérer l'action <strong>de</strong>s boutons d'alimentation et<br />

<strong>de</strong> mise en veille <strong>de</strong> l'ordinateur


V – WINDOWS 10 137<br />

En fonction <strong>de</strong> la nature <strong>de</strong> l'ordinateur (BUREAU OU PORTABLE),<br />

Adapter les paramètres d'alimentation (DE BASE OU AVANCÉS SELON VOTRE CHOIX)<br />

Bureau : usage normal / Ordinateur portable : économie d'énergie<br />

c) GÉRER LE DISQUE DUR<br />

Le disque dur, même s'il est peu à peu remplacé par les SSD ou le stockage en ligne, reste un<br />

composant essentiel <strong>de</strong> l'ordinateur. Une bonne gestion <strong>de</strong>s disques durs est alors<br />

indispensable pour conserver une machine performante. Cette gestion consiste en 3 points :<br />

Nettoyer le disque <strong>de</strong>s fichiers temporaires, <strong>de</strong> cache, d'installation d'applications<br />

Vérifier le disque pour accé<strong>de</strong>r aux fichiers rapi<strong>de</strong>ment sans perdre <strong>de</strong> données<br />

Défragmenter le disque pour rassembler en un seul morceau les différents fragments d'un<br />

fichier dispersés sur les différents plateaux et pistes du disque dur<br />

Créer un pool <strong>de</strong> disques pour augmenter la sécurité<br />

Ces fonctions sont automatisées mais il peut être nécessaire <strong>de</strong> modifier le paramétrage ou <strong>de</strong><br />

les lancer manuellement<br />

PARAMÈTRES<br />

SUR<br />

SUR<br />

l'utilisation <strong>de</strong> l'espace s'affiche<br />

SUR


(1) NETTOYAGE<br />

En supprimant tous les fichiers inutiles, non seulement on gagne <strong>de</strong> la place sur le disque mais<br />

on améliore les performances <strong>de</strong> l'ordinateur qui met moins longtemps pour trouver puis ouvrir<br />

un fichier.<br />

BUREAU<br />

EXPLORATEUR<br />

SUR<br />

SUR<br />

SÉLECTIONNER LE DISQUE À NETTOYER<br />

<br />

ONGLET<br />

SUR<br />

COCHER LES TYPES DE FICHIER À SUPPRIMER<br />

POUR VALIDER<br />

SUR<br />

POUR CONFIRMER<br />

SUR LE<br />

DISQUE À NETTOYER<br />

permet d'effacer <strong>de</strong>s fichiers temporaires d'installation et <strong>de</strong> mise<br />

à jour Windows et autres qui prennent souvent beaucoup <strong>de</strong> place<br />

Vous pouvez utiliser CCLEANER à la place ou en complément <strong>de</strong>s outils Windows<br />

Vous pouvez aussi utiliser<br />

<strong>de</strong>s outils d’administration Windows<br />

Lancer le nettoyage <strong>de</strong> votre disque dur


V – WINDOWS 10 139<br />

(2) VÉRIFICATION<br />

Windows dix vérifie la cohérence <strong>de</strong>s tables <strong>de</strong> fichiers et répare les erreurs.<br />

BUREAU<br />

EXPLORATEUR<br />

SUR<br />

SUR<br />

SÉLECTIONNER LE DISQUE À NETTOYER<br />

<br />

ONGLET<br />

SUR<br />

SUR<br />

Vérifier le disque dur <strong>de</strong> votre ordinateur<br />

(3) DÉFRAGMENTATION<br />

La défragmentation est normalement automatique mais si le <strong>micro</strong> est lent ou pose <strong>de</strong>s<br />

problèmes <strong>de</strong> fonctionnement, ne pas hésiter à la lancer manuellement.<br />

SUR<br />

SUR<br />

l'utilisation <strong>de</strong> l'espace s'affiche<br />

SUR<br />

PARAMÈTRES<br />

EXPLORATEUR<br />

SUR<br />

SÉLECTIONNER LE DISQUE À NETTOYER<br />

<br />

ONGLET<br />

SUR<br />

SUR


La défragmentation est normalement planifiée <strong>de</strong> manière à ce qu'elle s'exécute automatiquement.<br />

Si ce n'est pas le cas, sur<br />

Défragmenter le disque dur <strong>de</strong> votre ordinateur<br />

(4) AFFICHER L'OCCUPATION<br />

Windows permet d'afficher l'occupation <strong>de</strong> l'espace disque.<br />

PARAMÈTRES<br />

SUR<br />

SUR<br />

l'utilisation <strong>de</strong> l'espace s'affiche<br />

POUR ACCÉDER À LA<br />

GESTION DE LA CATÉGORIE<br />

par défaut d'enregistrement par type <strong>de</strong> fichier<br />

permet <strong>de</strong> gérer aussi le disque


V – WINDOWS 10 141<br />

(5) CRÉER UN POOL<br />

Si plusieurs disques durs sont disponibles, Windows peut les considérer comme un pool (technologie<br />

RAID) afin d'écrire dur plusieurs disques à la fois et <strong>de</strong> limiter les risques en cas <strong>de</strong> panne.<br />

PARAMÈTRES<br />

SUR<br />

SUR<br />

SUR<br />

SUR<br />

SÉLECTIONNER LES DISQUES<br />

SUR<br />

C'est une option qu'il faut choisir à l'origine car le contenu <strong>de</strong>s lecteurs utilisés par le pool est<br />

effacé<br />

(6) GESTION DES DISQUES<br />

Windows dix propose un outil d'administration permettant une gestion très complète.<br />

<br />

SUR<br />

MENU DÉMARRER<br />

<br />

MENU DÉMARRER<br />

Avant <strong>de</strong> pouvoir être utilisé, un disque dur doit être partitionné puis formaté :<br />

Partitionné : on définit une partie ou la totalité du volume (la partition active est celle à partir <strong>de</strong><br />

laquelle le système démarre) – on peut utiliser un système d'exploitation différent par partition<br />

Formaté : on crée dans cette partition un système <strong>de</strong> fichiers (une table qui dit : tel morceau<br />

<strong>de</strong> fichier est à tel endroit du disque dur) pour le système d'exploitation donné (le système <strong>de</strong><br />

fichier <strong>de</strong> Windows dix est NTFS)<br />

Toutes les opérations effectuées ici sont liées à l'installation du système ou à une <strong>maintenance</strong><br />

avancée ; certaines détruisent les données du disque et doivent être utilisées avec circonspection


DISQUES ET STATUT<br />

INFORMATIONS DÉTAILLÉES<br />

MODIFIER LA LETTRE DE LECTEUR<br />

Il peut arriver que la lettre affectée à un disque ne soit pas adaptée ; Windows dix permet <strong>de</strong> la<br />

modifier ; c'est une <strong>de</strong>s rares opérations qui soit ici à peu près sans risque.<br />

GESTION DES DISQUES<br />

SÉLECTIONNER LE DISQUE DANS LE VOLET PRINCIPAL<br />

<br />

SUR<br />

AFFECTER UNE LETTRE<br />

POUR VALIDER<br />

Si <strong>de</strong>s fichiers liés au système ou à <strong>de</strong>s programmes ont été enregistrés sur ce disque, il risque d'y<br />

avoir <strong>de</strong>s problèmes <strong>de</strong> fonctionnement<br />

FORMATER UN DISQUE<br />

Il faut formater un nouveau disque dur avant <strong>de</strong> pouvoir l'utiliser. En effet, bien qu'affiché dans<br />

les outils d'administration, Il n'apparait dans la fenêtre "ordinateur" qu'une fois formaté.<br />

Le formatage du disque supprime toutes les données existantes sur le disque<br />

GESTION DES DISQUES<br />

SÉLECTIONNER LE DISQUE DANS LE VOLET PRINCIPAL<br />

<br />

POUR VALIDER


V – WINDOWS 10 143<br />

Windows dix permet aussi <strong>de</strong> gérer <strong>de</strong>s volumes dynamiques, <strong>de</strong>s disques RAID, d'étendre<br />

ou réduire <strong>de</strong>s volumes existants<br />

d) GÉRER LES TACHES<br />

Le planificateur <strong>de</strong> tâches est un outil puissant et complet qui permet d'initier <strong>de</strong>s actions en<br />

fonction <strong>de</strong> conditions <strong>de</strong> paramétrage d'un déclencheur.<br />

(1) AFFICHER LE PLANIFICATEUR DE TÂCHES<br />

Certains programmes permettent <strong>de</strong> planifier une tâche, auquel cas la tâche s'affichera dans le<br />

gestionnaire <strong>de</strong> tâches ; vous pouvez aussi créer directement la tâche à partir du gestionnaire<br />

(lancer un programme, envoyer un mail, afficher un message…) en fonction <strong>de</strong> critères que vous<br />

déterminez et à la date et avec la fréquence que vous paramétrez.<br />

<br />

SUR<br />

MENU DÉMARRER<br />

SUR<br />

MASQUER / AFFICHER LE VOLET<br />

D'ARBORESCENCE<br />

MASQUER / AFFICHER LE VOLET D'ACTIONS<br />

MENU DÉMARRER<br />

VOLET<br />

D'ARBORESCENCE<br />

DE LA CONSOLE<br />

POUR<br />

ENROULER/DÉROULER<br />

VOLET DES<br />

ACTIONS<br />

TÂCHES EN COURS


(2) AFFICHER LES TÂCHES ACTIVES<br />

Les tâches actives sont celles programmées par le système ou par l'utilisateur, qu'elles soient en<br />

<strong>cours</strong> ou prévues.<br />

PLANIFICATEUR DE TÂCHES<br />

SUR<br />

DU VOLET PRINCIPAL<br />

le volet se déroule et les tâches actives s'affichent<br />

(3) AFFICHER LES TÂCHES PAR NATURE<br />

Il est aussi possible d'afficher les tâches en fonction <strong>de</strong> leur nature en sélectionnant le dossier<br />

concerné <strong>de</strong> la bibliothèque dans le volet <strong>de</strong> gauche.<br />

PLANIFICATEUR DE TÂCHES<br />

SUR DE DU VOLET GAUCHE<br />

pour développer la bibliothèque <strong>de</strong> tâches<br />

SÉLECTIONNER UN DOSSIER DE TÂCHES<br />

les tâches appartenant au dossier s'affichent dans le volet central


V – WINDOWS 10 145<br />

(4) CRÉER UNE TACHE<br />

Windows dix affiche dans le volet <strong>de</strong> gauche une bibliothèque dans laquelle doivent être<br />

rangées les nouvelles tâches.<br />

PLANIFICATEUR DE TÂCHES<br />

SÉLECTIONNER UN DOSSIER DE TÂCHES<br />

SUR<br />

NOMMER LA TÂCHE<br />

ONGLET<br />

SUR<br />

INDIQUER LA PÉRIODICITÉ<br />

ONGLET<br />

SUR<br />

INDIQUER LE PROGRAMME À UTILISER<br />

ONGLET<br />

INDIQUER ÉVENTUELLEMENT DES CONDITIONS<br />

(assistant) DU VOLET ACTIONS (à droite)<br />

POUR VALIDER<br />

la tâche s'affiche dans le volet principal lorsque le dossier qui la contient est sélectionné<br />

Une <strong>de</strong>s difficultés d'utilisation est <strong>de</strong> savoir où se trouve et comment s'appelle l'exécutable du<br />

programme que l'on veut lancer (exécutable qui peut être présent dans le dossier "system32" ou<br />

créé <strong>de</strong> toutes pièces avec POWERSHELL<br />

Créer dans dossier "test" <strong>de</strong> la bibliothèque une tâche<br />

ayant les caractéristiques ci-après :<br />

Lance le moniteur <strong>de</strong> performances (system32/perfmon.exe) dans 5 minutes une fois<br />

(5) MODIFIER UNE TACHE<br />

Les caractéristiques d'une tâche peuvent être modifiées.<br />

PLANIFICATEUR DE TÂCHES<br />

DANS LE VOLET DE GAUCHE, SÉLECTIONNER LE DOSSIER DE LA BIBLIOTHÈQUE<br />

DANS LE VOLET CENTRAL HAUT, SÉLECTIONNER LA TÂCHE<br />

elle s'affiche dans le détail dans le volet bas<br />

SUR LA TÂCHE<br />

Les propriétés <strong>de</strong> la tâche sélectionnée s'affichent dans la partie inférieure du volet principal<br />

Modifier l'heure d'exécution <strong>de</strong> la tache créée


(6) SUSPENDRE UNE TACHE<br />

Il peut être nécessaire <strong>de</strong> désactiver momentanément une tâche.<br />

PLANIFICATEUR DE TÂCHES<br />

SÉLECTIONNER LA TÂCHE<br />

en bas et à droite du volet "ACTIONS", dans le groupe "ÉLÉMENTS SÉLECTIONNÉS"<br />

SUR<br />

Une tache suspendue doit être réactivée par<br />

Suspendre la tache créée puis la réactiver<br />

(7) EXÉCUTER UNE TACHE<br />

Une tâche peut être exécutée immédiatement sans attendre son déclenchement.<br />

PLANIFICATEUR DE TÂCHES<br />

SÉLECTIONNER LA TÂCHE<br />

en bas et à droite du volet "ACTIONS", dans le groupe "ÉLÉMENTS SÉLECTIONNÉS"<br />

SUR<br />

Exécuter la tache créée<br />

(8) SUPPRIMER UNE TACHE<br />

Il faut supprimer, avec précaution, les tâches anciennes ou inutiles.<br />

PLANIFICATEUR DE TÂCHES<br />

SÉLECTIONNER LA TÂCHE<br />

en bas et à droite du volet "ACTIONS", dans le groupe "ÉLÉMENTS SÉLECTIONNÉS"<br />

SUR<br />

Supprimer la tache créée


V – WINDOWS 10 147<br />

e) METTRE À JOUR WINDOWS<br />

La mise à jour du système d'exploitation est automatique. Ces mises à jour vont permettre à<br />

l'ordinateur <strong>de</strong> continuer à évoluer pour pouvoir communiquer <strong>de</strong> manière optimisée avec les<br />

autres machines. Elles vont aussi permettre d'actualiser les défenses contre les attaques<br />

extérieures et d'améliorer les performances globales du système.<br />

(1) PARAMÉTRER L'INSTALLATION<br />

Il est désagréable <strong>de</strong> voir son ordinateur redémarrer pour une mise à jour alors que l'on est en<br />

plein travail. Cette option peut être paramétrée.<br />

PARAMÈTRES<br />

SUR<br />

SUR<br />

SUR<br />

(2) DÉSINSTALLER UNE MISE À JOUR<br />

Il est possible <strong>de</strong> désinstaller une mise à jour problématique.<br />

PARAMÈTRES<br />

SUR<br />

SUR<br />

SUR<br />

SUR<br />

SÉLECTIONNER LA MISE À JOUR<br />

SUR


Il est aussi possible <strong>de</strong> désinstaller simplement la <strong>de</strong>rnière mise à jour.<br />

PARAMÈTRES<br />

SUR<br />

SUR<br />

SUR<br />

(3) RECHERCHER DES MISES À JOUR<br />

Même si tout est automatisé, il est possible d'aller vérifier que tout est à jour.<br />

PARAMÈTRES<br />

SUR<br />

SUR<br />

(4) DIFFÉRER LES MISES À JOUR<br />

Il reste possible <strong>de</strong> bloquer les mises à niveau (les mises à jour <strong>de</strong> sécurité continuent à se faire.<br />

PARAMÈTRES<br />

SUR<br />

SUR<br />

SUR<br />

DÉFINIR


V – WINDOWS 10 149<br />

f) METTRE À JOUR DES PILOTES<br />

Le pilote est le programme qui fait le lien entre le système d'exploitation et le matériel ; si le<br />

système d'exploitation évolue, il faut le plus souvent faire aussi évoluer le pilote afin que le<br />

système puisse utiliser le périphérique (voir page 113).<br />

Si vous avez un système qui fonctionne <strong>de</strong> manière satisfaisante, il est inutile <strong>de</strong> prendre le risque <strong>de</strong><br />

le déstabiliser en mettant à jour les pilotes au fur et à mesure <strong>de</strong>s nouvelles versions (attendre au<br />

moins les premières réactions d'utilisateur)<br />

Si <strong>de</strong>s problèmes <strong>de</strong> fonctionnement suivent l'installation du pilote, revenir simplement à<br />

l'ancienne version<br />

g) MONITEUR DE RESSOURCES<br />

Il est particulièrement utile <strong>de</strong> déterminer les applications gourman<strong>de</strong>s (en cpu, en accès disque,<br />

en ban<strong>de</strong> passante réseau…). le gestionnaire <strong>de</strong> tâches remplit aussi cette fonction.<br />

SUR<br />

MENU DÉMARRER<br />

SUR L’OUTIL<br />

<strong>de</strong> la sécurité <strong>de</strong> Windows<br />

<strong>de</strong>s paramètres<br />

informe sur l’état <strong>de</strong> la machine


2. LES OUTILS DE PROTECTION<br />

La sauvegar<strong>de</strong> du système et le disque <strong>de</strong> récupération sont <strong>de</strong>s métho<strong>de</strong>s toujours applicables<br />

sous Windows 10. Ils permettent <strong>de</strong> récupérer une machine fonctionnelle après un problème.<br />

a) LE POINT DE RESTAURATION<br />

Il consisté à faire une copie du système utilisable pour une restauration.<br />

(1) LA CONFIGURATION<br />

Elle concerne notamment l'espace disque consacré à la protection.<br />

PARAMÈTRES<br />

SUR<br />

SUR<br />

SÉLECTIONNER LE DISQUE CONCERNÉ<br />

SUR<br />

ACTIVER LA PROTECTION<br />

PARAMÉTRER L'ESPACE ATTRIBUÉ<br />

POUR VALIDER<br />

(2) LE POINT DE RESTAURATION<br />

Il enregistre la configuration à un moment donné.<br />

PARAMÈTRES<br />

SUR<br />

SUR<br />

SUR<br />

SUR<br />

NOMMER LE POINT DE RESTAURATION<br />

SUR<br />

SUR<br />


V – WINDOWS 10 151<br />

(3) LA RESTAURATION<br />

Elle rétablit la <strong>de</strong>scription <strong>de</strong> l'environnement logiciel et matériel (base <strong>de</strong>s registres) à un état<br />

antérieur : le système est <strong>de</strong> nouveau fonctionnel mais dans l'environnement applicatif <strong>de</strong> la date<br />

du point <strong>de</strong> restauration.<br />

PARAMÈTRES<br />

SUR<br />

SUR<br />

SUR<br />

SUR<br />

SUR<br />

SÉLECTIONNER LE POINT DE RESTAURATION<br />

SUR<br />

SUR<br />

La base <strong>de</strong>s registres contient toutes les informations logicielles et matérielles mais pas les<br />

données <strong>de</strong> l'utilisateur - Les applications non installées à la date <strong>de</strong> la sauvegar<strong>de</strong> ne<br />

seront pas fonctionnelles<br />

b) LE DISQUE DE RÉCUPÉRATION<br />

Il contient les fichiers et informations nécessaires à une réparation.<br />

(1) CRÉER LE DISQUE<br />

Il faut penser à conserver le disque créé en lieu sûr.<br />

SUR<br />

SUR<br />

MENU DÉMARRER<br />

SUR<br />

SUR<br />

PUIS SUIVRE LES INSTRUCTIONS


(2) UTILISER LE DISQUE<br />

Là encore, l'utilisation du disque va dépendre <strong>de</strong> l'état <strong>de</strong> l'ordinateur. Le plus sûr étant encore<br />

<strong>de</strong> booter sur le disque.<br />

METTRE LE DISQUE DANS L'ORDINATEUR AVANT DE L'ALLUMER<br />

DÉMARRER L'ORDINATEUR<br />

APPUYER SUR LA BARRE ESPACE À L'AFFICHAGE DU MESSAGE "APPUYER SUR UNE TOUCHE<br />

POUR DÉMARRER À PARTIR D'UN CD/DVD"<br />

CHOISIR L'OPTION DE RÉPARATION<br />

3. LES OUTILS DE SÉCURITÉ<br />

Windows dix est un système très sécurisé ; cela ne veut pas dire qu'il est invulnérable mais<br />

simplement que s'il est paramétré et mis à jour correctement, il est normalement à l'abri <strong>de</strong>s<br />

attaques ou <strong>de</strong>s risques connus, hors mauvaise manipulation <strong>de</strong> l'utilisateur.<br />

a) SÉCURITÉ ET MAINTENANCE<br />

Le centre SÉCURITÉ ET MAINTENANCE recense les informations <strong>de</strong> sécurité <strong>de</strong> l’ordinateur.<br />

PARAMÈTRES<br />

SUR<br />

SUR


V – WINDOWS 10 153<br />

b) PARE-FEU<br />

Le pare feu ou FIREWALL surveille les accès entrant et sortant <strong>de</strong> l'ordinateur. Il vous alerte<br />

lorsqu'un programme suspect tente d'accé<strong>de</strong>r à la machine ou d'en sortir.<br />

PARAMÈTRES<br />

SUR<br />

SUR<br />

l'état du pare-feu est indiqué pour chaque type <strong>de</strong> réseau<br />

(1) CONCEPT<br />

Un Firewall (mur <strong>de</strong> feu) est un système ou un groupe <strong>de</strong> systèmes qui renforce la sécurité entre<br />

le réseau interne et Internet.<br />

Il détermine :<br />

À quels services internes il est possible d'accé<strong>de</strong>r <strong>de</strong> l’extérieur.<br />

Quels éléments externes peuvent accé<strong>de</strong>r aux services internes autorisés.<br />

À quels services externes il est possible d'accé<strong>de</strong>r au moyen <strong>de</strong>s éléments internes.<br />

Son principe <strong>de</strong> fonctionnement est le même que celui d’un routeur avec <strong>de</strong>s listes d’accès. Il<br />

agit surtout sur les niveaux 3 et 4 <strong>de</strong> la couche OSI, c’est-à-dire sur les adresses TCP/IP.<br />

Pour s’assurer d’un niveau minimum <strong>de</strong> sécurité, il faut réaliser <strong>de</strong>s contrôles tant physiques que<br />

logiques, le principal avantage c'est que le Firewall est un point <strong>de</strong> centralisation : Tout le mon<strong>de</strong><br />

passe par lui pour sortir du réseau Interne pour consulter l'Internet, c'est le seul élément donnant<br />

cet accès, si l'on multiplie les points <strong>de</strong> sortie, on multiplie aussi les points d'entrée.<br />

Le choix d'un Firewall n'est pas à prendre à la légère. En effet, celui-ci, bien que ne pouvant être<br />

efficace seul, sera la pièce maîtresse <strong>de</strong> votre système <strong>de</strong> sécurité. Comment alors établir lequel<br />

sera à la hauteur <strong>de</strong> vos besoins ?<br />

La première étape est d'i<strong>de</strong>ntifier vos besoins. Pour vous ai<strong>de</strong>r, une analyse <strong>de</strong>s faiblesses <strong>de</strong><br />

votre réseau est fortement recommandée. Sinon, il se pourrait que vous oubliiez <strong>de</strong> prendre en<br />

compte <strong>de</strong>s ouvertures pouvant s'avérer importantes par la suite. Bien entendu, le firewall ne<br />

règlera pas tous vos problèmes. Il n'est que la solution "produit". Des règles strictes <strong>de</strong> sécurité<br />

<strong>de</strong>vront être instaurées et suivies par les employés.<br />

L'analyse se base sur les critères suivants :<br />

Niveau <strong>de</strong> protection : Liste <strong>de</strong>s attaques pouvant être contrée par le firewall<br />

Types d'authentification possibles : Différentes métho<strong>de</strong>s d'i<strong>de</strong>ntifier l'usager<br />

Portabilité : Types <strong>de</strong> systèmes d'opération supportés par le firewall (NT, UNIX)<br />

Évolutivité : Capacité du produit et du fabricant à évoluer avec les besoins futurs<br />

<strong>Support</strong> : Nombre <strong>de</strong> compagnies pouvant faire le service après-vente du produit<br />

Interopérabilité entre les produits : Capacité d'intégration avec différents environnements<br />

Options <strong>de</strong> VPN : Différents standards <strong>de</strong> VPN admis<br />

Flexibilité : Adaptation à différentes politiques <strong>de</strong> sécurité <strong>de</strong> l'entreprise.


(2) ACTIVER / DÉSACTIVER<br />

Le pare-feu doit être activé pour protéger l'ordinateur.<br />

SUR<br />

SUR<br />

SUR LE RÉSEAU<br />

SUR<br />

S’IL N’EST PAS ACTIVÉ<br />

Il est peut être nécessaire <strong>de</strong> désactiver le pare-feu pour résoudre <strong>de</strong>s problèmes <strong>de</strong><br />

communication, mais penser à le réactiver après<br />

(3) AUTORISER UN PROGRAMME<br />

Lors <strong>de</strong> leur installation, les programmes qui le nécessitent vont automatiquement se faire<br />

reconnaitre du pare-feu mais en cas <strong>de</strong> problème, cette manipulation peut être manuelle.<br />

SUR<br />

SUR<br />

SUR<br />

SUR<br />

SUR<br />

SUR<br />

POUR INDIQUER LE PROGRAMME ÉXÉCUTABLE DE L’APPLICATION<br />

POUR VALIDER<br />

l’application s’affiche dans la liste<br />

SUR<br />

POUR VALIDER


V – WINDOWS 10 155<br />

Il est aussi possible à ce niveau <strong>de</strong> désactiver les permissions d’une application en cliquant sur<br />

<strong>de</strong> l’application<br />

Autoriser la calculatrice dans le pare-feu puis désactiver l’autorisation<br />

(4) FONCTIONS AVANCÉES<br />

Elles vont permettre un paramétrage plus pointu.<br />

SUR<br />

SUR<br />

SUR


Certaines applications (contrôle à distance, jeu…) nécessitent l'ouverture d'un port spécifique pour<br />

communiquer. Il y a <strong>de</strong>ux types <strong>de</strong> ports : UDP et TCP.<br />

PORTS UDP<br />

UDP (USER DATAGRAM PROTOCOL) est un protocole du niveau <strong>de</strong> la couche transport, tout comme TCP.<br />

Contrairement à ce <strong>de</strong>rnier, il travaille en mo<strong>de</strong> non-connecté. Il assure la détection d'erreur,<br />

mais pas la reprise sur erreur. Les données transitant par UDP peuvent donc être perdues. La<br />

gran<strong>de</strong> qualité UDP est sa simplicité. L'absence <strong>de</strong> mécanisme <strong>de</strong> connexion accélère l'échange<br />

<strong>de</strong>s données. UDP fonctionne <strong>de</strong> manière très satisfaisante et performante en réseau local, ces<br />

<strong>de</strong>rniers étant très fiables et minimisant les risques d'erreurs.<br />

Port UDP entrée Service Description<br />

0<br />

53<br />

Utilisé pour la détection <strong>de</strong>s sites lors <strong>de</strong> la navigation<br />

PORTS TCP<br />

68 DHCP<br />

Utilisé pour une configuration automatique <strong>de</strong>s adresses IP, normalement à<br />

fermer pour INTERNET, pas à l'intérieur du réseau<br />

Le protocole TCP (TRANSMISSION CONTROL PROTOCOL) est considéré comme le plus important <strong>de</strong>s<br />

protocoles au niveau transport. Le protocole TCP est en mo<strong>de</strong> connecté, contrairement au<br />

<strong>de</strong>uxième protocole disponible dans cette architecture qui s'appelle UDP. Ce protocole a été<br />

développé pour assurer <strong>de</strong>s communications fiables entre <strong>de</strong>ux hôtes sur un même réseau<br />

physique, ou sur <strong>de</strong>s réseaux différents.<br />

Port TCP Service Description<br />

0 Utilisé pour la détection <strong>de</strong> site, doit être ouvert sur toute la plage d'entrée<br />

20 Port <strong>de</strong> données FTP<br />

21 Port <strong>de</strong> contrôle FTP<br />

Transfert <strong>de</strong> fichiers <strong>de</strong>s sites<br />

23 Telnet<br />

25 SMTP Courrier sortant<br />

53<br />

Domain Name Server<br />

(DNS)<br />

80 World Wild Web Navigation sur Internet<br />

110<br />

POP3 (Post Office<br />

Protocol)<br />

Courier entrant<br />

443 Navigation sur certains sites sécurisés<br />

8080 Proxy <strong>de</strong> skynet<br />

Le port peut varie d'un fournisseur à l'autre, doit être ouvert sur toute la plage<br />

d'adresse 0 à 255.255.255.255<br />

Port TCP Service Description<br />

22<br />

SSH remote login<br />

protocole<br />

53 Domain Name Server (DNS)<br />

70 Gopher protocol<br />

Utilisé dans certaines applications <strong>de</strong> connexion à distance<br />

Nécessaire pour détecter si l'adress IP correspond à une adresse vali<strong>de</strong>,<br />

généralement fermé. Ce port est utilisé i<strong>de</strong>ntiquement en UDP et IP. Il doit<br />

normalement être fermé en entrée sur le réseau interne.


