D C thorax imagerie en coupes o2 - RADIOLOGIE BRABOIS
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econstruction<strong>coupes</strong> 1.5 mmreconstruction<strong>coupes</strong> 2.5 mmépaisseur de coupe reconstruite et niveau de bruit quantique visible
filtredurfiltrestandard<strong>coupes</strong> reconstruites <strong>en</strong> 1.5 mm d'épaisseur<strong>coupes</strong> reconstruites <strong>en</strong> 5 mm d'épaisseur
les artefacts <strong>en</strong> <strong>imagerie</strong> CT thoracique-les artefacts cinétiques ils sont liés aux apnées mal contrôlées et aux battem<strong>en</strong>tscardiaques transmis ( région para cardiaque, lingula ). Ils expliqu<strong>en</strong>t aussi les aspectsstellaires des images vasculaires aux bases (artefacts de pulsations vasculaires;pseudobronchectasies).Pourles diminuer ,il faut réduire la durée de rotation au minimum-les artefacts de durcissem<strong>en</strong>t du faisceau .Ils r<strong>en</strong>d<strong>en</strong>t plus visible le bruit quantique etles artefacts cinétiques dans les régions postérieures ‘para-rachidi<strong>en</strong>nes) <strong>en</strong> particulierchez les sujets obèses.
inspirationexpirationpneumopathie d’hypers<strong>en</strong>sibilité ; bronchiolite oblitérantepiégeage aéri<strong>en</strong> expiratoire
<strong>coupes</strong> millimétriquesdécubituscongestion passive sous pleurale postérieure(opacités ou images "gravito-dép<strong>en</strong>dantes’’)<strong>coupes</strong> millimétriqueprocubitus
NSIP pneumonie interstitielle non spécifique
les modalités de visualisation <strong>en</strong> CT thoraciquela visualisation doit se faire sur écran +++ (soft copy)impérativem<strong>en</strong>t ; sur des <strong>coupes</strong> de 0.625 ou 1,5 mm etsur des <strong>coupes</strong> plus épaisses ( 5 à 8 mm <strong>en</strong> MIP ,slidingthin slab ) pour distinguer les micronodules vrais desimages vasculaires artérielles <strong>en</strong> périphérie +++++le f<strong>en</strong>êtrage de visualisation doit être adapté (emphysèmeet atteintes de bronches distales : f<strong>en</strong>êtrage‘’étroit’’( WL 800 UH , WW 900 UH.)la modalité de visualisation peut être optimisée : MIP pourles micronodules et les miliaires ; minIP pour les imagessubtiles de perfusion ‘’<strong>en</strong> mosaïque’’
<strong>coupes</strong> 5 mmpoumon normalà l’état normal :bronchioles et septa non vus, <strong>en</strong> périphérieartères visualisées plus loin que veines.coupe millimétrique
coupe 5 mmasbestosecoupe millimétrique
coupe millimétriquecoupe 5 mmmicronodules périlymphatiques ;sarcoïdose
coupe 2,5 mmcoupe 1,25 mmBCGite miliaire ;carcinome vésical traité<strong>coupes</strong> 10 mm MIPsliding thin slab
olighémie "<strong>en</strong> aires"; embolie pulmonairechronique avec HTP post-embolique
trachéo-bronchomégaliesd de Mounier -KühnMPR minIP
l’injection de produit de contraste <strong>en</strong> CTthoracique- produits de contraste iodés hydrosolubles de faibleosmolalité non-ioniques ou iso-osmolaires (Visipaque® ) ;270 à 350 mg iode/ml.2 ml/kg à 3 ml /s .l’embole pulsépar sérum salé isotonique permet de réduire de 20 à 30%<strong>en</strong> volume ,<strong>en</strong> augm<strong>en</strong>tant le débit d’injection de 1 à 2ml/s- l’injection doit se faire préfér<strong>en</strong>tiellem<strong>en</strong>t au pli ducoude gauche (sauf si pathologie aortique dissection );dans les 2 bras si sd cave supérieur- pathologies des vaisseaux pulmonaires (artères++++ etveines ) ,du cœur (synchronisation ECG pour lamorphologie et l’évaluation de la fraction d’éjectionv<strong>en</strong>triculaire ), des coronaires, de l’aorte thoracique etde ses branches (acquisitions prospectives ‘’step andshoot’’ pour réduire l’exposition ), des structuresveineuses systémiques (VCS ,v azygos,..)- pathologies tumorales ,inflammatoires ,infectieuses,malformatives du poumon ,du médiastin ,des paroisthoraciques….( visualisation des artères systémiques dupoumon )- caractérisation lésionnelle ,cinétique de rehaussem<strong>en</strong>t(cancers primitifs bronchiques ++)
embolie pulmonaire proximale" <strong>en</strong> selle " et TVP poplitée
