18-02-05 DP expo Solomon Rossine
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S o l o m o n<br />
ROSSINE<br />
ОстХолокост<br />
OSTHOLOCAUSTE<br />
Dossier de presse
Sommaire<br />
Dossier de presse<br />
Févier 20<strong>18</strong><br />
OstHolocauste en avant-première page 3<br />
Une double <strong>expo</strong>sition : au campus III et au campus I page 3<br />
<strong>Solomon</strong> <strong>Rossine</strong> page 4<br />
Ostholocauste : La Shoah par balles page 6<br />
Art[Ifs]Acts page 7<br />
Infos pratiques page 8<br />
Partenaires page 9<br />
1
Dossier de presse<br />
Févier 20<strong>18</strong><br />
<strong>Solomon</strong> <strong>Rossine</strong><br />
OSTHOLOCAUSTE<br />
Les enfants que personne n’a pleurés<br />
Huile sur toile 117 x 204<br />
2
<strong>Solomon</strong> <strong>Rossine</strong> au campus III de l’IUT de Caen<br />
OSTHOLOCAUSTE en avant-première<br />
Dossier de presse<br />
Févier 20<strong>18</strong><br />
Pour la 48 ème édition d’Art[Ifs]Acts, les étudiants du département Info-Com de l’IUT et l’Université de Caen Normandie<br />
ont le plaisir d’accueillir pour une double <strong>expo</strong>sition le peintre russe de renom international <strong>Solomon</strong> <strong>Rossine</strong>, qui dévoile<br />
à cette occasion, « OstHolocauste », son tout dernier travail, sur le thème de la Shoah par balles.<br />
Les toiles de <strong>Rossine</strong>, et les dessins préparatoires, seront présentés pour la première fois au public avant de gagner les<br />
cimaises des galeries ou des musées de Moscou, Paris, Londres, Genève et autres lieux de prestige.<br />
Il s’agit là d’un événement d’une importance exceptionnelle, à la fois pour les projets Art[Ifs]Acts et pour l’Université de<br />
Caen Normandie qui recevra à cette occasion de nombreuse personnalités lors des deux conférences-débats et des deux<br />
vernissages organisés les 13 (campus III, à Ifs) et 14 février (Aula Magna, campus I).<br />
Une double <strong>expo</strong>sition au campus III et au campus I<br />
Si les <strong>expo</strong>sitions organisées depuis maintenant seize ans dans le cadres des projets Art[Ifs]Acts se déroulent habituellement<br />
dans les locaux du campus III de l’IUT de Caen, cette quarante-huitième édition constitue un temps fort tout particulier, eu<br />
égard au renom et à la stature internationale de <strong>Solomon</strong> <strong>Rossine</strong> (cf. p.4). L’université de Caen Normandie, en la personne<br />
de son Président M. Pierre Denise et avec le relai de la Vice-Présidente chargée de la culture, Mme Chantal Meyer-<br />
Plantureux ont tenu à donner tout son lustre à l’événement en permettant aux étudiants de déployer l’accrochage de<br />
« OstHolocauste » sur deux sites complémentaires : au campus III (à IFS) et à l’Aula Magna du campus I (Esplanade de la<br />
Paix).<br />
Mme Emmanuelle Delapierrre, Directrice du Musée des Beaux Arts de Caen s'est associée à la manifestation et participera<br />
à la conférence-débat du mercredi 14 (campus I) ainsi que Didier Benesteau et Robert Uriac, deux critiques d’art qui ont<br />
accompagné <strong>Rossine</strong> depuis son arrivée en Bretagne en 1990.<br />
Il s’agit donc d’une seule et même <strong>expo</strong>sition présentée simultanément en deux parties.<br />
Du 13 février au 2 mars 20<strong>18</strong> :<br />
Exposition à l'IUT de Caen, au campus III, 8 rue Anton Tchekhov 14123 IFS : Essentiellement des dessins aquarellés<br />
et quelques toiles de moyenne dimension.<br />
Conférence-débat le mardi 13 février à <strong>18</strong>h, en présence de l’artiste et de Glacha <strong>Rossine</strong>, sa fille et interprète (dans<br />
l’amphithéâtre du campus 3).<br />
Vernissage à 19h.<br />
Ouvert au public du 13 février au 2 mars 20<strong>18</strong>, du lundi au vendredi, 9h00 - <strong>18</strong>h.<br />
