Revue Municipale n°57 - Ville de Landser

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R e v u e M u n i c i p a l e d e L A N D S E R - n ° 5 7 - D é c e m b r e 2 0 1 0Georges ARBOR (1803 – 1841)Né le 28 juin 1803 à Landser pendant le Consulat,Georges ARBOR s’oriente d’abord vers le métier de sonpère et il est qualifié de cordonnier lors des déclarationsde naissance de ses filles Madeleine en 1832 et Françoiseen 1834, puis il est dit cultivateur lors du décès de sonpère en 1839 et lors de son décès en 1841.Georges ARBOR épouse le 22 février 1830 MadeleinePFLUMLIN, née le 22 juillet 1809 à Steinbrunn le Bas, fillede Jacques PFLUMLIN cultivateur et de FrançoiseKETTERLIN.De cette union naissent deux filles :Madeleine ARBOR, née à Landser le 27 mai 1832, quiépousera ultérieurement Xavier FERFLAM deGuewenheim et dont un fils Maurice FERFLAM née àGuewenheim décédera à Landser dans la maison desa grand-mère maternelle le 12 septembre 1859.Françoise ARBOR, née à Landser le 11 mai 1834 donton ne retrouve plus trace ultérieurement dans l’étatcivil de LandserGeorges ARBOR décède très jeune le 30 avril 1841, àmoins de 38 ans et avec lui s’éteint la lignée des ARBORde Landser. Il laisse une veuve de 31 ans avec 2 filles de 7et 9 ans.Madeleine PFLUMLIN, épouse le 14 février 1844 àLandser, en seconde noce Joseph WOLFF, maçon né le 9février 1816 à Stetten et fils illégitime d’Agnès WOLFF,âgée de 55 ans et demeurant à Stetten. De cettenouvelle union naitront plusieurs enfants…Histoire racontée par Jean-Claude SCHUMACHER.E FRIEHJOHR FER UNSERI SPROCHLa 1ère édition à Landser en mars 2010 a permis unmoment de convivialité et d'authenticité autour d'unensemble dont l'animateur a su capter l'auditoire.L'alsacien fait partie de notre culture et nous devons êtrefiers de cet héritage linguistique commun ; à nous de letransmettre à nos enfants et à tous ceux qui aimentl'Alsace.Nos traditions et nos coutumes font partie de notrerégion ; elles constituent une richesse qu'il fautcomprendre. Dans L'espace rhénan, l'alsacien nouspermet d'échanger avec nos voisins suisses et allemands.Découvrons toutes les nuances de notre languerégionale pour également mieux vivre ensemble etacceptons les autres cultures... François TISCHMACHER.Pàtriotisch Volksliad vu vor 1870Das Elsàss, unser LändelDàs ìsch meineidig scheenMìr hewe's fescht àm BandelUn lehn's mi sechs nìt gehnJuch he ! Un lehn's mi sechs nìt gehnEs sott's nur einer wageUn sott'es griffe ànMìr hàlte fescht zusammeUn schlàwe Mànn fer MànnJuch he ! Un schlàwe Mànn fer MànnÌm Elsàss ìsch güet LawaDàs wìssa àlli LittDenn do gìbt s Fäld un RawaWàs eim s Herz so erfreitJuch he ! Wàs eim s Herz so erfreitStejt mìr uf d hohe BerjeUn lüjt erab ìn s TàlSìcht mehr de Gottes säjeUn Länder ìweràllJuch he ! Un Länder ìweràllMìr liawa unser LändelMìr sìn jo sinni SeehnUn hàlte's fescht àm BandelUn lehn's Bigott nìt gehnJuch he ! Un lehn's Bigott nìt gehn52
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