Wir behalten einen kühlen Unsere Internetagentur hat für alles die richtige Weblösung. STÄMPFLI INTERNET Ihre Agentur für Websites, E-Shops und Online-Marketing. staempfli-internet.ch
Les joueurs | Die Spieler et avec ses armes – qui sont aussi belles à voir – que le résident de Neuchâtel a fait son trou. Une génération de malades ! Arrivé au moins une fois en deuxième semaine de tous les tournois du Grand Chelem et présent au Masters de Shanghai en 2008, «Gilou» aurait même mérité d’occuper un espace plus large sur le devant de la scène. Mais en plus de se voir accompagné par trois compatriotes solides, il est tombé en pleine période du «Big Four». Un malheur ? «Non, nous avait-il répondu l’automne dernier. Je constate juste qu’avec Roger, Nole, Rafa et Andy, nous sommes devant une génération de «malades». Si nous autres n’avons pas davantage gagné, avec le niveau de jeu qui est ou qui a été le nôtre ces dernières années, c’est uniquement à cause de cela. A d’autres époques, nous aurions tous gagné bien plus de trophées que ceux que nous comptons aujourd’hui à notre palmarès. A chaque fois qu’on a eu des occasions, nous sommes tombés sur l’un de ces quatre gars-là… Inlassablement.» De sa voix ne se dégageait alors pas la moindre once d’amertume. Juste de l’admiration pour ce qui se fait au sommet du jeu. Lauréat de 11 titres dans sa carrière (le premier à Marseille en 2007, le dernier au même endroit huit ans plus tard), Gilles Simon (qui fêtera ses 32 ans en décembre prochain) ne cache pas avoir encore beaucoup d’envie de bien faire. Un appétit d’ogre malgré son poids plume. «Je cherche encore à réaliser des choses que je n’ai pas encore faites dans ma carrière», confie-t-il. Gagner à <strong>Gstaad</strong>, par exemple, ne serait pas malvenu. Même si la terre battue n’est pas sa surface de prédilection, il sait que le décor alpestre et les conditions pourraient le booster au cœur d’un été bien rempli. Défait d’entrée il y a deux ans par Pablo Andujar (abandon), le Niçois a une revanche à prendre avec l’Oberland. Réussir en Suisse lui tiendrait d’ailleurs particulièrement à cœur. Installé depuis plusieurs années déjà sur les bords du lac de Neuchâtel, le trentenaire apprécie la vie ici. «La Suisse, c’est propre, y a rien qui dépasse, sourit-il. ça peut avoir un côté chiant, mais moi ça me plaît.» Le plaisir des JO De fait, il se verrait bien comme étant… la tête qui dépasse ces prochains jours dans le ciel de <strong>Gstaad</strong>. Pour sa confiance, pas au mieux cette saison, réussir quelque chose sur la brique pilée bernoise serait la meilleure manière d’embrayer sur les enjeux de En 2008, Gilles Simon (tout à gauche) s’est qualifié pour le Masters. On le voit ici avec ici avec Andy Roddick, Andy Murray et Roger Federer. Gilles Simon ist eine sehr sympathische, intelligente und gelassene Persönlichkeit. Als Zeitgenosse von Richard Gasquet, Gaël Monfils und Jo-Wilfried Tsonga war es für ihn nie einfach, sich einen Namen zu machen. Er verfügt nicht über eine Rückhand vom Ruf Gasquets, über das Showtalent und die Athletik von Monfils oder die rohe Kraft von Tsonga. Aber es ist ihm gelungen, sich mit seinen – auch sehr sehenswerten – Stärken seinen Platz zu erobern. Gilles Simon hat an allen vier Grand Slams mindestens einmal die zweite Woche erreicht und qualifizierte sich 2008 für das ATP-Finale in Shanghai. Etwas mehr Rampenlicht hätte er durchaus verdient gehabt. Aber nicht nur gehört er einer Generation spektakulärer Landsleute an, sondern auch der Zeit der „Big four“ Federer, Nadal, Djokovic, Murray. Pech für ihn? „Nein“, hat er im letzten Herbst geantwortet, „ich stelle einfach fest, dass mit Roger, Nole, Rafa und Andy eine Generation ‘Kranker’ da ist. In einer anderen Epoche hätte ich, wie viele andere auch, viel mehr Trophäen gewinnen können als ich nun besitze!“ Gilles Simon sagt es ohne jede Bitterkeit in der Stimme. Er bewundert die, die an der Sptze stehen. Er selbst hat elf Titel geholt und macht kein Geheimnis daraus, dass es mehr werden dürfen: „Ich versuche noch Dinge zu erreichen, die ich in meiner Karriere bisher nicht geschafft habe.“ Mit <strong>Gstaad</strong> eine Rechnung offen In <strong>Gstaad</strong> zu triumphieren wäre beispielsweise nicht schlecht. Auch wenn Sand nicht sein bevorzugtes Terrain ist, so weiss er, dass die schnellen Bedingungen in der Höhe ihn weit tragen könnten. Nach der Startniederlage vor zwei Jahren gegen Pablo Andujar (Aufgabe) hat er mit dem Berner Oberland noch eine Rechnung offen. In der Schweiz zu gewinnen würde dem 31-jährigen auch deshalb viel bedeuten, weil er seit Jahren in Neuenburg wohnt und es ihm hier gefällt. Ein Erfolg in <strong>Gstaad</strong> wäre auch das beste Mittel, um für die Fortsetzung in die Gänge zu kommen. Die Spiele in Rio reizen Gilles Simon ganz besonders. In Peking 2008 und in London 2012 jeweils in den Achtelfinals ausgeschieden, träumt „Gilou“ davon, auf brasilianischem Hartplatz zu überraschen. Er schätzt A l’<strong>Open</strong> d’Australie en janvier dernier, le Français a longtemps fait trembler Novak Djokovic. 19