PHASE I
Doc_FCCF-UL-Rapport-de-recherche-Phase-I-Poles-culturels Doc_FCCF-UL-Rapport-de-recherche-Phase-I-Poles-culturels
les lieux de production et de diffusion artistiques ; le système des facteurs nécessaires mais non suffisants peut entretenir une relation dynamique avec eux. Sur la base de ce schéma global, il est donc possible d’aménager des diagrammes plus spécifiques. Compte tenu des particularismes que nous avons été amenés à repérer tout au long de notre cheminement, il nous semble qu’il faille en dessiner 2 : i. 1 pour les communautés de taille moyenne et pour les grandes villes ; ii. 1 pour les petites communautés. L’objectif de la deuxième phase de cette recherche sera de découvrir si : i. le schéma général proposé est valable ; ii. les 2 sous-schématisations proposées sont justifiées. Pour y parvenir il faudra comprendre de l’intérieur comment s’établissent les relations entre les facteurs. En interrogeant des responsables d’organismes, le but sera d’observer : i. comment se manifestent les liens entre les divers organismes à vocation linguistique ; ii. comment se manifestent les liens entre les organismes à vocation linguistique et artistiques ; iii. comment se manifestent les liens entre, d’une part, les organismes à vocation linguistique et, d’autre part, les organismes à vocation linguistique et artistique ; iv. comment, dans les organismes, sont intégrées les informations relatives au couple nombre de francophones – écoles ; v. quelles relations les organismes entretiennent avec les établissements d’enseignement postsecondaire ; vi. comment, dans les organismes, sont intériorisées et activées les données du registre périphérique, notamment celles qui ont trait aux lieux de production et de diffusion et aux médias ; vii. comment, dans les organismes, sont intériorisées et activées les données relatives aux facteurs favorables mais non nécessaires : programmes d’appui aux arts, politiques culturelles locales, conseils municipaux, programmes et organismes artistiques des écoles secondaires ; PÔLES CULTURELS DE LA FRANCOPHONIE CANADIENNE - PHASE I 124
viii. comment, dans les organismes, sont intériorisées et activées les informations relatives à l’environnement extérieur. Nous proposons de valider les schémas en retournant dans 12 communautés : 4 dans les provinces maritimes, 4 en Ontario et 4 dans l’ouest et les territoires. Ces 4 communautés seront, dans chacune de ces aires géographiques, subdivisées en 1 ville grande ou de taille moyenne et en une petite. L’une de ces communautés appartiendra à celles dont on a considéré que la culture franco-minoritaire y était faible, l’autre à celles où cette culture a été jugée comme forte. Le but de cette subdivision est de veiller par la comparaison à ne rien laisser s’échapper qui soit empiriquement utile à la compréhension des modèles et, éventuellement, à leur ajustement. Les 3 aires géographiques sont comparées afin de découvrir s’il n’y a pas quelque chose qui soit spécifique à chacune d’elles par-delà la logique de la taille des communautés. La division selon la taille des communautés va de soi puisqu’elle constitue un effet de la conclusion à laquelle nous sommes arrivés. La comparaison à nouveau des communautés selon leur niveau de vitalité a pour but de veiller à ce que les modèles appréhendent tout autant ce qui est apte au bon fonctionne que ce qui est moins favorable. Les communautés devraient être les suivantes : i. dans les provinces de l’Atlantique : • St-John’s • Évangéline-Summerside • Moncton-Dieppe • Caraquet ii. en Ontario : • Penetanguishene • Sudbury • Windsor • Hearst PÔLES CULTURELS DE LA FRANCOPHONIE CANADIENNE - PHASE I 125
- Page 80 and 81: Aire Tableau 10 Proportion de diver
- Page 82 and 83: Tableau 11 Divers indicateurs du re
- Page 84 and 85: éunis 104 , on ne trouve pas de di
- Page 86 and 87: Tableau 14 Divers indicateurs de l
- Page 88 and 89: iv. les services professionnels, sc
- Page 90 and 91: Aire Taille de la communauté Table
- Page 92 and 93: 3.9. L’orientation culturelle de
