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PHASE I

Doc_FCCF-UL-Rapport-de-recherche-Phase-I-Poles-culturels

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L’écart entre les deux registres d’activités culturelles varie beaucoup. La figure 5<br />

le dépeint très bien. À Caraquet, la différence est, pour ainsi dire, nulle : - 0,05. Elle peut<br />

atteindre 1,43, ce qu’elle fait à Windsor. Dans l’Ouest et les territoires, elle oscille entre<br />

0,46, à Winnipeg, et 0,77, à Yellowknife ; dans les provinces maritimes, elle va de - 0,05,<br />

à Caraquet, à 0,69, à Halifax ; en Ontario, la plus faible est de 0,34, à Ottawa et Hearst, et<br />

la plus forte, de 1,43, à Windsor. Si l’on ne calcule ces restes que pour les communautés<br />

dont la culture francophone est considérée comme vigoureuse, les différences jouent<br />

entre - 0,05 et 0,70 et leur moyenne est de 0,42 (s = 0,23) ; si on le fait pour les autres<br />

milieux, elles se situent entre 0,44 et 1,43 et leur moyenne est de 0,74 (s = 0,27). Il y a<br />

donc moins de variations si les observations portent sur les communautés dont on a jugé<br />

que la culture franco-minoritaire y était plus animée et les écarts entre le général et le<br />

francophone tendent à être plus faibles, ce dont rendent compte les bâtonnets de la<br />

figure 5.<br />

PÔLES CULTURELS DE LA FRANCOPHONIE CANADIENNE - <strong>PHASE</strong> I<br />

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