V – WINDOWS 10 157<br />

119 Utilisé par les news<br />

143<br />

220<br />

Protocole <strong>de</strong> courrier<br />

sécurisé IMAP 3<br />

Protocole <strong>de</strong> courrier<br />

sécurisé IMAP 4<br />

1863 MSN Messenger Envoyer et recevoir les messages<br />

7000-7099 Logiciel bancaire ISABEL Suivant une adresse TCP/IP locale <strong>de</strong> départ et une adresse finale (le site).<br />

68 DHCP Utilisé pour une configuration automatique <strong>de</strong>s adresses IP<br />

137 Netbios Name Service<br />

138 NetBios<br />

139 NetBios<br />

Permet le partage <strong>de</strong> fichiers et d'imprimantes et donc d'utiliser ce partage via<br />

INTERNET<br />

445 Netbios Fonctionnalité supplémentaire implantée à partir <strong>de</strong> Windows 2000<br />

OUVRIR UN PORT<br />

L'ouverture du port dans le pare-feu va éviter que son flux soit bloqué par ce-<strong>de</strong>rnier.<br />

DANS LE VOLET DE GAUCHE<br />

SUR<br />

ce sont les flux qui entrent qui sont à surveiller<br />

DANS LE VOLET DE DROITE<br />

SUR<br />

ACTIVER<br />

SUR<br />

INDIQUER LE TYPE ET LE N°<br />

SUR<br />

ACTIVER<br />

SUR<br />

INDIQUER LE DOMAINE D'APPLICATION (PRIVÉ, PUBLIC…)<br />

SUR<br />

NOMMER LA RÈGLE<br />

SUR


La règle peut concerner une étendue <strong>de</strong> port (ex : 6881-6885) séparés par un tiret ou une liste<br />

(6881,6969,6987) séparés par <strong>de</strong>s virgules<br />

Penser à supprimer le port si vous n'avez plus besoin <strong>de</strong> l'application qui l'utilisait ; n'oubliez pas que<br />

c'est un peu comme une porte qui permet <strong>de</strong> rentrer ou <strong>de</strong> sortir. Il est inutile <strong>de</strong> la laisser ouverte<br />

si ce n'est pas nécessaire<br />

Ouvrir le port et créer la règle ci-avant : tcp 6881<br />

Ce port doit aussi être ouvert dans l'interface du routeur.


V – WINDOWS 10 159<br />

Ainsi que dans le pare-feu <strong>de</strong> ce routeur :<br />

PROPRIÉTÉS DE LA RÈGLE<br />

Les propriétés <strong>de</strong> la règle créée peuvent être modifiées.<br />

DANS LE VOLET DE GAUCHE<br />

SUR LA RÉGLE<br />

elle s’affiche dans le volet droit<br />

DANS LE VOLET DE DROITE<br />

SUR<br />

EFFECTUER LA MODIFICATION<br />

POUR VALIDER<br />

GESTION DE LA<br />

RÈGLE<br />

RÈGLE SÉLECTIONNÉE<br />

MODIFIER LA RÈGLE<br />

La modification peut concerner, le port, sa nature, les adresses IP associées, les utilisateurs<br />

associés


c) SPYWARES - MALWARES - ADWARES<br />

Ils sont assimilables aux virus mêmes s'ils font généralement moins <strong>de</strong> dommages. La plupart<br />

ont pour but d'envoyer <strong>de</strong>s informations (cookies, mots <strong>de</strong> passe, adresse mail, habitu<strong>de</strong>s…) à partir <strong>de</strong><br />

votre ordinateur vers <strong>de</strong>s serveurs pirates qui les utilisent à <strong>de</strong>s fins malhonnêtes. On trouve<br />

dans le logiciel libre <strong>de</strong> très bons anti-spywares (spybot).<br />

d) SPAMS<br />

Se méfier <strong>de</strong>s programmes inconnus qui vous révèlent <strong>de</strong>s virus ou spywares inexistants afin que<br />

vous installiez le produit en question sur votre machine ; c'est alors et malgré son nom tout à fait<br />

parlant l'application qu'il vous est proposé d'installer qui est le spyware<br />

Ce sont <strong>de</strong>s messages publicitaires non désirés qui, comme les prospectus dans nos boites aux<br />

lettres réelles, viennent encombrer nos messageries ; ils sont très gênants notamment dans<br />

plusieurs cas <strong>de</strong> figure :<br />

Ils contiennent un virus (fréquent)<br />

Ils prennent l'i<strong>de</strong>ntité d'un émetteur connu et envoient l'utilisateur vers un faux site imitant<br />

le site officiel <strong>de</strong> l'émetteur afin <strong>de</strong> lui soutirer <strong>de</strong>s informations ou <strong>de</strong> l'argent<br />

Ils sont gros ou trop nombreux et prennent du temps à télécharger<br />

Ils ont trait à un sujet non souhaité (pornographie…)<br />

e) VIRUS<br />

L'antivirus est un outil indispensable sur le Net.<br />

Il est proprement inconcevable d'aller sur le net ou <strong>de</strong> consulter une messagerie sans un antivirus à<br />

jour<br />

il existe <strong>de</strong>ux types métho<strong>de</strong>s :<br />

procé<strong>de</strong>r à partir d'une liste <strong>de</strong> virus connus avec leur <strong>de</strong>scription<br />

Reconnaitre un virus <strong>de</strong> par sa structure (métho<strong>de</strong> prédictive)<br />

La plupart <strong>de</strong>s antivirus combinent maintenant les 2 métho<strong>de</strong>s


V – WINDOWS 10 161<br />

PRINCIPES :<br />

Un programme vérifie tous les fichiers et processus qui rentrent ou s'activent dans l'ordinateur,<br />

les compare à une base d'informations et bloque les éléments suspects. ; ce programme,<br />

symbolisé par une icône dans la zone <strong>de</strong> notification, doit être actif en permanence.<br />

Un programme plus important, l'antivirus lui-même, va vérifier la mémoire vive <strong>de</strong><br />

l'ordinateur et les mémoires <strong>de</strong> stockage ; là encore, il va comparer ce qu'il trouve à une<br />

base d'informations <strong>de</strong> "signatures". Il doit être lancé manuellement ou vous pouvez<br />

programmer une analyse régulièrement (toutes les semaines par exemple) ; c'est un<br />

complément du programme précé<strong>de</strong>nt.<br />

Une base d'informations sur l'ordinateur est quotidiennement mise à jour par Internet <strong>de</strong>s<br />

nouvelles signatures <strong>de</strong> virus ; sans mise à jour régulière, l'efficacité <strong>de</strong> l'antivirus décroit<br />

<strong>de</strong> manière exponentielle.<br />

Des programmes annexes, spécifiques à chaque virus, sont mis à disposition par les<br />

éditeurs pour éradiquer <strong>de</strong>s virus particulièrement malveillants qui auraient réussi à passer<br />

ou pour réparer les dommages causés par ces mêmes virus lorsque cela est possible.<br />

(1) VIRUS SYSTÈME<br />

Ils sont aussi appelés virus <strong>de</strong> boot et viennent infecter les fichiers situés sur la zone amorce du<br />

système, c'est-à-dire la première partie du disque lue par l'ordinateur. Il remplace le contenu <strong>de</strong><br />

la zone d'amorçage par son propre co<strong>de</strong>. Il est difficile <strong>de</strong> s'en débarrasser et cause le plus<br />

souvent un dysfonctionnement <strong>de</strong> la machine pouvant entraîner la perte <strong>de</strong> données. Les<br />

données ne sont pas, à priori, concernées.<br />

(2) VIRUS PROGRAMME<br />

Ils sont aussi appelés virus <strong>de</strong> fichiers et infectent les programmes. Le virus s'active dès que le<br />

fichier est lancé mais l'utilisateur ne s'aperçoit <strong>de</strong> rien car le programme fonctionne.<br />

(3) CHEVAUX DE TROIE<br />

Le cheval <strong>de</strong> Troie se niche à l'intérieur d'un programme ; il est actif dès le programme hôte<br />

utilisé ; une variante, la bombe logique attend un événement particulier pour s'exécuter (date,<br />

conditions précises…)<br />

(4) VIRUS MACROS<br />

Les virus macro sont <strong>de</strong>s macro-comman<strong>de</strong>s particulières qui se reproduisent d'elles-mêmes au<br />

sein <strong>de</strong>s fichiers <strong>de</strong> données générés par <strong>de</strong>s applications telles que Microsoft Word et Excel. La<br />

plupart <strong>de</strong>s virus macro ont pour cibles les documents Word. Lorsqu'un fichier contenant une<br />

macro infectée est ouvert, le virus se copie automatiquement dans le modèle global <strong>de</strong> Word (le<br />

fichier NORMAL.DOT) grâce à <strong>de</strong>s fonctions qui sont exécutées dès le chargement du document. Le<br />

virus peut alors infecter d'autres fichiers Word. Tous les documents ouverts ou créés après que<br />

le modèle global a été infecté se trouvent à leur tour infectés. Les virus macro, qui font alors<br />

partie du document même, se répan<strong>de</strong>nt dès qu'un utilisateur infecté transmet ses fichiers sur<br />

disquettes, par transfert ou dès qu'un fichier infecté se trouve joint à un message électronique.<br />

(5) VIRUS DE SCRIPT<br />

Ils utilisent les différents langages <strong>de</strong> script qui permettent <strong>de</strong> contrôler l'environnement du<br />

logiciel. Ils sont le plus souvent dans <strong>de</strong>s langages répandus (VB script ou Java script). Ils se<br />

répliquent très vite grâce à Internet par l'intermédiaire <strong>de</strong>s messageries électroniques.


(6) VERS<br />

Contrairement aux virus, les vers (worms) n'ont pas besoin d'infecter un programme ou un<br />

support pour se reproduire. Ils se reproduisent seuls en utilisant les connexions réseau pour se<br />

propager. Ils utilisent très souvent les carnets d'adresses <strong>de</strong> l'ordinateur pour s'auto envoyer.<br />

L'un <strong>de</strong>s virus les plus courants actuellement est le "ransomware" qui chiffre tout le contenu <strong>de</strong><br />

l'ordinateur, le rendant inutilisable. La victime doit payer une rançon (en cryptomonnaie donc<br />

impossible à pister) pour récupérer la clé <strong>de</strong> déchiffrage (qu'il ne récupère pas toujours)<br />

(7) LIMITER LES RISQUES<br />

Un certain nombre <strong>de</strong> précautions permettent <strong>de</strong> limiter les possibilités d'infection.<br />

Installer un antivirus efficace<br />

Vérifier la mise à jour quotidienne <strong>de</strong>s fichiers <strong>de</strong> définition <strong>de</strong> virus à partir du site internet<br />

<strong>de</strong> l'éditeur<br />

Programmer une analyse complète du système au moins une fois par semaine.<br />

Créer dans vos carnets d'adresse un correspondant dont le nom commence par la valeur<br />

"zéro" et avec une adresse inventée ; la valeur "zéro" fera que ce correspondant sera le<br />

premier par lequel le virus s'auto-enverra et l'adresse fausse fera que vous aurez aussitôt<br />

un message d'erreur.<br />

f) CHIFFREMENT<br />

Une facette importante <strong>de</strong> la sécurité est <strong>de</strong> s'assurer que les données stockées sur la machine<br />

restent privées.<br />

(1) CHIFFREMENT BITLOCKER<br />

Le chiffrement Bitlocker chiffre tous les fichiers et dossiers du disque. Ils sont alors illisibles pour<br />

tout utilisateur non autorisé. Pour qu'un disque puisse être chiffré <strong>de</strong> cette manière, il doit<br />

cependant possé<strong>de</strong>r <strong>de</strong>ux partitions NTFS.<br />

PARAMÈTRES<br />

SUR<br />

SUR<br />

SUR<br />

SÉLECTIONNER LE DISQUE<br />

SUR<br />

SAISIR LE MOT DE PASSE (8 caractères minimum)<br />

CHOISIR D'ENREGISTRER LA CLÉ<br />

L'enregistrer sur son compte Microsoft peut être une solution pérenne<br />

Si l’ordinateur possè<strong>de</strong> sur sa carte mère une puce <strong>de</strong> sécurité, il faut modifier la stratégie <strong>de</strong><br />

démarrage en choisissant « Autoriser BitLocker sans TPM compatible. » et paramétrer :<br />


V – WINDOWS 10 163<br />

Bitlocker utilise une clé <strong>de</strong> chiffrement pour crypter les fichiers BitLocker fonctionne grâce à<br />

une puce TPM (Trusted Platform Module) intégrée directement à la carte mère. Par défaut, la<br />

métho<strong>de</strong> <strong>de</strong> chiffrement AES 128 bits est utilisé.<br />

Bien que ce chiffrement soit suffisant, on peut souhaiter chiffrer en 256 bits :<br />

Recherchez “gpedit.msc” dans<br />

Aller sur configuration ordinateur, modèles d’administration, chiffrement <strong>de</strong> lecteur BitLocker<br />

Activer “Sélectionner la métho<strong>de</strong> et la puissance <strong>de</strong> chiffrement <strong>de</strong>s lecteurs”<br />

Sélectionner “AES 256 bits“ puis pour vali<strong>de</strong>r<br />

(2) CHIFFREMENT TPM<br />

Si l’ordinateur possè<strong>de</strong> sur sa carte mère une puce <strong>de</strong> sécurité (obligatoire pour Windows 11), cette<br />

<strong>de</strong>rnière va pouvoir être paramétrée directement.<br />

PARAMÈTRES<br />

SUR<br />

SUR<br />

SUR<br />

SUR<br />

g) MICROSOFT DEFENDER APPLICATION GUARD<br />

Cet outil, qui n’est pas installé par défaut, permet d’effectuer une navigation sécurisée à partir <strong>de</strong><br />

Microsoft Edge dans un environnement isolé.<br />

PARAMÈTRES<br />

SUR<br />

SUR<br />

SUR<br />

SUR


4. EN CAS DE PROBLÈMES<br />

En cas <strong>de</strong> problèmes, plusieurs métho<strong>de</strong>s permettent <strong>de</strong> s'en sortir ; elles sont à utiliser selon la<br />

gravité <strong>de</strong> la situation.<br />

Vous avez aussi la possibilité, si votre machine fonctionne encore, <strong>de</strong> vous faire ai<strong>de</strong>r par un <strong>de</strong> vos<br />

contacts ; celui-ci peut prendre le contrôle <strong>de</strong> votre <strong>micro</strong> et éventuellement résoudre votre<br />

problème<br />

a) CONFIGURATION DU SYSTÈME<br />

Elle permet notamment <strong>de</strong> gérer les programmes lancés au démarrage <strong>de</strong> Windows.<br />

SUR<br />

MENU DÉMARRER<br />

SUR L’OUTIL<br />

(1) MODE DE DÉMARRAGE<br />

En cas <strong>de</strong> problèmes, il faut définir le mo<strong>de</strong> <strong>de</strong> démarrage <strong>de</strong> Windows. Notamment le mo<strong>de</strong><br />

"diagnostic" permet d'i<strong>de</strong>ntifier un éventuel pilote "défectueux".<br />

ONGLET<br />

SÉLECTIONNER LE MODE DE DÉMARRAGE<br />

POUR VALIDER<br />

Afficher la configuration système


V – WINDOWS 10 165<br />

(2) GÉRER PLUSIEURS SYSTÈMES<br />

Une machine peut recevoir plusieurs systèmes d'exploitation. L'idéal reste d'utiliser <strong>de</strong>s outils<br />

externes pour gérer les configurations mais Windows 10 permet d'en gérer le démarrage.<br />

ONGLET<br />

SÉLECTIONNER LE SYSTÈME<br />

POUR VALIDER<br />

<strong>de</strong>s outils spécialisés comme EASEUS PARTITION MASTER sur http://fr.easeus.com/partitionmanager/<br />

sont aussi très pratiques<br />

Si vous avez un ordinateur puissant, préférer la création d’une machine virtuelle à partir <strong>de</strong> Windows<br />

en utilisant VMware Workstation sur https://www.vmware.com/fr/products/workstationplayer.html<br />

(appartenant anciennement à ORACLE) qui fonctionne parfaitement, est très simple<br />

d’installation et d’utilisation, est gratuit et permet en plus <strong>de</strong> créer une puce TPM virtuelle.<br />

b) DIAGNOSTIC MÉMOIRE<br />

Ce diagnostic permet <strong>de</strong> vérifier si <strong>de</strong>s problèmes <strong>de</strong> fonctionnement sont dus à un mauvais<br />

fonctionnement <strong>de</strong> la mémoire vive, auquel cas il faudra changer les barrettes défectueuses.<br />

SUR<br />

MENU DÉMARRER<br />

SUR L’OUTIL<br />

le diagnostic s'effectue au redémarrage<br />

Effectuer un diagnostic mémoire <strong>de</strong> votre ordinateur


c) GESTIONNAIRE DES TÂCHES<br />

Le gestionnaire <strong>de</strong>s tâches permet <strong>de</strong> gérer l'activité en <strong>cours</strong> du <strong>pc</strong>.<br />

<br />

MENU DÉMARRER<br />

<br />

CHOISIR GESTIONNAIRE DE TÂCHES<br />

(1) FERMER UNE APPLICATION<br />

La plupart du temps, si une application n'arrive plus à fonctionner normalement, elle s'arrête,<br />

redémarre automatiquement, affiche les <strong>de</strong>rnières données sauvegardées et propose d'envoyer<br />

un rapport d'erreur à Microsoft.<br />

Si une application pose un problème : elle ne répond plus, fonctionne hiératiquement ou bien<br />

encore, si les comman<strong>de</strong>s sont d'une lenteur extrême, il faut la fermer manuellement.<br />

DANS L'ONGLET<br />

ET LA CATÉGORIE<br />

SÉLECTIONNER LA TÂCHE<br />

SUR<br />

OU<br />

<br />

SUR<br />

EN BAS DU GESTIONNAIRE DES TÂCHES<br />

POUR FERMER LE GESTIONNAIRE DES TÂCHES<br />

Si cela est possible, effectuer un enregistrement <strong>de</strong>s données du logiciel à fermer<br />

ou Faire un copier/coller <strong>de</strong> la totalité <strong>de</strong>s données dans le presse-papiers puis les récupérer<br />

ultérieurement à partir du presse-papiers


V – WINDOWS 10 167<br />

Les applications Microsoft sont sécurisées ; les données sont sauvegardées automatiquement<br />

indépendamment <strong>de</strong> l'utilisateur si bien qu'en cas <strong>de</strong> "plantage" <strong>de</strong> l'application, cette <strong>de</strong>rnière<br />

est capable <strong>de</strong> redémarrer aussitôt et <strong>de</strong> vous proposer les <strong>de</strong>rnières données sauvegardées ;<br />

il ne reste plus qu'à choisir la meilleure version <strong>de</strong>s fichiers récupérés et à l'enregistrer<br />

Si l'ordinateur est bloqué et ne répond plus du tout, même aux comman<strong>de</strong>s précé<strong>de</strong>ntes, il ne reste<br />

qu'à le fermer manuellement en appuyant plusieurs secon<strong>de</strong>s sur la touche <strong>de</strong> démarrage en faça<strong>de</strong><br />

du boitier <strong>de</strong> l'ordinateur puis à le redémarrer<br />

Ouvrir la calculatrice<br />

La fermer avec le gestionnaire <strong>de</strong> tâches<br />

(2) CONTRÔLER LES SERVICES<br />

Les services Windows sont <strong>de</strong>s programmes (appartenant le plus souvent au système) remplissant<br />

une fonction spécifique. Il peut arriver <strong>de</strong> <strong>de</strong>voir arrêter ou démarrer un service manuellement.<br />

DANS L'ONGLET<br />

SÉLECTIONNER LE SERVICE<br />

SUR OU OU<br />

SUR<br />

POUR FERMER LE GESTIONNAIRE DES TÂCHES<br />

donne accès au détail <strong>de</strong>s services


(3) PROGRAMMES AU DÉMARRAGE<br />

Un certain nombre <strong>de</strong> programmes sont lancés automatiquement au démarrage <strong>de</strong> Windows,<br />

que ce soit afin <strong>de</strong> vérifier une éventuelle mise à jour <strong>de</strong> ce programme ou <strong>de</strong> prélancer <strong>de</strong>s<br />

exécutables afin <strong>de</strong> minimiser le temps <strong>de</strong> démarrage du programme même. Ceci ralentit le<br />

démarrage <strong>de</strong> Windows. Il peut alors être nécessaire d'aller vérifier ces options <strong>de</strong> démarrage.<br />

DANS L'ONGLET<br />

SÉLECTIONNER LE PROGRAMME<br />

SUR<br />

SUR<br />

POUR FERMER LE GESTIONNAIRE DES TÂCHES<br />

Afficher les tâches au démarrage et désactiver celles qui sont trop lour<strong>de</strong>s<br />

d) REDÉMARRER ET RÉPARER<br />

Plusieurs options <strong>de</strong> réparation sont disponibles.<br />

PARAMÈTRES<br />

SUR<br />

SUR


V – WINDOWS 10 169<br />

(1) RÉINITIALISATION<br />

Elle va permettre <strong>de</strong> réparer Windows en conservant les fichiers <strong>de</strong> données ou non.<br />

SUR<br />

SUR<br />

SUIVRE LES INSTRUCTIONS<br />

Certaines applications, notamment celle ne venant pas du Windows Store ne seront pas réinstallées


(2) REDÉMARRAGE AVANCÉ<br />

Il est l'équivalent amélioré du mo<strong>de</strong> sans échec <strong>de</strong>s versions précé<strong>de</strong>ntes.<br />

DEUX OPTIONS<br />

SUR<br />

ET ENFONCÉ AU DÉMARRAGE<br />

Réinitialiser le <strong>pc</strong><br />

C'est la même option que celle <strong>de</strong> la récupération <strong>de</strong> Windows, soit :<br />

Options avancées<br />

Celles-ci doivent permettre <strong>de</strong> faire repartir la machine.