Entrée libre et gratuite.<br />
Du 14 février au 17 février 20<strong>18</strong> :<br />
Seconde partie de l’<strong>expo</strong>sition, à l’Aula Magna, Campus I, Esplanade de la paix 14 000 CAEN : une trentaine de<br />
grandes toiles.<br />
Accueil : mercredi 14 février à 19h.<br />
Table ronde à 20h dans l’amphithéâtre Pierre Daure, animée par Chantal-Meyer-Plantureux, Emmanuelle Delapierre<br />
ainsi que par deux critiques d’art et un historien.<br />
Vernissage et Cocktail à 21h.<br />
Ouvert au public du mardi 13 au samedi 17 février. Mardi-vendredi de 11h30 à <strong>18</strong>h. Samedi 10h-<strong>18</strong>h.<br />
Entrée libre et gratuite. Après le 17 février, les toiles rejoindront l’<strong>expo</strong>sition des dessins préparatoires au campus III.<br />
Une interview filmée de <strong>Solomon</strong> <strong>Rossine</strong>, réalisée par les étudiants d’Info-Com,est en cours de montage et sera<br />
projetée à cette occasion. Elle sera ensuite disponible sur le site d’Art[Ifs]Acts : http://www.iutc3.unicaen.fr/<strong>expo</strong><br />
<strong>Rossine</strong> à "Mercredi-Midi-Musée" : 14 février 13h.<br />
<strong>Solomon</strong> <strong>Rossine</strong> se prêtera par ailleurs à une visite guidée organisée par Emmanuelle Delapierreau au Musée des Beaux<br />
Arts de Caen dans le cadre des rencontres Mercredi Midi Musée. Il commentera à cette occasion une dizaine de toiles<br />
choisies parmi les collections du musée en présence d’une trentaine de personnes. Visite proposée à un public restreint (30<br />
places sur inscription préalable au musée).<br />
3
Dossier de presse<br />
Févier 20<strong>18</strong><br />
<strong>Solomon</strong> <strong>Rossine</strong><br />
<strong>Solomon</strong> <strong>Rossine</strong> est un artiste peintre russe juif né le 26 avril 1937 en Biélorussie à Gomel. En août 1941, alors qu’il n’a<br />
que quatre ans, il est contraint de fuir avec ses parents les troupes nazies arrivées dans son<br />
village. La famille se réfugie en Oural. Ses grands-parents, restés sur place, sont exécutés<br />
par les nazis dans les jours qui suivent. Un trauma, augmenté de tous les massacres qui<br />
suivront et qui le poursuivront toute sa vie. C'est, bien plus tard, l'origine de l'<strong>expo</strong>sition<br />
"OstHaulocauste"<br />
En 1954, à l'âge de 17 ans, <strong>Solomon</strong> <strong>Rossine</strong> s'affranchit du foyer familial pour partir étudier<br />
successivement dans deux grandes écoles d'art et d'arts appliqués : l'Institut Moukhina de<br />
Leningrad et l'Institut Stroganov de Moscou. Il y apprend toutes les techniques de<br />
l'expression graphique et plasticienne et s'y forge une idée de sa propre démarche artistique,<br />
libre et insoumise. De 1966 à 1989, <strong>Rossine</strong> parcourt la Russie à la recherche d’inspiration lors de voyages et de rencontres<br />
qui le mèneront du nord du pays aux rives du lac Baïkal, où il s'immerge parmi les populations bouriates et mongoles. Il<br />
gagne sa vie comme professeur de dessin et, plus tard, comme peintre décorateur, tout en menant plus ou moins secrètement<br />
ses recherches picturales en totale rupture avec l'art officiel et le réalisme socialiste.<br />
Le réalisme socialiste est un courant artistique qui<br />
nait en URSS dans les années 1930. Son but est de<br />
représenter le pouvoir communiste sous son<br />
meilleur jour. Les œuvres produites à l’époque sont<br />
monumentales et grandioses afin de représenter<br />
l’expansion de l’économie socialiste. Toute autre<br />
forme d’art est considérée comme « formaliste », et<br />
est donc rejetée par la sphère culturelle officielle.<br />
Peindre différemment que ce qu’exige le pouvoir à<br />
l’époque revient donc à s’<strong>expo</strong>ser à des poursuites,<br />
