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La Tragédie des Siècles par E.G. White

La Tragédie des Siècles esquisse dès la préhistoire, un conflit spirituel et son étendue universelle – en répondant aux questions de l’amour, la nature humaine, les malédictions et bénédictions générationnelles et le voyage de la vie. Prenant le lecteur derrière le rideau pour déterrer des mystères du passé et même l'avenir, se révèlent les caractères des personnes nées dans des circonstances sombres et pénibles – leur défauts tragiques ou vertus dignes. Maintes et maintes fois, l'intervention surnaturelle façonne dynamiquement leurs cours, tandis que leurs choix, pour le meilleur ou pour le pire, font une empreinte ineffaçable sur leurs descendants. Il distingue les personnes dans l'attente d'un futur espoir, embrassant tenacement des promesses de changement de vie.

La Tragédie des Siècles esquisse dès la préhistoire, un conflit spirituel et son étendue universelle – en répondant aux questions de l’amour, la nature humaine, les malédictions et bénédictions générationnelles et le voyage de la vie. Prenant le lecteur derrière le rideau pour déterrer des mystères du passé et même l'avenir, se révèlent les caractères des personnes nées dans des circonstances sombres et pénibles – leur défauts tragiques ou vertus dignes. Maintes et maintes fois, l'intervention surnaturelle façonne dynamiquement leurs cours, tandis que leurs choix, pour le meilleur ou pour le pire, font une empreinte ineffaçable sur leurs descendants. Il distingue les personnes dans l'attente d'un futur espoir, embrassant tenacement des promesses de changement de vie.

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<strong>La</strong> <strong>Tragédie</strong> <strong>des</strong> <strong>Siècles</strong><br />

besoin de sympathie et de sociabilité n’eût pas été satisfait. Cette compagne, Dieu la donna lui-même à<br />

Adam. Il lui fit « une aide semblable à lui », à savoir un être qui pût vivre auprès de lui, <strong>par</strong>tager ses joies<br />

et répondre à ses affections. Pour marquer qu’elle n’était pas <strong>des</strong>tinée à être son chef, pas plus qu’à être<br />

traitée en inférieure, mais à se tenir à son côté comme son égale, aimée et protégée <strong>par</strong> lui, Ève fut tirée<br />

d’une de ses côtes. Os de ses os, chair de sa chair, la femme était une autre <strong>par</strong>tie de luimême, signe<br />

sensible et frappant de l’union intime et de l’attachement profond qui devaient caractériser leurs rapports.<br />

« Jamais un homme n’a haï sa propre chair; mais il la nourrit, et en prend soin. » « C’est pourquoi<br />

l’homme laissera son père et sa mère, et s’attachera à sa femme, et ils deviendront une seule chair<br />

(Éphésiens 5:29); Genèse 2:24. »<br />

C’est Dieu qui célébra le premier mariage. Cette institution a ainsi pour fondateur le Créateur de<br />

l’univers. « Que le mariage soit respecté. » (Hébreux 13:4) C’est l’un <strong>des</strong> premiers dons de Dieu à<br />

l’homme; et c’est l’une <strong>des</strong> deux institutions qu’Adam emporta avec lui lorsque, après sa chute, il franchit<br />

les portes du Paradis. Quand les principes divins sont respectés, le mariage est un bienfait. Il est la<br />

sauvegarde de la pureté et du bonheur de l’homme. Il pourvoit à ses besoins sociaux, il élève sa nature<br />

physique, intellectuelle et morale.<br />

« Puis l’Éternel planta un jardin en Éden, du côté de l’Orient, et il y plaça l’homme qu’il avait<br />

formé. » (Genèse 2:8) Tout ce que Dieu avait fait n’était que beauté et perfection, et rien ne semblait<br />

manquer au bonheur du premier couple. Mais le Créateur voulut lui donner une autre preuve de bonté en<br />

lui pré<strong>par</strong>ant un jardin qui fût sa demeure <strong>par</strong>ticulière. Dans ce jardin étaient plantés <strong>des</strong> arbres de toutes<br />

les variétés, dont un grand nombre étaient chargés de fruits ou exhalaient <strong>des</strong> <strong>par</strong>fums délicieux. <strong>La</strong> vigne<br />

y poussait en hauteur, laissant gracieusement ployer ses sarments sous le poids d’un fruit succulent,<br />

coloré <strong>des</strong> teintes les plus riches et les plus variées. <strong>La</strong> tâche d’Adam et d’Ève consistait à tresser ces<br />

sarments en arca<strong>des</strong> et en berceaux pour faire <strong>des</strong> demeures vivantes, tapissées de feuillage et de fruits.<br />

Partout on voyait <strong>des</strong> fleurs odoriférantes de toutes les couleurs. Au milieu du jardin se dressait l’arbre<br />

de vie, dont la beauté éclipsait tous les autres. Son fruit, qui ressemblait à <strong>des</strong> pommes d’or et d’argent,<br />

avait la propriété de prolonger la vie.<br />

<strong>La</strong> création était désormais complète. « Ainsi les cieux et la terre furent achevés avec tout ce qui<br />

s’y trouve. » « Dieu contempla ce qu’il avait fait, et il vit que cela était très bien. » (Genèse 2:1-3; 1:31)<br />

L’Éden s’étalait sur la terre épanouie. Adam et Ève avaient un libre accès à l’arbre de vie. Nulle trace de<br />

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