Leibniz, Akademie-Ausgabe, Bd. I, 22 - Gottfried Wilhelm Leibniz ...

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760 ii. allgemeiner und gelehrter briefwechsel 1703 N. 441 ver tous jusques icy, et on me promit de m’envoyer une specification de ce qu’on a peut trouver pour Vous l’envoyer et pour attendre Vos ordres, si Vous voulez qu’on les achete quoyqu’elles ne soyent point completes. Aussy tot que l’on m’aura envoyé cette specification j’auray soin de Vous la faire rendre. 5 Son Excellence Mons. Le Baron de Schutz Vous fait bien Les compliments, Il Vous repondera avec le premier ordinaire. 441. CHILIAN SCHRADER AN LEIBNIZ Celle, 27. Dezember 1703. [416.] Überlieferung: K Abfertigung: LBr. 829 Bl. 195. 4 o . 2 S. 10 à Cel ce 27. Dec. 1703. Le livre, qui fait partie des MS. de feu Mons r Hofman, intitulé Antiquitates Halberstadenses, qu’on m’a autrefois communiqué d’Hanovre, pour des affaires de la Ser me Maison, s’est enfin retrouvé bien gardé dans nos archives. Je vous demande pardon de la peine que je vous ay peutêtre causée inutilement. 15 Je n’etois pas en état de sortir pour le chercher moy meme: et le chanceliste ne le pouvoit pas trouver, ce qu’il me fit croire que je vous l’avois deja renvoyé. Vôtre lettre pour M r le Tresorier Boun luy a eté rendue aussitót, et j’ay plusieurs fois fait demander reponce, surquoy il m’a fait dire enfin que vous l’auriés aujourdhuy par son beaufils M r le Secretaire Blume qui retourne à Hanovre. 20 Je suis 〈...〉 1 f. une specification . . . l’envoyer: Im Brief vom 4. Januar 1704 gibt Püchler einen Überblick über die noch erhältlichen Nummern der Philosophical T r a n s a c t i o n s. Zu N. 441: K antwortet auf einen nicht gefundenen Leibnizbrief, dem der Z. 17 angesprochene Brief beigelegt war. Der nächste Brief der Korrespondenz (Schrader an Leibniz) datiert vom 13. Januar 1704 (Druck in I, 23). 11 MS.: vgl. J. H. Hoffmann (SV.). 12 autrefois: Eine Bitte Schraders um Ausleihe ist für 1700 bezeugt (I, 18 N. 280). 15 chanceliste: nicht ermittelt. 17 lettre: Ein Leibnizbrief an den cellischen Kammersekretär G. Chr. von Bonn wurde nicht gefunden. Kanzleisekretär Chr. U. von Blum(e). 19 beaufils: der hannoversche

N. 442 ii. allgemeiner und gelehrter briefwechsel 1703 761 442. LEIBNIZ AN HEINRICH RÜDIGER VON ILGEN [Hannover, Ende Dezember 1703]. [368.] Überlieferung: L Konzept: LH XI 4 Bl. 212. 2 o . 2 S. Mit zahlreichen Korrekturen und einigen Ergänzungen. Bibl.verm. Monsieur 5 Vous honnorant et vous estimant comme je fais, j’estois allarmé de la maladie de V. E. et ravi depuis d’apprendre le retablissement d’une santé qui m’est pretieuse. Et ce fut Mad. l’Electrice même, qui me fit la grace d’en parler dans une de ses lettres de Luzenbourg. J’etois tenté dés lors de vous en feliciter, mais je pensois d’avoir bien tost l’honneur de vous voir. Cependant d’autres occupations et empechemens ont traversé 10 ce dessein. De sorte que j’ay crû que je ne devois point laisser ecouler l’année sans m’acquiter par un mot de lettre d’un devoir que vos bontés semblent exiger de moy, et dont je m’aquitte en vous faisant en meme temps des souhaits d’une heureuse nouvelle année suivie de beaucoup de semblables toutes pleines de satisfaction, dont la bonne santé est la meilleure partie et j’espere que la vostre sera bien affermie. Le principe de 15 mes souhaits sinceres ne vient pas tant de mon interest, que de celuy du Roy et du public. Car quoyque vous puissiés, avoir jugé, Monsieur, ou fait juger, je ne laisse pas d’estre egal dans mes sentimens, vous ne pouvés pas souhaiter plus que moy la veritable gloire du Roy, parce que je crois que la conservation de la Religion protestante, et de la liberté publique depend en bonne partie de la route que Sa Majesté pourra prendre, 20 6 f. fais, (1 ) je fus ravi d’apprendre (a) vo bricht ab (b) le rétablissement de (aa) vostre santé, l’esté passé (bb) la santé de Vostre Excellence l’esté passé (2 ) je vous (3 ) j’estois . . . pretieuse L 12–15 et dont . . . affermie erg. L 17 qvoyqve je vous L korr. Hrsg. Zu N. 442: L wurde an Stelle von N. 368 gegen Jahresende (vgl. Z. 11–14) aufgesetzt. Eine Abfertigung des formal nicht abgeschlossenen Konzepts (eine Hinleitung auf die Schlusskurialien fehlt ebenso wie eine — häufig erst nachträglich gesetzte — Angabe zu Empfänger und Datierung) wurde nicht gefunden; auch eine Antwort ist nicht belegt. Das nächste überlieferte Stück der Korrespondenz ist Nr. 60/5 Bl. [258a]–259 (Hannover Niedersächs. Hauptstaatsarchiv Celle Br. 77 ein Brief Ilgens vom 17. Januar 1705). 8 parler: in N. 70. 9 tenté . . . feliciter: mit N. 368.

