La Grande Controverse ecrit par Ellen Gould White

Ce livre révèle un conflit aigue, répandu et profonde qui sont manifestées dès l’âge des ténèbres jusqu’à nos jours. Il s’agit des principes les plus raréfiés et essentiaux de notre époque, la vérité et la liberté de conscience selon le premier amendement. Voulez-vous en connaître les raisons cachées de la mise en danger de ces valeurs ? En vous ouvrant un nouveau monde, l’auteur vous permettra de jeter un coup d’œil derrière les coulisses d’une partie de l’histoire qu’ils essaient se dissimuler - un histoire qui effectivement a modelé la contemporanéité. Il contient non seulement des révélations bouleversantes, mais également une vision encourageante de notre avenir. D'après l’auteur, le cœur de la lutte s'étend au-delà de la tentative séductrice de présenter faussement le caractère d’une guerre très ancienne mais moderne. raison revolution eglise antichrist mark of the beast solo christo sola biblia sola scriptura justification par foi reforme religieuse liberte egalite fraternite union europeenne persecution religieuse ere des tenebres lumieres renaissance luther reformateur reforme christianisme protestantisme Enter a tag and hit enter Ce livre révèle un conflit aigue, répandu et profonde qui sont manifestées dès l’âge des ténèbres jusqu’à nos jours. Il s’agit des principes les plus raréfiés et essentiaux de notre époque, la vérité et la liberté de conscience selon le premier amendement. Voulez-vous en connaître les raisons cachées de la mise en danger de ces valeurs ? En vous ouvrant un nouveau monde, l’auteur vous permettra de jeter un coup d’œil derrière les coulisses d’une partie de l’histoire qu’ils essaient se dissimuler - un histoire qui effectivement a modelé la contemporanéité. Il contient non seulement des révélations bouleversantes, mais également une vision encourageante de notre avenir. D'après l’auteur, le cœur de la lutte s'étend au-delà de la tentative séductrice de présenter faussement le caractère d’une guerre très ancienne mais moderne.
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Le dernier des signes précurseurs du retour du Sauveur eut lieu en 1833, deux ans après que Miller eut commencé ses prédications. Jésus avait dit : " Les étoiles tomberont du ciel. " ( Mathieu 24 : 29.) Et saint Jean, considérant les scènes annonciatrices du jour de Dieu, s’était écrié : " Et les étoiles du ciel tombèrent sur la terre, comme lorsqu’un figuier secoué par un vent violent jette ses figues vertes. " (Apocalypse 6 : 13.) Cette prophétie fut accomplie d’une façon frappante par la pluie de météorites du 13 novembre 1833. C’est le plus merveilleux spectacle d’étoiles filantes dont l’histoire conserve le souvenir. " Dans toute l’étendue des Etats-Unis, le firmament semblait en mouvement. Aucun phénomène céleste ne s’est jamais produit dans ce pays, depuis son occupation par les Blancs, qui ait été contemplé avec autant d’admiration par une partie des habitants et avec autant de crainte et de frayeur par l’autre. La sublimité et la grandeur de cette scène vivent encore dans le souvenir de bien des personnes. Jamais la pluie ne tomba plus dru que ces météores. Il en était de même à l’orient, à l’occident, au nord et au midi. En un mot, le ciel entier semblait en mouvement. … Ce spectacle, tel que le professeur Silliman le décrit dans son journal, fut visible dans toute l’Amérique du Nord. … Depuis deux heures du matin jusqu’au grand jour, le firmament étant sans nuages, on put contempler dans toutes les parties du ciel une gerbe incessante de traînées 1umineuses. " (R. M. Devens, Americain Progress or the Great Events of the Greatest Century, chap. 28, part. 1-5.) " La plume est impuissante à décrire la splendeur de ce spectacle. … Celui qui ne l’a pas vu ne peut s’en faire la moindre idée. Il semblait que toutes les étoiles du ciel se fussent donné rendezvous vers un point voisin du zénith, d’où elles s’élançaient avec la rapidité de l’éclair dans toutes les directions de l’horizon ; et pourtant, la provision ne s’en épuisait point ; à des milliers de météores en succédaiént d’autres milliers, comme s’ils eussent été créés pour l’occasion. " (F. Read, dans le Christian Advocate and Journal, 13 dec. 1833.) " Impossible de mieux représenter ce phénomène que par l’image d’un figuier qui, sous l’action d’un vent puissant, jette au loin sesfigues encore vertes. " (Portland evening Advertiser, 26 nov. 1833.) Le journal of Commerce, de New York, du 14 novembre, consacrait à l’événement un long article dont nous extrayons ce qui suit : " Je ne crois pas que jamais philosophe, ni savant ait décrit ou enregistré un phénomène du genre de celui dont nous avons été témoins la nuit dernière et ce 263

