La Grande Controverse ecrit par Ellen Gould White

Ce livre révèle un conflit aigue, répandu et profonde qui sont manifestées dès l’âge des ténèbres jusqu’à nos jours. Il s’agit des principes les plus raréfiés et essentiaux de notre époque, la vérité et la liberté de conscience selon le premier amendement. Voulez-vous en connaître les raisons cachées de la mise en danger de ces valeurs ? En vous ouvrant un nouveau monde, l’auteur vous permettra de jeter un coup d’œil derrière les coulisses d’une partie de l’histoire qu’ils essaient se dissimuler - un histoire qui effectivement a modelé la contemporanéité. Il contient non seulement des révélations bouleversantes, mais également une vision encourageante de notre avenir. D'après l’auteur, le cœur de la lutte s'étend au-delà de la tentative séductrice de présenter faussement le caractère d’une guerre très ancienne mais moderne. raison revolution eglise antichrist mark of the beast solo christo sola biblia sola scriptura justification par foi reforme religieuse liberte egalite fraternite union europeenne persecution religieuse ere des tenebres lumieres renaissance luther reformateur reforme christianisme protestantisme Enter a tag and hit enter Ce livre révèle un conflit aigue, répandu et profonde qui sont manifestées dès l’âge des ténèbres jusqu’à nos jours. Il s’agit des principes les plus raréfiés et essentiaux de notre époque, la vérité et la liberté de conscience selon le premier amendement. Voulez-vous en connaître les raisons cachées de la mise en danger de ces valeurs ? En vous ouvrant un nouveau monde, l’auteur vous permettra de jeter un coup d’œil derrière les coulisses d’une partie de l’histoire qu’ils essaient se dissimuler - un histoire qui effectivement a modelé la contemporanéité. Il contient non seulement des révélations bouleversantes, mais également une vision encourageante de notre avenir. D'après l’auteur, le cœur de la lutte s'étend au-delà de la tentative séductrice de présenter faussement le caractère d’une guerre très ancienne mais moderne.
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cachée d’une bonne partie des maux qui affligent le monde et le mûrissent pour sa destruction finale. Néanmoins, pour celui qui aime ses vices, il est plus agréable de se confesser à un mortel comme lui que d’ouvrir son coeur à Dieu. La nature humaine préfère subir une pénitence plutôt que d’abandonner le péché ; il est plus facile de mortifier sa chair par le cilice et les chardons que de crucifier ses passions. Le coeur naturel préférera bien des jougs blessants à celui de Jésus- Christ. Il y a une ressemblance frappante entre l’Eglise de Rome et le judaïsme des jours de Jésus. Bien que foulant secrètement aux pieds tous les principes de la loi divine, les Juifs en observaient rigoureusement les préceptes extérieurs qu’ils surchargeaient de pratiques et de traditions d’une observance pénible et tracassière. De même que les Juifs se disaient respectueux de la loi, de même les romanistes prétendent l’être de la croix. Ils glorifient le symbole des souffrances de Jésus- Christ tout en reniant par leur vie celui qui est représenté par ce symbole. Les catholiques placent des croix sur leurs églises, sur leurs autels et sur leurs vêtements. Partout la croix du Sauveur est visiblement honorée et révérée, tandis que ses enseignements sont ensevelis sous une masse de traditions puériles, de fausses interprétations et de rites fastidieux. Les paroles du Sauveur concernant les Juifs fanatiques s’appliquent avec plus de force encore aux chefs de l’Eglise catholique romaine : “ Ils lient des fardeaux pesants, et les mettent sur les épaules des hommes ; mais ils ne veulent pas les remuer du doigt . ” (Matthieu 23 : 4.) Les âmes consciencieuses tremblent jour et nuit à la pensée d’avoir offensé Dieu, tandis qu’un bon nombre des dignitaires de l’Eglise vivent dans le luxe et les plaisirs sensuels. Le culte des images et des reliques, l’invocation des saints et les honneurs rendus au pape sont des pièges de Satan dirigeant les esprits loin de Dieu et de son Fils. En vue de consommer la ruine des âmes, l’adversaire détourne leur attention du seul être capable d’assurer leur salut et donne des substituts à celui qui a dit : “ Venez à moi, vous tous qui êtes fatigués et chargés, et je vous donnerai du repos. ” (Matthieu 11 : 28.) . L’effort constant de l’ennemi tend à fausser le caractère de Dieu, la nature du péché et l’enjeu véritable du plan du salut. Par ses sophismes, il atténue les exigences de la loi divine et encourage le péché. Il donne de Dieu une conception qui le fait craindre et haïr plutôt qu’aimer. Attribuant à Dieu la cruauté de son propre caractère, il 457