et même à mettre sa vie en jeu.<br />
singulier et personnel, s'apparente aux grands courants de l'expressionnisme.<br />
En 1990, alors que l'URSS disparait en tant que régime,<br />
<strong>Rossine</strong> s’installe à Lannion, en Bretagne pour y poursuivre son<br />
œuvre. Il enchaîne les <strong>expo</strong>sitions aux quatre coins du monde, avec<br />
des collections de toiles aux thèmes variés et marquants tels que la<br />
misère, les banlieues, la vie simple ou encore les tziganes. En France,<br />
<strong>Rossine</strong> <strong>expo</strong>se à Paris -le Musée Beaubourg lui consacre un film -<br />
mais aussi dans les villes de l'ouest, comme par exemple à Caen, à<br />
l'Abbaye aux Dames en 2000, où il présente une suite de toiles<br />
témoignant des ses rencontres. Un livre "<strong>Solomon</strong> <strong>Rossine</strong> Vue sur<br />
kolkhoze d'un satellite" est publiée à cette occasion par le Conseil<br />
régional de Basse Normandie. L'art de <strong>Rossine</strong>, bien que tout à fait<br />
L’expressionnisme est une réaction contre la société, né au début du XXe siècle. Ce courant<br />
artistique est répandu en Europe du nord, et particulièrement en Allemagne. Les œuvres<br />
expressionnistes sont une projection des sentiments, souvent sombres et angoissants, une<br />
vision pessimiste et symbolique. Les expressionnistes sont souvent des artistes isolés, et<br />
rompent avec l’impressionnisme en utilisant des couleurs plus vives. « Ce courant est<br />
également condamné par le régime nazi qui le considérait comme un « art dégénéré » ».<br />
<strong>Rossine</strong> a passé quatre ans à concevoir et réaliser ses productions sur la Shoah<br />
par balles qui a bouleversé son enfance et sa vie. Il travaille à partir d'une documentation<br />
très abondante, étudie des photographies, des témoignages recueillis auprès des Juifs et<br />
Allemands, lit des livres, et regarde des films sur la shoah par balles. Au terme de ce<br />
parcours, ce seront 32 tableaux et les dessins préparatoires d'OstHolocauste qui sont<br />
présentés pour la première fois en public à Caen par le groupe Art[Ifs]Acts et l'université<br />
de Caen. Un travail qu'il mène à son terme dans les affres de la mémoire et les visions<br />
du cauchemar.<br />
« Je souffre, je souffre, je souffre, je souffre. Je souffre au quotidien comme si ça se passait avec moi et comme-ci ça se<br />
passait à peine hier. Hier encore je pleurais en lisant des choses sur ce thème. »<br />
<strong>Rossine</strong>, interview filmé, Lannion, décembre 2017<br />
4
Dossier de presse<br />
Févier 20<strong>18</strong><br />
Glacha <strong>Rossine</strong>, la fille de <strong>Solomon</strong> <strong>Rossine</strong>, donne des précisions sur le projet dans une lettre adressée à la rédaction<br />
de France Inter :<br />
« Il y a trois ans, après de longues années de réflexions, de préparatifs, de gestation d’idée, <strong>Solomon</strong> <strong>Rossine</strong> a entamé une<br />
série de peintures sur le thème d’Holocauste Ost, c’est-à-dire la Shoah par balle en Europe de l’Est, principalement en<br />
Russie, en Ukraine, en Lettonie et Lituanie.<br />
Pendant plus d’un an, tout au long de son travail sur ce thème, <strong>Rossine</strong> a vécu dans des photos, des témoignages juifs et<br />
allemands, des livres documentaires, des films sur cet Holocauste par balle. Pendant plus d’un an il a vécu dans l’enfer du<br />
désespoir et de la mort des millions d’innocents, pendant plus d’un an il créait sa peinture à travers cette souffrance qu’il<br />
partageait. … Il a dû arrêter temporairement le travail sur le sujet à cause de l’impossibilité de supporter cette interminable<br />
souffrance, de l’impossibilité de rester continuellement dans ce sombre monde du désespoir et de l’horreur.<br />