N. 442 ii. allgemeiner und gelehrter briefwechsel 1703 761<br />

442. LEIBNIZ AN HEINRICH RÜDIGER VON ILGEN<br />

[Hannover, Ende Dezember 1703]. [368.]<br />

Überlieferung: L Konzept: LH XI 4 Bl. 212. 2 o . 2 S. Mit zahlreichen Korrekturen und<br />

einigen Ergänzungen. Bibl.verm.<br />

Monsieur 5<br />

Vous honnorant et vous estimant comme je fais, j’estois allarmé de la maladie de<br />

V. E. et ravi depuis d’apprendre le retablissement d’une santé qui m’est pretieuse. Et<br />

ce fut Mad. l’Electrice même, qui me fit la grace d’en parler dans une de ses lettres de<br />

Luzenbourg. J’etois tenté dés lors de vous en feliciter, mais je pensois d’avoir bien tost<br />

l’honneur de vous voir. Cependant d’autres occupations et empechemens ont traversé 10<br />

ce dessein. De sorte que j’ay crû que je ne devois point laisser ecouler l’année sans<br />

m’acquiter par un mot de lettre d’un devoir que vos bontés semblent exiger de moy, et<br />

dont je m’aquitte en vous faisant en meme temps des souhaits d’une heureuse nouvelle<br />

année suivie de beaucoup de semblables toutes pleines de satisfaction, dont la bonne<br />

santé est la meilleure partie et j’espere que la vostre sera bien affermie. Le principe de 15<br />

mes souhaits sinceres ne vient pas tant de mon interest, que de celuy du Roy et du<br />

public. Car quoyque vous puissiés, avoir jugé, Monsieur, ou fait juger, je ne laisse pas<br />

d’estre egal dans mes sentimens, vous ne pouvés pas souhaiter plus que moy la veritable<br />

gloire du Roy, parce que je crois que la conservation de la Religion protestante, et de<br />

la liberté publique depend en bonne partie de la route que Sa Majesté pourra prendre, 20<br />

6 f. fais, (1 ) je fus ravi d’apprendre (a) vo bricht ab (b) le rétablissement de (aa) vostre santé,<br />

l’esté passé (bb) la santé de Vostre Excellence l’esté passé (2 ) je vous (3 ) j’estois . . . pretieuse L<br />

12–15 et dont . . . affermie erg. L 17 qvoyqve je vous L korr. Hrsg.<br />

Zu N. 442: L wurde an Stelle von N. 368 gegen Jahresende (vgl. Z. 11–14) aufgesetzt. Eine Abfertigung<br />

des formal nicht abgeschlossenen Konzepts (eine Hinleitung auf die Schlusskurialien fehlt ebenso<br />

wie eine — häufig erst nachträglich gesetzte — Angabe zu Empfänger und Datierung) wurde nicht gefunden;<br />

auch eine Antwort ist nicht belegt. Das nächste überlieferte Stück der Korrespondenz ist Nr. 60/5<br />

Bl. [258a]–259 (Hannover Niedersächs. Hauptstaatsarchiv Celle Br. 77 ein Brief Ilgens vom 17. Januar<br />

1705). 8 parler: in N. 70. 9 tenté . . . feliciter: mit N. 368.

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