les post-traitem<strong>en</strong>t courants et futurs <strong>en</strong> CT du <strong>thorax</strong>- les reformations multiplanairesfrontales ,sagittales ,obliques ,avec possibilité devarier l’épaisseur (MPVR multiplanar volumicreformation) et la modalité de visualisation ;MIP,minIP,average…-les images <strong>en</strong> r<strong>en</strong>du de volume ( VRT , volume r<strong>en</strong>dering )emphysème avec possibilité de calcul des volumespulmonairesexplorations cardiaques et coronaires .-les post-traitem<strong>en</strong>ts vasculaires spécialisésadvanced vascular analysis m<strong>en</strong>surations quantificationdes sténoses ,mesures des débits ,modélisation desprothèses ,réalité virtuelle augm<strong>en</strong>tée et robotisationde la chirurgie…-les fusions d’image CT IRM angiographie numérisée SPECT,PET- le futurl’<strong>imagerie</strong> CT ‘’fonctionnelle’’ (perfusion) du poumon (et du cœur ! ! ! ) par la quatrième dim<strong>en</strong>sion(résolution temporelle ++++)MPRminIPlésion excavée"broncho c<strong>en</strong>trée"
VR poumon normalVRT poumon normal
VR emphysème c<strong>en</strong>tro-lobulaireVRT
SténosetrachéalepostintubationEndoscopievirtuelle
Exploration CT des artères systémiques du poumon- apport de l'angio CT HRartèresbronchiquesCPC postembolique
artères mammaire etépigastriquesartèresdiaphragmatiques
artères diaphragmatiques et bronchiques ; séquelles pleuropar<strong>en</strong>chymateuses tuberculeuses
exploration systématique des douleurs thoraciques aiguës (sans décalagedu segm<strong>en</strong>t ST ni élévation de la troponinémie! ! ! ) : triple rule outéliminer embolie pulmonaire , dissection aortique,pathologie coronaire aiguë
Pouvoir moduler les paramètres d'acquisition au cours d'un unique balayagethoraco-abdominal afin d'optimiser-l'étude morphologique des coronaires-l'exploration fonctionnelle cardiaque ( fractiond'éjection, dynamique de contraction )au cours d'exam<strong>en</strong>s standards , chez les sujets à risque et/ou devant recevoir destraitem<strong>en</strong>ts cardiotoxiques.NB La synchronisation ECG de routine doit bi<strong>en</strong> <strong>en</strong>t<strong>en</strong>du s'imposer
Dose et qualité d’image <strong>en</strong> CT thoracique-la qualité d’image (<strong>en</strong> particulier la résolution <strong>en</strong>contraste qui est le facteur déterminant de la résolutionspatiale pour les structures de faible contraste propre )est directem<strong>en</strong>t liée à la dose (<strong>en</strong> particulier au nombrede photons X utilisés ,cad à la charge = produit mA x s-le par<strong>en</strong>chyme pulmonaire (comme les sinus) est unerégion où le contraste propre est maximal ,an raison dela prés<strong>en</strong>ce de gaz . Le bruit quantique est peu gênant etne dégrade pas la qualité diagnostique de images-les glandes mammaires sont particulièrem<strong>en</strong>tradios<strong>en</strong>sibles , d’autant plus que l’on s’adresse à dessujets jeunes .Les affections chroniques ,surtout chezles sujets jeunes (mucoviscidose+++) mais aussi maladiethrombo-embolique , DDB, BPCO et les scannerscardiaques doiv<strong>en</strong>t faire l’objet de toutes les att<strong>en</strong>tionspour réduire les doses délivrées
Techniques ‘’low-dose’’ <strong>en</strong> CT thoracique-on peut limiter les dose , <strong>en</strong> acceptant une baisse dequalité d’image qui ne diminue pas la valeur diagnostiquede l’exam<strong>en</strong> et qui reste donc du domaine del’’’ésthétique’’ des images ….-pour baisser les doses il faut:.diminuer le kilovoltage <strong>en</strong> l’adaptant au morphotype dusujet (poids,taille).diminuer la charge (produit mA x s) ; <strong>en</strong> pratique onchoisi un ‘’indice de bruit’’ (couplage de la charge et dupas).augm<strong>en</strong>ter le ‘’pitch’’ (ou pas de l’hélice :longueur dudéplacem<strong>en</strong>t de table durant une rotation rapportée à lalargeur du détecteur ).ne faire des ‘’<strong>coupes</strong> fines’’ que là ou elles sontnécessaires (atteintes interstitielles).limiter au maximum la longueur du segm<strong>en</strong>t corporelexaminé et le nombre d’acquisitions (séries sans et avecinjection de PCI , série <strong>en</strong> expiration, série <strong>en</strong>procubitus…..)