V – WINDOWS 10 171<br />

À UTILISER DANS CET ORDRE :<br />

Paramètres<br />

Cette option permet <strong>de</strong> redéfinir les paramètres <strong>de</strong> démarrage et <strong>de</strong> neutraliser<br />

l'application cause <strong>de</strong>s problèmes<br />

Outil <strong>de</strong> redémarrage système<br />

Il va rechercher ce qui empêche le système <strong>de</strong> fonctionner et, si possible, le corriger<br />

Restauration du système<br />

Si le système est planté, cette option permet <strong>de</strong> récupérer un point <strong>de</strong> restauration<br />

fonctionnel et <strong>de</strong> faire redémarrer l'ordinateur<br />

Récupération <strong>de</strong> l'image système<br />

C'est une image complète du système d'exploitation qui est ici restaurée à la place <strong>de</strong><br />

l'actuelle.<br />

Invite <strong>de</strong> comman<strong>de</strong><br />

Elle permet d'accé<strong>de</strong>r au système ne mo<strong>de</strong> non graphique<br />

Toujours se poser la question : Qu'est-ce qu'il y eu <strong>de</strong> particulier sur l'ordinateur entre "avant"<br />

lorsqu'il marchait bien et "maintenant" ou il ne marche plus ?<br />

Le problème à l'origine du plantage n'est pas toujours difficile à i<strong>de</strong>ntifier ; si l'ordinateur<br />

fonctionnait et que, tout d'un coup, il ne marche plus, il y a eu un événement entre les <strong>de</strong>ux à<br />

l'origine <strong>de</strong> la panne.<br />

cet événement est généralement :<br />

L'installation d'une nouvelle application, d'un nouveau jeu, d'un nouveau widget<br />

Désinstaller l'application, le jeu, le widget<br />

La mise à jour manuelle ou automatique d'un pilote <strong>de</strong> périphérique<br />

Revenir au pilote précé<strong>de</strong>nt<br />

L'installation d'un nouveau périphérique (LECTEUR DVD, CARTE, PÉRIPHÉRIQUE USB DIVERS)<br />

Mettre à jour le pilote ou désactiver, désinstaller ou enlever physiquement le périphérique<br />

L'attaque d'un virus ou d'un freeware/spyware particulièrement néfaste<br />

Analyser l'ordinateur avec un logiciel antivirus à jour et un antispyware ; éventuellement, rebooter<br />

l'ordinateur sur l'antivirus pour analyser la machine avant le redémarrage <strong>de</strong> Windows :<br />

Une mise à jour <strong>de</strong> Windows non supportée par la machine<br />

Désinstaller la <strong>de</strong>rnière mise à jour et désactiver les mises à jour automatiques<br />

Une défaillance matérielle<br />

Réparer ou faire réparer l'ordinateur puis réinstaller éventuellement le système complet (à partir d'un<br />

disque <strong>de</strong> récupération si disponible)


e) RÉPARER LE RÉSEAU (rappel)<br />

Les caractéristiques du réseau peuvent être affichées et si un problème se pose, un utilitaire<br />

permet <strong>de</strong> les diagnostiquer et <strong>de</strong> les résoudre.<br />

NOTIFICATIONS<br />

SUR<br />

SUR<br />

SUR<br />

OU<br />

Lors <strong>de</strong> la réparation, Windows vi<strong>de</strong> la mémoire tampon, désactive la carte réseau, la réactive<br />

et affecte <strong>de</strong> nouvelles adresses<br />

La plupart <strong>de</strong>s problèmes réseau sont générés par un câble défectueux / mal branché ou une<br />

adresse ip erronée : Redémarrer service client DHCP puis redémarrer service client DNS<br />

En ligne <strong>de</strong> comman<strong>de</strong> administrateur :<br />

i<strong>pc</strong>onfig / release<br />

i<strong>pc</strong>onfig / renew<br />

netsh windsock reset


VI – POWERSHELL ISE 173<br />

Windows POWERSHELL ISE est une interface <strong>de</strong> comman<strong>de</strong> en ligne plus élaborée que la<br />

classique ligne <strong>de</strong> comman<strong>de</strong> mais aussi que le POWERSHELL standard qui a lui peu évolué. En<br />

cas <strong>de</strong> problèmes, vous serez amené à faire une recherche sur internet et probablement à saisir<br />

quelques linges <strong>de</strong> comman<strong>de</strong>s pour le résoudre. POWERSHELL ISE, simplement en vous<br />

permettant <strong>de</strong> faire un copier/coller <strong>de</strong>s comman<strong>de</strong>s facilitera l'opération. Ce n'est ici qu'un<br />

avant-goût <strong>de</strong>s possibilités <strong>de</strong> POWERSHELL ISE pour vous donner envie d'aller plus loin.<br />

AFFICHE LE VOLET<br />

SCRIPT<br />

SAISIE INTELLIGENTE<br />

AFFICHE LES<br />

COMMANDES EN FENÊTRE<br />

ÉDITEUR<br />

AFFICHE LE VOLET<br />

COMMANDES<br />

CONSOLE<br />

Pour accé<strong>de</strong>r à POWERSHELL ISE, le plus simple est <strong>de</strong> passer par le menu démarrer.<br />

DÉROULER<br />

SUR<br />

SUR<br />

SUR<br />

MENU DÉMARRER<br />

Épingler POWERSHELL ISE à la barre <strong>de</strong>s tâches avec


Utiliser POWERSHELL ISE présente <strong>de</strong> nombreux avantages :<br />

Utilisation <strong>de</strong>s mêmes comman<strong>de</strong>s que dans la ligne <strong>de</strong> comman<strong>de</strong> classique<br />

Disponibilité du presse-papier et <strong>de</strong> ses raccourcis (pour copier/coller <strong>de</strong>s comman<strong>de</strong>s)<br />

Possibilité <strong>de</strong> saisir directement la comman<strong>de</strong> dans la console (fenêtre basse) avec<br />

ou <strong>de</strong> saisir un script (suite <strong>de</strong> comman<strong>de</strong>s) dans l'éditeur (fenêtre haute)<br />

Possibilité <strong>de</strong> lancer un script dans l'éditeur directement avec ou<br />

Possibilité <strong>de</strong> lancer une sélection dans l'éditeur en appuyant sur ou<br />

Possibilité <strong>de</strong> gérer la fenêtre POWERSHELL ISE comme n'importe quelle fenêtre (taille,<br />

position…)<br />

Saisie intelligente : POWERSHELL ISE propose automatiquement <strong>de</strong> compléter les<br />

comman<strong>de</strong>s en <strong>cours</strong><br />

Compréhension et mise en évi<strong>de</strong>nce <strong>de</strong> la syntaxe (et <strong>de</strong>s fautes)<br />

Plusieurs onglets pour différents scripts<br />

Possibilité <strong>de</strong> zoomer avec la souris<br />

Il est possible <strong>de</strong> travailler directement dans la fenêtre <strong>de</strong> comman<strong>de</strong> (CONSOLE) ou dans l'éditeur.<br />

1. AFFICHER LA CONSOLE<br />

L'idéal est d'afficher la console <strong>de</strong> comman<strong>de</strong>s sous l'éditeur.<br />

SUR<br />

2. UTILISER LA CONSOLE<br />

OUTILS POWERSHELL<br />

L'utilisation est i<strong>de</strong>ntique à celle <strong>de</strong> la ligne <strong>de</strong> l'invite <strong>de</strong> comman<strong>de</strong>.<br />

CONSOLE<br />

TAPER LA COMMANDE<br />

<br />

3. UTILISER L'ÉDITEUR<br />

Il va permettre <strong>de</strong> saisir plusieurs comman<strong>de</strong>s à la suite pour enregistrer un script.<br />

ÉDITEUR<br />

SAISIR LES COMMANDES<br />

LANCER LE SCRIPT AVEC OU<br />

LANCER UNE SÉLECTION EN APPUYANT SUR OU<br />


VI – POWERSHELL ISE 175<br />

Le script enregistré peut être lancé à partir <strong>de</strong> POWERSHELL mais ne peut pas<br />

directement être joué en <strong>de</strong>hors ; il doit être enregistré dans fichier .bat (éxécutable)<br />

avec l'instruction :<br />

POWERSHELL C:\NOM_DU_SCRIPT.PS1 (.ps1 est une terminaison <strong>de</strong> fichier powershell)<br />

On retrouve ici <strong>de</strong>s comman<strong>de</strong>s dont le nom et la fonction ont perdurés <strong>de</strong>puis l'ancien DOS mais<br />

QUI sont en fait <strong>de</strong>s alias vers les nouvelles comman<strong>de</strong>s Windows.<br />

1. CHEMIN<br />

Le chemin ou PATH donne les indications nécessaires pour arriver à un fichier à partir du dossier<br />

racine.<br />

CD<br />

CD C:\DOSSIER\SOUS-DOSSIER<br />

DANS LAQUELLE CD + PATH<br />

LA HIÉRARCHIE<br />

DÉPLACE VERS LE DOSSIER INDIQUÉ<br />

CD.. REDESCEND D'UN DOSSIER DANS<br />

CD\<br />

CD<br />

REVIENT AU DOSSIER RACINE<br />

AFFICHE LE DOSSIER ACTUEL<br />

CD C:\WINDOWS\SYSTEM32 PERMET D'ACCÉDER AU SOUS-DOSSIER SYSTEM32 DU DOSSIER WINDOWS<br />

Afficher les fichiers <strong>de</strong> cd c:\windows\system32


2. CRÉER UN DOSSIER<br />

La création d'un dossier permet le stockage d'un ensemble <strong>de</strong> données homogènes.<br />

MD<br />

MD C:\NOM DU DOSSIER<br />

DANS LAQUELLE<br />

VOUS VOULEZ UTILISER<br />

- MD SIGNIFIE MAIN DIRECTORY<br />

- C: NOM DE L'UNITÉ LOGIQUE QUE<br />

- \ (antislasch)<br />

MD C:\ESSAI\DONNEES CRÉE UN SOUS-DOSSIER "DONNÉES" DANS LE DOSSIER "ESSAI"<br />

Créer un sous-dossier "données" dans le dossier "essai"<br />

3. SUPPRIMER UN DOSSIER<br />

Un dossier inutile doit être supprimé pour ne pas charger inutilement la structure du disque.<br />

RD<br />

RD C:\NOM DU DOSSIER<br />

RD C:\ESSAI\DONNEES SUPPRIME LE SOUS-DOSSIER "DONNÉES" DU DOSSIER "ESSAI"<br />

SUPPRIMER LE SOUS-dossier "données"<br />

ce <strong>de</strong>rnier doit être vi<strong>de</strong> sinon la suppression est refusée<br />

4. LISTER LES FICHIERS<br />

Il peut être nécessaire <strong>de</strong> lister les fichiers contenus dans un dossier afin d'en assurer la gestion.<br />

DIR<br />

DIR C:\DOSSIER\SOUS-DOSSIER<br />

pour afficher le contenu du sous-dossier "xxxxx" du dossier "xxxx"<br />

DIR C:\ESSAI\DONNEES affiche le contenu du sous-dossier "données" du dossier "essai"


VI – POWERSHELL ISE 177<br />

Afficher le contenu du SOUS-dossier "données"<br />

Les caractères génériques viennent remplacer dans le nom du fichier les caractères réels afin<br />

d'élargir la recherche ou pour pallier à un oubli.<br />

CARACTÈRES GÉNÉRIQUES ? *<br />

? REMPLACE UN CARACTÈRE DANS LA RECHERCHE<br />

* REMPLACE AUTANT DE CARACTÈRES QUE NÉCESSAIRE DANS LA RECHERCHE<br />

DIR C:\ESSAI\DONNEES \*.XLSX (à partir <strong>de</strong> C) affiche tous les fichiers excel du dossier "données"<br />

DIR *.XLSX affiche tous les fichiers excel du dossier en <strong>cours</strong><br />

DIR LETTRE?.DOCX affiche tous les fichiers word du dossier en <strong>cours</strong> qui commence par "lettre" quelle<br />

que soit le caractère suivant


5. COPIER DES FICHIERS<br />

Les fichiers peuvent être copiés entre les unités logiques et les disques, sous un nom i<strong>de</strong>ntique<br />

ou sous un nom différent.<br />

COPY<br />

COPY C:\NOM DU DOSSIER1\NOM DU FICHIER C:\NOM DU DOSSIER2\<br />

pour copier un fichier d'un dossier à un autre<br />

COPY C:\NOM DU DOSSIER1\NOM DU FICHIER1C:\NOM DU DOSSIER2\\NOM DU FICHIER2<br />

pour copier un fichier d'un dossier à un autre sous un autre nom<br />

COPY C:\ESSAI\DONNEES\LETTRE1.DOCX C:\ESSAI\DOCUMENTS\LETTRE9.DOCX<br />

copie le fichier "LETTRE1.DOCX" sur le dossier "DOCUMENT" sous le nom "LETTRE9.DOCX"<br />

Copier le fichier" lettre1.docx" sur le dossier "document" sous le nom "lettre9.docx"<br />

6. RENOMMER DES FICHIERS<br />

Un ou plusieurs fichiers peuvent être renommés ; ceci peut entre autres éviter d'écraser un<br />

fichier par un autre <strong>de</strong> même nom.<br />

RENAME<br />

REN C:\DOSSIER\*.DOCX *.SAVX<br />

renomme tous les fichiers .docx <strong>de</strong> dossier avec une extension .savx.<br />

REN C:\DOSSIER\XXXXXX.DOCX YYYYYYY.DOCX<br />

renomme le fichier xxxxxxx.docx <strong>de</strong> dossier "xxxxxxx" en yyyyyyy.docx<br />

un fichier ne peut être renommé sous un nom déjà existant


VI – POWERSHELL ISE 179<br />

REN LETTRE1.DOCX LETTRE8.DOCX<br />

renomme le fichier "LETTRE1.DOCX" du dossier en <strong>cours</strong> en "LETTRE8.DOCX"<br />

REN *.DOCX *.SAVX<br />

renomme les fichier word du dossier en <strong>cours</strong> en fichiers .savx<br />

Renommer le fichier" lettre1.docx" du dossier "donnees" en "LETTRE8.DOCX"<br />

7. DÉTRUIRE DES FICHIERS<br />

Les fichiers inutiles doivent être détruits.<br />

DEL<br />

DEL C:\DOSSIER\*.DOCX<br />

détruit tous les fichiers word <strong>de</strong> dossier<br />

DEL LETTRE8.DOCX<br />

supprimer le fichier "LETTRE8.DOCX" du dossier en <strong>cours</strong><br />

Supprimer le fichier" lettre8.docx" du dossier "donnees"


8. ATTRIBUTS DE FICHIER<br />

Un certain nombre d'attributs viennent caractériser les fichiers. La comman<strong>de</strong> "attrib" ne permet<br />

<strong>de</strong> gérer que les attributs réguliers hors attributs étendus.<br />

ATTRIBUTS RÉGULIERS<br />

A ARCHIVE : le fichier a été sauvegardé<br />

R LECTURE SEULE : le fichier ne peut être modifié ou supprimé<br />

H CACHÉ : le fichier n'apparait pas dans les listes<br />

S SYSTÈME : le fichier est un fichier système et n'est pas affiché<br />

ATTRIBUTS ÉTENDUS<br />

Par<strong>cours</strong> du dossier/exécuter le fichier<br />

Liste du dossier/lecture <strong>de</strong> données<br />

Attributs <strong>de</strong> lecture<br />

Lire les attributs étendus<br />

Création <strong>de</strong> fichier/écriture <strong>de</strong> données<br />

Création <strong>de</strong> dossier/ajout <strong>de</strong> données<br />

Attributs d’écriture<br />

Écriture d’attributs étendus<br />

Suppression <strong>de</strong> sous-dossiers et <strong>de</strong><br />

fichiers<br />

Supprimer<br />

Autorisations <strong>de</strong> lecture<br />

Modifier les autorisations<br />

Appropriation<br />

Synchroniser<br />

ATTRIB<br />

ATTRIB C:\DOSSIER\XXXX.DOCX<br />

affiche les attributs du fichier xxxx.docx<br />

ATTRIB +R C:\DOSSIER\XXXX.DOCX<br />

assigne l'attribut "archive" au fichier xxxx.docx<br />

+r Définit l'attribut <strong>de</strong> fichier Lecture seule.<br />

-r Supprime l'attribut <strong>de</strong> fichier Lecture seule.<br />

+a Définit l'attribut <strong>de</strong> fichier archive.<br />

-a Supprime l'attribut <strong>de</strong> fichier archive.<br />

+s Définit l'attribut Fichier système.<br />

-s Supprime l'attribut Fichier système.<br />

+h Définit l'attribut Fichier caché.<br />

-h Supprime l'attribut Fichier caché.<br />

ATTRIB SOMME.XLSX<br />

affiche les attributs du fichier "SOMME.XLSX" du dossier en <strong>cours</strong><br />

ATTRIB +R SOMME.XLSX<br />

assigne l'attribut "archive" au fichier<br />

afficher les attributs du fichier "SOMME.XLSX" "<br />

lui assigner l'attribut "archive"


VI – POWERSHELL ISE 181<br />

L'application opensource suivante crée un menu contextuel accessible par le permettant <strong>de</strong><br />

changer facilement les attributs d'un fichier :<br />

Get Attribute Changer 8.20 (© Copyright 1999 - 2016 Romain PETGES / All Rights Reserved)<br />

9. COPIER UN DOSSIER<br />

Il peut être très rapi<strong>de</strong> <strong>de</strong> copier le contenu d'un dossier d'un disque à un autre et si nécessaire<br />

en créant le dossier même dans l'unité cible.<br />

XCOPY<br />

XCOPY C:\DONNÉES C:\SAUVEG<br />

copie le contenu du dossier données <strong>de</strong> c: dans le dossier sauveg en créant le cas échéant le dossier<br />

sauveg - les sous-dossiers <strong>de</strong> données ne sont pas créés et leur contenu n'est pas copié)<br />

XCOPY C:\DONNÉES C:\SAUVEG /S /E<br />

copie le contenu du dossier données <strong>de</strong> c: dans le dossier sauveg en créant le cas échéant le dossier<br />

sauveg (y compris un dossier éventuellement vi<strong>de</strong> - les dossiers et sous-dossiers sont créés et leur<br />

contenu copié)<br />

XCOPY C:\ESSAI\DONNEES C:\SAUVEG /S /E<br />

copie le sous-dossier "DONNEES" <strong>de</strong> "ESSAI" dans le dossier "SAUVEG" en le créant<br />

copier le sous-dossier "DONNEES" <strong>de</strong> "ESSAI" dans le dossier "SAUVEG" en le créant


Elles sont accessibles par la fenêtre <strong>de</strong> comman<strong>de</strong>s et sont regroupées par nature dans <strong>de</strong>s<br />

modules.<br />

VOLET DROIT COMMANDES<br />

SÉLECTIONNER LE MODULE<br />

SÉLECTIONNER LA COMMANDE DANS LA LISTE<br />

SUR<br />

RENSEIGNER ÉVENTUELLEMENT LES PARAMÈTRES<br />

SUR<br />

SUR<br />

POUR ÉXÉCUTER LA COMMANDE DANS LA CONSOLE<br />

PUIS COLLER LA COMMANDE DANS L'INTERPRÉTEUR<br />

Les comman<strong>de</strong>s permettant d'afficher <strong>de</strong>s informations (type show… ou get…) ne sont<br />

pas dangereuses mais les comman<strong>de</strong>s <strong>de</strong> type set… modifient la configuration et<br />

peuvent gravement l'endommager<br />

SÉLECTIONNER<br />

LE MODULE<br />

SÉLECTIONNER<br />

LA COMMANDE<br />

RENSEIGNER LES<br />

PARAMÈTRES<br />

EXÉCUTER LA<br />

COMMANDE


VI – POWERSHELL ISE 183<br />

Pour afficher les paramètres <strong>de</strong> sécurité du firewall<br />

je choisis le module<br />

je choisis la comman<strong>de</strong><br />

je clique sur<br />

je clique sur<br />

Afficher les paramètres <strong>de</strong> sécurité du firewall<br />

Un script est un programme qui peut inclure :<br />

Des variables<br />

Des boucles<br />

1. AUTORISER LES SCRIPTS<br />

Des tests<br />

Des comman<strong>de</strong>s…<br />

La politique <strong>de</strong> sécurité <strong>de</strong> Powershell interdit l'exécution <strong>de</strong> scripts. Il faut donc la modifier.<br />

PowerShell propose 4 mo<strong>de</strong>s <strong>de</strong> sécurité différents :<br />

Restricted<br />

AllSigned<br />

RemoteSigned<br />

Unrestricted<br />

CONSOLE<br />

TAPER C:\> SET-EXECUTIONPOLICY REMOTESIGNED<br />

ACCEPTER LA MODIFICATION<br />

VÉRIFIER LE CHANGEMENT AVEC C:\> GET-EXECUTIONPOLICY


Modifier la politique <strong>de</strong> sécurité comme ci-avant<br />

2. CRÉER UN SCRIPT SIMPLE<br />

Il est possible <strong>de</strong> créer <strong>de</strong>s scripts très simples comme <strong>de</strong> très compliqués.<br />

Voici un script simple :<br />

VARIABLE<br />

BOUCLE<br />

Saisir le script suivant en vous aidant <strong>de</strong> la saisie assistée :<br />

$LIST = DIR<br />

foreach ($item in $list) {<br />

}<br />

$fn = $item.name + "_.txt"<br />

get-itemproperty $item | format-list | out-file $fn<br />

L'exécuter<br />

éditer un <strong>de</strong>s fichiers .txt<br />

La liste <strong>de</strong>s fichiers du dossier est stockée dans une variable appelée "list"<br />

la boucle" foreach" passe en revue chaque élément (fichier) et les instructions entre<br />

crochets sont exécutées pour chacun<br />

l'élément actuel <strong>de</strong> la liste est assigné à la variable "item", chaque "item" étant un objet<br />

décrivant les propriétés d'un fichier<br />

une variable" fn" est déclarée avec pour valeur le nom du fichier, un soulignement et "txt"<br />

les propriétés détaillées <strong>de</strong> chaque élément sont récupérées par get-itemproperty<br />

l'élément est alors envoyé dans "format-list" pour obtenir une vue détaillée<br />

les propriétés <strong>de</strong> l'élément sont écrites dans un fichier texte avec le nom défini auparavant


VI – POWERSHELL ISE 185


3. ENREGISTRER UN SCRIPT<br />

Il faut enregistrer le script pour pouvoir le réutiliser.<br />

SUR<br />

NOMMER LE FICHIER<br />

SUR<br />

OUTILS POWERSHELL<br />

Enregistrer le script précé<strong>de</strong>nt sous le nom "proprietes_fichiers" dans le dossier "essai"<br />

4. CRÉER UN FICHIER BAT<br />

Un script enregistré peut être lancé à partir <strong>de</strong> POWERSHELL mais ne peut pas directement être<br />

joué en <strong>de</strong>hors ; il doit être enregistré dans fichier .bat (EXÉCUTABLE) et ce <strong>de</strong>rnier peut alors<br />

éventuellement être programmé dans le planificateur <strong>de</strong> tâches.<br />

ÉDITEUR DE TEXTE<br />

OUVRIR UN ÉDITEUR DE TEXTE (notepad++ par exemple : https://notepad-plus-plus.org/ )<br />

SAISIR LA LIGNE SUIVANTE<br />

POWERSHELL C:\DOSSIER\NOM_DU_SCRIPT.PS1 (.ps1 est une terminaison <strong>de</strong> fichier powershell)<br />

ENREGISTRER AU FORMAT .BAT<br />

Bien indiquer dans le fichier bat le chemin d'accès au dossier à modifier<br />

Enregistrer sur C:\ le fichier PROP.BAT :CD C:\<br />

CD SAUVEG<br />

POWERSHELL C:\ESSAI\PROPRIETES_FICHIERS.PS1<br />

L'exécuter


VII – MAINTENANCE DE L'ENSEMBLE MATÉRIEL/ LOGICIEL 187<br />

Pour tout ce qui concerne le système d'exploitation, il est indispensable <strong>de</strong> savoir aller consulter<br />

la base <strong>de</strong> connaissances MICROSOFT à l'adresse suivante :<br />

https://support.<strong>micro</strong>soft.com/fr-FR<br />

Cette base <strong>de</strong> connaissance donne accès à une ai<strong>de</strong> et à <strong>de</strong>s forums sur les applications<br />

Microsoft<br />

Un certain nombre d'éléments sont essentiels dans la structure du système<br />

d'exploitation.<br />

La TABLE DES PARTITIONS détermine le nombre d'unités logiques reconnues par le système,<br />

leur taille ainsi que celle <strong>de</strong>s clusters utilisés.<br />

La BASE DES REGISTRES, permet au système <strong>de</strong> mémoriser la configuration du système et<br />

les paramètres utilisateurs au sein <strong>de</strong> <strong>de</strong>ux fichiers (SYSTEM.DAT ET USER.DAT); ces fichiers<br />

nécessitent <strong>de</strong>s outils particuliers pour être sauvegardés, copiés ou modifiés.<br />

L'affectation <strong>de</strong>s IRQ, permet aux différents périphériques ou composants <strong>de</strong><br />

communiquer <strong>de</strong> manière spécifique ; leur affectation est effectuée par les systèmes PLUG<br />

& PLAY ; leur modification ne doit être faite qu'en cas <strong>de</strong> problèmes et en toute<br />

connaissance <strong>de</strong> cause.<br />

1. LES TABLES DE PARTITION<br />

La HARD DISK MASTER BOOT RECORD (MBR) est située sur le premier secteur du disque (cylindre<br />

0, piste 0, secteur 1). La table <strong>de</strong> partition est située à 01BE, et contient jusqu'à 4 entrées 16 bits.<br />

Le 4 ème byte <strong>de</strong> chaque partition est utilisé pour indiquer le type <strong>de</strong> partition.<br />

a) MS-DOS VERSIONS 2.X<br />

MS-DOS 2.X supporte une partition jusqu'à 15 megabytes (MB) qui utilise une FAT 12-BIT (FILE<br />

ALLOCATION TABLE). FDISK crée seulement une partition MS-DOS par disque.<br />

b) MS-DOS 3.0<br />

MS-DOS 3.0 supporte <strong>de</strong>s partitions supérieures à 15 MB utilisant une FAT 16-bit, qui permet <strong>de</strong>s<br />

clusters plus petit et donc une meilleur utilisation du disque.


c) MS-DOS 3.3<br />

MS-DOS 3.3 supporte plus d'une partition logique par disque. Les disques logiques sont traités<br />

comme <strong>de</strong>s disques physiques séparés. Les partitions non bootables sont reconnues comme "<br />

EXTENDED MS-DOS PARTITIONS". FDISK les indique comme EXT DOS; les autres partitions MS-DOS<br />

sont reportées comme PRI DOS (primary MS-DOS). Chaque partition MS-DOS primaire est un disque<br />

logique, et les partitions MS-DOS étendues contiennent <strong>de</strong> 1 à 23 disques logiques (MS-DOS<br />

accepte les lettres jusqu'à Z). Les disques logiques dans les partitions étendues ont le même type <strong>de</strong><br />

FAT qu'une partition primaire <strong>de</strong> la même taille. Seule une partition primaire et une partition<br />

étendue sont permises par disque.<br />

d) MS-DOS 4.0<br />

MS-DOS 4.0 supporte <strong>de</strong>s disques logiques <strong>de</strong> plus <strong>de</strong> 32 MB mais pour pouvoir les utiliser<br />

complètement, il est nécessaire <strong>de</strong> charger le programme SHARE.EXE<br />

Type<br />

Partition<br />

Fdisk Reports taille Type FAT MS-DOS version<br />

01 PRI DOS 0-15 MB 12-Bit 2.0 (a)<br />

04 PRI DOS 16-32 MB 16-Bit 3.0<br />

05 EXT DOS 0-2 GB (b n/a 3.3<br />

06 PRI DOS 32 MB-2 GB (b 16-bit 4.0<br />

15-MB size limitation exten<strong>de</strong>d in version 3.0.- (b) 2 GB (gigabytes) inclu<strong>de</strong>s a limit of 1024 cylin<strong>de</strong>rs per drive<br />

e) MS-DOS 5.0<br />

MS-DOS VERSIONS 5.0 supporte jusqu'à huit disques physiques. SHARE.EXE n'est plus nécessaire<br />

car inclus dans le noyau <strong>de</strong> DOS. Le système <strong>de</strong> partitionnement est le même que celui <strong>de</strong> la<br />

version 4, avec la même impossibilité <strong>de</strong> créer avec FDISK plus d'une partition primaire sur un<br />

disque physique.<br />

f) WINDOWS 95<br />

WINDOWS 95 supporte <strong>de</strong>ux nouveaux types <strong>de</strong> partitions (0E et 0F) pour gérer le LBA (logical block<br />

addressing - INT13h extensions).<br />

Type<br />

Partition<br />

Fdisk Reports taille Type FAT MS-DOS version<br />

01 PRI DOS 0-15 MB 12-Bit MS-DOS 2.0<br />

04 PRI DOS 16-32 MB 16-Bit MS-DOS 3.0<br />

05 EXT DOS 0-2 GB n/a MS-DOS 3.3<br />

06 PRI DOS 32 MB-2 GB 16-bit MS-DOS 4.0<br />

0E PRI DOS 32 MB-2 GB 16-bit Windows 95<br />

OF EXT DOS 0-2 GB n/a Windows 95<br />

LES TYPES 0E ET 0F DEMANDENT LE SUPPORT DE INT13 ÉTENDU.<br />

le type OE est i<strong>de</strong>ntique au type 06 et le type OF est i<strong>de</strong>ntique au type 05<br />

De toutes manières, les applications <strong>de</strong>vront utiliser les fonctions d'écriture/lecture LBA<br />

(LOGICAL BLOCK ADDRESSING) <strong>de</strong> l'extension INT13h au lieu <strong>de</strong> <strong>de</strong>s fonctions normales CHS<br />

(CYLINDER/HEAD/SECTORPERTRACK) parce que le disque dur a plus <strong>de</strong> 1024 cylindres ou plus<br />

<strong>de</strong> 16,711,680 secteurs. Les versions précé<strong>de</strong>ntes <strong>de</strong> Windows95 reconnaissent ces partitions<br />

comme partitions NON-DOS


VII – MAINTENANCE DE L'ENSEMBLE MATÉRIEL/ LOGICIEL 189<br />

g) WINDOWS 98<br />

WINDOWS 95 OEM service release 2 (OSR2) et WINDOWS 98 utilisent <strong>de</strong>ux nouveaux types <strong>de</strong><br />

partition (0B et 0C) supportant le système <strong>de</strong> fichier FAT32:<br />

types <strong>de</strong> partition supportées par OSR2 and WINDOWS 98:<br />

Type<br />

Partition<br />

Fdisk Reports taille Type FAT MS-DOS version<br />

01 PRI DOS 0-15 MB 12-Bit MS-DOS 2.0<br />

04 PRI DOS 16-32 MB 16-Bit MS-DOS 3.0<br />

05 EXT DOS 0-2 GB n/a MS-DOS 3.3<br />

06 PRI DOS 32 MB-2 GB 16-bit MS-DOS 4.0<br />

0E PRI DOS 32 MB-2 GB 16-bit Windows 95<br />

0F EXT DOS 0-2 GB n/a Windows 95<br />

0B PRI DOS 512 MB - 2 terabytes 32-bit OSR2<br />

0C EXT DOS 512 MB - 2 terabytes 32-bit OSR2<br />

LES TYPES 0E ET 0F DEMANDENT LE SUPPORT DE Int13 ÉTENDU.<br />

h) WINDOWS 10 – 8 – XP - VISTA<br />

WINDOWS XP ET WINDOWS VISTA utilisent <strong>de</strong>s partitions <strong>de</strong> type NTFS.<br />

Le système <strong>de</strong> fichiers NTFS (NEW TECHNOLOGY FILE SYSTEM) utilise un système basé sur une structure<br />

appelée TABLE DE FICHIERS MAÎTRE, ou MFT (MASTER FILE TABLE). Plus complet que FAT32, il permet le<br />

stockage d'informations détaillées sur les fichiers. Il autorise aussi l’utilisation <strong>de</strong> noms long et il est<br />

capable <strong>de</strong> différencier les majuscules <strong>de</strong>s minuscules. L’accès aux fichiers est plus rapi<strong>de</strong> que<br />

sur une partition <strong>de</strong> type FAT32. La limite théorique <strong>de</strong> la taille d’une partition est <strong>de</strong> 16 exaoctets<br />

(17 milliards <strong>de</strong> To), mais la limite physique d’un disque est <strong>de</strong> 2To.<br />

NTFS permet <strong>de</strong> définir <strong>de</strong>s attributs pour chaque fichier, <strong>de</strong>s quotas <strong>de</strong> disque par volume définis<br />

pour chaque utilisateur, l’administration à distance... Ce système est censé être moins sensible à<br />

la fragmentation que le système FAT.<br />

La Table d’Allocation <strong>de</strong> Fichiers est un tableau <strong>de</strong> valeurs numériques dont chaque case<br />

permet <strong>de</strong> décrire l’allocation <strong>de</strong>s clusters d’une partition, c’est-à-dire l’état (l'occupation ou non par<br />

un fichier) <strong>de</strong> chaque cluster <strong>de</strong> la partition dont elle fait partie.<br />

NTFS est basé sur une structure appelée table <strong>de</strong> fichiers maître, contenant <strong>de</strong>s<br />

enregistrements sur les fichiers et les répertoires <strong>de</strong> la partition. Le premier enregistrement,<br />

appelé <strong>de</strong>scripteur, contient <strong>de</strong>s informations sur la MFT (une copie <strong>de</strong> celui-ci est stockée<br />

dans le second enregistrement). Le troisième enregistrement contient le fichier journal, un<br />

fichier qui contient toutes les actions effectuées sur la partition. Les enregistrements<br />

suivants, constituent ce que l’on nomme le noyau et référencent chaque fichier et répertoire<br />

<strong>de</strong> la partition sous forme d’objets affectés d’attributs. Cela signifie que les informations<br />

relatives à chaque fichier sont stockées dans le fichier, qui est lui même enregistré au sein<br />

<strong>de</strong> la MFT.


