AURORE VARELAHaineSentiment qui mène à la merDéteste, déteste même la torture de l’existence, à moi qui doit toutsupporter.La haine, un sentiment qui mène à la mer, dérangeant et sans raisond'être. Plus avec quelle raison, quand il s'agit de la lumière qu'ils nevoient pas.Je déteste la sombre source du puits bleu, combien je suis brute, justepour te voir, si concentrée sur le mal. Je déteste qu'elle coule dansmes veines, qu'elle sorte de mes pores. Je déteste qu'elle entre etquitte mon cœur, qu'elle ne me laisse pas dormir en paix, et pourtantje suis ce que je suis.Haine, perturbation infinie que pour quelle raison il est eu. La haine,le mauvais pressentiment qui laisse sa marque, dont je veuxm'échapper, qui ne me laisse pas seul. De la haine, un sentiment decolère, de désolation, du désir infini de voir comment l'être détestédisparaît, et il y en a tant ... tant d'êtres qui se détestent, et pour quelleraison ... La haine qui enlève la joie, associe les idées et demande:parce que?La haine, que ce soit comme un masque, reflétée sur le visage, quijaillit sur les joues quand tout sort. Je déteste ne pas vouloir mourir,mais ma mort est désirée. Ceux que je déteste le veulent, qui le saventéternellement. Je ne répondrai jamais pour eux, pour moi ils ne sontrien ... qu'ils s'enfoncent dans un sable sans soleil.Septième édition | 27
Bien que… après tant d'années, je pense que ma chance n'a pas étémauvaise. Tous les maux qui sont venus étaient pour de bon.Ne détestez pas, n'aimez pas, ne ressentez pas. Aimez simplement lajustice, le soleil et votre foi.28 | DUMAS de DEMAIN