La lettre d'information sur les marchés étrangers ALTIOS International

ALTIOSInternationalLa lettre d’informationsur les marchés étrangers>N°30 - JUIN 2011Canada · Etats-Unis · Mexique · BrésilRussie · Inde · Chine · AustraliePAGE 2REDISTRIBUTION DES CARTES SUR LE MARCHÉ INDIENEn Inde, le secteur de la distribution pourrait être libéralisé, donc s’ouvrir aux diversopérateurs étrangers aujourd’hui en butte à une réglementation très restrictive. À la clé,un gigantesque marché aux perspectives particulièrement prometteuses.PAGE 3LA BATAILLE DU CIEL AUX ÉTATS-UNISLe secteur de l’aéronautique aux États-Unis est dominé par une guerre commercialepour les moyen-courriers. Des appareils qui, largement rentabilisés, sont devenus unepoule aux œufs d’or pour les deux principaux concurrents, Boeing et Airbus.PAGE 4LA BELLE VITALITÉ DES BIOTECHNOLOGIES EN AUSTRALIEL’Australie fait bénéficier d’un fort soutien le secteur des biotechnologies, tant pour lesjeunes entreprises innovantes locales que pour les sociétés étrangères désireuses des’implanter. Les opportunités sont nombreuses pour les sociétés françaises.PAGE 4PRÊT(S) POUR LE PREMIER PAS À L’EXPORTLes aides publiques à l’exportation constituent une bonne solution pour démarrer sur unmarché étranger. Crédit d’impôt, prêt, assurance-prospection... les dispositifs sont deplus en plus variés et nombreux.>S’INFORMERNos prochaines interventions :· 19-23 juin, Bordeaux : Vinexpo (saloninternational du vin et des spiritueux) ;· 20-26 juin, Paris-Le Bourget : Saloninternational de l’aéronautique et de l’espace,avec la présence du directeur d’Altios USA ;· 21 juin, Poitiers : Journée internationale“Le tour du monde en huit heures”,au Futuroscope, WTC Poitiers,avec la présence du directeur d’Altios Brésil. ■>SE RENCONTRERNos bureaux étrangers de passage en France.Vous souhaitez un rendez-vous ?· Altios USA : 20-24 juin,· Altios Brésil : 20 juin-1 er juillet,· Altios Chine : 4-8 juillet,· Altios Australie : 11-15 juillet,· Altios Inde : 18-22 juillet. ■>NOUVEAUAltios International s’implante auMexique. Découvrez notre bureauen page 3.Altios International - FranceNantes : Zac de La Pentecôte, 8, rue Jean-Rouxel 44700 Orvault · Tél. : 02 40 35 18 28 · fax : 02 40 35 18 38Lyon : parc du Chater, Bât. E2, 33, rue de Belissen 69340 Francheville · Tél. : 04 78 75 10 01 · fax : 04 78 75 58 95Paris : 29, rue de Marignan 75008 Paris · Tél. : 01 53 83 09 28 · fax : 01 53 83 09 17Mél. : info@altios-international.com · Internet : www.altios-international.com1

IMPLANTATIONAu cœur du nucléaire chinoisLa société CTI, installée àBeaumont-Hague, a choisiAltios International pourimplanter sa filiale ACPP enChine. Cela alors qu’unenouvelle réglementationconcerne les fournisseursde l’industrie nucléaire.Le spécialiste de lachaudronnerie, de latuyauterie et du montagede pièces à destinationdu nucléaire ACPP a décidéd’implanter une nouvelle usineen Chine pour développerses résultats sur un marchéoù il est déjà présent grâce àun partenaire local. Il s’agitaussi, pour cette société, des’adapter aux attentes dePékin : le gouvernement, quientend réaliser une dizainede réacteurs par an pendant20 ans, souhaite que toutesles pièces servant à cesconstructions soient fabriquéessur son territoire.ProjetSans représentant sur place,ACPP a mandaté Altios Internationalpour l’ensemble deson projet (étude de la structurejuridique, construction,animation d’un réseau departenaires...). Entourés descabinets d’avocats LefèvrePelletier & Associés et d’ingénierieSIP Project Management,les consultants ontcommencé par assurer lefinancement du projet par degrands établissements français.Il a ensuite été possiblede créer une structure juridique,de s’assurer l’achat dufutur terrain après négociationavec les autorités, deréaliser un cahier des chargespour sélectionner lescontractants qui réaliserontle site de production et delancer les procédures en vuede recruter le numéro deuxchinois. L’usine devrait êtreopérationnelle dans un an. ■> INDEVers une redistribution des cartesEn Inde, la distributionpourrait être libéralisée,donc s’ouvrir aux diversopérateurs étrangers.