Il est intéressant <strong>de</strong> comparer les différents types <strong>de</strong> partitions.<br />

FAT 16 - 32 (FILE<br />

ALLOCATION TABLE<br />

32BITS)<br />

NTFS (NEW<br />

TECHNOLOGY FILE<br />

SYSTEM)<br />

EXT2fs (SECOND EXTENDED<br />

FILE SYSTEM)<br />

Système<br />

d´exploitation<br />

Windows 95 / 98 Windows NT Linux<br />

Fragmentation<br />

Taille maxi d´une<br />

partition<br />

Non géré.<br />

Le système écrit où il<br />

peut.<br />

2Go FAT16<br />

4 TeraOctets FAT32<br />

Non géré.<br />

Le système écrit où<br />

il peut.<br />

Avant d´écrire, le système<br />

cherche une place <strong>de</strong> la<br />

même taille que le fichier<br />

2 TeraOctets 4 TeraOctets<br />

Taille <strong>de</strong>s clusters 32Ko fat16 / 4Ko FAT 32 Variable (min 512 oct)<br />

Nombre <strong>de</strong> car.<br />

max pour les<br />

noms <strong>de</strong> fichiers<br />

8 caractères FAT 16<br />

255 caractères FAT 32.<br />

Les chars / \ : | * ? : < ><br />

ne sont pas acceptés.<br />

255 caractères. Les<br />

chars / \ : | * ? : < ><br />

ne sont pas<br />

acceptés.<br />

1Ko, 2Ko, ou 4Ko (au choix)<br />

255 caractères. Tous<br />

caractères acceptés. Limite<br />

<strong>de</strong>s 255 chars peut être<br />

passée à 1012 si besoin.<br />

FAT<br />

Noms 8.3 avec prise en charge <strong>de</strong>s<br />

fichiers longs<br />

Compatibilité DOS avec noms courts<br />

Aucune sécurité<br />

Compression d'une partition<br />

Taille maximale d'une partition: 2Go<br />

Corbeille commune<br />

Rapi<strong>de</strong> si le volume < 400Mo<br />

2. LA BASE DES REGISTRES<br />

NTFS<br />

Noms 255 caractères et distinction <strong>de</strong> la casse pour<br />

les applicatifs issus d'UNIX<br />

Sécurité locale (droits NTFS)<br />

Notion <strong>de</strong> propriété<br />

Compression individuelle <strong>de</strong>s fichiers ou répertoires<br />

Taille maxi : 2 Téraoctets<br />

Une corbeille par utilisateur<br />

Compression individuelle <strong>de</strong>s fichiers<br />

Dans le système d'exploitation, les fichiers du système et <strong>de</strong>s applications sont stockés sur le<br />

disque dur dans une structure <strong>de</strong> dossier donnée. La base <strong>de</strong>s registres enregistre toutes les<br />

informations que peuvent nécessiter ces fichiers (chemin d'accès, dossier <strong>de</strong> travail, clé, variables <strong>de</strong><br />

fonctionnement, configuration…) ainsi que toutes les informations utilisateur. La base <strong>de</strong>s registres<br />

est donc essentielle au fonctionnement <strong>de</strong> l'ordinateur ; elle fait l'objet d'une sauvegar<strong>de</strong> dans<br />

les points <strong>de</strong> restauration et si elle est endommagée, l'ordinateur ne fonctionne plus.<br />

Les anciennes versions <strong>de</strong> Windows utilisaient <strong>de</strong>ux aussi fichiers: System.ini et Win.ini<br />

La base <strong>de</strong>s registres est constituée <strong>de</strong> <strong>de</strong>ux fichiers :<br />

User.dat (données utilisateur)<br />

System.dat (données machine)<br />

Bon nombre d'anciennes applications Windows ont été créées pour permettre d'accé<strong>de</strong>r à <strong>de</strong>s<br />

parties du fichier système et à la base <strong>de</strong>s registres qui sont désormais verrouillées à partir <strong>de</strong><br />

Windows Vista. En outre, un grand nombre <strong>de</strong> ces applications ne sont pas mises à jour<br />

immédiatement.<br />

Si les applications anciennes essaient d'accé<strong>de</strong>r à <strong>de</strong>s parties protégées du fichier système et<br />

à la base <strong>de</strong>s registres sans les autorisations adéquates, les services <strong>de</strong> virtualisation <strong>de</strong><br />

l'UAC redirigent, <strong>de</strong> façon transparente, les opérations <strong>de</strong> lecture/écriture entre les parties<br />

protégées du fichier système et <strong>de</strong> la base <strong>de</strong>s registres vers <strong>de</strong>s emplacements spécifiques<br />

non protégés. Ce processus est transparent pour les logiciels anciens


VII – MAINTENANCE DE L'ENSEMBLE MATÉRIEL/ LOGICIEL 191<br />

À partir <strong>de</strong> Windows Vista, il faut être administrateur pour pouvoir accé<strong>de</strong>r à la table <strong>de</strong>s registres<br />

La table <strong>de</strong> registres WINDOWS 10 est composée <strong>de</strong> 5 "ROOT KEYS", chacune d'entre elles<br />

contenant <strong>de</strong>s données <strong>de</strong> configuration concernant le matériel comme les utilisateurs.<br />

a) HKEY_CLASSES_ROOT (hkcr)<br />

Cette clé pointe vers la HKEY_LOCAL_MACHINE\SOFTWARE\CLASSES qui décrit un certain nombre<br />

<strong>de</strong> paramètres logiciels. Cette clé fournit les informations essentielles en ce qui concerne les<br />

liens OLE et les associations <strong>de</strong> "MAPPING" supportant notamment les opérations <strong>de</strong> "DRAG-AND-<br />

DROP", les raccourcis Windows (QUI SONT DES LIENS OLE) et les aspects noyau <strong>de</strong> l'interface utilisateur.<br />

Elle indique aussi les extensions <strong>de</strong> fichiers, l'icône et l'action associées au fichier<br />

b) HKEY_CURRENT_USER (hkcu)<br />

Cette clé contient les paramètres spécifiques aux utilisateurs obtenus du HKEY_USERS KEY lors<br />

du processus <strong>de</strong> connexion au système. C'est un raccourci vers HKEY_USERS\<br />

CINQ CATÉGORIES PRINCIPALES :<br />

CONTROL PANEL : panneau <strong>de</strong> configuration<br />

SOFTWARE : logiciels installés<br />

APPEVENTS : sons systèmes<br />

KEYBOARD LAYOUT : paramètres du clavier<br />

NETWORK : configuration du réseau<br />

c) HKEY_LOCAL_MACHINE (hklm)<br />

Cette clé contient les paramètres spécifiques à la machine concernant le type <strong>de</strong> matériel<br />

installé et sa configuration dans plusieurs "SUBKEY".<br />

HARDWARE : configuration matérielle<br />

SOFTWARE : paramètres <strong>de</strong>s logiciels installés<br />

SYSTEM : ressources, base pilotes<br />

SECURITY : comptes utilisateurs et mots <strong>de</strong> passe


d) HKEY_USERS (hku)<br />

Cette clé contient les paramètres (GÉNÉRAUX ET SPÉCIFIQUES AUX UTILISATEURS) concernant tous les<br />

utilisateurs i<strong>de</strong>ntifiés sur l'ordinateur. Ces informations sont issues <strong>de</strong>s paramètres par défaut<br />

<strong>de</strong>s programmes, du bureau. Cette clé a une "SUBKEY" par utilisateur reconnu.<br />

e) HKEY_CURRENT_CONFIG (hkcc)<br />

Cette clé gère l'aspect "PLUG AND PLAY". C'est un raccourci pointant vers l'une <strong>de</strong>s clés <strong>de</strong><br />

configuration <strong>de</strong> la HKEY_LOCAL_MACHINE\SYSTEM\CURRENTCONTROLSET\HARDWARE<br />

PROFILES\CURRENT, la clé <strong>de</strong> configuration qui contient <strong>de</strong>s informations au sujet du matériel<br />

attaché à l'ordinateur.<br />

F) REGEDIT<br />

Regedit est, comme son nom l'indique, l'éditeur <strong>de</strong> la base <strong>de</strong> registres.<br />

SUR<br />

MENU DÉMARRER<br />

ZONE DE RECHERCHE<br />

SUR L’OUTIL<br />

COMMENCER À SAISIR<br />

SUR<br />

(1) SAUVEGARDER LA BASE DE REGISTRES<br />

Avant toute opération, il est nécessaire <strong>de</strong> faire une sauvegar<strong>de</strong> la base <strong>de</strong> registres.<br />

MENU FICHIER<br />

SUR<br />

NOMMER LA SAUVEGARDE<br />

INDIQUER SON EMPLACEMENT<br />

COCHER<br />

POUR VALIDER


VII – MAINTENANCE DE L'ENSEMBLE MATÉRIEL/ LOGICIEL 193<br />

Un double clic sur le fichier .REG créé permet <strong>de</strong> rétablir la base <strong>de</strong> registres sauvegardée.<br />

(2) RECHERCHER DANS LA TABLE DES REGISTRES<br />

Cette comman<strong>de</strong> est indispensable pour trouver quelque chose dans l'immense "base".<br />

MENU ÉDITION<br />

SUR<br />

OU<br />

F<br />

INDIQUER LA CHAINE DE CARACTÈRES OU LA<br />

VALEUR<br />

POUR VALIDER<br />

BOUTON DROIT<br />

SUR UNE CLÉ<br />

(3) MODIFIER LA TABLE DES REGISTRES<br />

N'effectuer <strong>de</strong> modification qu'en toute connaissance <strong>de</strong> causes<br />

AFFICHER LA CLÉ<br />

DANS LE VOLET DROIT<br />

LA SÉLECTIONNER<br />

SUR<br />

MENU ÉDITION<br />

BOUTON DROIT<br />

SUR LA CLÉ VOULUE<br />

(4) IMPORTER DANS LA TABLE DES REGISTRES<br />

Il est aussi possible d'importer une configuration directement dans la base.<br />

MENU FICHIER<br />

SUR<br />

INDIQUER LE FICHIER .REG<br />

SUR


g) CCLEANER<br />

La base <strong>de</strong> registres doit être maintenue sous peine <strong>de</strong> ralentir l'ordinateur. Certaines opérations<br />

peuvent être effectuées manuellement, la <strong>maintenance</strong> quant à elle peut être confiée à un<br />

logiciel spécialisé. CCleaner est gratuit, suivi et l'un <strong>de</strong>s plus pratiques.<br />

est téléchargeable sur le site <strong>de</strong> son éditeur : http://www.piriform.com/ccleaner<br />

SUR<br />

(attention aux éventuels liens <strong>de</strong> pub)<br />

NETTOYER LE<br />

DISQUE DUR<br />

NETTOYER LA BASE<br />

DE REGISTRES<br />

POUR PARAMÉTRER<br />

LE DÉMARRAGE<br />

POUR<br />

ANALYSER AVANT DE<br />

LANCER LE NETTOYAGE<br />

POUR LANCER<br />

LE NETTOYAGE


VII – MAINTENANCE DE L'ENSEMBLE MATÉRIEL/ LOGICIEL 195<br />

La résolution <strong>de</strong>s problèmes sur les <strong>micro</strong>-<strong>ordinateurs</strong> n'est pas toujours facile, notamment à<br />

savoir si le problème est d'origine logiciel ou matériel.<br />

Dans tous les cas :<br />

Vérifier les câbles d'alimentation électrique<br />

Vérifier les câbles d'alimentation <strong>de</strong> données (le fait qu'ils soient connectés, que cette<br />

connexion soit correcte et que le câble soit en état <strong>de</strong> fonctionnement…)<br />

Les câbles sont responsables d'au moins la moitié <strong>de</strong>s problèmes rencontrés – ne jamais<br />

entreprendre une réparation sans avoir au préalable vérifié la connectique<br />

Vérifier d'abord leur connexion<br />

Si celle-ci est correcte et que le problème n'est pas résolu, les intervertir avec <strong>de</strong>s câbles<br />

reconnus comme correct<br />

Toujours jeter à la poubelle les câbles défectueux ou suspects ; il ne sert à rien <strong>de</strong> les entasser<br />

pour une vérification ultérieure ; on ne le fait jamais et on ne sait plus ce qui est bon et<br />

mauvais<br />

1. LES SYMPTÔMES ET LEURS REMÈDES<br />

Un certain nombre <strong>de</strong> symptômes permettent <strong>de</strong> définir la panne. Quel que soit la carte<br />

défectueuse (carte mère, carte graphique, carte réseau…), il suffit <strong>de</strong> la changer.<br />

Plusieurs cas <strong>de</strong> figure peuvent se poser :<br />

Le problème apparaît en <strong>cours</strong> <strong>de</strong> fonctionnement sur une machine qui n'a pas subi <strong>de</strong><br />

changement logiciel ou matériel<br />

Le problème apparaît sur une machine sur laquelle on vient <strong>de</strong> faire <strong>de</strong>s modifications<br />

Dans ce second cas et quel que soit la modification opérée (aussi simple soit-elle), cette modification<br />

est quasiment toujours responsable du problème – pensez à vérifier l'existence d'une sauvegar<strong>de</strong><br />

avant toute modification<br />

Il est très rare qu'une machine tombe en panne en <strong>cours</strong> <strong>de</strong> fonctionnement – c'est au <strong>cours</strong><br />

<strong>de</strong> l'arrêt ou du démarrage que les composants électroniques sont les plus sensibles<br />

a) EN COURS DE FONCTIONNEMENT<br />

En cas <strong>de</strong> problèmes, diverses métho<strong>de</strong>s permettent <strong>de</strong> s'en sortir, à utiliser selon la gravité <strong>de</strong><br />

la situation.<br />

(1) FERMER UNE APPLICATION<br />

Si une application est indubitablement "plantée" :<br />

plus <strong>de</strong> clavier<br />

plus <strong>de</strong> souris<br />

plus <strong>de</strong> modification <strong>de</strong> l'affichage écran<br />

plus d'activité du disque dur (voir voyant sur la faça<strong>de</strong> du <strong>micro</strong>)<br />

Effectuer dans l'ordre et jusqu'à un résultat les opérations suivantes<br />

Attendre encore si la moindre activité se manifeste<br />

GESTIONNAIRE DE TÂCHES puis FERMER L'APPLICATION EN CAUSE<br />

APPUYER une fois sur l'interrupteur <strong>de</strong> l'ordinateur et attendre qu'il se ferme<br />

FORCER la fermeture <strong>de</strong> l'ordinateur (rester appuyer quelques secon<strong>de</strong>s sur l'interrupteur)


(2) REBOOTER WINDOWS<br />

Si Windows ne démarre pas ou fonctionne mal, il est possible d'avaliser l'exécution <strong>de</strong> chacun<br />

<strong>de</strong>s ordres jusqu'à i<strong>de</strong>ntification <strong>de</strong> la comman<strong>de</strong> en cause.<br />

MODE DÉBOGAGE :<br />

AU DÉMARRAGE DE WINDOWS, APPUYER SUR LES TOUCHES ET <br />

AFFICHER LES PARAMÈTRES DE REDÉMARRAGE SELON LA VERSION WINDOWS<br />

CHOISIR "1 - ACTIVER LE DÉBOGAGE" DANS<br />

Des pilotes standards sont chargés et le système redémarre quasiment toujours – en profiter<br />

pour régler les éventuels problèmes<br />

(3) REBOOTER WINDOWS EN MODE LIGNE DE COMMANDE<br />

Le mo<strong>de</strong> LIGNE De COMMANDE correspond au démarrage <strong>de</strong> WINDOWS sans interface graphique.<br />

L'utilisation est très semblable à celle <strong>de</strong>s DOS antérieurs.<br />

MODE LIGNE :<br />

AU DÉMARRAGE DE WINDOWS, APPUYER SUR LES TOUCHES ET <br />

AFFICHER LES PARAMÈTRES DE REDÉMARRAGE SELON LA VERSION WINDOWS<br />

CHOISIR "INVITE DE COMMANDES"


VII – MAINTENANCE DE L'ENSEMBLE MATÉRIEL/ LOGICIEL 197<br />

b) AU DÉMARRAGE<br />

L’ORDINATEUR MÊME NE DÉMARRE PAS<br />

Prise électrique défectueuse→ la tester et la réparer<br />

Câble alimentation électrique débranché ou défectueux → le changer<br />

Interrupteur du boitier en panne → le réparer ou le changer<br />

Câble entre carte mère et boitier débranché ou mal branché → y remédier<br />

Alimentation électrique du boitier en panne → la changer<br />

AU DÉMARRAGE, RIEN NE S'AFFICHE À L'ÉCRAN<br />

Écran non branché / non alimenté → y remédier<br />

Carte graphique en panne → vérifier l'insertion / essayer une autre carte<br />

Mémoire vive inexistante, mal insérée ou défectueuse, barrettes non compatibles → tester<br />

les barrettes/vérifier l'insertion / essayer d'autres barrettes<br />

Disque dur mal connecté (sur certaines cartes mères) → modifier la connexion / prendre une<br />

nappe avec détrompeur / changer la nappe<br />

Carte mère en panne → faire craquer la puce <strong>de</strong> BIOS (bip si bios reconnu) / changer la carte<br />

MESSAGE : "DISQUE NON SYSTÈME " OU "PAS DE DISQUE SYSTÈME"<br />

Un disque est resté dans la machine → l'enlever et appuyer sur une touche<br />

Disque dur mal connecté → modifier la connexion / prendre une nappe avec détrompeur /<br />

changer la nappe<br />

Disque dur non reconnu par le BIOS ou L'UEFI → si le BIOS n'est pas automatique, aller<br />

déclarer le disque dans le bios<br />

Pile <strong>de</strong> la carte mère morte → changer la pile, mettre à jour le bios si nécessaire<br />

Disque dur non partitionné ou non formaté → y remédier (gestion <strong>de</strong> l'ordinateur- stockage –<br />

gestion <strong>de</strong>s disques durs)<br />

Disque dur défectueux → reformater le disque et le tester sinon en changer<br />

DISQUE DUR, LECTEUR DE CD OU AUTRE NON RECONNU PAR LE BIOS"<br />

Périphérique mal connecté ou non alimenté→ modifier la connexion / prendre une nappe<br />

avec détrompeur / changer la nappe / brancher l'alimentation<br />

Affectation maître / esclave <strong>de</strong> périphériques IDE inadéquate → corriger<br />

Pile <strong>de</strong> la carte mère morte → changer la pile, mettre à jour le bios si nécessaire<br />

Disque dur non partitionné ou non formaté → y remédier (gestion <strong>de</strong> l'ordinateur- stockage –<br />

gestion <strong>de</strong>s disques durs)<br />

Périphérique défectueux → le changer<br />

Problème BIOS ou L'UEFI → rechercher la <strong>de</strong>rnière version du bios <strong>de</strong> la machine sur le site<br />

internet du fournisseur et le mettre à jour si possible (flashage)<br />

CLAVIER, SOURIS NON RECONNU<br />

Vérifier les connexions → ne pas intervertir clavier et souris si MINIDIN / possibilité d'utiliser<br />

<strong>de</strong>s adaptateurs din/minidin ou inversement<br />

IMPRIMANTE LOCALE NON RECONNUE PAR LE SYSTÈME<br />

Vérifier les connexions et l'alimentation → enfoncer les prises / changer le câble / brancher<br />

l'alimentation<br />

PROBLÈMES DE FONCTIONNEMENT D'IMPRIMANTE LOCALE<br />

Vérifier le pilote <strong>de</strong> l'imprimante → affecter un pilote plus adéquat ou récent<br />

Rayures sur les feuilles imprimées sur une laser → vérifier l'usure du tambour<br />

Impression non rectiligne sur jet d'encre → aligner les têtes<br />

Couleurs d'impression incorrectes sur jet d'encre → nettoyer les buses / éventuellement<br />

changer les cartouches d'encre


PLANTAGE DE WINDOWS<br />

Problème système → restaurer un point <strong>de</strong> restauration système correct / démarrer à<br />

partir d'un disque <strong>de</strong> démarrage crée lors <strong>de</strong> l'installation<br />

Démarrer avec MAJ F8 ou/et créer un journal <strong>de</strong> démarrage (bootlog.txt)<br />

Réparer Windows → lancer une réparation <strong>de</strong> Windows (à partir du système ou du disque<br />

d'installation)<br />

Supprimer les partitions, partitionner <strong>de</strong> nouveau, Formater le disque dur et réinstaller<br />

Windows (<strong>de</strong>rnier re<strong>cours</strong> - si possession d'un disque d'installation - perte <strong>de</strong>s données)<br />

PROBLÈMES D'AFFICHAGE<br />

Vérifier les connexions avec l'écran et l'alimentation → enfoncer les prises / brancher<br />

l'alimentation<br />

Vérifier le câble <strong>de</strong> connexion <strong>de</strong> l'écran - il arrive souvent qu'une mauvaise insertion<br />

provoque l'écrasement d'une broche → redresser éventuellement la broche abîmée ou la<br />

ressou<strong>de</strong>r<br />

Vérifier dans le système le bon fonctionnement du périphérique (carte et écran) → modifier<br />

éventuellement le pilote <strong>de</strong> la carte graphique<br />

Vérifier que les choix <strong>de</strong> résolution et <strong>de</strong> couleurs sont adéquats et bien supportés par<br />

l'écran → les modifier éventuellement<br />

Le nombre <strong>de</strong> couleurs <strong>de</strong> l'écran est incorrect (écran jaunâtre ou autre…) → écran<br />

défectueux<br />

La luminosité ou le contraste sont incorrects → les régler directement sur l'écran (boutons<br />

<strong>de</strong> réglage sous l'écran) / sinon écran défectueux<br />

La zone utilisée par le système pour l'affichage est trop petite → éteindre/rallumer l'écran /<br />

régler l'écran / modifier les paramètres ou le pilote <strong>de</strong> la carte graphique<br />

PÉRIPHÉRIQUE RECONNU MAIS NE FONCTIONNANT PAS (CONFLIT D'IRQ)<br />

Le périphérique est indiqué en conflit dans la configuration matérielle → essayer <strong>de</strong><br />

supprimer le périphérique dans la configuration matérielle, fermer l'ordinateur, enlever le<br />

périphérique, redémarrer l'ordinateur, le fermer, remettre le périphérique et relancer<br />

éventuellement la recherche <strong>de</strong> nouveaux périphériques ; le système gérera peut être<br />

mieux l'affectation<br />

Le périphérique est indiqué en conflit dans la configuration matérielle →Vérifier la<br />

disponibilité <strong>de</strong>s irq et affecter manuellement un irq non utilisé<br />

Le périphérique est en conflit avec un périphérique isa → Relever la position <strong>de</strong> la carte<br />

sur la carte mère (emplacement du bus utilisé/ type <strong>pc</strong>i ou isa) - modifier l'affectation <strong>pc</strong>i <strong>de</strong> ce<br />

bus dans le bios (<strong>pc</strong>i/ legacy isa) / éventuellement réserver L'IRQ ici au lieu <strong>de</strong> le laisser<br />

disponible pour le gestionnaire PLUG & PLAY<br />

L'ORDINATEUR PLANTE SOUVENT ET/OU FONCTIONNE LENTEMENT<br />

Vérifier l'état <strong>de</strong> la FAT (si FAT) → corriger les erreurs <strong>de</strong> fichiers croisés ou <strong>de</strong> chaînes<br />

perdues avec Scandisk (erreurs le + souvent causées par <strong>de</strong>s blocages machines intempestifs)<br />