- Page 94 and 95: Yellowknife où le conseil a pris 1
- Page 96 and 97: 3.10.3. Dans les établissements po
- Page 98 and 99: 3.11. L’activité locale d’orga
- Page 100 and 101: organismes se concentrent en litté
- Page 102 and 103: Aire Taille de la communauté Table
- Page 104 and 105: Toutes les communautés jouissent d
- Page 106 and 107: Aire Tableau 21 Organismes bilingue
- Page 108 and 109: grandes villes, il y a plus de ces
- Page 110 and 111: Aire Tableau 23 Nombre de lieux de
- Page 112 and 113: Aire Tableau 25 Nombre de médias l
- Page 114 and 115: x. L’absence d’une politique ou
- Page 116 and 117: v. une activité régionale d’org
- Page 118 and 119: Figure 21 Facteurs qui relèvent d
- Page 120 and 121: Figure 22 Facteurs nécessaires mai
- Page 122 and 123: Figure 23 Facteurs nécessaires mai
- Page 124 and 125: on peut concevoir une vigueur artis
- Page 126 and 127: CONCLUSION DE LA PREMIÈRE PHASE Au
- Page 128 and 129: trialisme formé des « organismes
- Page 132 and 133: iii. dans l’Ouest et les territoi
- Page 134 and 135: BIBLIOGRAPHIE Allain, Greg, Guy Chi
- Page 136 and 137: Policy Studies, Princeton Universit
- Page 138 and 139: ANNEXE 1 - DESCRIPTION DES COMMUNAU
- Page 140 and 141: adio en français » ou « pour le
- Page 142 and 143: Sur les 15 tests, il n’y en a que
- Page 144 and 145: Activités culturelles Tableau 1.2.
- Page 146 and 147: faibles consommateurs est en deçà
- Page 148 and 149: Tableau 1.3. Différence pour l’o
- Page 150 and 151: Tableau 1.4. Différence pour l’o
- Page 152 and 153: 1.2. Halifax (N.-É.) 1.2.1. Profil
- Page 154 and 155: 1.2.2. Langue de communication Le t
- Page 156 and 157: Activités culturelles Tableau 2.3.
- Page 158 and 159: Tableau 2.4. Différence de moyenne
- Page 160 and 161: Tableau 2.5. Différence de moyenne
- Page 162 and 163: 1.2.6.2. Nombre d’événements Le
- Page 164 and 165: du secteur des arts, aux consommate
- Page 166 and 167: diplôme d’études universitaires
- Page 168 and 169: Tableau 3.2. Langue de communicatio
- Page 170 and 171: 1.3.4. Opinion sur la fréquence de
- Page 172 and 173: 1.3.5. L’importance de la dimensi
- Page 174 and 175: tableau 3.6.). Les moins nombreux s
- Page 176 and 177: projetés dans des salles durant un
- Page 178 and 179: 1.4. Évangéline-Summerside (Î.-P
viii.<br />
comment, dans les organismes, sont intériorisées et activées les<br />
informations relatives à l’environnement extérieur.<br />
Nous proposons de valider les schémas en retournant dans 12 communautés : 4<br />
dans les provinces maritimes, 4 en Ontario et 4 dans l’ouest et les territoires. Ces 4<br />
communautés seront, dans chacune de ces aires géographiques, subdivisées en 1 ville<br />
grande ou de taille moyenne et en une petite. L’une de ces communautés appartiendra à<br />
celles dont on a considéré que la culture franco-minoritaire y était faible, l’autre à celles<br />
où cette culture a été jugée comme forte. Le but de cette subdivision est de veiller par la<br />
comparaison à ne rien laisser s’échapper qui soit empiriquement utile à la compréhension<br />
des modèles et, éventuellement, à leur ajustement. Les 3 aires géographiques sont<br />
comparées afin de découvrir s’il n’y a pas quelque chose qui soit spécifique à chacune<br />
d’elles par-delà la logique de la taille des communautés. La division selon la taille des<br />
communautés va de soi puisqu’elle constitue un effet de la conclusion à laquelle nous<br />
sommes arrivés. La comparaison à nouveau des communautés selon leur niveau de<br />
vitalité a pour but de veiller à ce que les modèles appréhendent tout autant ce qui est apte<br />
au bon fonctionne que ce qui est moins favorable. Les communautés devraient être les<br />
suivantes :<br />
i. dans les provinces de l’Atlantique :<br />
• St-John’s<br />
• Évangéline-Summerside<br />
• Moncton-Dieppe<br />
• Caraquet<br />
ii. en Ontario :<br />
• Penetanguishene<br />
• Sudbury<br />
• Windsor<br />
• Hearst<br />
PÔLES CULTURELS DE LA FRANCOPHONIE CANADIENNE - <strong>PHASE</strong> I<br />
125