matin. Il y a dix-huit siècles, un prophète en avait donné une exacte prédiction, ce dont chacun peut se rendre compte s’il consent à admettre qu’une chute d’étoiles c’est une chute d’étoiles … dans le seul sens où la chose soit littéralement possible. " Ainsi s’accomplit le dernier signe avant-coureur du retour du Seigneur, au sujet duquel Jésus avait dit à ses disciples : " Quand vous verrez toutes ces choses, sachez que le Fils de l’homme est proche, à la porte." (Matthieu 24 : 33.) Après ces signes, l’exilé de Patmos vit le ciel se replier " comme un livre qu’on roule " , tandis que la terre tremblait, que les montagnes et les îles étaient remuées de leur place, et que les méchants, terrifiés, s’enfuyaient devant le Fils de l’homme. (Voir Apocalypse 6 : 12-17.) Un grand nombre de ceux qui assistèrent à cette chute d’étoiles la considérèrent comme un signe annonciateur du jugement à venir, comme " un symbole solennel, un précurseur certain, un signe miséricordieux du jour grand et redoutable ". L’attention des populations fut ainsi attirée sur l’accomplissement des prophéties, et beaucoup de personnes en vinrent à prêter l’oreille aux prédications relatives à la seconde venue du Seigneur. En 1840, un autre accomplissement des prophéties provoqua le plus vif intérêt. Deux ans auparavant, Josiah Litch, l’un des principaux hérauts du retour du Christ, avait publié une explication du neuvième chapitre de l’Apocalypse où est prédite la chute de l’empire ottoman. Selon ses calculs, cette puissance devait être renversée en août 1840. Quelques jours avant cette date, il écrivait encore : " En admettant que la première période, celle de cent cinquante ans, se soit accomplie exactement avant l’accession au trône de Dragasès muni de l’autorisation des Turcs, et que les trois cent quatre-vingt-onze ans et quinze jours aient commencé à la fin de cette première période, elle finirait le II août 1840, date à laquelle on peut s’attendre à la chute de l’empire ottoman à Constantinople. Or, je crois que ce Sera réellement le cas. " ( Josiah Litch, dans les Signs of the Tintes and Expositor of Prophecy, ler août 1840. Le neuvième chapitre de l’Apocalypse donne à la cinquième trompette une durée de cinq mois ou 150 jours, et à la sixième, une durée de 391 jours et une demi-heure. Ces deux périodes — selon la régie d’un jour pour un an — représentent respectivement 150 ans et 391 ans et 15 jours.) A l’époque spécifiée, la Turquie, par ses ambassadeurs, acceptait la protection des puissances européennes, et se plaçait ainsi sous la tutelle des nations chrétiennes. Cet événement 264

Le dernier des signes précurseurs du retour du Sauveur eut lieu en 1833, deux ans après que<br />

Miller eut commencé ses prédications. Jésus avait dit : " Les étoiles tomberont du ciel. " ( Mathieu<br />

24 : 29.) Et saint Jean, considérant les scènes annonciatrices du jour de Dieu, s’était écrié : " Et les<br />

étoiles du ciel tombèrent sur la terre, comme lorsqu’un figuier secoué <strong>par</strong> un vent violent jette ses<br />

figues vertes. " (Apocalypse 6 : 13.)<br />

Cette prophétie fut accomplie d’une façon frappante <strong>par</strong> la pluie de météorites du 13<br />

novembre 1833. C’est le plus merveilleux spectacle d’étoiles filantes dont l’histoire conserve le<br />

souvenir. " Dans toute l’étendue des Etats-Unis, le firmament semblait en mouvement. Aucun<br />

phénomène céleste ne s’est jamais produit dans ce pays, depuis son occupation <strong>par</strong> les Blancs, qui<br />

ait été contemplé avec autant d’admiration <strong>par</strong> une <strong>par</strong>tie des habitants et avec autant de crainte et<br />

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bien des personnes. Jamais la pluie ne tomba plus dru que ces météores. Il en était de même à<br />

l’orient, à l’occident, au nord et au midi. En un mot, le ciel entier semblait en mouvement. … Ce<br />

spectacle, tel que le professeur Silliman le décrit dans son journal, fut visible dans toute l’Amérique<br />

du Nord. … Depuis deux heures du matin jusqu’au grand jour, le firmament étant sans nuages, on<br />

put contempler dans toutes les <strong>par</strong>ties du ciel une gerbe incessante de traînées 1umineuses. " (R.<br />

M. Devens, Americain Progress or the Great Events of the Greatest Century, chap. 28, <strong>par</strong>t. 1-5.)<br />

" <strong>La</strong> plume est impuissante à décrire la splendeur de ce spectacle. … Celui qui ne l’a pas vu<br />

ne peut s’en faire la moindre idée. Il semblait que toutes les étoiles du ciel se fussent donné rendezvous<br />

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les directions de l’horizon ; et pourtant, la provision ne s’en épuisait point ; à des milliers de<br />

météores en succédaiént d’autres milliers, comme s’ils eussent été créés pour l’occasion. " (F.<br />

Read, dans le Christian Advocate and Journal, 13 dec. 1833.) " Impossible de mieux représenter<br />

ce phénomène que <strong>par</strong> l’image d’un figuier qui, sous l’action d’un vent puissant, jette au loin<br />

sesfigues encore vertes. " (Portland evening Advertiser, 26 nov. 1833.)<br />

Le journal of Commerce, de New York, du 14 novembre, consacrait à l’événement un long<br />

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