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Des-pions-sur-l_echiquier

Voici enfin la traduction française de «Pawns in the Game» qui paraît dans notre pays avec plus de quarante ans de retard... Son auteur, le Commodore William Guy Carr (1895-1959), de la Marine Royale Canadienne [RCN Æ Ret’d], fut longtemps membré des Services de Renseignements et se consacra à partir de 1931, sauf pendant l’interruption de la guerre, à des tournées de conférences destinées à faire connaître la «Conspiration Internationale». Il apporte bon nombre de preuves à l’appui de ses dires et des documents de première main, la plupart secrets et inédits. L’ouvrage que vous allez lire contient le récit de faits historiques échelonnés sur les trois derniers siècles, faits qui ne sont révélés nulle part ailleurs, sauf en de rares et fragmentaires exceptions. Au cours des dix-huit chapitres de son livre, William Guy Carr nous dévoile tout le programme de domination universelle forgé par les «Illumines» — «Ceux qui dé- tiennent la Lumière» — nom du petit groupe d’une trentaine d’hommes environ, or- ganisé de 1770 à 1776 par Adam Weishaupt, un luciférien de la plus belle espèce. Les «Illumines», appellation générique, historiquement exacte, s’applique en fait de nos jours à leurs descendants spirituels et charnels, les «Illuminati», chefs actuels, secrets et réels de la Subversion Mondiale, dont la Franc-Maçonnerie est l’élé- ment le plus efficace, et des Forces Occultes dont le Communisme est de loin l’élément le plus redoutable. C’est ce petit groupe de hauts subversifs qui tend à former un Gouvernement Mondial et travaille actuellement d’arrache-pied à la constitution des États-Unis d’Europe, piédestal obligatoire de la République Universelle d’après un «document controversé capital», aujourd’hui censuré... W.G. Carr veut nous dévoiler les machinations occultes destinées à provoquer les diverses révolutions et guerres, qui, pour répondre aux projets des Illuminati, ont en- sanglanté le inonde depuis 1773 et il présente les preuves à l’appui de sa thèse. Pour consolider leur pouvoir et asseoir leur puissance, les Illuminati ne reculent devant rien : spéculations financières gigantesques, sociétés secrètes, infiltrations d’agents à tous les niveaux, formation de groupes et d’agents révolutionnaires, mafias, assassinats, campagnes de diffamation, chantage, corruption, etc.

Voici enfin la traduction française de «Pawns in the Game» qui paraît dans notre
pays avec plus de quarante ans de retard...
Son auteur, le Commodore William Guy Carr (1895-1959), de la Marine Royale
Canadienne [RCN Æ Ret’d], fut longtemps membré des Services de Renseignements
et se consacra à partir de 1931, sauf pendant l’interruption de la guerre, à des tournées
de conférences destinées à faire connaître la «Conspiration Internationale». Il apporte
bon nombre de preuves à l’appui de ses dires et des documents de première main, la
plupart secrets et inédits.
L’ouvrage que vous allez lire contient le récit de faits historiques échelonnés sur
les trois derniers siècles, faits qui ne sont révélés nulle part ailleurs, sauf en de rares et
fragmentaires exceptions.
Au cours des dix-huit chapitres de son livre, William Guy Carr nous dévoile tout
le programme de domination universelle forgé par les «Illumines» — «Ceux qui dé-
tiennent la Lumière» — nom du petit groupe d’une trentaine d’hommes environ, or-
ganisé de 1770 à 1776 par Adam Weishaupt, un luciférien de la plus belle espèce.
Les «Illumines», appellation générique, historiquement exacte, s’applique en
fait de nos jours à leurs descendants spirituels et charnels, les «Illuminati», chefs
actuels, secrets et réels de la Subversion Mondiale, dont la Franc-Maçonnerie est l’élé-
ment le plus efficace, et des Forces Occultes dont le Communisme est de loin l’élément
le plus redoutable.
C’est ce petit groupe de hauts subversifs qui tend à former un Gouvernement
Mondial et travaille actuellement d’arrache-pied à la constitution des États-Unis
d’Europe, piédestal obligatoire de la République Universelle d’après un «document
controversé capital», aujourd’hui censuré...
W.G. Carr veut nous dévoiler les machinations occultes destinées à provoquer les
diverses révolutions et guerres, qui, pour répondre aux projets des Illuminati, ont en-
sanglanté le inonde depuis 1773 et il présente les preuves à l’appui de sa thèse.
Pour consolider leur pouvoir et asseoir leur puissance, les Illuminati ne reculent
devant rien : spéculations financières gigantesques, sociétés secrètes, infiltrations
d’agents à tous les niveaux, formation de groupes et d’agents révolutionnaires, mafias,
assassinats, campagnes de diffamation, chantage, corruption, etc.

