FAE Rapport d'activité 2011-2012 - Université de Lausanne

Rapport d'activité de la FAE 2011-2012base était d'essayer de creuser chacun des sujets évoqués plus haut.Lettre aux doyen-ne-s concernant l'interdiction des listes de présence commemoyen de validation :L'idée d'écrire une lettre aux doyen-ne-s était bonne. Toutefois, la forme proposéedans la lettre initiale nous a semblé beaucoup trop agressive, à la co-présidence età moi-même, raison pour laquelle nous l'avons presque entièrement réécrite. Nousavons également supprimé la co-signature proposée par la CPU pour des raisonsd'usage, puisque les communications entre la FAE est les autorités universitaires etextra-universitaires ont toujours été signées par les personnes chargées dereprésenter la FAE, à savoir les co-président-e-s et le/la Secrétaire général-e.Au-delà de ces petits différends se pose la question du rôle de la CPU. D'après lerèglement des Commissions de l'AD (art.4): "La commission de politiqueuniversitaire (CPU) a pour tâche de préparer les discussions et les décisions de l’ADen matière de politique de la formation tertiaire, à l’échelon national, cantonal ouuniversitaire." Il y a certainement plusieurs manières d'interpréter cette phrase,mais, lorsqu'on la prend au pied de la lettre, elle laisse songeur. Ainsi, unecommission de l'AD doit préparer les discussions et les décisions concernant lapolitique de la formation à tous les échelons... Cela revient à dire qu'elle sesubstitue, à part pour le rôle décisionnel, au législateur, dont le rôle principal est dedéfinir la politique de la FAE. Selon moi, l'existence d'une telle commission ne peutêtre que délétère puisqu'elle ajoute un niveau à la représentation: les étudiant-e-ssont représenté-e-s par des délégué-e-s, qui eux/elles-mêmes base(rai)nt leurdécision en matière de politique de la formation sur l'opinion d'une poignée depersonnes. Avoir une commission sociale ou de la communication a un senspuisqu'elles traitent de sujets spécifiques et, de pratique établie, travaillent sur desprojets, en collaboration avec le Bureau, puis les proposent à l'AD. Mais un sujetaussi général que la politique de la formation (sans entrer dans le débat houleux dela définition de ce qui est politique ou non) me semble risqué puisque cela pourraitcourt-circuiter le travail du législateur et parfois de l'exécutif. Pour le direautrement, dans le meilleur des cas c'est un laboratoire d'idées, dans le pire descas cette instance pourrait être contre-productive en captant une part essentielledu travail de la FAE.L’auditoireLes comptes de cette année sont à nouveau déficitaires et la proposition que j’avaisfaite d’arrêter les envois suit son chemin. J’espère que cette mesure sera bientôtadoptée. Bien sûr, l’aspect financier n’est pas le seul qui motive ma demande ; jesuis certain que plus d’étudiant-e-s liront L’auditoire si le journal est à dispositiondans des caissettes et que cela permettra, dans tous les cas, de se faire une idéeplus précise du nombre de numéro qu’il est nécessaire de faire imprimer qu’enl’envoyant à des milliers d’adresses pas toujours valables. L’avantage de ladistribution dans des caissettes est aussi de conserver l’envoi dans les boîtes auxlettres mais uniquement sur demande, ce qui permettra d’avoir un fichierd’adresses beaucoup plus précis. La méthode de distribution par des caissettes mesemble en outre moins intrusive.Bureau 149 – Internef – 1015 Lausanne – 021/692 25 91 – fae@unil.ch – www.unil.ch/fae11 / 40