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Partager nos connaissances - Canadian Harm Reduction Network

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« Ouais, des places comme ça et on y va, [elles] peuvent vous soulager de tous vosproblèmes ou s’il y a quelque chose qui vous dérange… à Sunshine House, on peutmanger, relaxer, regarder la télé, n’importe quoi. Il y a environ 20 personnes qui vont làtout le temps. Super place. »« C’est de parler. »« … les gars et les filles qui travaillent à Streetworks savent très bien ce qui se passe avecnous autres et tout. Ils se préoccupent de nous. »LES QUALITÉS DU PERSONNEL DES HALTES-ACCUEILS ET DES REFUGESLes participants appréciaient les employés qui ne jugeaient pas, qui étaient serviables,chaleureux, à l’écoute et aidants. Les employés étaient responsables de créer uneatmosphère accueillante dans les haltes-accueils et les refuges.« Les gens là ont vraiment la foi et ils ne jugent pas qui je suis. Je peux être dans la merdependant cinq jours, puis je reviens et ils ne changent pas… ils sont toujours lesmêmes… C’est un endroit merveilleux. J’adore ça là. »« Elle m’a aidé vous savez. J’ai eu encore des problèmes avec l’alcool et les drogues et elles’occupe de moi. Elle est là. Elle veut savoir comment je vais. Bien souvent, les gens s’en foutent. »« Moi je vais à Blood Ties, je parle aux intervenants ou à quelqu’un qui est là, et je trouvequ’ils m’aident. Ils arrêtent presque ce qu’ils font, si quelque chose vous tracasse et quevous voulez en parler, ils sont très bons, ils sont prêts à vous écouter. »Participante : « Je vais à la halte-accueil Phoenix. Ils m’aident vraiment. C’est du vrai bonmonde… Juste du soutien. Quand j’y vais et que je panique parce que je ne consommepas, ils restent avec moi pendant une heure, jusqu’à ce que je me sente mieux, qu’ilssachent que je suis en meilleur état. J’ai eu de vraies bonnes expériences. »LA DIFFUSION DE L’INFORMATION PAR LE BOUCHE À OREILLE OUL’AIGUILLAGELes gens découvrent souvent les haltes-accueils et les autres services par le bouche àoreille ou l’aiguillage aux refuges.LES REFUGES QUI ACCUEILLENT LES PERSONNES QUI UTILISENT DESDROGUESLe refuge du centre Tommy Sexton Centre, à St. John’s, accueillaient les gens, qu’ils utilisentou non des drogues. Bien qu’ils ne permettent pas l’utilisation de drogues sur les lieux, ilsoffrent du matériel d’injection stérile et ne renvoient pas les personnes qui consomment.44« C’est un refuge super, vous savez? Je peux sortir et me geler, et ne pas m’inquiéter derevenir à la maison. Comme un lit où dormir. Je n’ai pas à rester dans la rue. »<strong>Partager</strong> <strong>nos</strong> <strong>connaissances</strong> : améliorer les programmes et pratiques de la réduction des méfaits au Canada

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