La Grande Controverse ecrit par Ellen Gould White
Ce livre révèle un conflit aigue, répandu et profonde qui sont manifestées dès l’âge des ténèbres jusqu’à nos jours. Il s’agit des principes les plus raréfiés et essentiaux de notre époque, la vérité et la liberté de conscience selon le premier amendement. Voulez-vous en connaître les raisons cachées de la mise en danger de ces valeurs ? En vous ouvrant un nouveau monde, l’auteur vous permettra de jeter un coup d’œil derrière les coulisses d’une partie de l’histoire qu’ils essaient se dissimuler - un histoire qui effectivement a modelé la contemporanéité. Il contient non seulement des révélations bouleversantes, mais également une vision encourageante de notre avenir. D'après l’auteur, le cœur de la lutte s'étend au-delà de la tentative séductrice de présenter faussement le caractère d’une guerre très ancienne mais moderne.
raison revolution eglise antichrist mark of the beast solo christo sola biblia sola scriptura justification par foi reforme religieuse liberte egalite fraternite union europeenne persecution religieuse ere des tenebres lumieres renaissance luther reformateur reforme christianisme protestantisme
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Ce livre révèle un conflit aigue, répandu et profonde qui sont manifestées dès l’âge des ténèbres jusqu’à nos jours. Il s’agit des principes les plus raréfiés et essentiaux de notre époque, la vérité et la liberté de conscience selon le premier amendement. Voulez-vous en connaître les raisons cachées de la mise en danger de ces valeurs ? En vous ouvrant un nouveau monde, l’auteur vous permettra de jeter un coup d’œil derrière les coulisses d’une partie de l’histoire qu’ils essaient se dissimuler - un histoire qui effectivement a modelé la contemporanéité. Il contient non seulement des révélations bouleversantes, mais également une vision encourageante de notre avenir. D'après l’auteur, le cœur de la lutte s'étend au-delà de la tentative séductrice de présenter faussement le caractère d’une guerre très ancienne mais moderne.
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venue serait proche, et cela avec la même certitude qu'on peut savoir que l'été est proche quand on voit le figuier pousser ses feuilles ? Sommes-nous condamnés à ne jamais connaître ce temps, alors qu'il nous exhorte lui-même non seulement à lire, mais à comprendre Daniel le prophète, ce même livre de Daniel qui dit que les paroles sont scellées jusqu'au temps de la fin (ce qui était le cas de son temps), et qu'alors " plusieurs le parcourront (expression hébraïque signifiant observer le temps et y réfléchir), et que ‘’la connaissance (concernant ce temps) sera augmentée ? De plus, notre Seigneur ne dit nullement que l’approche du temps ne sera pas connue, mais que l'heure et le jour précis de sa venue ne sont connus de personne. Il dit que les signes des temps avertiront de l'approche de ce jour avec assez de clarté pour nous porter à nous préparer en vue de cet événement, de même que Noé prépara l'arche en prévision du déluge. -Wolff, Recherches et travaux missionnaires, p. 404, 405. Wolff écrivait également concernant la méthode populaire d'interpréter, ou plutôt de tordre les Ecritures : "La majorité des Eglises chrétiennes se sont écartées du sens clair de l'Ecriture, et se sont tournées vers la théorie fantomatique des bouddhistes qui croient que la félicité à venir de l'humanité consistera à planer çà et là dans les airs. Ces chrétiens supposent que lorsqu'on lit Juifs, il faut comprendre gentils, et que lorsqu'on lit Jérusalem, il faut comprendre l'Eglise ; que lorsqu'il est parlé de la terre, cela signifie le ciel ; que par venue du Seigneur, il faut entendre les progrès des missions ; et que l'expression monter à la maison de l' Eternel, désigne une grande assemblée méthodiste. " Journal de Joseph Wolff, p. 96. Durant les vingt-quatre années qui s'écoulèrent entre 1821 et 1845, Wolff fit de grands voyages ; en Afrique, il visita l' Egypte et l'Abyssine ; en Asie, il parcourut la Palestine, la Syrie, la Perse, la Boukharie et l'Inde. Il visita également les Etats-Unis, et, en s'y rendant, il s'arrêta dans l'île de Sainte Hélène pour y prêcher. Il atteignit New-York au mois d'août de l'an 1837. Après avoir parlé dans cette ville, il prêcha à Philadelphie et à Baltimore, et se rendit finalement à Washington. Là, écrit-il, " sur une proposition faite par l'ex-président, John Quincy Adams, dans une séance du Congrès, l'assemblée m'accorda unanimement l'usage de la salle du Congrès, pour y faire une conférence, que je prononçai un samedi, honoré de la présence de tous les membres du Congrès ainsi que de l'évêque de la Virginie, du clergé et des habitants de Washington. Le même honneur me fut conféré par les membres du gouvernement de New Jersey et de Pennsylvanie, en présence desquels je donnai des conférences sur mes recherches en Asie, ainsi que sur le règne 285
