La Grande Controverse ecrit par Ellen Gould White
Ce livre révèle un conflit aigue, répandu et profonde qui sont manifestées dès l’âge des ténèbres jusqu’à nos jours. Il s’agit des principes les plus raréfiés et essentiaux de notre époque, la vérité et la liberté de conscience selon le premier amendement. Voulez-vous en connaître les raisons cachées de la mise en danger de ces valeurs ? En vous ouvrant un nouveau monde, l’auteur vous permettra de jeter un coup d’œil derrière les coulisses d’une partie de l’histoire qu’ils essaient se dissimuler - un histoire qui effectivement a modelé la contemporanéité. Il contient non seulement des révélations bouleversantes, mais également une vision encourageante de notre avenir. D'après l’auteur, le cœur de la lutte s'étend au-delà de la tentative séductrice de présenter faussement le caractère d’une guerre très ancienne mais moderne.
raison revolution eglise antichrist mark of the beast solo christo sola biblia sola scriptura justification par foi reforme religieuse liberte egalite fraternite union europeenne persecution religieuse ere des tenebres lumieres renaissance luther reformateur reforme christianisme protestantisme
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Ce livre révèle un conflit aigue, répandu et profonde qui sont manifestées dès l’âge des ténèbres jusqu’à nos jours. Il s’agit des principes les plus raréfiés et essentiaux de notre époque, la vérité et la liberté de conscience selon le premier amendement. Voulez-vous en connaître les raisons cachées de la mise en danger de ces valeurs ? En vous ouvrant un nouveau monde, l’auteur vous permettra de jeter un coup d’œil derrière les coulisses d’une partie de l’histoire qu’ils essaient se dissimuler - un histoire qui effectivement a modelé la contemporanéité. Il contient non seulement des révélations bouleversantes, mais également une vision encourageante de notre avenir. D'après l’auteur, le cœur de la lutte s'étend au-delà de la tentative séductrice de présenter faussement le caractère d’une guerre très ancienne mais moderne.
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Ce sujet n'était point compris des adventistes en 1844. Lorsque le temps où l'on attendait le Seigneur se fut écoulé, ils crurent encore que sa venue était imminente. Ils pensèrent être parvenus à une crise solennelle, et crurent que l'oeuvre de Christ comme intercesseur de l'homme avait cessé. Il leur semblait que la Bible enseignait que la période d'épreuve accordée à l'homme se terminait un peu avant la venue réelle du Seigneur dans les nuées du ciel. Cela paraissait évident d'après les passages prédisant un temps où les hommes chercheront Dieu et ne le trouveront pas, où ils frapperont à la porte de la miséricorde, et qu'elle ne s'ouvrira pas. Ils se demandaient si la date qu'ils avaient prise pour le moment de la venue de Christ ne marquait pas plutôt le commencement de cette période qui devait précéder immédiatement sa venue. Ayant proclamé l'avertissement de l'approche du jugement, ils croyaient avoir tout fait pour le salut du monde, et ne se sentirent plus sous l'obligation de travailler au salut des pécheurs. Les moqueries hautaines et blasphématoires des impies paraissaient leur prouver que l'Esprit de Dieu s'était retiré de ceux qui rejetaient ses appels miséricordieux. Tout cela les confirmait dans leur croyance que la période de l'épreuve était passée, ou, comme ils l'exprimaient alors, que ., la porte de la miséricorde était fermée ". Mais une lumière plus vive jaillit de l'étude de la question du sanctuaire. Ils virent alors que leur croyance à la fin des 2300 jours en 1844 était juste et marquait une crise importante. Mais bien qu'il fût vrai que cette porte de l'espérance et de la grâce par laquelle les hommes avaient trouvé accès auprès de Dieu pendant dix-huit cents ans fut fermée, une autre porte était ouverte et le pardon des péchés continuait d'être offert aux hommes, parce que Christ intercédait pour eux dans le lieu très saint. Une partie de son ministère ne s'était terminée que pour faire place à un autre. Il y avait encore une " porte ouverte " au sanctuaire céleste où Christ officiait en faveur du pécheur. On comprit alors ces paroles de Christ dans l'Apocalypse, paroles adressées à l'Eglise en ce temps même : " Voici, dit-il, ce que dit le Saint, le Véritable, qui a la clef de David, qui ouvre et personne ne ferme, et qui ferme et personne n'ouvre. Je connais tes oeuvres. Voici, j'ai ouvert une porte devant toi, et personne ne peut la fermer. " Apocalypse 3 : 7, 8. Seuls ceux suivant Jésus, par la foi, dans son oeuvre importante d'expiation, reçoivent les bienfaits de sa médiation en leur faveur, tandis que ceux qui rejettent la lumière révélant ce ministère n'en reçoivent aucun profit. Les Juifs qui rejetèrent la lumière du premier avènement de Christ, et refusèrent de croire en lui comme Sauveur du monde, ne pouvaient recevoir de lui le 343