Faire un examen minutieux pour vérifier l'état physique du disque dur → s'il y a trop <strong>de</strong><br />

secteurs défectueux sur lesquels le disque ne peut pas écrire, la situation risque d'aller en<br />

s'empirant et il peut être plus raisonnable <strong>de</strong> remplacer le disque<br />

Faire une défragmentation du disque dur → cette défragmentation va regrouper les<br />

différents morceaux <strong>de</strong> fichiers éparpillés sur le disque, accélérer les accès et limiter les<br />

erreurs<br />

Effacer les fichiers temporaires → nettoyer le disque (outil <strong>de</strong> nettoyage windows) ou<br />

supprimer (avec ) les fichiers se terminant par .chk, .tmp ou commencant par ~, se<br />

trouvant dans les dossiers temporaires (temp <strong>de</strong> windows par exemple)


VII – MAINTENANCE DE L'ENSEMBLE MATÉRIEL/ LOGICIEL 199<br />

Nettoyer la table <strong>de</strong>s registres - supprimer <strong>de</strong> cette table toutes les lignes écrites par<br />

exemple par <strong>de</strong>s applications non conservées et <strong>de</strong>venues inutiles et supprimer <strong>de</strong> cette<br />

table les éventuelles erreurs (utiliser un utilitaire adéquat (type ccleaner, regclean… selon versions<br />

<strong>de</strong> Windows)<br />

Vérifier le bon fonctionnement du ventilateur sur le processeur → un processeur qui<br />

chauffe génère un fonctionnement aléatoire (les choses rentrent généralement dans l'ordre dès<br />

qu'il est refroidi)<br />

Réparer Windows → lancer une réparation <strong>de</strong> Windows (à partir du système ou du disque<br />

d'installation)<br />

Vérifier l'existence <strong>de</strong> virus ou <strong>de</strong> spywares/malwares - i<strong>de</strong>m pour Problème non défini<br />

(utiliser défen<strong>de</strong>r <strong>de</strong> windows ou spybot contre les spywares)<br />

Supprimer les partitions, partitionner <strong>de</strong> nouveau, Formater le disque dur et réinstaller<br />

Windows (attention perte <strong>de</strong> toutes les données - <strong>de</strong>rnier re<strong>cours</strong> si possession d'un disque<br />

d'installation)<br />

RÉSEAU NON RECONNU<br />

Vérifier la reconnaissance <strong>de</strong> la carte et son bon fonctionnement (pas <strong>de</strong> conflit) → si conflit<br />

d'irq, le résoudre<br />

Vérifier les connexions (s'assurer que le câble réseau est branché et fonctionnel)<br />

Tester la carte avec les tests du fabricant → sur elle-même puis avec le réseau<br />

Vérifier l'existence <strong>de</strong>s couches réseau nécessaires (Netbui pour la reconnaissance <strong>de</strong>s autres<br />

<strong>ordinateurs</strong> d'un réseau Microsoft Windows 9X, Tcpip pour XP, Vista et l'accès Internet….)<br />

Vérifier qu'il n'y a pas conflit d'adresse IP (même adresse pour 2 machines)<br />

Vérifier que l'adresse IP fait est bien du type 192.168.xxx.xxx (et non 167 xxx xxx xxx ou autre)<br />

Vérifier le nom du groupe <strong>de</strong> travail (erreur d'orthographe, espace au début ou à la fin du nom…)<br />

Vérifier le nom du domaine (si domaine NT)<br />

Si pas <strong>de</strong> message "lecture du réseau impossible" laisser le poste sur le voisinage réseau<br />

→ un délai peut être nécessaire pour que réseau soit reconnu (ne rien faire sinon actualiser<br />

l'affichage <strong>de</strong> temps à autre et vérifier aussi que le poste est reconnu à partir d'un autre poste)<br />

INTERNET NE FONCTIONNE PAS<br />

Vérifier les câblages et les alimentations<br />

Vérifier le bon fonctionnement du réseau (si par Lan), du mo<strong>de</strong>m (si adsl) ou du routeur.<br />

Si Lan → taper l'adresse IP du hub/routeur directement dans le navigateur<br />

Si Lan → vérifier dans les propriétés <strong>de</strong> connexion l'activation <strong>de</strong> la couche réseau TCPIP4<br />

et indiquer l'adresse ip du hub/routeur dans les propriétés<br />

ex :<br />

Si Lan → indiquer l'adresse du serveur DNS du fournisseur d'accès dans les propriétés<br />

<strong>de</strong> la connexion (exemple ci-contre Orange)<br />

Vérifier que l'adresse IP <strong>de</strong> l'ordinateur n'est pas filtrée au niveau du parefeu du<br />

hub/routeur ou <strong>de</strong> Windows<br />

Vérifier le nom et le mot <strong>de</strong> passe<br />

Vérifier qu'une liaison n'est pas déjà établie autre part avec le même compte en même<br />

temps


2. LES PROBLÈMES MATÉRIELS<br />

a) CHANGEMENT DE LA CARTE MÈRE<br />

POUR CHANGER LA CARTE MÈRE<br />

Relever la configuration du BIOS ou <strong>de</strong> l'UEFI<br />

Débrancher l'alimentation <strong>de</strong> l'ordinateur et <strong>de</strong> l'écran<br />

Porter un bracelet antistatique ou toucher avant toute intervention un meuble<br />

métallique pour décharger l'électricité statique et se déplacer le moins possible<br />

pendant l'intervention sous peine d'accumuler <strong>de</strong> nouveau <strong>de</strong> l'électricité statique.<br />

Si nécessaire, toucher <strong>de</strong> temps à autre un meuble métallique<br />

Enlever les vis maintenant les différentes cartes. déconnecter les nappes <strong>de</strong>s<br />

disques et lecteurs. déboîter les cartes une par une et les poser, sur une table, à<br />

l'abri <strong>de</strong>s faux mouvements.<br />

Repousser les petits crochets maintenant les barrettes <strong>de</strong> ram, les déboîter et les<br />

poser près <strong>de</strong>s cartes<br />

Débrancher l'alimentation principale puis toutes les LED (RESET, HDD, POWER...)<br />

Bien repérer la position du processeur sur son support, enlever le ventilateur<br />

(TOURNER D'1/4 DE TOUR LES VIS DE MAINTIEN) le déboîter délicatement, après avoir relevé la<br />

manette <strong>de</strong> blocage (SUPPORT ZIF), déposer le processeur à l'abri.<br />

La carte actuelle est maintenue dans le boîtier par <strong>de</strong>s vis, isolées du boîtier par<br />

<strong>de</strong>s ron<strong>de</strong>lles <strong>de</strong> fibre marron et vissées dans <strong>de</strong>s supports filetés en cuivre.<br />

enlever les vis et déposer à l'abri vis et ron<strong>de</strong>lles<br />

Faire glisser la carte pour récupérer les fixations <strong>de</strong> plastique la maintenant dans<br />

le boîtier. Déposer à l'abri les plots <strong>de</strong> plastique<br />

Vérifier le paramétrage et l'alimentation <strong>de</strong> la nouvelle carte mère<br />

Repérer l'emplacement <strong>de</strong>s plots <strong>de</strong> plastique. Les emboîter et glisser la carte à<br />

son emplacement<br />

Poser les ron<strong>de</strong>lles <strong>de</strong> fibre et visser les vis <strong>de</strong> fixation<br />

Brancher l'alimentation ; <strong>de</strong>s détrompeurs permettent <strong>de</strong> ne pas inverser les<br />

broches. Les <strong>de</strong>ux nappes doivent être branchées les fils noirs au milieu et côte à<br />

côte<br />

Remettre processeur, ram et cartes<br />

Rebrancher les LED - reconnecter les périphériques<br />

Configurer éventuellement le bios


VII – MAINTENANCE DE L'ENSEMBLE MATÉRIEL/ LOGICIEL 201<br />

b) CHANGEMENT LA NAPPE CONTRÔLEUR<br />

POUR CHANGER LA NAPPE CONTRÔLEUR (IDE OU SATA)<br />

Fermer l'ordinateur et l'écran<br />

Débrancher l'alimentation <strong>de</strong> l'ordinateur et <strong>de</strong> l'écran<br />

Porter un bracelet antistatique ou toucher avant toute intervention un meuble<br />

métallique pour décharger l'électricité statique et se déplacer le moins possible<br />

pendant l'intervention sous peine d'accumuler <strong>de</strong> nouveau <strong>de</strong> l'électricité statique.<br />

Si nécessaire, toucher <strong>de</strong> temps à autre un meuble métallique<br />

Déconnecter les nappes du disque ou lecteur.<br />

Reconnecter la nappe (la plus étroite au lecteur <strong>de</strong> disquette et la plus large au disque dur si<br />

IDE, nappe fine si SATA avec connecteurs différents pour alimentation et données). Penser à<br />

repérer le coté <strong>de</strong> la nappe marqué par <strong>de</strong>s pointillés rouges pour IDE; ce côté doit<br />

correspondre au numéro le plus faible inscrit sur la carte contrôleur<br />

Refermer - rebrancher – rallumer<br />

c) CHANGEMENT DU LECTEUR DE DISQUE<br />

POUR CHANGER LE LECTEUR DE DISQUE<br />

Fermer l'ordinateur et l'écran<br />

Débrancher l'alimentation <strong>de</strong> l'ordinateur et <strong>de</strong> l'écran<br />

Porter un bracelet antistatique ou toucher avant toute intervention un meuble<br />

métallique pour décharger l'électricité statique et se déplacer le moins possible<br />

pendant l'intervention sous peine d'accumuler <strong>de</strong> nouveau <strong>de</strong> l'électricité statique.<br />

Si nécessaire, toucher <strong>de</strong> temps à autre un meuble métallique<br />

Débrancher l'alimentation et la nappe du lecteur <strong>de</strong> disque<br />

Enlever les vis <strong>de</strong> fixation<br />

Introduire le nouveau lecteur <strong>de</strong> disque<br />

Fixer le lecteur avec <strong>de</strong>ux vis <strong>de</strong> chaque côté. Si le lecteur est <strong>de</strong> format 3 pouces<br />

pour un emplacement 5 pouces, utiliser <strong>de</strong>s rails intermédiaires<br />

Relier la nappe au lecteur <strong>de</strong> disque (si lecteur <strong>de</strong> disquette, nappe plus étroite et<br />

indépendante). Penser à repérer le coté <strong>de</strong> la nappe marqué par <strong>de</strong>s pointillés<br />

rouges ; ce côté doit correspondre au numéro le plus faible inscrit sur la carte<br />

contrôleur<br />

Si CD ou DVD IDE, vérifier la position maître/esclave<br />

Rebrancher le connecteur d'alimentation libre. Un détrompeur empêche toute<br />

mauvaise manipulation<br />

Refermer et rebrancher


d) CHANGEMENT DU DISQUE DUR<br />

POUR CHANGER LE DISQUE DUR<br />

Sauvegar<strong>de</strong>r si possible les données du disque défectueux<br />

Fermer l'ordinateur et l'écran<br />

Débrancher l'alimentation <strong>de</strong> l'ordinateur et <strong>de</strong> l'écran<br />

Porter un bracelet antistatique ou toucher avant toute intervention un meuble<br />

métallique pour décharger l'électricité statique et se déplacer le moins possible<br />

pendant l'intervention sous peine d'accumuler <strong>de</strong> nouveau <strong>de</strong> l'électricité statique.<br />

Si nécessaire, toucher <strong>de</strong> temps à autre un meuble métallique<br />

Vérifier sur le disque dur ou sur la documentation fournie la position <strong>de</strong>s jumpers<br />

(3) : le disque dur est par défaut configuré en maître (IDE seulement) - conserver ce<br />

paramétrage<br />

Débrancher l'alimentation et la nappe du disque dur<br />

Enlever les vis <strong>de</strong> fixation<br />

Introduire le nouveau disque dur<br />

Fixer le disque avec <strong>de</strong>ux vis <strong>de</strong> chaque côté. Si le disque est <strong>de</strong> format 3 pouces<br />

pour un emplacement 5 pouces, utiliser <strong>de</strong>s rails intermédiaires<br />

Relier la nappe au disque dur. (si IDE et pas <strong>de</strong> détrompeur, penser à repérer le coté <strong>de</strong> la<br />

nappe marqué par <strong>de</strong>s pointillés rouges ; ce côté doit correspondre au numéro 1 et 2 inscrit sur le<br />

côté du connecteur du disque dur)<br />

Repérer un connecteur d'alimentation libre et le brancher sur le disque. Un<br />

détrompeur empêche toute mauvaise manipulation<br />

Refermer et rebrancher<br />

Si disque système, configurer éventuellement le bios pour booter sur un cd et<br />

mettre le cd d'installation<br />

Si disque non système, démarrer l'ordinateur puis créer une partition et formater le<br />

disque dans la gestion <strong>de</strong>s disques<br />

Certaines machines sont livrées sans CD d'installation ; les fichiers d'installation peuvent<br />

éventuellement figurer sur une partition à part du même disque<br />

e) CHANGEMENT DE LA CARTE GRAPHIQUE<br />

POUR CHANGER LA CARTE GRAPHIQUE<br />

Fermer l'ordinateur et l'écran<br />

Débrancher l'alimentation <strong>de</strong> l'ordinateur et <strong>de</strong> l'écran<br />

Porter un bracelet antistatique ou toucher avant toute intervention un meuble<br />

métallique pour décharger l'électricité statique et se déplacer le moins possible<br />

pendant l'intervention sous peine d'accumuler <strong>de</strong> nouveau <strong>de</strong> l'électricité statique.<br />

Si nécessaire, toucher <strong>de</strong> temps à autre un meuble métallique<br />

Débrancher et déboîter la carte graphique actuelle<br />

Emboîter la nouvelle carte<br />

Brancher son alimentation<br />

Si 2 cartes, les relier par le CrossFire Bridge<br />

Refermer l'ordinateur - rebrancher les périphériques (écran) – rallumer<br />

Mettre le cd d'installation <strong>de</strong> la carte et installer le driver <strong>de</strong> la carte<br />

Paramétrer éventuellement la configuration sous Windows soit avec l'utilitaire<br />

fourni, soit dans le panneau <strong>de</strong> configuration (nombre <strong>de</strong> couleurs, résolution...)


VII – MAINTENANCE DE L'ENSEMBLE MATÉRIEL/ LOGICIEL 203<br />

3. L'ÉVOLUTION DES CONFIGURATIONS<br />

En informatique, une configuration "up to date" est obsolète au bout <strong>de</strong> 3 ans (communique<br />

difficilement et mal avec les autres machines) et pose <strong>de</strong>s problèmes <strong>de</strong> mise à jour et <strong>de</strong><br />

communication avec les autres machines au bout <strong>de</strong> cinq ans.<br />

Même si cela est un peu illusoire, il est conseillé <strong>de</strong> choisir une carte mère évolutive (c'est la carte<br />

mère qui reçoit les autres éléments).<br />

Les opérations décrites ci-<strong>de</strong>ssous sont gran<strong>de</strong>ment facilitées dans les systèmes PLUG AND PLAY<br />

puisqu'il suffit <strong>de</strong> brancher le périphérique et que la partie RECONNAISSANCE et la partie PARAMÉTRAGE<br />

sont automatiquement effectuées par le système lorsqu'on le rallume<br />

a) CHANGER LE PROCESSEUR<br />

S'assurer auparavant <strong>de</strong> la compatibilité du processeur avec la carte mère.<br />

CHANGER LE PROCESSEUR :<br />

Fermer l'ordinateur et l'écran<br />

Débrancher l'alimentation <strong>de</strong> l'ordinateur et <strong>de</strong> l'écran<br />

Porter un bracelet antistatique ou toucher avant toute intervention un meuble<br />

métallique pour décharger l'électricité statique et se déplacer le moins possible<br />

pendant l'intervention sous peine d'accumuler <strong>de</strong> nouveau <strong>de</strong> l'électricité statique.<br />

Si nécessaire, toucher <strong>de</strong> temps à autre un meuble métallique<br />

Repérer le <strong>micro</strong>processeur et son ventilateur<br />

Débrancher puis enlever le ventilateur<br />

Relever la position du processeur sur le support : (un ou <strong>de</strong>ux <strong>de</strong>s coins du support est<br />

légèrement biseauté et parfois marqué d'un repaire)<br />

Utiliser le levier du support ZIF pour extraire le processeur actuel.<br />

aligner le nouveau <strong>micro</strong>processeur<br />

ATTENTION, UN MAUVAIS POSITIONNEMENT RISQUE DE GRILLER LE PROCESSEUR<br />

Insérer le processeur il prend place à son nouvel emplacement<br />

Rabattre le levier<br />

Remettre et rebrancher le ventilateur<br />

SOURCE : RUEDUCOMMERCE


) AJOUTER DE LA MÉMOIRE VIVE<br />

POUR RAJOUTER DE LA MÉMOIRE :<br />

Fermer l'ordinateur et l'écran<br />

Débrancher l'alimentation <strong>de</strong> l'ordinateur et <strong>de</strong> l'écran<br />

Porter un bracelet antistatique ou toucher avant toute intervention un meuble<br />

métallique pour décharger l'électricité statique et se déplacer le moins possible<br />

pendant l'intervention sous peine d'accumuler <strong>de</strong> nouveau <strong>de</strong> l'électricité statique<br />

(si nécessaire, toucher <strong>de</strong> temps à autre un meuble métallique)<br />

Repérer les banks ou se trouvent les barrettes - définir si ce sont <strong>de</strong>s 16, 32 , 64…<br />

bits et leur capacité (avec l'ai<strong>de</strong> <strong>de</strong> la documentation <strong>de</strong> la carte mère)<br />

Définir le nombre et le type <strong>de</strong> barrettes à rajouter en fonction <strong>de</strong> la configuration<br />

actuelle et <strong>de</strong> la configuration voulue (documentation carte mère)<br />

ATTENTION, SEULES CERTAINES COMBINAISONS DE BARRETTES PEUVENT ÊTRE<br />

AUTORISÉES ! VÉRIFIER AVANT D'ACHETER DES BARRETTES MÉMOIRES<br />

Rajouter la ou les barrettes en faisant attention au sens d'introduction<br />

Vérifier que les <strong>de</strong>ux crochets sur les côtés maintiennent bien la barrette.<br />

Refermer et rebrancher<br />

Reconfigurer éventuellement le bios ; sur la plupart <strong>de</strong>s <strong>ordinateurs</strong>, la<br />

reconnaissance s'effectue automatiquement<br />

c) AJOUTER UN DISQUE DUR<br />

POUR RAJOUTER UN DEUXIÈME DISQUE DUR<br />

Disques IDE : vérifier sur le nouveau disque dur ou sur la documentation fournie la<br />

position <strong>de</strong>s jumpers ; le disque dur est par défaut configuré en maître ; un second<br />

disque dur doit être configuré en esclave<br />

Positionner alors les jumpers en conséquence<br />

Fermer l'ordinateur et l'écran<br />

Débrancher l'alimentation <strong>de</strong> l'ordinateur et <strong>de</strong> l'écran<br />

Porter un bracelet antistatique ou toucher avant toute intervention un meuble<br />

métallique pour décharger l'électricité statique et se déplacer le moins possible<br />

pendant l'intervention sous peine d'accumuler <strong>de</strong> nouveau <strong>de</strong> l'électricité statique<br />

(si nécessaire, toucher <strong>de</strong> temps à autre un meuble métallique)<br />

Débrancher l'alimentation et la nappe du disque dur<br />

Enlever les vis <strong>de</strong> fixation<br />

Introduire le <strong>de</strong>uxième disque dur dans un emplacement libre (proche du précé<strong>de</strong>nt<br />

disque afin que le câblage soit accessible) - Selon son accessibilité, le fixer avant<br />

d'effectuer les connexions ou effectuer les connexions avant<br />

Fixer le disque avec <strong>de</strong>ux vis <strong>de</strong> chaque côté. Si le disque est <strong>de</strong> format 3 pouces<br />

pour un emplacement 5 pouces, utiliser <strong>de</strong>s rails intermédiaires<br />

Relier la nappe au disque dur<br />

Repérer un connecteur d'alimentation libre et le brancher sur le disque. Un<br />

détrompeur empêche toute mauvaise manipulation (tous les boitiers ne disposant pas<br />

d'alimentation sata, <strong>de</strong>s connecteurs intermédiaires existent).<br />

Refermer et rebrancher<br />

Démarrer l'ordinateur puis créer une partition et formater le disque dans la gestion<br />

<strong>de</strong>s disques


VII – MAINTENANCE DE L'ENSEMBLE MATÉRIEL/ LOGICIEL 205<br />

d) AJOUTER UNE CARTE RÉSEAU<br />

POUR AJOUTER UNE CARTE RÉSEAU<br />

Débrancher l'alimentation <strong>de</strong> l'ordinateur et <strong>de</strong> l'écran<br />

Porter un bracelet antistatique ou toucher avant toute intervention un meuble<br />

métallique pour décharger l'électricité statique et se déplacer le moins possible<br />

pendant l'intervention sous peine d'accumuler <strong>de</strong> nouveau <strong>de</strong> l'électricité statique.<br />

Si nécessaire, toucher <strong>de</strong> temps à autre un meuble métallique<br />

Prendre la documentation fournie avec la carte<br />

Emboîter la carte réseau sur un emplacement libre en fonction <strong>de</strong> sa nature (PCI,<br />

PMCIA...) et la fixer<br />

Fermer le boitier<br />

Démarrer le système<br />

La carte est automatiquement reconnue et paramétrée (donner éventuellement une ip<br />

statique)<br />

e) SE CONNECTER À UN RÉSEAU<br />

POUR SE CONNECTER À UN RÉSEAU D'ENTREPRISE<br />

Afficher le statut du réseau<br />

Afficher les propriétés <strong>de</strong> la connexion<br />

SÉLECTIONNER<br />

Afficher les propriétés du protocole TCPIP et modifier ses caractéristiques (L'adresse<br />

ip <strong>de</strong> l'ordinateur est un chiffre <strong>de</strong> la forme xxx xxx xxx xxx qui i<strong>de</strong>ntifie un ordinateur - Le groupe<br />

<strong>de</strong> travail <strong>de</strong> l'ordinateur, c'est un groupe d'<strong>ordinateurs</strong> qui travaillent ensemble / Le domaine <strong>de</strong><br />

l'ordinateur, ce sont les ressources d'un serveur <strong>de</strong> fichiers réservées à un groupe d'utilisateurs)<br />

Windows laisse souvent l'adresse IP en automatique ; il peut être plus pratique en<br />

entreprise <strong>de</strong> paramétrer manuellement ces adresses<br />

SUR<br />

<br />

INDIQUER L'ADRESSE IP QUI VOUS A ÉTÉ ATTRIBUÉE ET LE MASQUE DE SOUS-RÉSEAU<br />

VALIDER<br />

SUR<br />

Donnez un numéro unique à chaque ordinateur -Si vous utilisez un routeur, prenez<br />

pour chaque ordinateur une adresse proche dans la liste <strong>de</strong> celle du routeur -<br />

Indiquer par exemple :<br />

ADRESSE IP ROUTEUR : 192.168.1.1<br />

ADRESSES IP ORDINATEURS : entre 192.168.1.2 et 192.168.1.50


f) SE CONNECTER À INTERNET<br />

POUR SE CONNECTER À INTERNET<br />

Afficher le statut du réseau<br />

Afficher les propriétés du réseau<br />

sélectionner<br />

sur<br />

Indiquer l'adresse ip du hub/routeur dans les propriétés<br />

Indiquer l'adresse du serveur DNS du fournisseur d'accès dans les propriétés <strong>de</strong> la<br />

connexion (exemple ci-<strong>de</strong>ssous Orange)<br />

cocher<br />

<strong>de</strong>s options internet<br />

dans les paramètres <strong>de</strong> connexion


VIII – DICTIONNAIRE 207<br />

ASCII<br />

C'est une norme <strong>de</strong> codage <strong>de</strong> 128 caractères alphanumériques sur 7 bits. Les versions<br />

étendues sur 8 bits 256 caractères sont adaptées suivant les pays.<br />

Access bus<br />

Bus d'adresses entre le processeur et les mémoires. Sa largeur exprimée en nombre <strong>de</strong> bits,<br />

détermine le volume <strong>de</strong> mémoire susceptible d'être adressé. Ce volume vaut 2 élevé à une<br />

puissance égale à la largeur du bus et s'exprime avec les multiples <strong>de</strong> l'octet.<br />

Acquisition<br />

Introduction <strong>de</strong> données dans un ordinateur. Parfois employé comme synonyme <strong>de</strong><br />

numérisation.<br />

ActiveX<br />

Une nouvelle technologie que l'on doit à Microsoft. Pour intégrer <strong>de</strong> petits programmes dans vos<br />

pages Web.<br />

ADA<br />

Langage <strong>de</strong> programmation évolué, qui a été baptisé ainsi en hommage à Ada Byron, comtesse<br />

<strong>de</strong> Lovelace et collaboratrice <strong>de</strong> Charles Babbage. On considère qu'elle fut le premier<br />

programmeur, ADA a été spécifié en 1979 par le ministère <strong>de</strong> la Défense américain, en visant<br />

<strong>de</strong>ux buts :<br />

- L'unification <strong>de</strong>s variétés <strong>de</strong> langages <strong>de</strong> programmation dont la <strong>maintenance</strong> est très<br />

onéreuse dans le cadre <strong>de</strong> programmes (non-informatiques !) avec une durée <strong>de</strong> vie qui dépasse<br />

très largement celle <strong>de</strong>s innovations dans le domaine <strong>de</strong> la programmation.<br />

La constitution d'une base méthodologique et technique pour supporter la création et la<br />

<strong>maintenance</strong> <strong>de</strong> volumes <strong>de</strong> plus en plus importants <strong>de</strong> co<strong>de</strong> (n*10* *6 lignes <strong>de</strong> co<strong>de</strong>s, valeur typique<br />

pour le domaine militaire ou spatial). Dans le cadre d'un appel d'offres international, la définition du<br />

nouveau langage a été emportée par une équipe française dirigée par Jean Ichbiah. La norme<br />

du langage et son implémentation ont vu le jour en 1983. Le langage était déjà caractérisé par la


volonté <strong>de</strong> combiner la programmation "sûre" et la programmation "universelle". De plus, dans<br />

certains domaines, comme le temps réel, le langage prenait en charge <strong>de</strong>s fonctionnalités<br />

normalement assumées par le système d'exploitation ; cette première version du langage a été<br />

largement utilisée dans le domaine militaire, mais aussi pour <strong>de</strong> nombreuses applications où la<br />

sécurité <strong>de</strong>s systèmes l'emporte sur toute autre considération (contrôle aérien, programmation <strong>de</strong>s<br />

nouvelles lignes <strong>de</strong> métro à Paris, etc.).<br />

Adresse IP<br />

I<strong>de</strong>ntifie le réseau et la station sur un réseau TCP/IP.<br />

L'adresse se trouve normalement sur quatre octets, séparés par un point (par exemple,<br />

