Modelle und Architektur Les Maquettes d ... - Aktuell - TUM

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Proportionalitätsgesetze wurden allerdings – in Reaktion auf Kulibin – dann erst durch
Leonhard Euler publiziert (Regula facilis pro diiudicanda firmitate pontis ... ex cognita
firmitate moduli, Eneström 480) und durch den ungarischen Jesuiten Johann Baptist
Horvath (Dissertatio de methodo futuram pontis lignei ... firmitatam investigandi, 1780)
popularisiert. Neben den bereits ausführlich durch Wilhelm Ruckdeschel untersuchten
Augsburger Modellen „künstlicher Maschinen“ zur Wasserversorgung würden daher
die Bauwerksmodelle des Maximilianmuseums eine ähnlich gründliche Untersuchung
verdienen, zumal durch die Lehrbücher Walters d.J. und seines Augsburger Zeitgenossen
Lucas Voch (1728–83) auch umfangreiches gedrucktes Quellenmaterial vorliegt,
das noch im frühen 19. Jahrhundert durch den bayerischen Baubeamten Johann Michael
Voit neu aufgelegt wurde und somit bedeutende Praxiswirkung entfalten konnte.
Maquette – Traités – Monument
Les collections de maquettes d’Augsburg
Le Maximilian Museum à Augsburg conserve une collection de maquettes des 17e et
18 e siècles de portée européenne. A part la fameuse maquette du projet d’Elias Holl
pour le nouvel hôtel de ville d’Augsburg (transférée depuis la salle des maquettes de
l’hotel de ville vers le musée), le musée conserve les collections de maquettes du lycée
Ste Anne, et notamment parmi elles, les maquettes du 18 e siècle rassemblées à la
Rotes Tor par le maître fontainier d’Augsburg : « on trouve aussi dans la tour des fontaines
de très belles (maquettes) de toute sorte, que les maîtres fontainiers Walter et
Demp ont fait exécuter par leurs apprentis » (Paul v. Stetten, 1779). Il s’agit ici de Caspar
Walter le Jeune (1701-1769), le plus fameux des maîtres fontainiers d’Augsburg,
un expert en architecture hydraulique, qui a également exercé à Ulm et à Munich. Ces
maquettes sont particulièrement intéressantes car Walter a également publié de nombreux
traités (Hydraulica Augustana, 1754 ; Architectura Hydraulica, 1765 ; Brücken-
Bau, 1766 ; Zimmerkunst, 1769), dont les dessins ont donné naissance ensuite aux
maquettes. La citation ci-dessus prouve que les maquettes étaient utilisées comme
outil pédagogique, mais la collection d’Augsburg comprend aussi des maquettes avec
d’autres objectifs : plusieurs indices démontrent que le charpentier
Johann Philipp Leopold a exécuté sa maquette, unique au monde, de la voûte de
l’église St Anne d’Augsburg afin de présenter sa technique de construction. La maquette
montre l’étaiement pour la construction de la voûte sans coffrage continue :
c’est un type de voûte rare en Bavière à cette époque, appelé « böhmischen Kappen
» (voutains de Bohème), qui peut être monté sans être étayé sous toute sa surface. La
maquette de la charpente de l’église évangélique St Ulrich d’Augsburg est peut-être
encore plus fascinante – elle a été sans doute exécutée pour présenter le projet. La
charpente, qui existe encore, est un exemple parfait d’une charpente sans entraits, et
elle contient une voûte lambirssée de 18m de portée. Elle a été érigée par Caspar
Walter le Vieux, le père de Caspar Walter le Jeune. Le Jeune présente d’ailleurs la
charpente dans son ouvrage Zimmerkunst (L’art du charpentier). Les trois variantes
de la charpente présentent des petites différences constructives. On peut noter que
Caspar Walter le Jeune, en plus de l’utilisation de maquettes comme outil de présentation
ou d’enseignement, était aussi coutumier de l’utilisation des « maquettes statiques
». Dans son ouvrage sur les ponts, il parle de projets de ponts dont la stabilité a été
testée à l’aide de maquettes à l’échelle. Ainsi Walter s’inscrit dans la lignée des premi-
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