fiches ateliers1 17-09-07 - Agence Europe-Education-Formation ...

FICHE DESCRIPTIVE ATELIER 1L’ENTREPRISE ET L’ALTERNANCE DANS LE PARCOURS DE FORMATION EUROPEEN► PRESIDENT D’ATELIER :Elie de Saint-Jores, chef de service à la direction de l’éducation et de la formation, Mouvement desentreprises de France (MEDEF)► INTERVENANTS :Claire Gaillard : directrice de la formation professionnelle, groupe FONCIAAlain Huet : délégué, général, MEDEF Rhône-AlpesJean-Marie Sebire : enseignant, lycée agricole St-Lô ThèreAlexandra Angress : chargée de mission, Office allemand d’échanges universitaires – DAAD. Agencenationale Erasmus/LLP► PROBLEMATIQUES DE L’ATELIER :L'enjeu de cet atelier est de montrer tout l'intérêt de développer une relation partenariale équilibrée etréciproque entre l'entreprise et l'université. De la qualité de cette coopération dépendent l'efficacité dela politique de formation et de professionnalisation tout au long de la vie, la réussite de l'insertionprofessionnelle des étudiants sur le marché de l'emploi ainsi que la performance de la recherche et del'innovation en Europe.Le programme pour l’éducation et la formation tout au long de la vie (EFTLV) permet de nouvellesmobilités Erasmus : stages en entreprise pour les étudiants (auparavant intégrés au programmeLeonardo da Vinci), périodes de formation pour les enseignants et les non-enseignants en entreprise etpériodes de formation des personnels de l’entreprise dans les établissements d’enseignementsupérieur. Par cette voie, les mobilités offrent la perspective de relations meilleures et plus efficientesentre l’université et l’entreprise.Autres thèmes de réflexion :- la convergence juridique des modalités de réalisation des stages : comparatif juridique, état deslieux, pistes pour faire émerger une solution commune à une convention européenne de stage ;- le dialogue et la coopération université-entreprise ;- les collaborations à l’échelle d’une région.

ATELIER 1L’ENTREPRISE ET L’ALTERNANCE DANSLE PARCOURS DE FORMATION EUROPEENPrésidentElie de Saint-JoresChef de service à la direction de l’éducation et de la formation,Mouvement des entreprises de France (MEDEF)Claire GaillardDirectrice de la formationprofessionnelle, groupeFONCIAIntérêt des programmes européenspour les entreprisesIntervenantsAlain HuetDélégué général, MEDEFRhône-AlpesJean-Marie SebireEnseignant, lycée agricoleSt-Lô ThèrePistes de coopération universitéentreprise.Un exemple de travailcommun dans la région Rhône alpes.L’apprentissage dans l’enseignementsupérieur, une collaborationnécessaireExemple d’un partenariat écoleentrepriseréussiIntérêt des stages en entreprise àl’étranger pour les étudiantsAlexandra AngressChargée de mission, Officeallemand d’échangesuniversitaires – DAADAgence nationaleErasmus/LLPPrésentation des apports de l’étudemenée par le DAAD « coopérationuniversité-entreprise ». Comment lesuniversités ont intégré la dimensionuniversité-entreprise dans leursactivités ?Différents modèles de coopération,perspectives vues de l’entreprise et del’université.

FICHE DESCRIPTIVE ATELIER 2L’ACCES A L’EMPLOI EN EUROPE DES DIPLOMES JUSQU’AU NIVEAU L► PRESIDENT D’ATELIER : Patricia Pol, vice-présidente de l’université Paris 12 et coordinatrice del’équipe française « experts de Bologne »► INTERVENANTS :Christian Forestier : recteur, Inspection général de l’Education nationale, membre du Haut conseilde l’éducationThierry Pineau : responsable développement « ressources humaines » d’un groupe bancaireMalcom Cook : professeur, université d’Exeter et membre de l’équipe britannique « experts deBologne »Volker Gehmlich : professeur, université des sciences appliquées d’Osnabrück et membre de l’équipeallemande “ experts de Bologne”► PROBLEMATIQUES DE L’ATELIER :Depuis la mise en place du processus de la Sorbonne-Bologne en 1998-99, la grande majorité dessystèmes d’enseignement supérieur européens est organisée autour de trois cycles d’étude : lalicence/bachelor, le master et le doctorat.Dans ce contexte, la question de l’employabilité du niveau licence/bachelor est au cœur des débatseuropéens. Ainsi, en Grande Bretagne par exemple, plus de 80% des diplômés de bachelor nepoursuivent pas leurs études. En France, si les BTS, les DUT ou les licences professionnellescorrespondent à des besoins clairement identifiés sur le marché du travail, force est de constaterd’une part, que les poursuites d’études de ce cycle intermédiaire sont très élevées et, d’autre part quel’insertion professionnelle des licences dites généralistes, n’est pas simple. Dans cet atelier, desregards croisés d’universitaires français et européens et de responsables de ressources humainespermettront de débattre de ces enjeux et de s’interroger sur une offre de formation susceptible dedéboucher sur des compétences, tant académiques que professionnelles.

