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PHASE I

Doc_FCCF-UL-Rapport-de-recherche-Phase-I-Poles-culturels

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échelles de Likert permettent de calculer des moyennes ; plus ce résultat est proche de 6,<br />

plus l’ensemble des personnes tend à employer le français.<br />

Le tableau 9.1. rapporte ces moyennes, leur écart-type et le nombre d’individus<br />

qui ont encerclé un chiffre. La plus élevées des moyennes est de 3,94 ; elle correspond à<br />

la langue qui est parlée avec les enfants. Dans le milieu familial, si on exclut la<br />

communication avec le conjoint, les mesures de tendance centrale sont au-dessus de 3, et<br />

elles peuvent même s’approcher de ce 3,94, ce qui est le cas des échanges avec les frères<br />

et sœurs (3,76) et avec le père (3,89). Le recours aux médias réduit quelque peu l’emploi<br />

du français : si dans le cadre familial, le conjoint y compris, les moyennes vont de 2,84 à<br />

3,94, elles s’étendent entre 2,43, pour les réseaux sociaux, et 3,24 pour le courriel.<br />

Ailleurs, les moyennes se situent entre 2,10, pour le sport organisé, et 2,78, pour les clubs<br />

sociaux. Ainsi, aucune moyenne ne s’approche de 6, ni même de 5. Le français est parlé,<br />

certes, mais dans un univers linguistiquement fort compétitif.<br />

238<br />

PÔLES CULTURELS DE LA FRANCOPHONIE CANADIENNE - <strong>PHASE</strong> I

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