153 - Gottfried Wilhelm Leibniz Bibliothek

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N. 230 ii. allgemeiner und gelehrter briefwechsel 1700 417 Blesendorff suivant son desseing, il sera bon de le renvoyer icy, le plustost qu’il se pourra afin que M r de Blesendorff commence d’autant plustost le travail. Madame l’Electrice part demain pour Hannovre où elle arrivera mercredy ou jeudy. Je suis 〈...〉 Berlin ce 11/21 feb r 1700 5 230. CHRISTOPHE BROSSEAU AN LEIBNIZ Paris, 22. Februar 1700. [196. 240.] Überlieferung: K Abfertigung: LBr. 119 Bl. 292. 4 o . 2 S. Eigh. Anschrift. De Paris ce 22 e de Fev er 1700. Vous avez, Monsieur, imaginé le véritable moyen, si je ne me trompe, de lever la diffi- 10 culté qui a jusqu’icy empesché Mess rs de l’académie Royale des Sciences de faire expédier vos lettres d’académicien honoraire, en consentant que l’on vous y donne seulement la qualité de Con er d’Estat d’Hannover. J’ay donné à Mons r le Marquis de l’Hospital un extrait de ce qu’il vous a plù de me dire sur ce sujet. Avanthier je luy fis rendre la lettre que j’ay trouvée pour luy dans le pacquet où estoient celles que vous avez ecrites tant 15 à Mons r l’Abbé Bignon, qu’à moy en datte du 8 e du courant. Cet abbé est allé passer les jours gras à Creteil où j’ay une petite maison, ce qui m’a procuré l’honneur de le voir deux fois l’an passé. Je luy ay envoyé vostre lettre ce jour là même par une voye prompte, et je suis seur qu’il l’aura leüe avec bien du plaisir aussy bien que celle qui s’adresse à l’Académie. Le R d Pere Verjus à qui je l’ay communiquée m’a témoigné d’en 20 faire une particuliere estime, et cela, Monsieur ne peut estre autrement, tout ce qui vient de vous estant d’un sens exquis, et d’une tres grande erudition. Je ne doute point que Mons r l’Abbé Bignon ne fasse le raport à l’académie de cette excellente lettre aussy tost aprés son retour de la campagne, et que je n’aye quelque chose d’agréable à vous mander 3 mercredy ou jeudy: 24. bzw. 25. Februar n. St. Zu N. 230: K antwortet auf einen nicht gefundenen Leibnizbrief vom 8. Februar (vgl. Z. 15 f.), der möglicherweise zu identifizieren ist mit N. 155. Dieser gehörte zu einer Sendung mit drei weiteren Briefen: a) an L’Hospital (vgl. Z. 14 f.; nicht gefunden); b) an Bignon (vgl. Z. 16; nicht gefunden); c) an die Académie des Sciences (vgl. Z. 19 f.; N. 204).

418 ii. allgemeiner und gelehrter briefwechsel 1700 N. 231 là dessus de sa part. Tenez moy toujours cependant, Monsieur, pour un des homes du monde qui vous honore le plus parfaitement, et qui est de même 〈...〉 M r de Leibnitz. 231. DANIEL ERNST JABLONSKI AN LEIBNIZ 5 Berlin, 13. (23.) Februar 1700. [194. 254.] Überlieferung: K Auszug: Berlin Staatsbibl. Preuß. Kulturbesitz Nachlaß A. H. Francke K. 11, 2 (D. E. Jablonski) Fasz. E, S. 34–43. — Gedr.: W. Delius, Berliner kirchliche Unionsversuche im 17. und 18. Jahrhundert, in: Jahrbuch für Berlin-Brandenburgische Kirchengeschichte 45, 1970, S. 7–121, hier S. 99–102. 10 Ad Ill. Dn. Leibnitz d. 13. Febr. Berlin. P. P. Nachdem unsere projectierte Antwort auff die Unvorgreifl. Gedancken eine Zeitlang ins stecken gerathen (ich werde Meinem hochgeneigten Hern Geheimbten Rath nicht den verdruß anthun, die Ursachen dessen zu erzehlen), ist man nun daran selbige auszufertigen. Ich halte aber dafür, daß nach denen bißherigen Gegen-Erklärungen es 15 nicht schwer seyn werde Berlin und Hannover zu vergleichen; sondern das größeste sey, daß jede Parthey die Ihrigen nach sich ziehe, und zu einer gleichen friedfertigen einstimmung disponire. An Reformirter seiten hoffe ich durch Gottes Hülffe es zu prestiren. Nicht zwar durch die ehmahls projectirte Conferentz, welche gäntzlich aufgegeben habe (wegen vieler bedäncklichen umbstände, die zu weitleufftig zu erzehlen; zumahl auch 20 H. Scultetus, ohne éclat aus Hamburg nicht gehen kan, oder darff): sondern also, daß bey nechstem Hochf. beylager, die beyde hohe Häüpter die sache erst unter sich abreden: hernach hoffe Ich mittel zu finden Churf. Consens zu erhalten, nacher Cassel, Marpurg, Holl- und Engelland zu gehen, und die gesamte Reformirte Kirche allso zu stimmen, Zu N. 231: Die nicht gefundene Abfertigung antwortet möglicherweise auf N. 194 (vgl. S. 419 Z. 20 Erl.) und wird beantwortet durch N. 254. Beilagen waren (in eigh. Abschrift) ein Brief J. F. Mayers an Jablonski, ein Brief Jablonskis an J. F. Mayer (vgl. S. 421 Z. 20 f.) und eine ” Confession der Polnischen Kirchen‘‘ (vgl. S. 422 Z. 1–6). Vgl. noch S. 419 Z. 7 u. Erl. 11 Antwort: Eine Antwort auf Leibniz’ und G. W. Molanus’ Unvorgreiffliches Bedencken erfolgte nicht. 18 Conferentz: vgl. N. 181 Erl. 21 beyde . . . Häupter: Friedrich III. von Brandenburg u. Georg Ludwig v. Hannover.