pardon. Lorsque Jésus, à son ascension, entra avec son sang dans le sanctuaire céleste pour répandre sur ses disciples les bienfaits de sa médiation, les Juifs furent laissés dans de si complètes ténèbres, qu'ils continuèrent leurs sacrifices et leurs offrandes inutiles. Le sacerdoce des types et des ombres avait cessé. Cette porte par laquelle les hommes avaient précédemment trouvé accès auprès de Dieu, ne devait plus s'ouvrir. Les Juifs avaient refusé de le chercher de la seule manière dont il pouvait être trouvé alors, par le sacerdoce du sanctuaire céleste. C'est pourquoi ils ne se trouvèrent nullement en communion avec Dieu. La porte était fermée pour eux. Us ne reconnaissaient pas Christ comme leur vrai sacrifice et leur seul médiateur devant Dieu, de là vient qu'ils ne pouvaient participer aux bienfaits de sa médiation. L'état des Juifs incrédules illustre la condition des indifférents et des incrédules qui se réclament du titre de chrétiens, et qui ignorent volontairement l'oeuvre de notre miséricordieux Souverain Sacrificateur. Dans le service typique, lorsque le souverain sacrificateur entrait dans le lieu très saint, tous les enfants d' Israël devaient se réunir autour du sanctuaire, et humilier leurs âmes devant Dieu de la manière la plus solennelle, afin de recevoir le pardon de leurs péchés, et de ne point être retranchés de la congrégation. Combien n'est-il pas plus essentiel, dans ce jour antitype des expiations, que nous comprenions l'oeuvre de notre Souverain Sacrificateur, et que nous connaissions les devoirs que nous avons à remplir ! Les hommes ne peuvent impunément rejeter les avertissements que Dieu leur envoie dans sa miséricorde. Un message fut adressé aux contemporains de Noé, et leur salut dépendit de la manière dont ils le reçurent. Ils rejetèrent l'avertissement, et, comme conséquence, l'Esprit de Dieu se retira de cette race pécheresse, et ils périrent dans les eaux du déluge. Au temps d'Abraham, la miséricorde cessa de contester avec les habitants coupables de Sodome, et tous, sauf Lot avec sa femme et ses deux filles, furent consumés par le feu envoyé du ciel. Il en fut de même au temps de Christ. Le Fils de Dieu déclara aux Juifs incrédules de cette génération-là : " Voici, votre maison vous est laissée déserte." Matthieu 23 : 38. Jetant un regard sur les derniers jours, la même Sagesse infinie dit concernant ceux qui " n'ont point reçu l'amour de la vérité pour être sauvés " : " C'est pourquoi Dieu leur enverra un esprit d'égarement, en sorte qu'ils croiront au mensonge, afin que tous ceux qui n'ont pas cru à la vérité, mais qui se sont plu dans l'injustice, soient condamnés. " 2 344
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Ce sujet n'était point compris des adventistes en 1844. Lorsque le temps où l'on attendait le<br />
Seigneur se fut écoulé, ils crurent encore que sa venue était imminente. Ils pensèrent être <strong>par</strong>venus<br />
à une crise solennelle, et crurent que l'oeuvre de Christ comme intercesseur de l'homme avait cessé.<br />
Il leur semblait que la Bible enseignait que la période d'épreuve accordée à l'homme se terminait<br />
un peu avant la venue réelle du Seigneur dans les nuées du ciel. Cela <strong>par</strong>aissait évident d'après les<br />
passages prédisant un temps où les hommes chercheront Dieu et ne le trouveront pas, où ils<br />
frapperont à la porte de la miséricorde, et qu'elle ne s'ouvrira pas. Ils se demandaient si la date<br />
qu'ils avaient prise pour le moment de la venue de Christ ne marquait pas plutôt le commencement<br />
de cette période qui devait précéder immédiatement sa venue. Ayant proclamé l'avertissement de<br />
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sous l'obligation de travailler au salut des pécheurs. Les moqueries hautaines et blasphématoires<br />
des impies <strong>par</strong>aissaient leur prouver que l'Esprit de Dieu s'était retiré de ceux qui rejetaient ses<br />
appels miséricordieux. Tout cela les confirmait dans leur croyance que la période de l'épreuve était<br />
passée, ou, comme ils l'exprimaient alors, que ., la porte de la miséricorde était fermée ".<br />
Mais une lumière plus vive jaillit de l'étude de la question du sanctuaire. Ils virent alors que<br />
leur croyance à la fin des 2300 jours en 1844 était juste et marquait une crise importante. Mais<br />
bien qu'il fût vrai que cette porte de l'espérance et de la grâce <strong>par</strong> laquelle les hommes avaient<br />
trouvé accès auprès de Dieu pendant dix-huit cents ans fut fermée, une autre porte était ouverte et<br />
le <strong>par</strong>don des péchés continuait d'être offert aux hommes, <strong>par</strong>ce que Christ intercédait pour eux<br />
dans le lieu très saint. Une <strong>par</strong>tie de son ministère ne s'était terminée que pour faire place à un<br />
autre. Il y avait encore une " porte ouverte " au sanctuaire céleste où Christ officiait en faveur du<br />
pécheur. On comprit alors ces <strong>par</strong>oles de Christ dans l'Apocalypse, <strong>par</strong>oles adressées à l'Eglise en<br />
ce temps même : " Voici, dit-il, ce que dit le Saint, le Véritable, qui a la clef de David, qui ouvre<br />
et personne ne ferme, et qui ferme et personne n'ouvre. Je connais tes oeuvres. Voici, j'ai ouvert<br />
une porte devant toi, et personne ne peut la fermer. " Apocalypse 3 : 7, 8.<br />
Seuls ceux suivant Jésus, <strong>par</strong> la foi, dans son oeuvre importante d'expiation, reçoivent les<br />
bienfaits de sa médiation en leur faveur, tandis que ceux qui rejettent la lumière révélant ce<br />
ministère n'en reçoivent aucun profit. Les Juifs qui rejetèrent la lumière du premier avènement de<br />
Christ, et refusèrent de croire en lui comme Sauveur du monde, ne pouvaient recevoir de lui le<br />
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