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Les joueurs | Die Spieler Juan Monaco Né le 29 mars 1984 à Tandil en Argentine Professionnel depuis 2002 Taille 185 cm Poids 81 kg Réside à Buenos Aires en Argentine Droitier, revers à deux mains Classement ATP actuel 97 Meilleur classement ATP 10 (23 juillet 2012) Titres ATP 9 en simple (Kitzbühel, Poertschach & Buenos Aires 2007, Kuala Lumpur, Hamburg, Houston & Vina del Mar 2012, Düsseldorf 2013, Houston <strong>2016</strong>), 3 en double; 12 autres finales en simple Bilan à <strong>Gstaad</strong> 5 victoires, 2 défaites (finaliste 2014); 1 fois demi-finaliste du double (2014) surface de prédilection, il a atteint les huitièmes de finale de Roland- Garros à cinq reprises, mais sans jamais se qualifier pour un quart ! Monaco: la terre avant tout… Pour Juan Monaco, le constat est légèrement différent. L’Argentin, né à Tandil et qui comptabilise près de 600 matches ATP, a remporté 9 titres, dont 8 sur terre battue où il disputé 11 de ses 12 finales. Hormis cette prédilection pour la terre ocre, les blessures ont aussi passablement accompagné «Pico». En raison de pépins de santé, sa carrière a été entrecoupée de bon nombre de pauses. Il s’est ainsi gravement amoché une cheville en 2012, blessé au poignet l’an passé et a souffert de douleurs au dos dernièrement. Au classement ATP, il a même chuté au 148 e rang le 4 avril dernier, alors qu’il naviguait encore autour de la 35 e place il y a un an. Au début juin, il portait le matricule 94. Pour retrouver trace de l’Argentin dans le Top 15 mondial, il faut toutefois remonter au 16 avril 2012. Il y avait alors passé 45 semaines, dont un peu plus d’un mois à la 10 e place, son meilleur classement. Monaco a sans conteste les arguments pour rivaliser avec une bonne partie des joueurs du circuit lorsqu’il est en pleine possession de ses moyens. Pour preuve, sa victoire cette année à Houston, un titre glané trois ans après celui de Düsseldorf. Auf Stufe Grand Slam schied Fernando Verdasco grösstenteils vorzeitig aus. Sein bestes Resultat geht auf das Australian <strong>Open</strong> 2009 zurück, als er die Halbfinals erreichte – und Rafael Nadal alles abforderte. Eine total überraschende späte Revanche dafür gelang ihm im letzten Januar, als er den Landsmann aus Mallorca in der 1. Runde aus dem Rennen warf. In Roland-Garros auf seinem Lieblingsbelag Sand erreichte er fünfmal die Achtelfinals, kam indes nie über dieses Stadium hinaus. Monaco: Spezielle Stärke auf Sand Der in Tandil geborene Argentinier Juan Monaco hat acht seiner neun Einzel-Titel auf Sand geholt. Auch elf der zwölf verlorenen Titelkämpfe fanden auf seiner Lieblingsunterlage statt. Neben diesem besonderen Merkmal begleiten Verletzungen die Karriere des schlaksigen Rechtshänders. Ausgerechnet im 2012, als er vier Titel geholt hatte und kurz auf ATP-Rang 10 gestiegen war, erlitt er eine schwere Knöchelblessur. Letztes Jahr bereitete das Handgelenk Probleme, jüngst schmerzte der Rücken. Im ATP-Ranking stürzte er per 4. April <strong>2016</strong> auf Rang 148 ab, nachdem er ein Jahr zuvor noch um Position 35 gependelt hatte. Inzwischen ist er wieder unter den Top-100 und hat durchaus die spielerischen Mittel, um in einem 250-er Turnier Spuren zu hinterlassen. Das hat er im Frühjahr mit dem Titelgewinn in Houston bewiesen, sein erster Turniersieg seit Düsseldorf 2013. In <strong>Gstaad</strong> stiess er einmal, 2014, in den Final vor. Der Spanier Pablo Andujar erwies sich damals mit einem 6:3, 7:5 als stärker. Auch wenn Fernando Verdasco und Juan Monaco mit besseren Ergebnissen im Gepäck anreisen als in den letzten Jahren, sind sie vielleicht nicht die Topfavoriten. Aber in guter Form und mit dem Selbstvertrauen der diesjährigen Turniersiege ist ihnen einiges zuzutrauen. Auf Sand fühlen sie sich immer wohl. Mit der Höhenlage kommen sie zurecht. Neben den <strong>Gstaad</strong>er Finals haben beide auch Titelkämpfe in Kitzbühel in ihren Bilanzen. Patrick Andrey L’Argentin qui réside à Buenos Aires, après avoir notamment vécu trois ans à Barcelone, a aussi échoué en finale du tournoi de <strong>Gstaad</strong>. C’était en 2014, et Pablo Andujar l’avait dominé 6-3 7-5. A Roland- Garros, où il a disputé des huitièmes de finale en 2007 et 2012, Monaco a subi voici quelques semaines la loi de David Ferrer, tête de série numéro 11, en quatre manches. Fernando Verdasco et Juan Monaco arrivent à <strong>Gstaad</strong> avec de meilleurs résultats que lors des précédentes saisons et ils ont chacun glané un titre depuis le début de l’année. Ils ne seront peut-être pas parmi les grands favoris de la semaine mais, en bonne forme et en confiance, ils peuvent poser des tourments à tous les joueurs présents. Et l’opportunité d’accrocher un nouveau titre à leur palmarès, qui plus est sur terre battue, ne peut que leur donner envie de s’adapter au plus vite aux conditions d’altitude particulières du tournoi de l’Oberland bernois. Juan Monaco voici deux ans à <strong>Gstaad</strong> après sa finale perdue face à l’Espagnol Pablo Andujar. Patrick Andrey 31