N. 230 ii. allgemeiner und gelehrter briefwechsel 1700 417<br />

Blesendorff suivant son desseing, il sera bon de le renvoyer icy, le plustost qu’il se pourra<br />

afin que M r de Blesendorff commence d’autant plustost le travail. Madame l’Electrice<br />

part demain pour Hannovre où elle arrivera mercredy ou jeudy.<br />

Je suis 〈...〉<br />

Berlin ce 11/21 feb r 1700 5<br />

230. CHRISTOPHE BROSSEAU AN LEIBNIZ<br />

Paris, 22. Februar 1700. [196. 240.]<br />

Überlieferung: K Abfertigung: LBr. 119 Bl. 292. 4 o . 2 S. Eigh. Anschrift.<br />

De Paris ce 22 e de Fev er 1700.<br />

Vous avez, Monsieur, imaginé le véritable moyen, si je ne me trompe, de lever la diffi- 10<br />

culté qui a jusqu’icy empesché Mess rs de l’académie Royale des Sciences de faire expédier<br />

vos lettres d’académicien honoraire, en consentant que l’on vous y donne seulement la<br />

qualité de Con er d’Estat d’Hannover. J’ay donné à Mons r le Marquis de l’Hospital un<br />

extrait de ce qu’il vous a plù de me dire sur ce sujet. Avanthier je luy fis rendre la lettre<br />

que j’ay trouvée pour luy dans le pacquet où estoient celles que vous avez ecrites tant 15<br />

à Mons r l’Abbé Bignon, qu’à moy en datte du 8 e du courant. Cet abbé est allé passer<br />

les jours gras à Creteil où j’ay une petite maison, ce qui m’a procuré l’honneur de le<br />

voir deux fois l’an passé. Je luy ay envoyé vostre lettre ce jour là même par une voye<br />

prompte, et je suis seur qu’il l’aura leüe avec bien du plaisir aussy bien que celle qui<br />

s’adresse à l’Académie. Le R d Pere Verjus à qui je l’ay communiquée m’a témoigné d’en 20<br />

faire une particuliere estime, et cela, Monsieur ne peut estre autrement, tout ce qui vient<br />

de vous estant d’un sens exquis, et d’une tres grande erudition. Je ne doute point que<br />

Mons r l’Abbé Bignon ne fasse le raport à l’académie de cette excellente lettre aussy tost<br />

aprés son retour de la campagne, et que je n’aye quelque chose d’agréable à vous mander<br />

3 mercredy ou jeudy: 24. bzw. 25. Februar n. St.<br />

Zu N. 230: K antwortet auf einen nicht gefundenen <strong>Leibniz</strong>brief vom 8. Februar (vgl. Z. 15 f.),<br />

der möglicherweise zu identifizieren ist mit N. 155. Dieser gehörte zu einer Sendung mit drei weiteren<br />

Briefen: a) an L’Hospital (vgl. Z. 14 f.; nicht gefunden); b) an Bignon (vgl. Z. 16; nicht gefunden); c) an<br />

die Académie des Sciences (vgl. Z. 19 f.; N. 204).

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