Techniques ‘’low-dose’’ <strong>en</strong> CTthoracique-on doit utiliser les dispositifs de modulationde la dose <strong>en</strong> fonction de l’épaisseur dusegm<strong>en</strong>t corporel:.filtre papillon.collimateurs de champs.modulation du faisceau <strong>en</strong> fonction del’incid<strong>en</strong>ce.modulation du faisceau <strong>en</strong> fonction de l’axe Z
Techniques ‘’low-dose’’ <strong>en</strong> CTthoracique-modulation de l’int<strong>en</strong>sité <strong>en</strong> fonction del’absorption mesurée <strong>en</strong> cours de rotation-utilisation de ‘’boucliers de protection ‘’ desglandes mammaires-reconstruction itérative +++++(ASIR,iDOSE,IRIS,AIDR…)utilisation d'un bouclier de protection desglandes mammaires <strong>en</strong> bismuthA -fantôme anthropomorphique d'un <strong>en</strong>fant de 5ansB -image CT avec le bouclier <strong>en</strong> placeC - image CT du fantôme sans le bouclier avec lesmêmes paramètresD –emploi du bouclier chez une pati<strong>en</strong>te de 16 ans
onches,bronchioles etespaces aéri<strong>en</strong>sdistaux
10 à 25 mm zone corticale (sous pleurale) du poumon<strong>imagerie</strong> du lobule secondaire de Miller"
lobule secondaire de Miller=unité anatomique etfonctionnelle de base dupoumonartère et bronchiole terminalec<strong>en</strong>trolobulairesveines péri lobulaireslymphatiques dans l’interstitium
les lymphatiques du par<strong>en</strong>chyme pulmonaireorigine dans la plèvre viscérale. prés<strong>en</strong>ce de valves. se drain<strong>en</strong>t vers le hilesuiv<strong>en</strong>t les septasinterlobulaires. accompagn<strong>en</strong>t les vaisseauxsanguins
-les lymphatiques de la plèvreviscérale sont satellites desartères pulmonaires-les lymphatiques des septasinterlobaires sont satellitesdes veines pulmonaires
-les ganglions lymphatiques (lymphonœuds). sont <strong>en</strong>capsulés. sièg<strong>en</strong>t autour des bronchesproximales. au niveau des bifurcations. sont le siège d’ hyperplasiesréactionnellestabac et poussières
le tissu lymphoide associé à la muqueuse bronchique le BALTorganisation générale du BALT- formations ou amas lymphatiques associés àl’épithélium bronchique aux bifurcations etseptas- abs<strong>en</strong>ts chez l’adulte à l’état normal et à lanaissance- fréqu<strong>en</strong>ts et banaux chez le jeune<strong>en</strong>fant- ils réapparaiss<strong>en</strong>t lors des stimulationsantigéniques :fumée de cigarettecollagénosesSIDA
les collections ou amas lymphatiques.épithélium bronchique.bifurcations et septas
Classification des atteintes du lobule secondairekyste bronchogèniquekyste bronchogèniqueatteinteaériqueatteinte c<strong>en</strong>tro lobulaireatteinte pan lobulaireatteinteinterstitiellepérilymphatiqueatteinte septale ( péri lobulaire )atteinte péri broncho vasculaire
Quelques élém<strong>en</strong>ts sémiologiques <strong>en</strong> CT-HRles micronodules-de distribution périlymphatique-c<strong>en</strong>trolobulaires3 -de distribution aléatoire1 2
1.micronodules de distribution périlymphatiquerépartition topographique caractéristique :dans les septas inter lobulairesdans l’interstitium sous-pleural++++(= lymphatiques périphériques )le long des axes bronchovasculaires(= lymphatique c<strong>en</strong>traux )3 diagnostics :- sarcoïdose- silicose- lymphangite carcinomateuse
2.micronodules c<strong>en</strong>trolobulaires ‘’localisés’’aspect "branché" , d’ "arbre <strong>en</strong>bourgeons" ( tree in bud ) ou ‘’<strong>en</strong>rosace’’ ,de distributiongénéralem<strong>en</strong>t sous-segm<strong>en</strong>tairecontours flous= atteinte infectieusebronchiolite