87.34.53.12). Chaque numéro doit être compris entre 0 et 255. Selon que l'adresse est <strong>de</strong> classe<br />

A, B ou C, 1, 2 ou 3 octets désignent le réseau, 3, 2 ou 1 octets désignent le nœud. Grâce au<br />

fichier Hosts, il est possible <strong>de</strong> faire correspondre <strong>de</strong>s noms d'hôte et <strong>de</strong>s adresses IP. Les<br />

adresses IP i<strong>de</strong>ntifiant <strong>de</strong>s périphériques sur un réseau, chacun d'entre eux doit possé<strong>de</strong>r une<br />

adresse IP unique. Les réseaux connectés au réseau Internet public doivent obtenir un<br />

i<strong>de</strong>ntificateur <strong>de</strong> réseau officiel auprès du centre InterNIC (Internet Network Information Center) afin<br />

que soit garantie l'unicité <strong>de</strong>s i<strong>de</strong>ntificateurs <strong>de</strong> réseau IP. Pour plus d'informations, consultez la<br />

page d'accueil <strong>de</strong> InterNIC sur Internet en tapant l'adresse suivante :<br />

http://www.internic.net/<br />

Après réception <strong>de</strong> l'i<strong>de</strong>ntificateur <strong>de</strong> réseau, l'administrateur <strong>de</strong> réseau local doit attribuer <strong>de</strong>s<br />

i<strong>de</strong>ntificateurs d'hôte uniques aux <strong>ordinateurs</strong> connectés au réseau local. Les réseaux privés qui<br />

ne sont pas connectés à Internet peuvent parfaitement utiliser leur propre i<strong>de</strong>ntificateur <strong>de</strong><br />

réseau. Toutefois, l'obtention d'un i<strong>de</strong>ntificateur <strong>de</strong> réseau vali<strong>de</strong> <strong>de</strong> la part du centre InterNIC<br />

leur permet <strong>de</strong> se connecter ultérieurement à Internet sans avoir pour autant à attribuer <strong>de</strong><br />

nouveau <strong>de</strong>s adresses.<br />

AGP<br />

Le port graphique accéléré, défini autour d'Intel est <strong>de</strong>stiné a soutenir les très hauts débits<br />

nécessités par le graphisme et surtout la vidéo sur ordinateur. Il est désormais présent sur la<br />

plupart <strong>de</strong>s PC livrés <strong>de</strong>puis le début 1998. Il permet un débit <strong>de</strong> 264 Mo/s.<br />

AGP4X<br />

Nouvelle version d'AGP offrant un débit <strong>de</strong> 1 Go/s<br />

Algorithme<br />

Un jeu <strong>de</strong> règles ou <strong>de</strong> procédures bien défini qu'il faut suivre pour obtenir la solution d'un<br />

problème dans un nombre fini d'étapes. Un algorithme peut comprendre <strong>de</strong>s procédures et<br />

instructions algébriques, arithmétiques, et logiques, et autres. Un algorithme peut être simple ou<br />

compliqué. Cependant un algorithme doit obtenir une solution en un nombre fini d'étapes. Les<br />

algorithmes sont fondamentaux dans la recherche d'une solution par voie d'ordinateur, parce<br />

que l'on doit donner à un ordinateur une série d'instructions claires pour conduire à une solution<br />

dans un temps raisonnable.<br />

Alias<br />

Dans un programme <strong>de</strong> courrier électronique, vous pouvez référencer une adresse e-mail<br />

(durand@planete<strong>pc</strong>.fr) par un simple terme choisi (eric, par exemple). Sur le Net, il est également<br />

possible <strong>de</strong> déclarer <strong>de</strong>s alias qui pointeront vers un compte e-mail spécifique.<br />

Alphanumérique<br />

Une contraction <strong>de</strong>s mots alphabétiques et numériques ; un jeu <strong>de</strong> caractères comprenant les<br />

lettres, les chiffres, et les symboles spéciaux.<br />

Amorçage<br />

Traduction française du terme anglais boot.<br />

Amorce


VIII – DICTIONNAIRE 209<br />

Programme nécessaire à la mise en marche d'un ordinateur, et exécuté à chaque mise sous<br />

tension ou réinitialisation.<br />

(Journal officiel du 10 octobre 1998 "Liste <strong>de</strong>s termes, expressions et définitions du vocabulaire <strong>de</strong> l'informatique")<br />

Analogique<br />

Norme <strong>de</strong> transmission <strong>de</strong>s signaux à travers un réseau. Par exemple, celui <strong>de</strong>s lignes<br />

téléphoniques. S'oppose à numérique.<br />

Analogique<br />

Représentation d'un phénomène physique à l'ai<strong>de</strong> d'un signal <strong>de</strong> forme équivalente à variation<br />

continue, par opposition aux variations discontinues d'un signal numérique. En synthèse<br />

analogique, la forme d'on<strong>de</strong> créée est matérialisée par un signal électrique <strong>de</strong> forme équivalente<br />

à variation continue<br />

Annuaire <strong>de</strong>s domaines<br />

(Synonyme : système d'adressage par domaines.)<br />

Système <strong>de</strong> bases <strong>de</strong> données et <strong>de</strong> serveurs assurant la correspondance entre les noms <strong>de</strong><br />

domaine ou <strong>de</strong> site utilisés par les internautes et les adresses numériques utilisables par les<br />

<strong>ordinateurs</strong>.<br />

Note : Ce système permet aux internautes d'utiliser, dans la rédaction <strong>de</strong>s adresses, <strong>de</strong>s noms<br />

faciles à retenir au lieu <strong>de</strong> la suite <strong>de</strong> chiffres du protocole IP.<br />

Exemple : le nom du serveur sur la toile mondiale du ministère <strong>de</strong> la culture et <strong>de</strong> la<br />

communication est " www.culture.gouv.fr ".<br />

Équivalent étranger : domain name system, DNS.<br />

(Journal officiel du 16 mars 1999 "Vocabulaire <strong>de</strong> l'informatique et <strong>de</strong> l'Internet")<br />

API<br />

(Français : Interface pour la programmation d'applications)<br />

Ensemble <strong>de</strong> bibliothèques permettant une programmation plus aisée car les fonctions<br />

<strong>de</strong>viennent indépendantes du matériel. On peut citer par exemple les API <strong>de</strong> DirectX ou <strong>de</strong><br />

Java.<br />

Architecture client-serveur<br />

Architecture composée d'un serveur gérant les bases <strong>de</strong> données communes et <strong>de</strong> multiples<br />

clients gérant les interfaces avec les utilisateurs, permettant la distribution <strong>de</strong>s applications.<br />

Assembleur<br />

Langage <strong>de</strong> programmation directement compréhensible par le processeur. Les programmes<br />

écrits en assembleur permettent d'obtenir <strong>de</strong> très bonnes performances. En retour, la<br />

programmation en assembleur est très complexe.<br />

Asynchrone<br />

Caractérise une liaison informatique entre un émetteur et un récepteur dont les horloges ne sont<br />

pas synchronisées<br />

ATA<br />

Désigne le protocole et l'interface (8.3 Mo/s) utilisés pour l'accès aux disques durs <strong>de</strong>s<br />

<strong>ordinateurs</strong> à architecture AT, le contrôleur est intégré au disque. Correspond à la norme IDE <strong>de</strong><br />

l'Ansi<br />

Backbone<br />

(Français : épine dorsale, réseau national d'interconnexion)<br />

Réseau central très rapi<strong>de</strong> qui connecte une multitu<strong>de</strong> <strong>de</strong> petits réseaux<br />

Balayage


Terme utilisé dans plusieurs contextes mais signifiant toujours un passage répété. L'écran est<br />

balayé par un faisceau lumineux. Une zone <strong>de</strong> mémoire est balayée pour détecter <strong>de</strong>s<br />

changements dans son contenu. Une page est balayée par le scanner pour en faire une image<br />

point par point.<br />

En graphisme, processus utilisé pour donner le même effet à une image digitalisée par scanner<br />

qu'à une photographie. Le «balayage» - ou tramage - utilise <strong>de</strong>s algorithmes complexes et<br />

l'utilisateur a généralement le choix entre plusieurs algorithmes différents suivant la nature du<br />

document et le résultat escompté (flou, mise en relief <strong>de</strong>s détails, etc.).<br />

Balayage entrelacé<br />

Mo<strong>de</strong> d'affichage peu performant consistant en <strong>de</strong>ux passages. Lors du premier passage, ce<br />

sont les lignes paires qui sont affichées tandis qu'au second passage ce sont les lignes impaires.<br />

Ban<strong>de</strong> passante<br />

Le débit théorique <strong>de</strong> l'accès Internet <strong>de</strong> votre fournisseur.<br />

Base <strong>de</strong> données Relationnelle<br />

Base Construite sur le modèle relationnel qui permet <strong>de</strong> structurer les données en un ensemble<br />

<strong>de</strong> tables ou tableaux, appelés relations.<br />

Base <strong>de</strong> données<br />

Un ensemble structuré <strong>de</strong> fichiers pour accé<strong>de</strong>r confortablement à <strong>de</strong>s informations.<br />

Base <strong>de</strong> données objet<br />

(BDO). : Organisation cohérente d'objets persistants et partagés par <strong>de</strong>s utilisateurs concurrents<br />

modélisant une application.<br />

Base <strong>de</strong> données répartie<br />

Architecture <strong>de</strong> base <strong>de</strong> données où les données sont géographiquement dispersées sur <strong>de</strong>s<br />

machines distinctes. Pour l'utilisateur, tout est transparent<br />

Base <strong>de</strong> registres<br />

Base <strong>de</strong> données <strong>de</strong>s systèmes d'exploitation Windows contenant <strong>de</strong>s informations relatives à<br />

l'ordinateur et à sa configuration.<br />

Baud<br />

Unité <strong>de</strong> mesure du nombre <strong>de</strong> modification d'un signal transmis, par secon<strong>de</strong>, par un mo<strong>de</strong>m.<br />

Benchmark (Français : test <strong>de</strong> performance)<br />

Logiciel <strong>de</strong>stiné à tester les performances d'un ordinateur ou d'un composant. Les plus célèbres<br />

sont conçus par les laboratoires <strong>de</strong> la société Ziff Davis (WINSTONE, BUSINESS WINSTONE, HIGH-END...).<br />

Bios<br />

Le premier programme qui est utilisé par l'ordinateur lors du démarrage. Il gère les échanges <strong>de</strong><br />

données entre les différents périphériques<br />

Bitmap<br />

Les images au format bitmap sont constituées d'une multitu<strong>de</strong> <strong>de</strong> points (pixels). Elles permettent<br />

d'obtenir <strong>de</strong> très bons détails au niveau du graphisme mais acceptent mal le grossissement (à<br />

l'inverse <strong>de</strong>s images vectorielles) et sont très gourman<strong>de</strong>s au niveau <strong>de</strong> la taille<br />

Boot<br />

(Abréviation <strong>de</strong> bootstrap)<br />

Un programme <strong>de</strong> boot est un programme lancé à l'allumage d'un ordinateur et <strong>de</strong>stiné à<br />

installer le système d'exploitation en mémoire et à l'initialiser<br />

Buffer


VIII – DICTIONNAIRE 211<br />

Une mémoire utilisée pour conserver temporairement les données pendant leur transmission<br />

Bus d'adresses<br />

Bus consacré à la connexion <strong>de</strong> périphériques<br />

Bus <strong>de</strong> données<br />

Bus servant aux échanges <strong>de</strong> données entre le <strong>micro</strong>processeur et les différents mémoires<br />

Bus local<br />

Chemin interne <strong>de</strong> 32 octets qui connecte l'UC directement à la mémoire, à la vidéo et aux<br />

contrôleurs <strong>de</strong> disque. Le bus local permet le transfert <strong>de</strong>s données <strong>de</strong> et vers l'UC, vers la<br />

mémoire et les périphériques à la vitesse <strong>de</strong> l'UC (telle que 33, 66 et 90 MHz). Avant l'architecture<br />

du bus local, la vitesse du <strong>micro</strong>processeur a dépassé celle du bus interne, ce qui a créé un flux<br />

réduit <strong>de</strong> données à l'intérieur et à l'extérieur <strong>de</strong> l'UC et a ralenti l'ordinateur. L'architecture du<br />

bus local améliore considérablement les taux <strong>de</strong> transfert <strong>de</strong> données et réduit fortement le<br />

goulot d'étranglement E-S, parce que les périphériques sont liés seulement par la vitesse<br />

d'horloge <strong>de</strong> l'UC. L'architecture <strong>de</strong> bus local est utilisée par les bus PCI (PERIPHERAL COMPONENT<br />

INTERCONNECT) et VESA (VIDEO ELECTRONICS STANDARDS ASSOCIATION)<br />

Cache disque<br />

Portion <strong>de</strong> la mémoire vive réservée au stockage <strong>de</strong>s données les plus souvent lues sur le<br />

disque dur.<br />

Carte contrôleur<br />

Périphérique permettant à un ordinateur <strong>de</strong> communiquer avec un autre périphérique, tel qu'un<br />

disque dur ou un dérouleur <strong>de</strong> ban<strong>de</strong>.<br />

La carte contrôleur gère les entrées/sorties et le fonctionnement du périphérique associé. La<br />

plupart <strong>de</strong>s disques durs et <strong>de</strong>s dérouleurs <strong>de</strong> ban<strong>de</strong> fabriqués aujourd'hui intègrent les circuits<br />

du contrôleur et ne font plus appel à une carte séparée.<br />

Carte d'acquisition<br />

Carte ajoutée à un ordinateur pour la numérisation <strong>de</strong> sons et d'images en provenance <strong>de</strong><br />

sources externes : chaîne hifi, téléviseur, magnétoscope, caméscope...<br />

Carte <strong>de</strong> décompression MPEG<br />

Carte d'extension permettant à l'ordinateur <strong>de</strong> lire <strong>de</strong>s séquences vidéo au format MPEG ou <strong>de</strong>s<br />

films sur CD-Vidéo et CD<br />

CD-Rom<br />

Disque optique dont les informations ont été gravées une fois pour toutes lors <strong>de</strong> leur fabrication.<br />

Ses dimensions sont standards : il a 12 cm <strong>de</strong> diamètre, 1.2 mm d'épaisseur et est percé en son<br />

centre d'un trou <strong>de</strong> 15 mm. Sa capacité <strong>de</strong> stockage est <strong>de</strong> l'ordre <strong>de</strong> 650 Mo, soit plus <strong>de</strong> 160<br />

disquettes.<br />

Certains écrivent cédérom, ou DON (serveur).<br />

CD-RW<br />

(CD-ROM Rewritable) Disque optique sur lequel on peut lire et écrire.<br />

Cluster<br />

Unité d'allocation minimale d'un disque dur. Sur une partition FAT, sa taille dépend <strong>de</strong> celle du<br />

disque. Ainsi, sur un disque <strong>de</strong> 2 Go, un fichier d'un octet occupera en réalité 32 Ko. Certains<br />

systèmes permettent d'éviter cette perte en utilisant le mo<strong>de</strong> FAT 32 pour Windows 95 (à partir <strong>de</strong><br />

l'OSR 2.1) et 98 ou NTFS pour Windows NT<br />

Co<strong>de</strong> Source


Liste <strong>de</strong>s instructions d'un programme exprimées dans un langage que l'homme est capable <strong>de</strong><br />

manipuler aisément. Sans le co<strong>de</strong> source il est très difficile <strong>de</strong> modifier un programme.<br />

Communication asynchrone<br />

Un mo<strong>de</strong> <strong>de</strong> transmission <strong>de</strong> données d'une machine à une autre dans lequel chaque caractère<br />

est précédé d'un bit <strong>de</strong> départ et suivi d'un bit <strong>de</strong> fin. On l'appelle aussi transmission start/stop.<br />

Commutation<br />

(switching) - Action d'associer temporairement <strong>de</strong>s organes, <strong>de</strong>s voies <strong>de</strong> transmission ou <strong>de</strong>s<br />

circuits <strong>de</strong> télécommunication pendant la durée nécessaire au transfert <strong>de</strong> l'information<br />

Compilateur<br />

Le compilateur est un programme qui permet <strong>de</strong> transformer les programmes écrits dans un<br />

langage quelconque en instructions directement compréhensibles par le <strong>micro</strong>processeur<br />

Compression<br />

Pour économiser <strong>de</strong> la mémoire, vive ou sur le disque dur, on fait appel à <strong>de</strong>s logiciels <strong>de</strong><br />

compression qui réduisent la taille <strong>de</strong>s informations par <strong>de</strong>s algorithmes mathématiques. Le<br />

format ZIP le plus célèbre ne perd aucune information, la compression JPEG dédiée aux images<br />

perd quelques informations pour améliorer le taux <strong>de</strong> compression. Sur une image cette perte<br />

est peu visible ; sur un fichier <strong>de</strong> données ce serait <strong>de</strong>structeur !<br />

Cookie<br />

Le co<strong>de</strong> qu'un serveur HTTP enregistre, souvent temporairement, sur votre disque dur pour<br />

vous i<strong>de</strong>ntifier sur son service (réutilisation commerciale). Vous avez la possibilité, avec Navigator<br />

ou Internet Explorer, <strong>de</strong> refuser ce type d'échange<br />

CPU<br />

CPU le <strong>micro</strong>processeur. Ses caractéristiques les plus importantes sont sa fréquence <strong>de</strong><br />

fonctionnement et le nombre <strong>de</strong> bits qu'il adresse simultanément. Les PENTIUM sont <strong>de</strong>s<br />

processeurs 32 bits à <strong>de</strong>s fréquences entre 60 et 400 Mhz. Ces informations ne sont pas<br />

suffisantes pour comparer <strong>de</strong>ux processeurs <strong>de</strong> famille différente. Leur rapidité dépend du<br />

nombre <strong>de</strong> cycles d'horloge que chaque instruction et <strong>de</strong> leur architecture CISC, RISC etc...<br />

Défragmentation<br />

Sous un système d'exploitation tel que Windows : Opération effectuée sur le disque dur qui est<br />

<strong>de</strong>stinée à regrouper les fichiers pour en optimiser l'accès<br />

RAM<br />

Type <strong>de</strong> mémoire d'ordinateur assez ancienne et moins rapi<strong>de</strong> que l'EDO-RAM ou que la SD-<br />

RAM<br />

Data Warehouse<br />

Système d'information indépendant <strong>de</strong> tout système <strong>de</strong> production, dont le rôle est <strong>de</strong> stocker<br />

les informations (SGBD<br />

DirectX<br />

Technologie d'affichage <strong>de</strong> Microsoft s'intercalant entre logiciels et matériels, facilitant ainsi le<br />

développement <strong>de</strong> ces logiciels.<br />

DLL<br />

Bibliothèque <strong>de</strong> liens dynamiques. Les DLL sont <strong>de</strong>s programmes qui secon<strong>de</strong>nt Windows pour<br />

<strong>de</strong>s tâches précises. Les DLL sont souvent une <strong>de</strong>s causes <strong>de</strong> graves soucis pour les<br />

possesseurs <strong>de</strong> Windows car ils sont généralement utilisés par différentes applications, celles-ci<br />

remplaçant quelquefois un fichier DLL par un autre possédant le même nom...<br />

DMA/33


VIII – DICTIONNAIRE 213<br />

(ou ultra DMA)<br />

Permet à un disk EIDE un taux <strong>de</strong> transfert <strong>de</strong> 33 Mo/s.<br />

DMA/66<br />

Permet à un disk EIDE un taux <strong>de</strong> transfert <strong>de</strong> 66 Mo/s.<br />

DMI<br />

Cette technologie, concurrente <strong>de</strong>s produits d'administration propriétaires mais complémentaire<br />

à SNMP, permet d'effectuer l'inventaire <strong>de</strong> machines à distance et <strong>de</strong> signaler l'état <strong>de</strong>s<br />

différents composants d'un poste <strong>de</strong> travail (pannes, erreurs, alertes, etc.)<br />

Domaine<br />

Ensemble d'adresses faisant l'objet d'une gestion commune.<br />

Équivalent étranger : domain.<br />

(Journal officiel du 16 mars 1999 "Vocabulaire <strong>de</strong> l'informatique et <strong>de</strong> l'internet")<br />

Un <strong>de</strong>s éléments qui composent une adresse Internet. Les noms <strong>de</strong> domaine se déclinent sur<br />

plusieurs niveaux et certains d'entre eux sont facilement i<strong>de</strong>ntifiables :<br />

com organisations commerciales<br />

edu enseignement<br />

gov gouvernement<br />

mil armée<br />

net ressources réseaux<br />

org organisations diverses<br />

ar Argentine<br />

be Belgique<br />

ca Canada<br />

ch Suisse<br />

<strong>de</strong> Allemagne<br />

fi Finlan<strong>de</strong><br />

fr France<br />

hk Hong Kong<br />

ie lrlan<strong>de</strong><br />

jp japon<br />

nz Nouvelle Zélan<strong>de</strong><br />

se Sué<strong>de</strong><br />

uk Gran<strong>de</strong>-Bretagne<br />

us États-Unis<br />

za Afrique du Sud<br />

…<br />

et toutes les nouvelles extensions<br />

Domaines DNS<br />

La base <strong>de</strong> données DNS est une arborescence appelée espace <strong>de</strong> noms <strong>de</strong> domaine. Chaque<br />

domaine (noeud dans l'arborescence) porte un nom et peut contenir plusieurs sous-domaines. Le<br />

nom du domaine permet d'i<strong>de</strong>ntifier son emplacement dans la base <strong>de</strong> données par rapport à<br />

son domaine parent. Un point (.) sépare les différentes parties <strong>de</strong>s noms pour les nœuds du<br />

réseau du domaine DNS. Par exemple, dans le nom <strong>de</strong> domaine DNS csu.edu, csu représente<br />

le sous-domaine dont le parent est le domaine edu ; pour csu.com, csu représente le sousdomaine<br />

dont le parent est le domaine com.<br />

Domaine NT


Un domaine au sens Windows NT est un ensemble <strong>de</strong> serveurs qui partagent la même base <strong>de</strong><br />

données <strong>de</strong> comptes d'utilisateur et les mêmes stratégies <strong>de</strong> sécurité. Dans chaque domaine, un<br />

serveur appelé le contrôleur principal <strong>de</strong> domaine (CPD ou, en anglais PDC) stocke tous les<br />

comptes et reproduit toutes les modifications effectuées sur les contrôleurs secondaires <strong>de</strong><br />

domaine du domaine. L'organisation <strong>de</strong>s domaines permet à un groupe d'<strong>ordinateurs</strong> <strong>de</strong> se<br />

comporter comme s'ils ne constituaient qu'un seul serveur. Les utilisateurs peuvent accé<strong>de</strong>r à<br />

toutes les ressources du domaine à l'ai<strong>de</strong> d'un seul nom d'utilisateur et d'un seul mot <strong>de</strong> passe.<br />

L'administration <strong>de</strong>s comptes d'un domaine est simple, car les modifications ne sont effectuées<br />

qu'une seule fois et sont répercutées sur tous les serveurs du domaine.<br />

Un domaine est simplement l'entité administrative <strong>de</strong>s services d'annuaires Windows NT Server.<br />

Le terme domaine ne désigne pas un emplacement unique ou un type particulier <strong>de</strong><br />

configuration <strong>de</strong> réseau. Les <strong>ordinateurs</strong> appartenant à un seul domaine peuvent se trouver à<br />

proximité les uns <strong>de</strong>s autres dans un réseau local <strong>de</strong> petite taille, ou être dispersés dans le<br />

mon<strong>de</strong> et communiquer à l'ai<strong>de</strong> <strong>de</strong> diverses connexions physiques, telles que <strong>de</strong>s lignes d'appel<br />

à distance, un réseau numérique à intégration <strong>de</strong> services (RNIS), la fibre optique, Ethernet,<br />

Token Ring, le relayage <strong>de</strong> trames, <strong>de</strong>s satellites et <strong>de</strong>s lignes spécialisées<br />

Driver<br />

Nom anglais <strong>de</strong> Pilote.<br />

DVD-RAM<br />

Disque réinscriptible utilisant la technologie magnéto-optique dite à changement <strong>de</strong> phase, il<br />

offre une capacité <strong>de</strong> 2,6 Go par face soit 5,2 Go au maximum, mais les fabricants travaillent à<br />

porter sa capacité à 8,5 Go par face soit 17 Go au maximum.<br />

DVD-ROM<br />

Compact Disc pouvant stocker 4.7 Go par face et par couche. C'est le remplaçant du CD-ROM.<br />

DVD-Vidéo<br />

<strong>Support</strong> <strong>de</strong> stockage <strong>de</strong> vidéo numérique avec une qualité supérieure à la meilleure <strong>de</strong>s<br />

télévisions grâce à la compression d'image MPEG-2, le son est codé en Dolby Prologic ou AC-3.<br />

E-mail<br />

Courrier électronique sur Internet. (équivalent français : message électronique, courrier, Mél)<br />

Un message électronique parvient n'importe où dans le mon<strong>de</strong> en quelques secon<strong>de</strong>s ou<br />

minutes. De plus, le <strong>de</strong>stinataire n'est pas obligé d'être présent pour recevoir le message car les<br />

messages sont stockés chez son fournisseur d'accès internet.<br />

E/S<br />

Entrée/Sortie<br />

ECC<br />

Procédé <strong>de</strong> vérification et <strong>de</strong> correction d'erreurs par comparaison <strong>de</strong> bits en mémoire. Pour<br />

supporter ce mo<strong>de</strong>, les barrettes mémoire doivent comporter <strong>de</strong>s bits <strong>de</strong> parité (mémoire 36 bits)<br />

Entrée/sortie<br />

Un terme général utilisé pour les périphériques qui communiquent avec l'ordinateur.<br />

Entrée/Sortie est abrégé E/S.<br />

Extranet<br />

Réseau <strong>de</strong> télécommunication et <strong>de</strong> téléinformatique constitué d'un intranet étendu pour<br />

permettre la communication avec certains organismes extérieurs, par exemple <strong>de</strong>s clients ou<br />

<strong>de</strong>s fournisseurs.<br />

(Journal officiel du 16 mars 1999 "Vocabulaire <strong>de</strong> l'informatique et <strong>de</strong> l'internet")<br />

FAT


VIII – DICTIONNAIRE 215<br />

Table où le système d'exploitation (DOS et Windows, sauf NT) enregistre l'emplacement <strong>de</strong>s<br />

différents dossiers et fichiers enregistrés sur le disque dur. Malheureusement, la taille <strong>de</strong>s<br />

clusters dépend <strong>de</strong> la taille du disque qui ne peut pas excé<strong>de</strong>r 2 Go.<br />

FAT16<br />

FAT originaire du MS-DOS gérant au maximum un disque dur <strong>de</strong> 2 Go et utilisant <strong>de</strong>s clusters<br />

<strong>de</strong> 32 Ko<br />

FAT32<br />

FAT propre à Windows qui n'est pas limité par la taille <strong>de</strong> 2 Go et utilisant <strong>de</strong>s clusters <strong>de</strong> 4 Ko<br />