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des pions sur l’échiquier

M. Franklin révéla la cause originelle de la Révolution lorsqu’il déclara : « Les colonies

auraient volontiers supporté un petit impôt sur le thé ou sur d’autres produits si

l’Angleterre ne leur avait pas retiré leur argent, ce qui engendra le chômage et l’insatisfaction

».

L’insatisfaction devint générale, mais bien peu de coloniaux réalisèrent que l’imposition

et les autres sanctions économiques résultaient des manigances d’un petit

groupe de Gangsters Internationaux qui avait réussi à obtenir le contrôle du Trésor

Britannique après avoir obtenu celui de la Banque d’Angleterre. Nous avons déjà montré

comment ils firent grimper la dette nationale de la Grande-Bretagne de £ 1,250.000

en 1694, à £ 16.000.000 en 1698, et l’accrurent progressivement jusqu’à £ 885.000.000

en 1815 et £ 22.503.532.372 en 1945.

Le 19 Avril 1775 eurent lieu les premiers affrontements armés entre les

Britanniques et les coloniaux à Lexington puis à Concord. Le 10 Mai, le deuxième

Congrès Continental se réunit à Philadelphie et George Washington fut placé à la tête

des Forces Navales et Militaires. Il en prit le commandement à Cambridge et le 4 Juillet

1776, le Congrès adopta la Déclaration d’Indépendance.

Au cours des sept années qui suivirent, les prêteurs d’argent Internationaux préconisèrent

et financèrent la Guerre Coloniale. Les Rothschild amassèrent un argent

considérable en fournissant aux Britanniques des soldats allemands de Hesse pour

combattre les colons. Le Britannique n’avait aucune animosité envers ses « cousins »

américains. Il sympathisa secrètement avec eux [79] .

Le 19 Octobre 1781 le Commandant-en-chef Britannique, le Général Cornwallis,

capitulait avec son année, y compris ce qui restait des mercenaires de Hesse.

Le 3 Septembre 1783, le Traité de paix de Paris reconnaissait l’Indépendance

des États-Unis. Le seul vrai perdant, c’était le peuple britannique. On avait

terriblement accru sa dette nationale et les banquiers internationaux (qui

étaient en réalité le Pouvoir Occulte derrière le Mouvement Révolutionnaire

Mondial) avaient réussi la première étape du plan à longue échéance qui

nécessitait la liquidation de l’Empire Britanniques [80] .

Les agents des Banquiers Internationaux travaillèrent avec application pour empêcher

l’unité de se faire. En maintenant les différents États de l’Amérique dans la

désunion, il était beaucoup plus facile de les exploiter. Afin de prouver l’immixtion

continuelle des prêteurs d’argent étrangers dans les affaires de n’importe quelle nation,

nous citerons simplement le fait suivant : Les Pères fondateurs des États-Unis réunis à

Philadelphie en 1787 parlèrent de l’importance d’instituer une législation qui les protégerait

de l’exploitation des Banquiers Internationaux.

79 — Le Comte de Chatham et son fils William Pitt (1759-1806) dénoncèrent tous les deux la

politique des Banquiers Internationaux vis-à-vis des colonies avant 1783. Le Roi George III

choisit le jeune William Pitt et en fit son Premier ministre parce qu’il l’avait convaincu en lui

expliquant que les prêteurs d’argent entraînaient les pays Européens dans des guerres afin de

servir leurs propres intérêts (n. d. a.).

80 — Depuis cette époque, les progrès qu’ils ont fait pour accomplir cette partie-de leurs plans

ont été gigantesques. Jefferson et John Adams (parent de Roosevelt) étaient devenus tous deux

de fervents Illuministes. Ce qui expliquerait la politique de Roosevelt. (n. d. a.).

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