2.micronodules c<strong>en</strong>trolobulaires ‘’diffus’’contours flous disséminés sur l'<strong>en</strong>semble des 2champs de façon homogène ,sans aspects"branchés"2 hypothèses :pneumopathie d'hypers<strong>en</strong>sibilité (immunoallergique);alvéoliteallergiqueextrinsèquebronchiolite respiratoire (tabagisme +++)pneumopathie d'hypers<strong>en</strong>sibilitébronchiolite respiratoire
3.micronodules de distribution aléatoirecontours nets ,coexist<strong>en</strong>ce de micronodules périlymphatiques etc<strong>en</strong>trolobulaires disséminés sur l'<strong>en</strong>semble des 2 champs de façonhomogène ,sans aspects "branchés"correspond<strong>en</strong>t à une dissémination hématogèneinfectieuse : miliaire (tuberculose ; BCGite)tumorale : métastasesou à une sarcoïdosemiliaire tuberculeusesarcoïdose
les images <strong>en</strong> verre dépoli sont des plagesde par<strong>en</strong>chyme de transpar<strong>en</strong>ce diminuée maissans effacem<strong>en</strong>t des images vasculaires ni desparois bronchiqueselles traduis<strong>en</strong>t la réduction volumiquepartielle des espaces aéri<strong>en</strong>s distaux ( =alvéoles ) par des élém<strong>en</strong>ts de d<strong>en</strong>sitéhydrique :œdème interstitiel ou alvéolaire ,infiltrat ou prolifération cellulaire ,fibrose modérée intralobulaire…poumon normalDesquamative IPAcute IP
Quelques indications de l’IRM <strong>en</strong> pneumologieBilan de l'ext<strong>en</strong>sion locorégionaledes cancers de l’apex ( syndromede Pancoast-Tobias )<strong>en</strong>vahissem<strong>en</strong>t loco régionalext<strong>en</strong>sion de l’atteintepariétaleatteinte du plexus brachialatteinte du paquet vasculairerapports tumeur-axe rachidi<strong>en</strong>atteinte vertébrale, ext<strong>en</strong>sionforaminale
T2cancer apical syndrome de Pancoast-Tobias
douleur pariétal<strong>en</strong>évralgies D2-D3
IRM de l'embolie pulmonaire aiguëdiagnostic positif amélioré seulem<strong>en</strong>t au niveau segm<strong>en</strong>taire ???possiblem<strong>en</strong>t intéressante pour les zones d’infarctus (hyperT1) sur des diagnosticsdifficiles et tardifs d'opacités par<strong>en</strong>chymateusesIRM de perfusion : étude du premier passage de gadoliniumIRM de v<strong>en</strong>tilation <strong>en</strong> oxygène
Tumeurs du médiastin– kyste bronchogènique,thymiques,pleuropéricadriques…TDM : d<strong>en</strong>sités liquide à élevéesIRM : hypersignal T1 , hypersignal T2associé à un niveau hydro-hydrique– hématomes du médiastin ( paroioesophagi<strong>en</strong>ne )– tératomes kystiques ou kystes dermoïdes– tumeurs neurogèneskyste thymique multiloculé
kyste bronchogèniquepondération T1pondération T2
neurofibrome plexiform<strong>en</strong>eurofibromatose de type I
tératome mature du médiastin
neurinomedorsal
schwannome kystiqueT2T2
IRM: perspectives d’av<strong>en</strong>ir• étude ‘’fonctionnelle’’ du par<strong>en</strong>chyme pulmonaire• <strong>imagerie</strong> de perfusion :– produits de contraste de répartition strictem<strong>en</strong>tintra vasculaire (‘’blood pooled’’ )– nouvelles séqu<strong>en</strong>ces ultra rapides• <strong>imagerie</strong> de v<strong>en</strong>tilation– gaz nobles : He 3 hyper polarisé, aérosols de gadolinium DTPA– oxygène à haute conc<strong>en</strong>tration
femme 24 ans suspicion d’embolie pulmonaire Face antérieure Face postérieure
artériographie bronchiqueUniquem<strong>en</strong>t dans un but thérapeutique pour l'embolisation des artèresbronchiques ou sytémiques non bronchiques responsables d'hémoptysies
En cas d'hémoptysies ; nécessité d'un bilan angiographique complet- des artères bronchiques et- des artères systémiques non bronchiques (intercostales ,mammaires internes , diaphragmatiques …),<strong>en</strong> essayant de repérer l'origine de l'artère d'Adamkiewicz