Fichier binaire<br />

Désigne tout document, image, son, etc. autre que textuel.<br />

Formater<br />

Action <strong>de</strong> mettre un disque dur dans un format logique acceptable pour l'installation et<br />

l'exécution d'un système d'exploitation.<br />

Fournisseur d'accès Internet (FAI)<br />

Traduction logique <strong>de</strong> l'anglais Access Provi<strong>de</strong>r, ou, plus couramment, provi<strong>de</strong>r. Firme équipée<br />

<strong>de</strong> serveurs et mo<strong>de</strong>ms, le plus souvent elle-même cliente <strong>de</strong> plus grands fournisseurs<br />

propriétaires <strong>de</strong> backbones, et qui procure, moyennant un abonnement mensuel, <strong>de</strong>s accès<br />

Internet avec ou sans service en ligne<br />

Full Duplex<br />

Une communication qui s'établit dans les <strong>de</strong>ux sens simultanément (voir Duplex).<br />

Génie logiciel<br />

Ensemble <strong>de</strong> techniques tendant à faire passer la production <strong>de</strong> logiciel du sta<strong>de</strong> <strong>de</strong> l'industrie.<br />

Il est difficile d'admettre que le logiciel est une <strong>de</strong>nrée comme une autre : la programmation est<br />

trop imprégnée par ses créateurs (souvent <strong>de</strong>s artistes) pour être traitée comme une production<br />

quelconque. Néanmoins, <strong>de</strong>s règles peuvent être introduites dans le processus <strong>de</strong> production<br />

<strong>de</strong>s logiciels : on suppose que les "messages" émis à la fin <strong>de</strong> chaque phase du cycle <strong>de</strong> vie <strong>de</strong><br />

la production d'un logiciel sont reçus par <strong>de</strong>s personnes également compétentes et créatives.<br />

Le génie logiciel peut définir les meilleures (ou les moins mauvaises) métho<strong>de</strong>s pour la<br />

production et la <strong>maintenance</strong> du logiciel, en fonction <strong>de</strong> ces caractéristiques (temps réel, calcul,<br />

haute sécurité, etc.). La <strong>maintenance</strong> est <strong>de</strong> plus en plus importante, car pour <strong>de</strong>s raisons <strong>de</strong><br />

coûts, on préfère transformer un logiciel plutôt que <strong>de</strong> le réécrire.<br />

Dans le cas <strong>de</strong> logiciels complexes, la production et la <strong>maintenance</strong> se pratiquent dans <strong>de</strong> vrais<br />

"ateliers <strong>de</strong> génie logiciel" (AGL), qui nécessitent à leur tour l'appui <strong>de</strong> logiciels <strong>de</strong> niveaux plus<br />

bas (outils). On peut <strong>de</strong>viner ce que la vérification du logiciel (1, 2,, n) veut dire dans ces cas.<br />

GID<br />

(Abréviation <strong>de</strong> Group ID)<br />

Métho<strong>de</strong> par laquelle on i<strong>de</strong>ntifie l'appartenance d'un utilisateur à un groupe sous Linux.<br />

GIF Animé<br />

Petite animation obtenue à partir d'une succession d'images GIF.<br />

Gigabyte<br />

Un billion <strong>de</strong> bytes ! En d'autres termes, beaucoup d'espace pour stocker vos données...<br />

Gigaflops<br />

Unité <strong>de</strong> mesure (FLOPS = "FLoating point OPerations per Second" : 1 073 741 824 opérations en<br />

virgule flottante par secon<strong>de</strong>.<br />

Groupware


Désigne tous les logiciels qui permettent ou facilitent le travail d'un groupe <strong>de</strong> travail sur réseau.<br />

Dans ce domaine, on utilise également les expressions "Computer-Ai<strong>de</strong>d Teamwork" ("travail<br />

d'équipe assisté par ordinateur") ou "Workgroup Computing" ("travail par ordinateur dans <strong>de</strong>s groupes <strong>de</strong><br />

travail"). Les logiciels groupware autorisent l'échange <strong>de</strong> données et la collaboration au sein d'un<br />

groupe <strong>de</strong> travail et comprennent généralement une messagerie électronique, un système <strong>de</strong><br />

gestion <strong>de</strong> documents et un programmateur.<br />

Le logiciel Notes <strong>de</strong> Lotus, filiale d'IBM, est un groupware.<br />

Hacker<br />

(Français : Bidouilleur)<br />

En argot informatique, nom donné aux utilisateurs qui visitent et piratent les banques <strong>de</strong><br />

données du mon<strong>de</strong> entier. Contrairement aux crackers, les hackeurs sont parfois honnêtes<br />

Heuristique<br />

Métho<strong>de</strong> <strong>de</strong> résolution <strong>de</strong> problèmes, non fondée sur un modèle formel et qui n'aboutit pas<br />

nécessairement à une solution.<br />

Horloge Interne<br />

Une horloge temps réel qui permet aux programmes d'utiliser l'heure et la date. Incluse dans Ms-<br />

Dos, cette horloge permet <strong>de</strong> maintenir un calendrier personnel et elle mesure automatiquement<br />

le temps<br />

Hypertexte<br />

Terme inventé par Ted Nelson dans les années 1960 pour décrire sa vision <strong>de</strong> l'information<br />

représentée et accessible à partir <strong>de</strong> liens actifs intégrés dans les documents. Le Web repose<br />

entièrement sur cette technologie.<br />

IDE<br />

Interface standard d'unité <strong>de</strong> disque dur qui intègre l'électronique du contrôleur sur l'unité. Le<br />

contrôleur se connecte à une carte ("paddleboard") qui se trouve à l'extérieur, ou sur la carte mère.<br />

Cette carte sert d'interface avec l'unité centrale, via le bus. Contrairement à IDE, l'unité SCSI<br />

comporte un adaptateur bus hôte (HBA) qui sert d'interface avec l'unité centrale, via le bus.Vous<br />

pouvez reconnaître un bus IDE à son connecteur 40 broches (un bus SCSI est doté d'un connecteur<br />

50 broches).<br />

IEEE<br />

Organisme américain <strong>de</strong> normalisation.<br />

Intranet<br />

Réseau local et privé (entreprise) qui utilise les technologies <strong>de</strong> l'Internet : Web, e-mail, etc., mais<br />

ne s'ouvre pas aux connexions publiques. Contrairement à Internet, nom propre, on écrira<br />

intranet, comme internaute.<br />

Réseau <strong>de</strong> télécommunication et <strong>de</strong> téléinformatique <strong>de</strong>stiné à l'usage exclusif d'un organisme<br />

et utilisant les mêmes protocoles et techniques que l'internet.<br />

(Journal officiel du 16 mars 1999 "Vocabulaire <strong>de</strong> l'informatique et <strong>de</strong> l'internet")<br />

IPX/SPX<br />

Pile <strong>de</strong> protocoles utilisée dans les réseaux Novell. IPX concerne l'expédition et le routage <strong>de</strong>s<br />

paquets. SPX est un protocole <strong>de</strong> niveau connexion qui garantit la remise <strong>de</strong>s données<br />

envoyées. Microsoft a mis en oeuvre ce protocole relativement petit et rapi<strong>de</strong> sur ses réseaux<br />

locaux sous le nom <strong>de</strong> NWLINK<br />

IRQ


VIII – DICTIONNAIRE 217<br />

Requête d'interruption. Il existe 15 IRQ disponibles par PC, dont la moitié est déjà employée par<br />

le processeur, les différents ports... avant même que vous ajoutiez le moindre périphérique.<br />

Chaque périphérique non PnP (pour les systèmes d'exploitation le gérant) utilise une IRQ qui<br />

possè<strong>de</strong> différents niveaux <strong>de</strong> priorité. Ainsi, le processeur a une IRQ <strong>de</strong> priorité plus importante<br />

que celle du clavier.<br />

ISA<br />

Conception en bus du PC/XT. Elle permet l'ajout <strong>de</strong> plusieurs adaptateurs au <strong>micro</strong>-ordinateur<br />

par l'enfichage <strong>de</strong> cartes d'extension dans <strong>de</strong>s connecteurs 8 ou 16 bits et qui atteignent<br />

respectivement <strong>de</strong>s vitesses <strong>de</strong> 6 MHz et 8 MHz. Le concept ISA intègre une puce tampon entre<br />

le bus <strong>de</strong> l'unité centrale et l'emplacement ISA. Cette puce ajoute <strong>de</strong>s états d'attente d'E-S pour<br />

permettre à <strong>de</strong>s unités centrales plus rapi<strong>de</strong>s <strong>de</strong> s'adapter aux vitesses du bus ISA.<br />

Bus<br />

ISDN<br />

Nouvelle technologie sur les lignes téléphoniques. Combine les appels vocaux et les<br />

communications aux réseaux numériques via un seul « câble ».<br />

Java<br />

Langage <strong>de</strong> développement, produit par la société Sun. Ecrit par James Gosling, il permet <strong>de</strong><br />

doter les documents html <strong>de</strong> nouvelles fonctionnalités : animations interactives, applications<br />

intégrées, modèles 3D, etc. Ce langage est orienté objet et comprend <strong>de</strong>s éléments<br />

spécialement conçus pour la création d'applications multimédia. On écrit un programme java<br />

dans un texte source qui ressemble à C (langage) ou à C++, puis on le traduit à l'ai<strong>de</strong> d'un<br />

compilateur afin <strong>de</strong> générer un programme utilisable directement dans une page html et appelé<br />

applet. Pour exécuter ensuite un applet, l'utilisateur doit disposer d'un interpréteur. Un applet est<br />

inclus sous forme <strong>de</strong> document html ou sous forme <strong>de</strong> hyperlink.<br />

JPEG<br />

Un standard pour la compression <strong>de</strong>s images qui contiennent plusieurs millions <strong>de</strong> couleurs.<br />

Trés courant sur l'Internet.<br />

Jumper<br />

(Français cavalier)<br />

Petite pièce en forme <strong>de</strong> U servant à établir un contact entre <strong>de</strong>ux circuits sur les cartes.<br />

Login<br />

La procédure d'i<strong>de</strong>ntification <strong>de</strong>s utilisateurs sur un serveur.<br />

Média<br />

<strong>Support</strong> ou véhicule d'information. Les médias les plus courants en informatique sont les CD<br />

ROM et DVD ROM, les disques durs et les unités <strong>de</strong> stockage. Terme également utilisé pour les<br />

réseaux<br />

Mémoire cache<br />

Cette mémoire est <strong>de</strong> type Ram, sa caractéristique principale est sa très gran<strong>de</strong> capacité<br />

d'accès. Elle peut être intégrée ou séparée au processeur, son coût élevé limite sa taille. On la<br />

nomme parfois antémémoire.<br />

Mémoire tampon


La mémoire tampon est une mémoire volatile qui a pour but <strong>de</strong> permettre un flux continu <strong>de</strong><br />

données lors d'une transmission<br />

Matrice active<br />

Un écran à cristaux liqui<strong>de</strong>s est dit à matrice active lorsque l'allumage <strong>de</strong> chaque point <strong>de</strong> l'écran<br />

est contrôlé par un minuscule transistor qui lui est sous-jacent. L'impulsion électrique qui vient du<br />

système d'affichage du portable est ainsi transmise sans délai et se maintient aussi longtemps<br />

que nécessaire. À opposer aux écrans à matrice passive. Ce procédé offre l'affichage le plus<br />

lumineux.<br />

Son Principal défaut est <strong>de</strong> coûter cher (il représente près <strong>de</strong> 40% du prix du portable) et d'être<br />

gourmand en énergie<br />

Matrices passives<br />

Se dit d'un écran à cristaux liqui<strong>de</strong>s utilisant la technologie STN, ce type d'écran est organisé en<br />

lignes et colonnes, cette technologie est moins contrastée, plus lente à l'affichage et moins chère<br />

que la technologie à matrices actives<br />

Mip mapping<br />

Technique utilisée en 3D. Le mip mapping est l'utilisation d'un échantillon <strong>de</strong> textures en<br />

plusieurs résolutions. Le choix se fait alors pendant le plaquage <strong>de</strong> texture, en fonction <strong>de</strong> la<br />

distance entre l'objet ou la scène et l'observateur, pour obtenir le rendu le plus réaliste possible.<br />

MP3<br />

Format <strong>de</strong> compression <strong>de</strong> données audio reposant sur <strong>de</strong>s bases psychoacoustiques comme le<br />

Mini-Disc et stocke le son avec un ratio <strong>de</strong> compression <strong>de</strong> 1 à 10 sans perte <strong>de</strong> qualité sonore.<br />

MPEG<br />

Norme <strong>de</strong> compression, utilisée pour la vidéo sur ordinateur. MPEG3 est un abus <strong>de</strong> langage <strong>de</strong><br />

MPEG2 layer 3 : fichier ne contenant que le son.<br />

Multiplexeur<br />

Appareil divisant une voie <strong>de</strong> données en <strong>de</strong>ux ou plus. Le débit <strong>de</strong>vient généralement inférieur<br />

sur les nouvelles voies.<br />

Multitâche<br />

Capacité que possè<strong>de</strong>nt les systèmes d'exploitation mo<strong>de</strong>rne à pouvoir exécuter simultanément<br />

plusieurs programmes.<br />

On peut différencier <strong>de</strong>ux types <strong>de</strong> multitâche :<br />

Le multitâche coopératif : le système d'exploitation peut utiliser plusieurs programmes<br />

simultanément mais ils ne sont pas chargés dans <strong>de</strong>s espaces <strong>de</strong> mémoire protégés ce qui peut<br />

engendrer <strong>de</strong> nombreux bugs, figeant alors tout l'ordinateur et pas uniquement la tâche<br />

concernée.<br />

Le multitâche préemptif : le système d'exploitation charge chacune <strong>de</strong>s exploitations lancées<br />

dans un espace <strong>de</strong> mémoire protégé. Si une tâche a un problème et qu'elle se fige, on peut<br />

toujours revenir au système d'exploitation et la refermer manuellement.<br />

Multithread<br />

Possibilité pour un programme <strong>de</strong> lancer plusieurs tâches simultanées. Le multithread est<br />

souvent confondu avec le multitâche alors qu'il ne s'agit pas tout à fait du même principe. Le<br />

multitâche permet au système d'exploitation d'exécuter plusieurs tâches simultanées (les<br />

applications) alors que les tâches s'effectuent à l'intérieur <strong>de</strong> l'application pour le multithread. Ainsi,<br />

un programme gérant le multithread pourra fonctionner sur un système d'exploitation non<br />

multitâche ou inversement...<br />

En fait, le multitâche permet d'augmenter la stabilité du système essentiellement alors que le<br />

mutlithread permet une amélioration <strong>de</strong>s performances.


VIII – DICTIONNAIRE 219<br />

Un système d'exploitation peut aussi gérer le multithread, il pourra par exemple effacer un fichier<br />

et réaliser une copie simultanément.<br />

Nano<br />

(du grec nannos : nain)<br />

Milliardième <strong>de</strong> l'unité.<br />

Nanosecon<strong>de</strong><br />

Une nanosecon<strong>de</strong> équivaut à un milliardième <strong>de</strong> secon<strong>de</strong><br />

Nanotechnologie<br />

Technologie <strong>de</strong>vant déboucher sur la construction <strong>de</strong> <strong>micro</strong>machines ayant <strong>de</strong>s éléments<br />

composés seulement <strong>de</strong> quelques atomes, ces machines pourront nettoyer <strong>de</strong>s vaisseaux<br />

sanguins ou lutter contre la pollution.<br />

Nasdaq<br />

Indice boursier <strong>de</strong> valeurs technologiques américaines (MICROSOFT, INTEL ,NETSCAPE, CISCO, ORACLE,).<br />

NDIS<br />

Norme qui définit une interface pour la communication entre la sous-couche contrôle d'accès au<br />

support (MAC pour media access control) et les pilotes <strong>de</strong> protocoles. Comme ODI, NDIS<br />

permet à plusieurs protocoles <strong>de</strong> transport (TCP/IP,NWLINK, NETBEUI, DLC...) d'utiliser le même<br />

gestionnaire <strong>de</strong> carte réseau.<br />

Netbios<br />

Protocole pour réseaux locaux d'IBM, repris par Microsoft sous le nom <strong>de</strong> NetBeui.<br />

Newsgroups<br />

Entité regroupant sous un même nom un ensemble <strong>de</strong> contributions correspondant à un thème<br />

précis défini dans sa charte. Les noms <strong>de</strong>s forums sont souvent abrégés par leurs initiales (f.u.r<br />

ou fur pour fr.usenet.reponses). Voir Usenet<br />

Numérisation<br />

Conversion d'un signal analogique en un signal numérique.<br />

Objet<br />

Unité structurée et limitée. On le définit toujours par la tâche ou la fonction qu'il accomplit. Il doit<br />

contenir en lui-même tous les éléments dont il a besoin. En informatique, on peut créer un objet<br />

par exemple à l'ai<strong>de</strong> d'un enregistrement composé <strong>de</strong> champs <strong>de</strong> données (voir champ <strong>de</strong> données)<br />

définissant ses propriétés. Pour le programmeur, un objet est un ensemble fermé, composé <strong>de</strong><br />

données et d'un co<strong>de</strong>. On ne peut manipuler les données <strong>de</strong> l'objet qu'au moyen <strong>de</strong> ce co<strong>de</strong>.<br />

Sous Windows, le terme "objet" désigne aussi un ensemble <strong>de</strong> données défini dans une<br />

Application source et transféré dans un document d'une Application cible.<br />

Open GL<br />

Protocole d'affichage en 3D développé par Silicon Graphics, il existe <strong>de</strong>ux implémentations<br />

principales : "Microsoft OpenGL" <strong>de</strong> Microsoft et "Cosmo OpenGL" <strong>de</strong> Silicon Graphics. Un autre<br />

standard <strong>de</strong> rendu 3D est Direct3D <strong>de</strong> Microsoft.<br />

Overclocking<br />

Procédé consistant à faire tourner un <strong>micro</strong>processeur à une vitesse d'horloge supérieure à celle<br />

pour laquelle il a été construit, c'est un procédé risqué car au pire on peut faire griller le<br />

processeur<br />

Périphérique


1. Une pièce <strong>de</strong> matériel qui peut effectuer une fonction particulière. Une imprimante est un<br />

exemple <strong>de</strong> périphérique.<br />

2. Un matériel d'entrée/sortie ou une mémoire <strong>de</strong> masse<br />

Partition<br />

Portion du disque dur utilisé par un système d'exploitation. Un même disque dur comporte<br />

souvent plusieurs partitions.<br />

Partition étendue<br />

Morceau <strong>de</strong> disque dur qui contient d'autres partitions.<br />

Partition active<br />

La partie <strong>de</strong> la mémoire <strong>de</strong> l'ordinateur qui contient le système d'exploitation<br />

Partition logique<br />

Partition existant dans une partition étendue<br />

Pas <strong>de</strong> masque<br />

Pour les écrans cathodiques, distance minimale entre <strong>de</strong>ux points affichés <strong>de</strong> l'écran. Le pas <strong>de</strong><br />

masque est exprimé en mm. La valeur moyenne actuelle est d'environ 0,28 mm alors que les<br />

moniteurs les plus performants atteignent 0,25 mm.<br />

PCI<br />

Bus 32-bits ou 64-bits basés sur l'architecture <strong>de</strong> bus locale. Ce concept fournit au bus PCI une<br />

voie d'accès directe à l'unité centrale. Cette connexion directe entre l'unité centrale et les<br />

emplacements <strong>de</strong> bus locaux permettent <strong>de</strong>s transferts <strong>de</strong> données à la vitesse <strong>de</strong> l'horloge<br />

système, qui peut atteindre <strong>de</strong>s vitesses <strong>de</strong> 66 MHz, voire 100 MHz. Le bus PCI supporte le<br />

"bus-mastering" et permet l'intégration directe <strong>de</strong> dix périphériques (par exemple, unités vidéo,<br />

<strong>de</strong> réseau et SCSI) sur le bus local. Le bus PCI permet un débit <strong>de</strong> 132 Mo/s, soit 16 fois plus<br />

qu'un bus ISA, et 4 fois plus qu'un bus EISA. Il est <strong>de</strong>stiné à <strong>de</strong>s applications à large ban<strong>de</strong><br />

(multimédia, par exemple). Pour assurer la compatibilité avec <strong>de</strong>s unités centrales plus lentes,<br />

l'emplacement du bus PCI accepte également les cartes ISA et EISA<br />

PCMCIA<br />

PCMCIA a standardisé <strong>de</strong>s modules extractibles <strong>de</strong> la taille d'une carte <strong>de</strong> crédit pour les<br />

<strong>ordinateurs</strong> portables <strong>de</strong> taille normale et petite. Le bus PCMCIA d'E-S utilise l'architecture du<br />

bus local.<br />

PCX<br />

Format graphique d'images bitmap utilisé par PC Paintbrush et qu'on retrouve dans <strong>de</strong><br />

nombreux logiciels<br />

Pipeline burst<br />

Mo<strong>de</strong> <strong>de</strong> gestion <strong>de</strong> la mémoire cache par l'acheminement <strong>de</strong>s données vers le processeur sur<br />

plusieurs voies, pour <strong>de</strong> meilleures performances.<br />

Pitch<br />

Caractéristique physique du moniteur. Il indique la taille minimale en <strong>micro</strong>n d'un point <strong>de</strong><br />

l'écran. Le standard est <strong>de</strong> 0.25 <strong>micro</strong>n.<br />

Pixel<br />

Point lumineux affiché par votre ordinateur.<br />

Pixélisation<br />

Image composée <strong>de</strong> points visibles, après un fort grossissement par exemple<br />

Plug and Play


VIII – DICTIONNAIRE 221<br />

En français, "Branchez, ça fonctionne !". Fonction intégrée aux systèmes d'exploitation récents<br />

et qui permet d'ajouter <strong>de</strong> nouveaux périphériques sans se soucier <strong>de</strong>s conflits matériels (conflits<br />

d'IRQ). Pour fonctionner, cette norme doit être utilisée avec <strong>de</strong>s périphériques s'y conformant et<br />

la présence d'un BIOS PnP.<br />

Plug-In<br />

Petit module qui s'installe sur un navigateur pour lui apporter <strong>de</strong>s fonctions supplémentaires. Par<br />

exemple, visionner <strong>de</strong> la vidéo sur <strong>de</strong>s pages Web ou afficher <strong>de</strong>s scènes en trois dimensions<br />

Port matériel<br />

Un composant <strong>de</strong> connexion qui permet à un <strong>micro</strong>processeur <strong>de</strong> communiquer avec un<br />

périphérique compatible. La transmission peut être série ou parallèle<br />

Port parallèle<br />

Interface <strong>de</strong> sortie (imprimante très souvent) pour la transmission <strong>de</strong>s données octet par octet (en<br />

bloc) et non bit par bit (en file) comme les ports série. La vitesse <strong>de</strong> transmission est donc plus<br />

élevée.<br />

Port série<br />

Ou port <strong>de</strong> communication. Canal <strong>de</strong> communication pour transférer les données entre <strong>de</strong>ux<br />

<strong>ordinateurs</strong> distants. Souvent utilisé pour les mo<strong>de</strong>ms, mais aussi pour nombre <strong>de</strong><br />

périphériques : souris, imprimante, etc<br />

QBE<br />

Langage spécifique <strong>de</strong> requête pour les bases <strong>de</strong> données.<br />

QuickTime<br />

Système développé par Apple et permettant d'enregistrer et d'exploiter en temps réel <strong>de</strong>s<br />

informations multimédia telles que <strong>de</strong>s vidéos, <strong>de</strong>s animations, du son, <strong>de</strong>s modèles <strong>de</strong> réalité<br />

virtuelle, etc. QuickTime existe également pour Windows et pour UNIX. MoviePlayer est un <strong>de</strong>s<br />

logiciels d'application les plus connus permettant <strong>de</strong> lire <strong>de</strong>s vidéo QuickTime. Il en existe<br />

différentes versions qui autorisent diverses applications<br />

Réalité virtuelle<br />

Les scènes développées en langage VRML représentent <strong>de</strong>s objets en 3 dimensions<br />

Réplication<br />

Technique <strong>de</strong> duplication <strong>de</strong>s données d'une base vers une ou plusieurs autres installées sur un<br />

ou plusieurs serveurs différents. Consiste à copier localement les données utiles disséminées<br />

sur le réseau. En plus <strong>de</strong> la sécurité - duplication <strong>de</strong>s données -, elle tend à supprimer les<br />

contraintes d'accès distant générées par le réseau.<br />

Réseau neuronal<br />

Ensemble <strong>de</strong> neurones artificiels interconnectés permettant la résolution non algorithmique et<br />

presque certaine <strong>de</strong> problèmes complexes tels que la reconnaissance <strong>de</strong> formes ou le<br />

traitement du langage naturel, grâce à l'ajustement <strong>de</strong> paramètres dans une phase<br />

d'apprentissage. (Journal officiel du 10 octobre 1998 "Liste <strong>de</strong>s termes, expressions et définitions du<br />

vocabulaire <strong>de</strong> l'informatique")<br />

Résolution<br />

La définition <strong>de</strong> l’affichage, nombre <strong>de</strong> pixels en largeur et en hauteur. 640 x 480 est la<br />

résolution standard du VGA. Plus les pixels sont nombreux et plus l'image est détaillée. On inclut<br />

aussi dans la résolution d'une image le nombre <strong>de</strong> couleurs qu'elle comporte. De <strong>de</strong>ux couleurs,<br />

noir et blanc, aux 16 millions <strong>de</strong> couleurs que l'œil ne peut même pas distinguer !<br />

Ramdac


Composant qui assure la conversion <strong>de</strong> la mémoire vidéo en données analogiques, seules<br />

compréhensibles par le moniteur<br />

Real Audio<br />

Plug-in utilisé pour exploiter <strong>de</strong>s fichiers son (*.ra) à partir d'un navigateur<br />

RJ-45<br />

Connecteur modulaire à 8 fils utilisé pour connecter un câble à paires torsadées à une carte<br />

réseau, un port <strong>de</strong> concentrateur, une prise murale.<br />

RNIS<br />

Réseau numérique à intégration <strong>de</strong> services. Norme internationale <strong>de</strong>s réseaux numériques.<br />

Routage<br />

Niveau 3 (couche réseau), indépendant du protocole <strong>de</strong> communication, le routeur achemine les<br />

données jusqu'à <strong>de</strong>stination le plus rapi<strong>de</strong>ment possible : RIP et OSPF sont <strong>de</strong>ux protocoles <strong>de</strong><br />

routage.<br />

RS232<br />

Interface normalisée <strong>de</strong> 25 broches et <strong>de</strong> débit maximal <strong>de</strong> 19 200 bps<br />

RTC ou Réseau Commuté<br />

Ou RTC. Réseau partagé par plusieurs <strong>ordinateurs</strong> oú l'on entre en communication avec<br />

n'importe quel autre. Exemple : le réseau téléphonique standard.<br />

SCSI<br />

Interface <strong>de</strong> système pour petits <strong>ordinateurs</strong> : Norme pour la connexion <strong>de</strong> périphériques (disques<br />

durs ou systèmes <strong>de</strong> sauvegar<strong>de</strong> sur ban<strong>de</strong>) et <strong>de</strong> leurs contrôleurs à un <strong>micro</strong>processeur. L'interface<br />

SCSI définit à la fois <strong>de</strong>s normes matérielles et logiciel pour la communication entre un<br />

ordinateur hôte et un périphérique. Les <strong>ordinateurs</strong> et périphériques répondant aux<br />

spécifications SCSI offrent un haut <strong>de</strong>gré <strong>de</strong> compatibilité.<br />

SCSI 3<br />

Dernière évolution <strong>de</strong> la norme SCSI qui offre un taux <strong>de</strong> transfert pouvant atteindre 160 Mo/s<br />

SDRAM<br />

Mémoire dynamique synchrone, qui a remplacé la mémoire dynamique classique.<br />

Serveur<br />

Ordinateur dédié à l'administration d'un réseau informatique. Il gère l'accès aux ressources et<br />

aux périphériques et les connections <strong>de</strong>s différents utilisateurs. Il est équipé d'un logiciel <strong>de</strong><br />

gestion <strong>de</strong> réseau : un serveur <strong>de</strong> fichiers prépare la place mémoire pour <strong>de</strong>s fichiers, un serveur<br />

d'impression gère et exécute les sorties sur imprimantes du réseau, enfin un serveur<br />

d'applications rend disponibles sur son disque dur les programmes pouvant être appelés à<br />

travers le réseau. SGRAM<br />

Shockwave<br />

Un outil développé par Macromedia pour élaborer <strong>de</strong>s animations multimédias sur le Web à<br />

l'instar <strong>de</strong> celles proposées sur les CD-ROM, Il est nécessaire, pour les créer, d'acheter le<br />

programme Macromedia Directon. Toutefois, pour afficher <strong>de</strong> telles animations, il suffit d'installer<br />

un plug-in gratuit :<br />

SIMM<br />

Barrettes <strong>de</strong> mémoire vive. Elles existent en plusieurs formats. Elles tentent à disparaitre au<br />

profit <strong>de</strong> la SDRAM.