Récemment <strong>Rossine</strong> a repris et finalement terminé son travail sur ce thème. OstHolocauste est consacré à l’extermination<br />
des juifs par balles en Europe de l’Est. C’est le témoignage du fait que les populations locales refusaient d’aider les juifs.<br />
Les juifs furent dénoncés et livrés aux allemands, à la mort certaine. Les locaux participaient également aux violences<br />
commises contre les juifs : les coups, les viols, les outrages, les exécutions sommaires, principalement des femmes et des<br />
enfants sans défense ».<br />
Glacha <strong>Rossine</strong>, novembre 2017.<br />
Dessin préparatoire<br />
55x70<br />
La mort sur les pavés<br />
Huile sur toile.<br />
1<strong>18</strong> x 90<br />
Le cœur bouleversé d’un juif<br />
Huile sur toile. 90x71<br />
Dessin préparatoire<br />
55x70<br />
5
OstHolocauste : la Shoah par balles<br />
Dossier de presse<br />
Févier 20<strong>18</strong><br />
Le terme "shoah" signifie « catastrophe » en hébreu, on parle aussi d’"holocauste" ou "sacrifice par le feu". Lois antisémites,<br />
ghettos, camps de concentration, exécutions par balles, camps de mise à mort, pogroms… Ce sont les différents moyens<br />
inventés par les nazis et leurs complices pour exécuter le peuple juif lors de la seconde guerre mondiale. La Shoah a décimé<br />
plus de 6 millions de Juifs au total, dont un million et demi par balles.<br />
OstHolocauste est donc une <strong>expo</strong>sition consacrée à l’extermination des juifs en Europe de l’Est. La shoah par balles,<br />
conçue par Himmler et Heydrich a commencé dès 1941. Elle consiste en des fusillades massives qui ont été perpétrées lors<br />
de l’invasion de l’Union soviétique par l’Allemagne nazie ; près d’un million et demi de Juifs d’Ukraine ont été assassinés<br />
de cette façon. L’immense majorité est morte sous les balles des Einsatzgruppen, les unités de la Waffen SS, de la police<br />
allemande et de collaborateurs locaux sur le front de l’Est. Au départ, ils emmenaient les Tziganes, Juifs, etc. dans les bois<br />
pour les contraindre à creuser leur tombe. Puis des fosses naturelles ont été utilisées, par exemple à Babi Yar, dans un ravin<br />
où 33 771 juifs sont exécutés en moins de deux jours, femmes, enfants, vieillards.<br />
Les Einsatzgruppen étaient principalement des unités de<br />
police politique militarisées du IIIe Reich, constituées de SS,<br />
de policiers, et de soldats de Wehrmacht. Ils étaient chargés de<br />
l’assassinat systématique des opposants réels ou imaginaires<br />
au régime nazi et en particulier des Juifs après l’invasion de la<br />
Pologne. Ils agissaient notamment dans les territoires occupés<br />
de l’Est -Pologne, Union Soviétique et Pays Balte - et à<br />
l’arrière du front de l’Est. Leur mission d’extermination avait<br />
pour but l'élimination en masse des cadres polonais, puis<br />
des handicapés, des Juifs et des Tziganes. À partir de la rupture<br />
du Pacte germano-soviétique, les assassinats se sont étendus<br />
aux prisonniers de guerre et aux civils soviétiques (partisans et<br />
cadres soviétiques, dont des commissaires politiques et autres<br />
communistes). A la suite de la Shoah par balles les<br />
Einsatzgruppen ont eu recours à l’extermination par gaz.<br />
Le Loup Garou<br />
97 x 130<br />
Il arrivait que les populations locales aident les Einsatzgruppen en dénonçant mais aussi en agissant de concert avec<br />
les soldats. Le mot pogrom, d’origine russe, nous est resté pour désigner les violences exercées sur les Juifs<br />
Dimensions<br />
pendant la<br />
Seconde Guerre Mondiale, notamment en Allemagne, en Autriche, en Roumanie, et dans les Balkans.<br />
Le massacre de Babi Yar est le plus grand massacre de<br />
la Shoah par balles avec un total de 33 771 juifs<br />
assassinés en deux jours, principalement par le 201 e<br />