À la clé, un gigantesquemarché aux perspectivesprometteuses.En raison d’une réglementationrestrictive,les acteurs mondiauxde la distribution ne peuventaujourd’hui pénétrer le marchéde détail indien : dans ladistribution monomarque,les étrangers ne peuventêtre présents directementque via une joint-ventureavec un partenaire indien ;dans le multimarques, leurprésence directe est totalementinterdite.AssouplissementConçu pour protéger lesintervenants nationaux, cecadre restrictif pourrait toutefoisêtre assoupli. L’Étatreconnaît que, pour luttercontre l’inflation alimentaire,l’Inde a maintenant besoind’une distribution moderneet de l’ensemble de la chaînelogistique qui l’accompagne.C’est un vaste marché qui vas’ouvrir aux acteurs étrangers.Dans ce pays de prèsde 1,2 milliard d’habitants, ladistribution représente 450milliards de dollars de chiffred’affaires annuel.Mieux, ces montants vontcroître très vite, au rythmede l’explosion des classesmoyennes. On estime qu’il ya en Inde 300 millions deconsommateurs, dont 50seulement pour la distributionde type occidental. ■Le site retenu pour l’implantation.sur le marché de détailUne manne à capter.ZOOM. En Inde, Altios International constate qu’ilest plus facile de faire du commerce par relationsque par prospection directe, même si cette dernièrereste possible. Souvent, les entreprises étrangèresdoivent créer leur réseau lors de leurs premièresmissions de prospection de partenaires ou de clientset sont obligées de commencer par une prospectionlongue car les relances sont nombreuses. Il fautsavoir que l’Inde est un pays où la négociation estindispensable. Une baisse du prix de l’ordre de 5 %est une pratique courante.La distribution demeure désorganisée avec le plusgrand nombre de points de vente au monde. Lesfabricants indiens utilisent généralement la structuretraditionnelle : revendeurs, grossistes, détaillants. ■EN BREFLA LETTRE D’ INFORMATION SUR LES MARCHÉS ÉTRANGERS · #30 · JUIN 2011Renault annonce le lancementcommercial de la Fluence, enInde. C’est le premier volet desa nouvelle stratégie sur cemarché en plein boom, dont leconstructeur aimerait capter5 % après 2016.(D’après Reuters.) ■Lors de son rapport annuel àla Douma, le Premier ministrerusse Vladimir Poutine a lancéun défi au gouvernement :faire en sorte de doubler laproductivité du travail au coursde la prochaine décennie !(D’après La Russieaujourd’hui.) ■Dans le cadre de son 12 e planquinquennal, la Chine veut sedoter de “villes durables”. Or,elle souffre d’un gros retarddans des domaines comme lerecyclage ou le traitement del’eau. Des opportunités pourles entreprises françaises deces secteurs.(D’après La Tribune.) ■Avec 40 millions d’internautespour 200 millions d’habitants,le Brésil est le huitième paysle plus connecté. Son potentielde croissance attire les géantsaméricains d’internet et lesinvestisseurs.(D’après Les Échos.) ■La part des vins étrangersdans la consommation totalede vin en Australie a atteint laproportion record de 15 %,contre 3 % seulement il y adix ans. En valeur, la Francereprésente le second marchéd’importation en Australie,derrière la Nouvelle-Zélande.