PHASE I
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qui ont cours dans un contexte francophone. Une échelle de Likert à 6 niveaux – on vient tout juste de le voir – rend compte de leur fréquence. On peut additionner les positions des individus dont rendent compte les chiffres qui ont été encerclés sur les échelles, et le faire pour les énoncés qui ont trait à l’activité en général aussi bien que pour ceux qui se rapportent à l’activité dans un cadre francophone. On peut ensuite diviser les 2 totaux par 15. On a alors des scores moyens, pour toute personne qui a rempli le questionnaire, qui témoignent de son activité culturelle. On peut enfin calculer les moyennes de ces scores pour chaque communauté : on a alors des valeurs qui décrivent le degré d’activité culturelle de chaque communauté. La figure 3 présente ces résultats quand l’activité n’est pas circonscrite par la langue. Elle montre que les communautés sont semblables les unes aux autres. L’étendue n’est que de 0,65 (soit 3,60 ‒ 2,95). La barre la plus haute est celle de Caraquet (3,60) ; les plus basses sont celles de Kelowna (2,96) et de Hearst (2,95). La hauteur des bâtonnets noirs et gris varie aléatoirement. On ne peut donc pas tirer de conclusion sur le comportement culturel des communautés dans une optique générale en fonction de leur appartenance au registre de celles au sein desquelles la francité se porte le mieux. Les barres oscillent autour de la ligne de 3,20. Si l’on s’adonne très souvent à une activité, on a encerclé la valeur de 6 ; si l’on ne la pratique jamais, on a encerclé le 1. Le graphique montre clairement que l’appel pour les arts est réel autant que tempéré. PÔLES CULTURELS DE LA FRANCOPHONIE CANADIENNE - PHASE I 44
Figure 3 Moyenne des 15 activités auquelles on s'adonne en général selon la communauté (1 = jamais et 6 = très souvent) 4,00 Moyenne du total des activités divisé par 15 3,60 3,20 2,80 2,40 2,00 1,60 1,20 0,80 0,40 0,00 La figure 4 est construite sur les chiffres qui concernent l’activité culturelle en français. Les variations sont plus grandes que dans la précédente : l’empan est passé de 0,65 à 1,93 (soit 3,64 ‒ 1,71). Les bâtonnets les plus grands sont ceux de Caraquet et de Moncton-Dieppe ; le plus court est celui de Windsor. Les barres grises tendent à être moins élevées que les noires, ce qui constitue une nouvelle confirmation de l’inégalité du degré la culture franco-minoritaire ainsi que l’a perçue la Fédération culturelle canadienne-française. L’ensemble des moyennes est inférieur à celui de la figure 3, ce qui souligne que l’activité culturelle est moindre en français qu’elle ne l’est en général. PÔLES CULTURELS DE LA FRANCOPHONIE CANADIENNE - PHASE I 45
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La figure 3 présente ces résultats quand l’activité n’est pas circonscrite par la<br />
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