bataillon Schutzmannschaft, en Septembre 1941. Par la<br />
suite, d’autres massacres ont eu lieux, faisant entre<br />
100 000 et 150 000 morts, jusqu’en 1942, année de la<br />
mise en place du camp de concentration de Syrets.<br />
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Dossier de presse<br />
Févier 20<strong>18</strong><br />
Art[Ifs]Acts<br />
Qu’est-ce que « Art[Ifs]Acts ?<br />
Il s’agit d’un projet culturel organisé par deux professeurs du campus 3, Serge Mauger (linguistique, anthropologie) et<br />
Antoine Pérus (infographie) avec les étudiants d’Information-Communication de l'IUT. Commencés en 20<strong>02</strong>, ces projets<br />
d’<strong>expo</strong>sitions d’art contemporain servent de support aux modules de formation professionnelle qui permettent de<br />
développer des compétences en organisation évènementielle. Depuis 20<strong>02</strong>, 48 <strong>expo</strong>sitions d'une durée moyenne d'un mois<br />
ont été organisées, permettant à quelque six mille étudiants passés sur le campus, et au public extérieur, de découvrir les<br />
facettes de l'art contemporain. OstHolocauste de <strong>Solomon</strong> <strong>Rossine</strong> est le dernier en date de ces événements.<br />
Comment se déroulent les projets ?<br />
À chaque évènement, les étudiants travaillent par TD (groupe de 28) sur une <strong>expo</strong>sition et un artiste. Cette manifestation a<br />
lieu trois fois par an. Les étudiants font un travail de reportage filmé, rédigent et éditent un catalogue, construisent un site<br />
web, préparent et animent une conférence débat avec un artiste et médiatisent l’évènement.<br />
Avec 48 <strong>expo</strong>sitions au total, Art[Ifs]Acts a reçu des sculpteurs, des<br />
peintres, des photographes ou encore des auteurs de BD.<br />
Site Web:<br />
Théo COVO<br />
Eline BOISSINOT<br />
Gabrielle FRERET<br />
Caroline DREANT<br />
Film-video portrait :<br />
Fanny HUBERT<br />
Alizée COLIN<br />
Océane GODEFROY<br />
Aurélien LEBLANC<br />
Conférence-Débat<br />
Ludwig DEGOMBERT<br />
Lisa CLEMENT<br />
Quentin BROCHAND<br />
Léo DIVAY<br />
Médiatisation Catalogue : Accrochage-Vernissage:<br />
Nolwenn DELAMARCHE Salomé DEMARTHE Stéphanie LECOINTE<br />
Emilie DUBOURG Célie DEGRENNE Inès DE GEYER D’ORTHE<br />
Sasha HEBERT Laura POLESI Marie PINABEL<br />
Camille DURFORT Annaëlle RAFFRAY Morgane SIMON<br />
Léna MESNAGE Emma PERCHERON Ophélie BOURGEOIS<br />
Nicole KINSELLA<br />
Amandine SIOHAN<br />
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Dossier de presse<br />
Févier 20<strong>18</strong><br />
Infos pratiques<br />
Campus III :<br />
Dates :<br />
Exposition du 13 février au 2 mars au Campus III à Ifs<br />
Conférence et Vernissage et le 13 février à <strong>18</strong>h<br />
Ouvert au public : Lundi-Vendredi 9h-<strong>18</strong>h<br />
Lieux :<br />
IUT de Caen, Campus 3<br />
Rue Anton Tchekov<br />
14 123 IFS<br />
Accès :<br />
Bus : Ligne A, ligne 7<br />
Arrêt : Ifs Jean Vilar<br />
Périphérique sud: sortie n°12<br />
Entrée libre et gratuite<br />
Campus I :<br />
Dates :<br />
Accueil, table ronde et vernissage à partir de 19h le 14 février 20<strong>18</strong> à l'Aula Magna, campus 1<br />
Exposition du 14 au 17 février<br />
Ouvert au public : Mardi-Vendredi 11h30-<strong>18</strong>h<br />
Samedi 10h-<strong>18</strong>h<br />
Lieux :<br />
Université de Caen Campus 1<br />
Esplanade de la paix<br />
14 032 CAEN<br />
Accès :<br />
Bus Ligne A, ligne B<br />
Arrêt : Université<br />
Entrée libre et gratuite<br />
Contact presse :iut.ifs.artifact.<strong>expo</strong>1.mediatisation@unicaen.fr<br />
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Dossier de presse<br />
Févier 20<strong>18</strong><br />
Partenaires<br />
ART[IFS]ACTS<br />
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