(D’après The AustralianFinancial Review.) ■Les États-Unis, terre deconquête pour les écoles decommerce européennes ? Enprécurseur, Skéma s’est alliéeavec l’Université de Carolinedu Nord et installée sur sonimmense campus de 35 km 2 .(D’après Les Échos.) ■Les présidents du Mexique, duPérou, de la Colombie et duChili ont lancé de manièreofficielle l’Accord du Pacifique.L’un des enjeux est d’êtremieux armé face à l’Asie.(D’après Le Monde.) ■Les États-Unis demeurent laprincipale destination desexportations canadiennes,avec une part de 74,9 % en2010. L’essentiel des gains estenregistré dans trois catégories,à savoir les combustibles ethuiles minéraux, les véhiculesautomobiles et les pierres etmétaux précieux.(D’après La Tribune.) ■2

ÉTATS-UNISLa bataille du cielÉVÉNEMENTL’aéronautique aux États-Unis est dominée par uneguerre commerciale pourles moyen-courriers. Desappareils qui, largementrentabilisés, sont devenusune poule aux œufs d’or.Àma gauche, le B-737 ;à ma droite, l’A320.Le combat entreBoeing et Airbus pour imposerchacun sa gamme demoyen-courriers fait rage.Comme dans le passé pourles très gros-porteurs, labataille se joue désormaisautour des bimoteurs monocouloir,de 100 à 200 sièges.BénéficesUn secteur vital car ces typesd’appareils lancés il y a plusieursdécennies assurent desolides bénéfices aux avionneurs.Qui dit anciennetéDes ventes qui s’envolent.(malgré de considérablesévolutions), dit aussi prixplus accessibles. Voilà quiséduit les compagnies à bascoût. Jamais autant d’avionsde mêmes familles n’ont étévendus ! Boeing et Airbusdoivent toutefois réfléchirpour proposer de nouvellesperspectives à leurs clients.Avec cette alternative : soitpoursuivre la modernisationdes gammes existantes, soitprésenter des produits radicalementdifférents et innovants.Tout en surveillant lestiers concurrents... ■EN CHIFFRES. Boeing, dont le siège se trouve àChicago, emploie 159 000 personnes aux États-Uniset dans 70 pays. En 2010, l’avionneur a reçu 530commandes et livré 462 appareils commerciaux. Sonusine d’assemblage d’Everett, près de Seattle, formele plus grand bâtiment du monde en volume. Ils’étend sur 40 ha au sol. Entièrement consacré àl’aviation commerciale, il regroupe les chaînes deproduction des 747, 767, 777 et 787. ■Le Salon du Bourget avec ses2 000 exposants, ses 340 000visiteurs, ses 140 aéronefs enprésentation aérienne et enexposition, ses 5 000 RDVd’affaires, ses 200 délégationsinternationales et ses quelque3 000 journalistes demeurel’événement aéronautique etspatial le plus important aumonde.Alexis Martin, directeur d’AltiosUSA, sera présent au Salon duBourget le vendredi 24 juin. ■UN BUREAU AU MEXIQUE> BRÉSILLe grand test pour le Grand-EstUne mission collectiveCCI Grand-Est au Brésil apermis à une vingtainede sociétés françaises dese faire une idée concrètede leurs perspectives dedéveloppement outre-Atlantique. L’organisationdes rendez-vous deprospection avait étéconfiée à AltiosInternational.Fin mai, 21 entreprisesdes régions Alsace,Lorraine, Champagne-Ardenne et Franche-Comtéont participé à une missioncollective CCI Grand-Est auBrésil, organisée à l’initiativedes chambres de commerceet d’industrie, en collaborationavec la chambre decommerce France-Brésil,Ubifrance et Altios International.Ont participé Extenzo (plafondstendus), Europodium(podium mobile), GrandeForge (ferronnerie d’art),Oury Guye & Fils (instrumentschirurgicaux sur-Un exercice de terrain pour 21 entreprises du Grand-Est.mesure), Salines d’Einville(sel artisanal), Huot (raccordspour réseaux d’eaupotable) et Fortal (platesformesde maintenance pourle secteur aéronautique et laconstruction civile).PotentielsAltios International a mis enplace plusieurs plannings derendez-vous qualifiés