incorpore la haine à des systèmes religieux et à diverses formes de culte. Des esprits ainsi aveuglés, Satan fait ses instruments dans sa guerre contre Dieu. Par cette perversion des attributs de la divinité, les nations païennes en sont venues, pour apaiser la divinité, à pratiquer des sacrifices humains et d’autres atrocités tout aussi horribles. L’Eglise romaine, qui a réuni les cérémonies du paganisme à celles du christianisme, et qui, comme le paganisme, a dénaturé le caractère de Dieu, a eu recours à des pratiques non moins cruelles et révoltantes. Au temps de sa suprématie Rome recourait à la torture pour contraindre les gens à souscrire à ses doctrines. Aux réfractaires, elle réservait le bûcher. Elle organisa des massacres sur une échelle dont l’étendue ne sera connue qu’au jour du jugement. Sous la direction de Satan, leur maître, les dignitaires de l’Eglise étudiaient les moyens de garder leurs victimes en vie aussi longtemps que possible tout en leur infligeant des souffrances extrêmes. Dans bien des cas, le procédé était répété jusqu’à la dernière limite de l’endurance humaine, au point que, la nature finissant par céder, la victime accueillait la mort comme une douce délivrance. Tel était le sort de quiconque osait, résister à Rome. Pour ses adhérents, elle avait la discipline du fouet, de la faim et de toutes les austérités corporelles concevables. Pour s’assurer les faveurs du ciel, les pénitents violaient les lois de Dieu régissant la nature. On les engageait à rompre des liens que Dieu avait formés pour embellir le séjour de l’homme sur la terre. Les cimetières contiennent des millions de victimes qui ont passé leur vie en vains efforts pour étouffer en eux les affections naturelles et réprimer, comme coupables aux yeux d Dieu, toute pensée et tout sentiment de sympathie envers leurs semb!ables. Celui qui désire prendre sur le vif la cruauté de Satan manifestée des siècles durant, non pas chez ceux qui n’ont jamais entendu parler de Dieu, mais au centre même de la chrétienté, n’a qu’à lire l’histoire du romanisme. C’est par ce système colossal de séduction que le prince des ténèbres a réalisé son dessein de déshonorer Dieu et de plonger les hommes dans le malheur. En voyant comme il a réussi à se déguiser et à atteindre son but par les chefs de la hiérarchie romaine, on comprend mieux son antipathie pour les Ecritures. En effet, la Bible révèle à ceux qui la lisent la miséricorde et l’amour de Dieu ; elle les amène à comprendre que le Père céleste n’impose à 458

cachée d’une bonne <strong>par</strong>tie des maux qui affligent le monde et le mûrissent pour sa destruction<br />

finale. Néanmoins, pour celui qui aime ses vices, il est plus agréable de se confesser à un mortel<br />

comme lui que d’ouvrir son coeur à Dieu. <strong>La</strong> nature humaine préfère subir une pénitence plutôt<br />

que d’abandonner le péché ; il est plus facile de mortifier sa chair <strong>par</strong> le cilice et les chardons que<br />

de crucifier ses passions. Le coeur naturel préférera bien des jougs blessants à celui de Jésus-<br />

Christ.<br />

Il y a une ressemblance frappante entre l’Eglise de Rome et le judaïsme des jours de Jésus.<br />

Bien que foulant secrètement aux pieds tous les principes de la loi divine, les Juifs en observaient<br />

rigoureusement les préceptes extérieurs qu’ils surchargeaient de pratiques et de traditions d’une<br />

observance pénible et tracassière. De même que les Juifs se disaient respectueux de la loi, de même<br />

les romanistes prétendent l’être de la croix. Ils glorifient le symbole des souffrances de Jésus-<br />

Christ tout en reniant <strong>par</strong> leur vie celui qui est représenté <strong>par</strong> ce symbole.<br />

Les catholiques placent des croix sur leurs églises, sur leurs autels et sur leurs vêtements.<br />

Partout la croix du Sauveur est visiblement honorée et révérée, tandis que ses enseignements sont<br />

ensevelis sous une masse de traditions puériles, de fausses interprétations et de rites fastidieux.<br />

Les <strong>par</strong>oles du Sauveur concernant les Juifs fanatiques s’appliquent avec plus de force encore aux<br />

chefs de l’Eglise catholique romaine : “ Ils lient des fardeaux pesants, et les mettent sur les épaules<br />

des hommes ; mais ils ne veulent pas les remuer du doigt . ” (Matthieu 23 : 4.) Les âmes<br />

consciencieuses tremblent jour et nuit à la pensée d’avoir offensé Dieu, tandis qu’un bon nombre<br />

des dignitaires de l’Eglise vivent dans le luxe et les plaisirs sensuels.<br />

Le culte des images et des reliques, l’invocation des saints et les honneurs rendus au pape<br />

sont des pièges de Satan dirigeant les esprits loin de Dieu et de son Fils. En vue de consommer la<br />

ruine des âmes, l’adversaire détourne leur attention du seul être capable d’assurer leur salut et<br />

donne des substituts à celui qui a dit : “ Venez à moi, vous tous qui êtes fatigués et chargés, et je<br />

vous donnerai du repos. ” (Matthieu 11 : 28.) . L’effort constant de l’ennemi tend à fausser le<br />

caractère de Dieu, la nature du péché et l’enjeu véritable du plan du salut. Par ses sophismes, il<br />

atténue les exigences de la loi divine et encourage le péché. Il donne de Dieu une conception qui<br />

le fait craindre et haïr plutôt qu’aimer. Attribuant à Dieu la cruauté de son propre caractère, il<br />

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