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La Fortune des Rougon est un roman d’Émile Zola publié en 1871,premier volume de la série Les Rougon-Macquart. Le cadre estune petite ville appelée Plassans, qui correspond à Aix-en-Provence,où Zola a passé son enfance et une partie de sa jeunesse, età Lorgues, dans le Var, où se sont déroulés en décembre 1851 lesévénements insurrectionnels décrits dans le roman.Emile ZolaL’ŒuvreL’Œuvre est un roman d’Émile Zola publié en 1886, le quatorzièmevolume de la série Les Rougon-Macquart. L’ouvrage nousentraîne dans le monde de l’art et des artistes, à travers le portraitd’un peintre maudit, Claude Lantier, dont le personnage évoquecelui de Paul Cézanne, grand ami de Zola, qui se brouillera avecl’écrivain après la publication du roman.Emile ZolaLa CuréeLa Curée est un roman d'Émile Zola paru en 1872, deuxième volumede la série Les Rougon-Macquart.Le personnage principal est Aristide Rougon, dit Saccard, qui vafaire une rapide fortune en spéculant sur les futurs terrains à bâtirà l'époque des grands travaux menés à Paris par le baronHaussmann.346
www.feedbooks.<strong>com</strong>Food for the mind347
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NanaZola, EmilePublication: 1879Cat
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Chapitre 1À neuf heures, la salle
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- Attendez donc ! répondit Faucher
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- Ah ! c’était elle, s’écria
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ce fut une bousculade, chacun voula
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egardait la comtesse, une brune à
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vraiment leurs femmes de trop d’a
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On piétinait, on se bousculait, se
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Une sonnerie tinta longuement, le f
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- Il faut que j’aille saluer la c
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Cependant Mignon venait d’entraî
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hommes, sérieuses, se tendaient, a
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coup à un lourd sommeil, pendant q
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- Demain, demain, répétait Nana m
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- Elle m’a dit son nom… Madame
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toujours vécu proprement. À prés
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Certainement, il lui arriverait une
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- Nous avons dit trois cent quarant
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- Madame n’est pas raisonnable, v
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- Ah ! ouiche ! répondit Nana crû
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éclata. Le marquis ne put cacher u
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- Oui, répondit le petit d’une v
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Une queue dans l’escalier ! Franc
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- Est ce que vous êtes souffrante,
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Hector de La Faloise parut. Faucher
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- Ma foi, il a une tête à ça, mu
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- Sans doute, dit avec un pâle sou
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par être surpris de la voir là ;
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Alors, ils ricanèrent, les yeux lu
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- Moi, madame ? répondit-il tranqu
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- Boulevard Haussmann, entre la rue
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- Attendez, dit Vandeuvres, il nous
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Chapitre 4Depuis le matin, Zoé ava
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- Asseyez-vous donc… Vous n’ave
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Simonne avait fait un pas trop vite
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pleines d’apitoiement. Bordenave
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Son fils Ollivier, dont elle parlai
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autres : Clarisse Besnus, ramenée
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pauvre petite, s’enterrer comme
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sais. Alors, vous comprenez, il lui
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Vandeuvres dut intervenir pour lui
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Mignon, qui jouait avec la chaîne
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encore du tintouin, histoire de se
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- Voyons, Nana, l’autre soir, che
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taille de Simonne, qu’il tâchait
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conviendrons des heures… Vite, em
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- Quel cochon de temps ! grogna-t-i
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De nouveau, une paix lourde régnai
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- Dites-lui que je descends après
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Alors, Simonne, en blanchisseuse d
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- Chargez ! cria tout à coup le ch
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etrouvait, chauffée, décuplée so
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prolongeait le monde réel, dans un
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Cette fois, Nana ne se retourna poi
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percale, en tendant les bras à M m
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égisseur, qu’il devait marcher d
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messieurs, gantés, corrects, l’a
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toilette le chauffaient, l’étour
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- Ce n’est pas pour vous, au moin
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ainsi s’envoler toutes, sans en r
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- Ça n’a pas de bon sens, dit-el
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promettant de ne faire qu’un somm
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âtir, après deux ans de séjour
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- Ah ! je vais te dire. La pluie m
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Ce fut une soirée très douce. Le
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Fauchery et Daguenet, également, s
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comme ce serait gentil de continuer
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oulait avec lui sur l’herbe, apr
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enragé par ce nouvel obstacle, pou
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D’habitude, après le déjeuner,
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grand air ; des bouts de toilettes
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d’Anglars vit encore ! Eh bien !
