153 - Gottfried Wilhelm Leibniz Bibliothek

224 ii. allgemeiner und gelehrter briefwechsel 1700 N. 153
153. JACQUES-BÉNIGNE BOSSUET AN LEIBNIZ
Meaux, 9. Januar 1700. [195.]
Überlieferung:
k 1 Konzept: Paris Bibl. Nationale, Collection Henri de Rothschild. 4 o . 29 1/2 S. Mit klei-
5 neren Korrekturen, Ergänzungen und Schlußkurialien von Bossuets Hand (Kik 1 ). Vgl.
Porcher, Catalogue, 1932, Nr. 249.
k 2 Abfertigung: LH I 19 Bl. 426–439. 7 Bog. 4 o . 28 S. Kleinere Korrekturen u. Schlußkurialien
von Bossuets Hand. (Unsere Druckvorlage.) — Gedr.: Bossuet, Correspondance, 12,
1920, S. 123–140.
10 A Abschrift nach k 1 : Paris Bibl. Nationale, Collection Henri de Rothschild. 2 o . 10 1/4 S.
von F. Ledieus Hand. Vgl. Porcher, Catalogue, 1932, Nr. 298.
E Bossuet, Œuvres posthumes éd. Leroy, 1, 1753, S. 448–458 (nach A); danach 1. Dutens,
Opera, 1, 1768, S. 596–605; 2. Bossuet, Œuvres éd. Deforis, 10, 1778, S. 158–169;
3. (teilw.) Dassance, Concile de Trente, 1, 1842, S. CCCIX–CCCXII; 4. Bossuet, His-
15 toire des variations, 2, 1844, S. 495–507; 5. Foucher de Careil, Œuvres, 2, 1860, S. 278
bis 293; 2. Aufl., 1869, S. 282–297; 6. Bossuet, Œuvres complètes ed. Lachat, 18, 1864,
S. 250–260; 7. (teilw.) F. Gaquère, Le dialogue irénique Bossuet-Leibniz. La réunion des
Eglises en échec (1691–1702), Paris 1966, S. 204–206.
Monsieur A Meaux 9 janvier 1700.
20 Rien ne me pouvoit arriver de plus agreable que d’avoir à satisfaire selon mon pouvoir
aux demandes d’un aussi grand prince que Monseigneur le duc Antoine Ulric, et encore
m’estant proposées par un homme aussi habile et que j’estime autant que vous. elles se
rapportent à deux points: le premier consiste à juger d’un livret intitulé s e c r e t i o
etc. ce qui demande du temps non pour le volume, mais pour la qualité des matieres sur
25 les-quelles il faut parler seurement et juste. Je supplie donc Son Altesse de me permettre
un court delay parceque n’ayant receu ce livret que depuis deux jours, à peine ai je eu le
loisir de le considerer.
La seconde demande a deux parties dont la premiere regarde les conditions et les
principes par lesquels on peut reconnoistre ce qui est de foy en le distinguant de ce qui
Zu N. 153: k 2 wurde Leibniz durch Vermittlung von Du Heron (vgl. N. 216) zugesandt. Es bildet
den 1. Teil von Bossuets Antwort (vgl. Z. 28 – S. 225 Z. 2 u. S. 235 Z. 23–25) auf I, 17 N. 408 und wird
vorläufig beantwortet durch N. 353 sowie im einzelnen durch N. 368 und N. 374. Unser Text wird erwähnt
bei Leibniz, Falsiloquium, vgl. S. 226 Z. 3 f. Erl. Den 2. Teil liefert Bossuet mit N. 195. 23 s e c r e t i o :
[N. v. Zitzewitz,] Secretio, 1699.