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153 - Gottfried Wilhelm Leibniz Bibliothek

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136. CHILIAN SCHRADER AN LEIBNIZ<br />

Celle, 22. Dezember 1699 (1. Januar 1700). [143.]<br />

Überlieferung: K Abfertigung: Hannover Niedersächs. Landesbibl. Ms XXIII 47 Bl. 160<br />

bis 161. 1 Bog. 8o . 3 S. — Auf Bl. 161 ro L von N. 143. — Über der Anrede mit roter Tinte<br />

von nicht identifizierter Hand Notiz a d S i g i l l a L’Aigle d’Anhalt‘‘ u. Unterstreichung 5<br />

”<br />

im Text Z. 17 ( de l’aigle . . . Anhalt‘‘).<br />

”<br />

Monsieur, Zel. ce 22 Dec. 99.<br />

L’archif de Wolfenb. ne m’est pas si connu que vous peutétre croyés. 1 Il y avoit de<br />

mon temps encore un autre archivaire nommé Schade qui en avoit la direction. Et comme<br />

il etoit vieux et envieux, et que j’avois d’autres employs dans la Chancellerie, il y peut 10<br />

avoir quantité de diplomes et documents dont je n’aye jamais eu la vuë. Je me souviens<br />

d’un certain appartement au chateau où on gardoit des papiers d’importance. Mais feu<br />

M r Schade ne m’y mena qu’une fois, et ne m’en faisoit voir que les dehors, de sorte<br />

Monsieur, que je ne vous scaurois indiquer les particularités ou raretés du dit archive:<br />

aussi n’ay je aucune copie portée de ce lieu là. Celles que vous y avés trouvées seront 15<br />

apparemment de Riddageshausen, ou du Cloitre d’Aegidius à Brounsvic.<br />

Votre remarque de l’aigle qui est dans les sigilles d’Anhalt est fort curieuse. Il y a tout<br />

lieu de croire que c’est aussi l’origine de celuy qui est dans les Sigilles de Brandenbourg,<br />

et on voit parlà que la propagation de ces sortes de choses est quelquefois purement<br />

accidentelle. J’ay escrit cy joint à Mons r Hackman et luy ay donné des avertissements de 20<br />

1 〈Darüber Bemerkung von L e i b n i z ’ Hand:〉 M. Schrader y est encor venu<br />

quelque fois depuis qu’il est au service de Zell.<br />

Zu N. 136: K antwortet auf einen nicht gefundenen <strong>Leibniz</strong>brief (vgl. I, 17 N. 407 Erl.) und wird<br />

beantwortet durch N. 143. Beilage war ein nicht gefundener Brief Schraders an Hackmann (vgl. Z. 20 u.<br />

N. 2).

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