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déclarant qu’il fallait honorer
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Chapitre 7Trois mois plus tard, un
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Maintenant, il songeait à sa femme
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Ils s’en allèrent doucement. Le
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lorsque, d’un salon voisin, où s
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- Ah ! il est cocu… Eh bien ! mon
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d’enfant. Ça la surprenait toujo
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ménager. D’ailleurs, une idée g
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- Ah ! oui, le fruitier et sa femme
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comme une oie, bavant sur tout ce q
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econnaître un chignon de femme. Et
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Alors, il pensa à Dieu. Cette idé
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- Mais c’est dégoûtant !… Com
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donnèrent une poignée de main sil
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Ce mot produisit un effet extraordi
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- Que diable ! mangez, vous avez bi
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Steiner… Comme c’est malin d’
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Un instant, il la menaça d’une a
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estait des rideaux faisaient encore
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Et elle ajouta, en se tournant vers
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- Voyons, quand vous verrai-je ? Si
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éternelle fidélité à ce printem
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Nana, qui s’endormait à son cou,
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Bientôt l’argent devint le gros
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lorsque son père la cherchait pour
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Un soir, en venant prendre Satin, e
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tout le monde était encore stupéf
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Nana rue de Laval, chez une dame qu
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Chapitre 9On répétait aux Variét
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- Ah çà ! voulez-vous vous taire
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au duc, très souple, l’air encha
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- Eh bien ! continuons, dit enfin B
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- Tu vois ce qui se passe ?… Ma p
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M me Bron, dont elle entendait le b
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Nana, à chaque offre, disait non d
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une porte de la rue Taitbout. Mais
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Il se tut, un silence régna. Muffa
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Il se fit un silence embarrassé. B
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de force, d’avoir tiré cette der
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Chapitre 10Alors, Nana devint une f
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lits, et des canapés profonds comm
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alors sa fortune dans un coup de fi
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- Je voudrais voir ça, par exemple
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- Bien sûr, c’est arrangé… Ah
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ne gardait guère que le souci de s
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eprenait, sur un ton de plaisanteri
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etraite. Il s’avança avec un sou
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cadeau de sa bonne amie. Et, derri
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morceau de poire, elle le lui prés
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- Moi, rien, j’écoute, murmura-t
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sûrement. En effet, lorsque Philip
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du quartier, pour rire un peu, lui
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Midi sonnait. C’était plus de tr
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jupes de la jeune femme qui remuait
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ookmakers, montés dans des voiture
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- Mais, ma chère, infect, Boum ! P
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jurements, au milieu du sauve-qui-p
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Violaine, descendue de son panier,
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Rose, par exemple une petite visite
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s’était imposée à ce fils, si
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- Eh bien ! Maréchal, demanda tout
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- Pourquoi dire qu’il lâche son
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On escaladait le landau, Bordenave
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- Voyons combien ils mettront de mi
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stupeur de son triomphe, regardant
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causer ensemble, après la course,
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Chapitre 12Vers une heure du matin,
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effarée elle-même, ne s’aperçu
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Lui, étonné de cette paternité,
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aux Variétés, son hôtel, sa vie.
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- Enfin, mon chat, vois ce que tu a
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- Et penser qu’il était le maît
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Ensuite, quand les enfants se sont
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- Oh ! Estelle ! murmura dédaigneu
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hésitations, il était venu quand
Page 295 and 296: comtesse, très surprise, recula d
Page 297 and 298: Le comte, assis, les mains sur les
Page 299 and 300: dessins. Le lit coûterait cinquant
Page 301 and 302: Et, comme Zoé entrait pour la chau
Page 303 and 304: Vers deux heures, comme Nana commen
Page 305 and 306: - Non.- C’est vrai, que je suis b
Page 307 and 308: - Voilà Madame, dit en revenant Zo
Page 309 and 310: mêmes détails, ramassant les cise
Page 311 and 312: - Eh bien ! oui, j’ai couché ave
Page 313 and 314: elle y prenait une place considéra
Page 315 and 316: continuellement, bouleversait l’h
Page 317 and 318: fermes. Il dut vendre rapidement, c
Page 319 and 320: - Hein ? mon petit mufe, encore un
Page 321 and 322: C’était encore charmant. Elle l
Page 323 and 324: décrépitude, une ruine comique et
Page 325 and 326: pour le remettre aux bras mêmes de
Page 327 and 328: Satin, disparue depuis quinze jours
Page 329 and 330: maintenant, elle rêvait autre chos
Page 331 and 332: Un soir de juillet, vers huit heure
Page 333 and 334: les médecins de brutes. Mais Lucy
Page 335 and 336: se dirigèrent vers l’escalier, a
Page 337 and 338: - A-t-elle beaucoup souffert ? dema
Page 339 and 340: - Moi, dit Caroline Héquet de son
Page 341 and 342: - Vous savez qu’il adore les femm
Page 343 and 344: À propos de cette édition électr
Page 345: construites par Victor Baltard entr
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