personnel de Jésus-Christ. " -Ibid., p. 398, 399. Il parcourut les contrées les plus barbares, sans être protégé par aucune puissance européenne, supportant les plus dures privations et affrontant d'innombrables dangers. Il fut battu, dépouillé, vendu comme esclave, et condamné à mort trois fois. Il fut assailli par des brigands, et faillit parfois mourir de soif. Un jour, il fut dépouillé de tout ce qu'il possédait, et dut franchir à pied des centaines de milles dans des pays montagneux, les pieds nus et engourdis par le contact de la terre gelée, la neige lui fouettant le visage. Lorsqu'on lui conseillait de ne point s'exposer sans armes au milieu de tribus sauvages et hostiles, Wolff se disait armé, il avait la prière, le zèle pour Christ, et la confiance en son secours. " J'ai également pourvu mon coeur, disait-il, de l'amour de Dieu et de mon prochain, et j' ai la Bible en main. " -W. H. D. Adams, In perils oft, p. 192. Il portait sur lui la Bible hébraïque et la Bible anglaise partout où il se rendait. Il disait en parlant d'un de ses derniers voyages : " Je gardais la Bible ouverte dans ma main. Je sentais que ma force était en ce livre, et que sa puissance me soutiendrait." Ibid., p. 201. Il poursuivit ainsi ses travaux jusqu'à ce que le message du jugement eût été porté dans une grande partie du monde habitable. Il distribua la Parole de Dieu, imprimée dans leurs langues respectives, parmi les Juifs, les Turcs, les Perses, les Hindous, et maintes autres nations et races, et prêcha partout le règne prochain du Messie. Dans ses voyages en Boukharie, il trouva, dans cette contrée lointaine, des chrétiens isolés croyant à la prochaine venue du Seigneur. " Les Arabes de l'Yémen, ditil, possèdent un livre appelé Seera, qui parle de la venue de Christ et de son règne glorieux, et ils s'attendent à ce que de grands événements aient lieu en l'année 1840. - Journal de Joseph Wolff, p. 377. Dans l'Yémen, je demeurai six jours chez les Réchabites. Ils ne boivent point de vin, ils ne plantent point de vignes, ils ne sèment aucune semence, ils vivent dans des tentes et se souviennent des paroles de Jonadab, fils de Réchab. Il y avait avec eux des enfants d'Israël de la tribu de Dan [...] qui attendent, comme les enfants de Réchab, l'arrivée prochaine du Messie sur les nuées du ciel. " -Ibid., p. 389. Un autre missionnaire découvrit la même croyance dans le Turkestan. Un prêtre tartare demanda à ce missionnaire quand Christ devait venir pour la seconde fois. Lorsque le missionnaire répondit qu'il n'en savait rien, le prêtre parut fort étonné de cette ignorance chez un homme qui professait enseigner la Bible. l lui dit alors qu'il croyait, sur la foi des prophéties, que Christ viendrait vers 1844. La doctrine de la prochaine venue de Christ se fit déjà entendre en Angleterre, 286
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et y réfléchir), et que ‘’la connaissance (concernant ce temps) sera augmentée ?<br />
De plus, notre Seigneur ne dit nullement que l’approche du temps ne sera pas connue, mais<br />
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avertiront de l'approche de ce jour avec assez de clarté pour nous porter à nous pré<strong>par</strong>er en vue de<br />
cet événement, de même que Noé pré<strong>par</strong>a l'arche en prévision du déluge. -Wolff, Recherches et<br />
travaux missionnaires, p. 404, 405. Wolff écrivait également concernant la méthode populaire<br />
d'interpréter, ou plutôt de tordre les Ecritures : "<strong>La</strong> majorité des Eglises chrétiennes se sont écartées<br />
du sens clair de l'Ecriture, et se sont tournées vers la théorie fantomatique des bouddhistes qui<br />
croient que la félicité à venir de l'humanité consistera à planer çà et là dans les airs. Ces chrétiens<br />
supposent que lorsqu'on lit Juifs, il faut comprendre gentils, et que lorsqu'on lit Jérusalem, il faut<br />
comprendre l'Eglise ; que lorsqu'il est <strong>par</strong>lé de la terre, cela signifie le ciel ; que <strong>par</strong> venue du<br />
Seigneur, il faut entendre les progrès des missions ; et que l'expression monter à la maison de l'<br />
Eternel, désigne une grande assemblée méthodiste. " Journal de Joseph Wolff, p. 96.<br />
Durant les vingt-quatre années qui s'écoulèrent entre 1821 et 1845, Wolff fit de grands<br />
voyages ; en Afrique, il visita l' Egypte et l'Abyssine ; en Asie, il <strong>par</strong>courut la Palestine, la Syrie,<br />
la Perse, la Boukharie et l'Inde. Il visita également les Etats-Unis, et, en s'y rendant, il s'arrêta dans<br />
l'île de Sainte Hélène pour y prêcher. Il atteignit New-York au mois d'août de l'an 1837. Après<br />
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Washington. Là, écrit-il, " sur une proposition faite <strong>par</strong> l'ex-président, John Quincy Adams, dans<br />
une séance du Congrès, l'assemblée m'accorda unanimement l'usage de la salle du Congrès, pour<br />
y faire une conférence, que je prononçai un samedi, honoré de la présence de tous les membres du<br />
Congrès ainsi que de l'évêque de la Virginie, du clergé et des habitants de Washington. Le même<br />
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