VIII – DICTIONNAIRE 223<br />

<strong>Support</strong>s <strong>de</strong> mémoire SIMM<br />

Système informatique <strong>de</strong>stiné à fournir <strong>de</strong>s services à <strong>de</strong>s utilisateurs connectés et, par<br />

extension, organisme qui exploite un tel système.<br />

(Journal officiel du 16 mars 1999 "Vocabulaire <strong>de</strong> l'informatique et <strong>de</strong> l'internet")<br />

Site Miroir<br />

C'est la copie multiple <strong>de</strong> sites ou <strong>de</strong> pages Web sur différents serveurs, le plus souvent. Le<br />

processus d'enregistrement <strong>de</strong> ces miroirs dans les Moteurs <strong>de</strong> Recherche est souvent traité<br />

comme du spam<strong>de</strong>xing, parce que ça augmente artificiellement la pertinence <strong>de</strong>s pages. Les<br />

filtres tels que le Sniffer d'Infoseek retirent maintenant les miroirs multiples.<br />

Site Portail<br />

C'est un terme générique pour désigner un site qui sert <strong>de</strong> point d'entrée sur Internet pour un<br />

nombre significatif d'utilisateurs.<br />

Slot 1<br />

Technologie d'Intel pour intégrer les Pentium II et certains Celeron sur une carte mère,<br />

comprend un connecteur <strong>de</strong>stiné à recevoir une cartouche contenant 1 processeur et la<br />

mémoire cache <strong>de</strong> second niveau.<br />

Slot<br />

Slot 2<br />

Slot 1 amélioré pour le Pentium Xeon.<br />

SMART<br />

Technique visant à améliorer la fiabilité <strong>de</strong>s disques durs en enregistrant les chocs subis et les<br />

variations <strong>de</strong> température ou d'humidité.<br />

SMTP<br />

Dans un réseau TCP/IP, ce protocole gére le courrier électronique (envoi, réception, distribution,<br />

etc.).<br />

Socket 7<br />

Technologie Intel d'intégration du <strong>micro</strong>processeur sur une carte mère d'ordinateur, remplacée<br />

par la technologie Slot 1 mais toujours utilisé par les K6 d'AMD.<br />

Spamming, Spam<br />

L'encombrement délibéré d'un forum <strong>de</strong> discussion ou un compte e-mail par l'envoi <strong>de</strong><br />

messages non sollicités, telles les annonces à caractère publicitaire. Arme psychologique<br />

employée contre certains envois non grata.<br />

Streamer<br />

Un gros magnétophone, avec <strong>de</strong>s K7 bizarres spécialisé dans la copie <strong>de</strong> disque dur. Il fait une<br />

sauvegar<strong>de</strong> <strong>de</strong> vos données. Lent, mais <strong>de</strong> très grosse capacité, il peut vous sauver <strong>de</strong> la<br />

catastrophe.


SVGA<br />

Evolution pas vraiment standardisée du VGA. Habituellement une résolution <strong>de</strong> 800 x 600 pixels<br />

en 256 couleurs pour 512 Ko <strong>de</strong> mémoire vidéo au moins.<br />

Synchrone<br />

Un type d'opération par laquelle l'exécution <strong>de</strong>s instructions <strong>de</strong> l'ordinateur est contrôlée par une<br />

horloge; un signal d'impulsions également espacées servant <strong>de</strong> porte logique contrôlant<br />

l'exécution <strong>de</strong> chaque étape. Une opération synchrone peut augmenter les délais d'exécution car<br />

les signaux doivent attendre les impulsions d'horloge. Voir asynchrone<br />

Système expert<br />

Ensemble <strong>de</strong>s logiciels exploitant dans un domaine particulier <strong>de</strong>s connaissances explicites et<br />

organisées, pouvant se substituer à un expert humain.<br />

Télé<strong>maintenance</strong><br />

Maintenance d'une unité fonctionnelle, assuré par télécommunication directe entre cette unité et<br />

un centre spécialisé<br />

Téraflop<br />

Unité correspondant à mille milliards d'opérations par secon<strong>de</strong>. Une machine dotée <strong>de</strong> 7264<br />

processeurs Pentium Pro 200 Mhz et 456 Go <strong>de</strong> RAM a été la première à passer le cap du<br />

téraflop<br />

Taux <strong>de</strong> transfert<br />

Correspond à une quantité d'informations transmise par secon<strong>de</strong>. Pour un mo<strong>de</strong>m, ce seront<br />

<strong>de</strong>s Ko par secon<strong>de</strong>, pour un disque dur ou un lecteur <strong>de</strong> CD-ROM, <strong>de</strong>s Mo par secon<strong>de</strong>.<br />

TCP/IP<br />

Ensemble <strong>de</strong> protocoles standard <strong>de</strong> l'industrie permettant la communication dans un<br />

environnement hétérogène. Protocole <strong>de</strong> la couche Transport, il fournit un protocole <strong>de</strong> gestion<br />

<strong>de</strong> réseau d'entreprise routable ainsi que l'accès à Internet. Il comporte également <strong>de</strong>s<br />

protocoles <strong>de</strong> la couche Session. Pour être en mesure d'échanger <strong>de</strong>s paquets entre différents<br />

<strong>ordinateurs</strong>, TCP/IP exige <strong>de</strong> spécifier les trois valeurs suivantes : une adresse IP, un masque<br />

<strong>de</strong> sous-réseau et une passerelle (routeur) par défaut.<br />

Temps réel<br />

1. Le temps nécessaire pour résoudre un problème.<br />

2. La résolution d'un problème pendant le temps où un processus physique est actif <strong>de</strong> manière<br />

à utiliser les résultats pour gui<strong>de</strong>r le processus physique.<br />

TFT<br />

Technologie utilisée entre autres pour la fabrication <strong>de</strong>s écrans couleurs à matrice active afin <strong>de</strong><br />

leur permettre d'atteindre <strong>de</strong>s résolutions élevées. Plus coûteuse à mettre en œuvre, elle<br />

consiste à insérer, sous la surface <strong>de</strong> l'écran, <strong>de</strong> minuscules transistors qui comman<strong>de</strong>nt<br />

l'allumage <strong>de</strong> chaque pixel (trois par pixel, un par couleur). Le rendu et le confort d'utilisation est<br />

largement supérieur aux résultats d'un écran à matrice passive<br />

Tolérance <strong>de</strong> pannes<br />

Capacité d'un ordinateur à faire face à une défaillance logicielle ou matérielle, le principe <strong>de</strong><br />

disque miroir est une <strong>de</strong>s techniques employées<br />

Trinitron<br />

Marque et brevet <strong>de</strong> Sony. Technologie <strong>de</strong> tube cathodique reposant sur k'emploi <strong>de</strong> trois<br />

canons à électrons. Chaque pastille photosensible <strong>de</strong> l'écran a la forme d'un rectangle placé<br />

verticalement, et ce, afin d'améliorer la netteté


VIII – DICTIONNAIRE 225<br />

TrueType<br />

Police <strong>de</strong> caractères vectorielle développée par Microsoft et Apple. Contrairement aux anciens<br />

caractères en mo<strong>de</strong> point, dont la forme et la taille étaient définies par un certain nombre <strong>de</strong><br />

points, les contours <strong>de</strong>s caractères TrueType sont définis par <strong>de</strong>s vecteurs. L'une <strong>de</strong>s<br />

principales caractéristiques <strong>de</strong>s caractères TrueType est que leur taille peut être modifiée sans<br />

perte <strong>de</strong> résolution ; il ne se produit donc pas d'effet d'escalier, comme pour les caractères en<br />

mo<strong>de</strong> point.<br />

Les polices <strong>de</strong> caractères TrueType sont <strong>de</strong> plus en plus utilisées sur <strong>de</strong>s PC, car elles sont<br />

gérées par Windows. De plus, leur prix diminue. Par contre, comme ces caractères n'offrent pas<br />

la même qualité <strong>de</strong> sortie que les polices Postscript, ces <strong>de</strong>rnières sont davantage utilisées dans<br />

les applications professionnelles en association avec le gestionnaire <strong>de</strong> caractères Adobe<br />

Typemanager.<br />

Tube à vi<strong>de</strong><br />

Composant inventé en 1906 par les Américains De Forrest et Bryce. C'est une capsule <strong>de</strong> verre<br />

dans laquelle on a fait le vi<strong>de</strong> et qui contient <strong>de</strong>s électro<strong>de</strong>s et <strong>de</strong>s grilles <strong>de</strong> métal conçues pour<br />

gui<strong>de</strong>r les flux d'électrons, vecteurs d'informations (amplification, bascule). Ils étaient utilisés dans<br />

les premiers <strong>ordinateurs</strong>. L'avènement du semi-conducteur permis l'essor <strong>de</strong> la mémoire<br />

informatique.<br />

UART<br />

(Français : Récepteur/transmetteur asynchrone)<br />

C'est un composant électronique capable <strong>de</strong> transformer les données numériques en données<br />

analogiques. Par exemple, transformer les données numériques d'un fichier en données qu'un<br />

mo<strong>de</strong>m pourra envoyer via le réseau téléphonique.<br />

UCS-4<br />

Norme (ISO 10646) qui permet la gestion <strong>de</strong> plusieurs langues en effectuant un codage <strong>de</strong><br />

caractère sur 32 bits.<br />

Ultra ATA<br />

Evolution <strong>de</strong> la norme ATA-2 offrant un taux <strong>de</strong> transfert <strong>de</strong> 33 Mo/s<br />

Ultra DMA<br />

Architecture permettant un débit maximal <strong>de</strong> 33 Mo/s (disques durs IDE) ou <strong>de</strong> 66 Mo/s pour la<br />

<strong>de</strong>rnière version<br />

Unité d'allocation<br />

Plus petite partie d'un volume pouvant être attribuée à un élément enregistré<br />

Unité <strong>de</strong> comman<strong>de</strong><br />

L'unité <strong>de</strong> comman<strong>de</strong> est une partie du processeur. Elle gère le flux interne <strong>de</strong> données et<br />

l'exécution <strong>de</strong>s comman<strong>de</strong>s du programme machine<br />

Unité <strong>de</strong> compilation<br />

Un grand système logiciel contient <strong>de</strong> nombreux modules (certains sont d'intérêt général, pouvant être<br />

utilisés par d'autres systèmes également) Une <strong>de</strong> leurs propriétés essentielles est celle d'être compilés<br />

indépendamment. Certains langages renforcent cette caractéristique en introduisant la<br />

compilation séparée". Celle-ci permet <strong>de</strong> compiler en premier, dans un but <strong>de</strong> vérification, les<br />

unités plus abstraites (voir abstrait) et <strong>de</strong> traiter les détails plus tard<br />

Unité <strong>de</strong> sortie<br />

On appelle "unité <strong>de</strong> sortie" tout périphérique <strong>de</strong> sortie d'un ordinateur


Unité logique<br />

Division d'une unité <strong>de</strong> disque dur physique en plusieurs lecteurs séparés, division effectuée par<br />

le système d'exploitation. Chacun <strong>de</strong> ces lecteurs se voit attribuer une lettre. Sous MS-DOS, le<br />

programme FDISK ne permet d'installer <strong>de</strong>s unités logiques que dans la partition étendue du<br />

disque dur<br />

Unité virtuelle<br />

Disque RAM (en effet, la partie <strong>de</strong> la mémoire <strong>de</strong> travail utilisée est représentée par le pilote comme un disque<br />

dur, contrairement à MS-DOS). Les unités virtuelles sont très rapi<strong>de</strong>s, car le PC peut accé<strong>de</strong>r<br />

beaucoup plus vite aux données situées dans la mémoire <strong>de</strong> travail qu'à celles d'un disque dur.<br />

Lorsque l'on travaille avec une unité virtuelle, on doit toujours veiller à ce que les données<br />

mémorisées ne se per<strong>de</strong>nt pas en quittant DOS. En outre, une partie <strong>de</strong> la mémoire <strong>de</strong> travail,<br />

qui pourrait mieux servir avec certaines fonctions du système d'exploitation, est bloquée<br />

UPS<br />

(Français : Alimentation non interruptible)<br />

Unité d'alimentation <strong>de</strong> sauvegar<strong>de</strong> palliant une panne <strong>de</strong> secteur<br />

URI<br />

Indique précisément la position <strong>de</strong> chaque ressource d'Internet, les <strong>de</strong>ux types d'URI sont les<br />

URL et les URN<br />

URL<br />

Adresse Internet exploitée par les navigateurs (Internet Explorer ou Navigator, par exemple). C'est<br />

l'adressage standard <strong>de</strong> n'importe quel document, sur n'importe quel ordinateur local ou ailleurs<br />

dans le WWW, s'effectue avec l'URL.<br />

Structure <strong>de</strong> base d'une URL :protocol://server/directory/document<br />

USB<br />

Une nouvelle norme, <strong>de</strong>stinée à brancher le clavier, <strong>de</strong>s scanners, et d'autres périphériques<br />

lents. Les accessoires à cette norme ne sont pas encore très nombreux. Le débit est <strong>de</strong> 1,5<br />

Mo/s<br />

USB 2<br />

Nouvelle version <strong>de</strong> l'USB développé par Intel permettant un débit <strong>de</strong> 120 à 240 Mbps<br />

VHF<br />

Très haute fréquence.<br />

Virgule flottante<br />

Mo<strong>de</strong> <strong>de</strong> représentation <strong>de</strong>s nombres dans un ordinateur. L'utilisation <strong>de</strong> nombres en virgule<br />

flottante autorise le calcul avec nombres fractionnaires ainsi qu'un intervalle plus étendu <strong>de</strong><br />

valeurs.<br />

Alors que les nombres en virgule fixe ne représentent que <strong>de</strong>s valeurs <strong>de</strong> nombres entiers, les<br />

nombres en virgule flottante se composent <strong>de</strong> trois éléments : la mantisse (m), la base (b) et<br />

l'exposant (a). Ils prennent la forme suivante : m x b ^ a. Les nombres en virgule flottante<br />

peuvent représenter <strong>de</strong>s nombres fractionnaires et <strong>de</strong>s valeurs plus gran<strong>de</strong>s, sans occuper<br />

cependant plus d'espace mémoire que les nombres en virgule fixe.<br />

Virus<br />

Un programme hostile susceptible d'infecter votre ordinateur : dysfonctionnements divers,<br />

effacement du disque dur, etc.<br />

Virus <strong>de</strong> boot<br />

Ce type <strong>de</strong> virus aujourd'hui bien connu <strong>de</strong>s antivirus ne posent plus <strong>de</strong> problèmes particuliers<br />

afin d'être détecté et éradiqué. L'un <strong>de</strong>s plus connu est le virus Michelangelo


VIII – DICTIONNAIRE 227<br />

Virus furtif<br />

Ce virus a la particularité <strong>de</strong> se camoufler au sein du système. Une fois chargé en mémoire, il<br />

fait croire au programme antivirus que les fichiers infestés sont sains. Le meilleur moyen <strong>de</strong> les<br />

détecter est <strong>de</strong> redémarrer l'ordinateur à l'ai<strong>de</strong> d'une disquette <strong>de</strong> boot.<br />

Virus polymorphe<br />

Ce type <strong>de</strong> virus a la particularité <strong>de</strong> changer d'aspect à chaque nouvelle contamination, rendant<br />

sa détection plus difficile par un programme antivirus<br />

Virus <strong>de</strong> macro<br />

Ce type <strong>de</strong> virus se propage au sein <strong>de</strong>s fichiers <strong>de</strong> macro-comman<strong>de</strong>s comme dans Word.<br />

Multi plates-formes, on le trouve aussi bien sur PC que sur Macintosh<br />

Virus <strong>de</strong> partition<br />

Ce type <strong>de</strong> virus est aujourd'hui l'un <strong>de</strong>s plus difficiles à repérer et donc à éliminer à l'ai<strong>de</strong> d'un<br />

programme antivirus. En se logeant dans la table <strong>de</strong> partition, il n'a pas besoin d'un fichier<br />

infesté pour être chargé en mémoire.<br />

Visioconférence<br />

Concept <strong>de</strong> travail entre locuteurs éloignées, réunis « virtuellement » par l'image, le son et le<br />

texte au moyen <strong>de</strong> caméras et protocoles <strong>de</strong> communication. Principe adopté sur Internet grâce<br />

aux protocoles du réseau, qui met en relation visuelle <strong>de</strong> parfaits inconnus, pour le meilleur et le<br />

pire.<br />

VRAM<br />

(Français : Mémoire Vive Vidéo)<br />

Les éléments "VRAM" (abréviation <strong>de</strong> "Vi<strong>de</strong>o-RAM") conviennent particulièrement bien, en<br />

raison <strong>de</strong> leurs ports d'entrée et <strong>de</strong> sortie séparés, à la mémoire graphique d'une carte<br />

graphique. En tant qu'éléments <strong>de</strong> DRAM, il leur faut également un cycle permanent <strong>de</strong><br />

rafraîchissement pour la lecture et la réécriture <strong>de</strong>s informations. Les WRAM (Windows-RAM),<br />

plus récentes, allient les avantages <strong>de</strong>s éléments <strong>de</strong> vRAM à <strong>de</strong>s fonctions supplémentaires<br />

permettant d'utiliser les transformations graphiques d'image.<br />

VRML<br />

Langage <strong>de</strong> création <strong>de</strong>s scènes en trois dimensions sur le Web que vous pouvez afficher si<br />

vous avez installé auparavant le plug-in adéquat (Live 3D par exemple).<br />

WAPI<br />

Interface <strong>de</strong> programmation pour la communication entre programmes<br />

Wavetable<br />

(Français : table d'on<strong>de</strong>s)<br />

Procédé d'acquisition <strong>de</strong> sons relativement récent dans le domaine <strong>de</strong> la carte son.<br />

Contrairement aux sons synthétiques produits par la synthèse FM, cette technologie permet<br />

d'atteindre le niveau acoustique d'instruments <strong>de</strong> musique. Les échantillons audio numérisés<br />

sont placés dans la mémoire <strong>de</strong> la carte son puis, grâce à un composant particulier (par exemple<br />

un OPL 4), ils sont reproduits avec une qualité très proche du son réel.<br />

Wi<strong>de</strong> SCSI<br />

Version améliorée <strong>de</strong> SCSI, permettant <strong>de</strong> connecter <strong>de</strong>s périphériques <strong>de</strong> toutes sortes. Existe<br />

en 16 ou 32 bits.<br />

Winsock<br />

Une API (Application Programming Interface) pour le fonctionnement <strong>de</strong>s applications Internet<br />

dans un environnement Windows.


Winzip<br />

Programme <strong>de</strong> compression <strong>de</strong> fichiers sous Windows.<br />

WRAM<br />

Les "WRAM" récents allient les avantages <strong>de</strong>s éléments VRAM avec ports d'entrée et <strong>de</strong> sortie<br />

séparés à <strong>de</strong>s fonctions supplémentaires permettant d'utiliser <strong>de</strong>s transformations graphiques<br />

d'image. En tant qu'éléments spéciaux <strong>de</strong> DRAM, ils leur faut aussi un cycle <strong>de</strong> rafraîchissement<br />

permanent <strong>de</strong> lecture et <strong>de</strong> réécriture <strong>de</strong>s informations<br />

Xeon<br />

Pentium haut <strong>de</strong> gamme d'Intel. Il est surtout <strong>de</strong>stiné aux serveurs<br />

Xing<br />

La compagnie qui a créé la technologie Streamworks pour transmettre <strong>de</strong> la vidéo en temps réel<br />

à travers l'lnternet :<br />

XMS<br />

La norme "XMS" a été défini en commun par Microsoft, Lotus, AST et Intel. Elle régit la gestion<br />

<strong>de</strong> la mémoire <strong>de</strong> travail au-<strong>de</strong>là <strong>de</strong>s 1024 premiers Ko. La mémoire <strong>de</strong> travail ne peut pas être<br />

adressée au seul MS-DOS.<br />

Ymo<strong>de</strong>m<br />

Protocole <strong>de</strong> communication intégré aux applications <strong>de</strong> communication pour transférer <strong>de</strong>s<br />

fichiers en utilisant une ligne téléphonique et un mo<strong>de</strong>m. Voir Xmo<strong>de</strong>m.<br />

Zmo<strong>de</strong>m<br />

Protocole <strong>de</strong> communication intégré aux applications <strong>de</strong> communication pour transférer <strong>de</strong>s<br />

fichiers en utilisant une ligne téléphonique et un mo<strong>de</strong>m. Voir X et Ymo<strong>de</strong>m.


Pour <strong>de</strong>s raisons <strong>de</strong> lisibilité, il est employé dans cet ouvrage les termes <strong>de</strong><br />

Windows pour Microsoft Windows ®, Word pour Microsoft Word ®, Excel<br />

pour Microsoft Excel ®, Access pour Microsoft Access ®, Powerpoint pour<br />

Microsoft Powerpoint ® , Outlook pour Microsoft Outlook ®, Edge pour<br />

Microsoft Edge ® .<br />

Par ailleurs, toutes les copies d'écrans, images et icones ont été reproduites<br />

avec l'aimable autorisation <strong>de</strong> Microsoft <br />

Tous les efforts ont été faits, et le temps nécessaire consacré, pour que cet ouvrage soit aussi fiable et rigoureux que<br />

possible. Cependant, ni l'auteur, ni l'éditeur ne sauraient être tenus pour responsable <strong>de</strong>s conséquences <strong>de</strong> son utilisation<br />

ou <strong>de</strong>s atteintes au droit <strong>de</strong>s brevets ou <strong>de</strong>s personnes qui pourraient résulter <strong>de</strong> cette utilisation.<br />

Toute reproduction, même partielle <strong>de</strong> cet ouvrage, et par quelque procédé que ce soit, est interdite sans autorisation<br />

préalable <strong>de</strong> iOs (acquisition <strong>de</strong> licences) et passible d'une peine prévue par la loi sur la protection <strong>de</strong>s droits d'auteur.


Dépôt légal 2ème Trim 2022<br />

Isbn 978-2-491902-17-9<br />

Ce support <strong>de</strong> <strong>cours</strong> est <strong>de</strong>stiné à accompagner votre formation dans l'apprentissage<br />

<strong>de</strong> la <strong>maintenance</strong> d'un <strong>pc</strong> sous Windows. Il n'a ni la prétention, ni l'objectif d'être<br />

exhaustif mais plutôt <strong>de</strong> donner une compréhension synthétique du fonctionnement<br />

d'un <strong>micro</strong>-ordinateur sous Windows afin <strong>de</strong> vous rendre autonome dans son<br />

exploitation et sa <strong>maintenance</strong>.<br />

Il fait le point à sa date <strong>de</strong> parution <strong>de</strong>s <strong>de</strong>rnières technologies utilisées, <strong>de</strong>s <strong>de</strong>rnières<br />

normes validées et <strong>de</strong>s <strong>de</strong>rniers composants disponibles. Il appréhen<strong>de</strong> aussi la<br />

configuration <strong>de</strong> Windows 10 et l'utilisation <strong>de</strong> Powershell.<br />

C'est un manuel d'apprentissage organisé sous forme <strong>de</strong> leçons, ou chaque brique <strong>de</strong><br />

connaissance acquise est réutilisée dans les leçons suivantes et avec <strong>de</strong>s exercices à<br />

réaliser pour bien mémoriser les actions. Il peut être utilisé en auto-formation mais il est<br />

le support idéal d'une formation menée par un formateur.<br />

Des emplacements sont prévus sur chaque page pour prendre <strong>de</strong>s notes afin <strong>de</strong> bien<br />

se souvenir <strong>de</strong>s recommandations <strong>de</strong> votre formateur.<br />

Existent aussi<br />

Réseaux informatiques, Power Bi Saas et Mobiles<br />

Windows 10 Utilisation, personnalisation, Windows 10 Configuration avancée<br />

Word 2019 1 er niveau faire un document, 2 ème niveau écrire un livre, un rapport, 2ème<br />

niveau le modèle, le mailing<br />

Excel 2019 1 er niveau faire un tableau, 2 ème niveau tableaux croisés, base <strong>de</strong> données,<br />

2 ème niveau graphiques, consolidation, plan, solveur, fonctions financières<br />

Access 2019 1 er niveau utiliser et interroger une base, 2 ème niveau créer une application<br />

Powerpoint 2019, Faire une présentation<br />

Outlook 2019, Messagerie, calendrier, contacts…<br />

Joomla 3, Faire un site Web<br />

Windows 10, 2 ème niveau configuration<br />

Word 2016, 1 er niveau utilisation, 2 ème niveau document long, 2 ème niveau publipostage<br />

Excel 2016, 1 er niveau utilisation, 2 ème niveau plan-liaisons-solveur-fonctions -macros,<br />

2 ème niveau base <strong>de</strong> données-hypothèses-fonctions<br />

Access 2016, 1 er niveau utilisation, 2 ème niveau programmation<br />

Outlook 2016, Powerpoint 2016<br />

Maintenance <strong>micro</strong>, Réseaux …<br />

Versions Office 2013 et Office 2010 encore disponibles<br />

Versions Office 2021 / 365 ( 2 ème niveau...) en <strong>cours</strong><br />

Sage i7 Paie & Rh V9, Sage i7 Comptabilité V8.x, Sage i7 Gestion commerciale V8.x<br />

129 rue du Maréchal Foch<br />

14750 Saint Aubin sur Mer<br />

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