aprèsavoir défini les cibles précisesavec chacune de ces PMEqui cherchaient à prendrecontact avec des distributeurs,des clients potentiels,voire des fournisseurs. Toutesles entreprises ont bénéficiéd’un accompagnementlors de leurs rencontres.Plus de 80 rendez-vous ontpermis de valider l’existencede potentiels pour les PMEfrançaises. Certaines sontreparties conscientes qu’ilsera difficile de vendre auBrésil sans s’associer avecun partenaire local ; d’autresprojettent de revenir sousquelques semaines pour“battre le fer pendant qu’ilest chaud”. ■LA LETTRE D’ INFORMATION SUR LES MARCHÉS ÉTRANGERS · #30 · JUIN 2011En plein cœur de Mexico City.Altios International continueson développement sur lesmarchés lointains en ouvrantau Mexique sa sixième filiale.Douzième économie mondiale,le Mexique est l’un des paysqui a le plus simplifié la créationd’entreprises récemment.Signataire d’accords de libreséchanges avec 45 pays, dontl’Union européenne, et encroissance économique continue(5,5 % prévu en 2011), leMexique peut se prévaloir degroupes industriels de taillemondiale (Cemex, Telmex,Télévisa, Pemex, GroupeModelo, Vitro, Alfa, Gruma).Sur ce marché en plein essor,Altios offre dorénavant unvaste éventail de servicessur-mesure : domiciliationavec solutions d’hébergementphysique et administratif,mise en place de relaiscommerciaux, études demarché, recherche departenaires commerciaux,stratégie d’implantation et dedistribution, identification etsélection de fournisseurs…Séverine Balian,qui a travaillé quatreans au Mexique pourla représentationd’entreprisesfrançaises, a rejointle groupe Altios. Elle dirigecette nouvelle filiale. ■3

AUSTRALIELa belle vitalité des biotechnologiesL’Australie faitbénéficier d’un fortsoutien le secteur desbiotechnologies. Lesopportunités sontnombreuses pour lessociétés françaises.Avec les États-Unis, leCanada, l’Allemagne,l’Angleterre et la France,l’Australie forme l’un desleaders mondiaux dans lesbiotechnologies. Le pays seplace au troisième rang (derrièreles États-Unis et Singapour)pour le soutien auxjeunes entreprises innovanteslocales et aux sociétésétrangères désireuses des’implanter. Dans le Victoriapar exemple, les dépensesannuelles en recherche etdéveloppement dépassent lemilliard de dollars australiens.Avec sa science depointe, l’Australie représenteun très fort potentiel pour lacréation de partenariatsinternationaux, favorisés parune réglementation transparenteet efficace.DynamismeLes entreprises françaisesont tout intérêt à considérerla création de partenariatsavec des homologues australiennespour profiter du fortdynamisme du secteur, quece soit en recherche etdéveloppement, financementou distribution. Cependant, ilest important qu’elless'assurent de la protectionadéquate de leur propriétéintellectuelle et qu’elles> EXPORTPrêt(s) pour le premier pasL’un des leaders mondiaux.comprennent et respectentles usages locaux.On le voit, une préparationadéquate est indispensable.Un plan d’action marketinget commercial efficacedécoulera tout naturellementd'une étude de marché etd'une analyse de la concurrenceet des partenairespotentiels adaptée. ■LA VIE D’ALTIOS INTERNATIONALDiplômé en Étudesdes médias àl’Université d’Ulster(Irlande du Nord),Garrett Begley atravaillé à Londreset à Paris avant d’entreprendre– fasciné par le monde de lafinance – des études decomptabilité. Devenu membrede l’association des expertscomptables du Royaume-Uni,il s’est installé en France pourélargir ses connaissances etrencontrer de nouveaux défis.Il a rejoint Altios à Nantescomme contrôleur de gestion. ■Après un master enÉtudes anglophoneset sciences politiquesobtenu au Canada,Mike Arresta s’estspécialisé dans lesventes et le développementd’affaires aux États-Unis. Il adéveloppé un réseau importantet géré une équipe de vendeurs.Il a rejoint Altios en tant queresponsable de projets.Il vérifie l’adéquation de l’offreet du produit client sur lemarché américain et identifieles meilleurs moyens dedistribution et de logistiquepour développer le produit etinfiltrer l’industrie. ■Les aides publiques àl’exportation constituentune bonne solution pourdémarrer sur un marchéétranger. Ces dispositifssont de plus en plusvariés et nombreux.Quel retard ! Seules14 % des PME françaisessont exportatrices(contre 61 %des grandes entreprises). Cesdernières années, le nombrede primo-exportateurs diminuemême régulièrement. Selancer peut faire peur. Celacoûte cher et ne génèreaucun retour sur investissementà court terme. Pourtant,avec la diversification desaides financières publiques,l’export n’a jamais été aussiaccessible.CréditGrâce au crédit d’impôt pourdépenses de prospectioncommerciale, on peut déduire50 % de l’investissement,à condition de recruter unepersonne dédiée (salarié ouVIE). Ce crédit n’est valablequ’une fois et, avant d’enbénéficier, il faut avancer lesfonds, ce qui nécessite unebonne trésorerie. Pour préservercelle-ci, mieux vautse rabattre sur les dispositifsde prêts.Le prêt pour l’export, distribuépar Oséo, en fait partie.Il répond bien aux besoinsdes entreprises qui entamentdes démarchesde prospection.Poursa part, lasubventionSidex,gérée parUbifrance,permet la priseen charge lesfrais de mission d’unsalarié, à hauteur de 800 €,deux fois par an.Pour des dépenses plusconséquentes – adaptationde produits aux standardslocaux, création d’une filialesur place, on aura tout intérêtà solliciter un contrat dedéveloppement internationalauprès d’Oséo. Ce prêt sansgarantie, remboursable sursix ans, avec une franchise lapremière année, peut monterà 300 000 €. Attentiontoutefois, il devra être coupléà un prêt bancaire.Autre dispositif avantageux,l’assurance-prospectionCoface. Elle permet de segarantir contre le risqued’échec commercial lorsd'une démarche export. Sil’entreprise n'atteint passes objectifs, l’assurancecomble lemanque. Cela encontrepartie d’uneprime annuelle,comprise entre 2et 4 % du totalengagé.Du côté desressourceshumaines, le VIE, volontariatinternational en entreprises,permet à l’entreprise de confierà un jeune une missionprofessionnelle à l’étrangerpour un coût qui peut êtrepartiellement pris en chargepar des subventions.Enfin, il existe de nombreuxautres soutiens régionauxpour lesquels il convient dese rapprocher de sa CCI. ■Double diplômée enfinances de l’écolede commerce deLa Rochelle et deNewcastle(Royaume- Uni),Justine Maurisse arrive aSydney en 2008 et étudie pourdevenir comptable agréée. Ellea rejoint Altios en 2010, touten poursuivant ses études à cejour. Ses missions au seind’Altios l’amènent à gérer lacomptabilité, la logistique etl’administration pour le comptedes clients australiens ainsique la comptabilité de la filialeinstallée à Sydney. ■LU POUR VOUSLA LETTRE D’ INFORMATION SUR LES MARCHÉS ÉTRANGERS · #30 · JUIN 2011Les trente ans quiont changé la Chinede Caroline Puel(Buchet-Chastel,2011) : ce livre très“pédagogique”retrace, année après année,les événements clés quiexpliquent cette émergencepacifique de la Chine actuelle.L’auteur, correspondante duPoint en Chine, arrivée surplace au début des années1980 comme jeune diplomate,fait partager sa connaissanceintime du pays. S’y mêlenthistoire culturelle, histoiresociale et histoire politique. ■Pour tous renseignements ou commentaires sur cette lettre : Altios International · Tél. 02 40 35 18 28 · info@altios-international.com4