ATELIER 2L’ACCES A L’EMPLOI EN EUROPE DES DIPLOMES JUSQU’AU NIVEAU LPrésidentPatricia PolVice présidente de l’Université Paris 12 etcoordinatrice de l’équipe française « experts de Bologne »Christian ForestierRecteur, Inspection généralde l’Education nationale,membre du Haut conseil del’éducationEn France : vers des licences qualifiantesEtat de la situation et de laproblématique en France en matièred’accès à l’emploi jusqu’au niveau L,incluant les sorties BTS, DUT et lesformations médico-sociales.Le positionnement des licencesprofessionnelles et des licencesgénéralistes : quelles mobilités et quelleemployabilité ?IntervenantsThierry PineauResponsable développement« ressources humaines »d’un groupe bancaireMalcom CookProfesseur, universitéd’Exeter et membre del’équipe britannique« experts de Bologne »Le point de vue d’un responsable desressources humainesComparaison entre deux pays européens,la France et la Grande-BretagneVolker GehmlichProfesseur, université dessciences appliquéesd’Osnabrück et membre del’équipe allemande “ expertsde Bologne”Comparaison avec deux pays européens,la France et l’Allemagne

FICHE DESCRIPTIVE ATELIER 3DU BON USAGE DES OUTILS EUROPEENS POUR UNE ORIENTATIONET UNE INSERTION PROFESSIONNELLE REUSSIES► PRESIDENT D’ATELIER : Jean-Yves de Longueau, sous-directeur des affaires européennes etmultilatérales à la direction des relations européennes et internationales et de la coopération,ministère de l’Education nationale, ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche.► INTERVENANTS :Graziana Boscato : responsable du centre Euroguidance de StrasbourgDaniel Chasseau : chargé de mission à la direction des affaires internationales de l’université deBordeaux 1, expert de BologneMichel Guimault : directeur des relations internationales du groupe Ecole supérieure de CommerceChambéryGeorge Asséraf : président de la CNCP (Commission nationale de la certification professionnelle)► PROBLEMATIQUES DE L’ATELIER :L’orientation des étudiants, la lisibilité de l’offre de formation des établissements d’enseignementsupérieur et la visibilité des diplômes auprès des recruteurs français et européens, sont desthématiques étroitement liées et des éléments majeurs de la relation université-emploi. Les enjeuxqu’ils soulèvent doivent s’articuler avec les objectifs, poursuivis par l’Europe, de création d’un espacecommun de l’enseignement supérieur et de mise en place d’un marché européen du travail.Une orientation réussie comme une insertion professionnelle réussie, représentent une demandelégitime de l’étudiant à l’enseignement supérieur. Assurer une réponse de qualité constitue un objectifmajeur pour chaque établissement. Quels outils européens peuvent l’aider dans sa stratégie ?Les Etats-membres et l’Union ont mis en place un certain nombre d’outils et de dispositifs destinés àaccompagner les établissements et les entreprises pour améliorer l’orientation et l’employabilité /l’insertion professionnelle des étudiants : dimension européenne de l’orientation avec le réseauEuroguidance et l’outil Ploteus ; lisibilité des parcours de formation par le portfolio Europass et bien sûrle développement de la mobilité étudiante Erasmus.Autour de la ligne directrice orientation-lisibilité, traitée du point de vue des étudiants, desétablissements d’enseignement supérieur, des praticiens de l’orientation et des employeurs, cet atelierpermettra d’éclairer les objectifs des dispositifs européens. Comment utiliser ces outils pour permettreune meilleure lisibilité de l’enseignement supérieur par les entreprises, en France et en Europe ?Comment faciliter l’accès (au sens de la reconnaissance et de l’utilisation par les acteurs nationaux -prescripteurs et utilisateurs) des outils, dispositifs, réseaux européens existants ? Comment améliorerla qualité et la transparence des parcours individuels de formation (orientation et lisibilité de l’offre deformation pour les étudiants ; visibilité et compréhension des diplômes pour les entreprises) ?

ATELIER 3DU BON USAGE DES OUTILS EUROPEENSPOUR UNE ORIENTATION ET UNE INSERTION PROFESSIONNELLE REUSSIESPrésidentJean-Yves de LongueauSous-directeur des Affaires européennes et multilatérales à la Directioneuropéennes et internationales et de la coopération, ministère de l’Educationnationale, ministère de l’Enseignement supérieur et de la RechercheGraziana BoscatoResponsable du centre Euroguidancede StrasbourgDimension européenne des services del’orientation, méthodes et outils detravail atouts et contraintes pour lespraticiensDaniel ChasseauMembre du réseau européen desexperts de Bologne, chargé demission à la direction des affairesinternationales de l’université deBordeaux 1Témoignage d’un service de relationsinternationales : prise en compte duparcours personnel et du projetprofessionnel de l’étudiant dans laproposition de mobilité européenneIntervenantsUn représentant de l’ACFCIMichel GuilmaultDirecteur des Relationsinternationales du Groupe ESCChambéryPoint de vue et besoins des entreprises ;connaissance/utilisation/intérêt portéaux outils et dispositifs européens ;publication « analyse et propositions desCCI »Intérêt du portfolio Europass pour lesétablissements d’enseignementsupérieur et pour l’insertion et l’évolutionprofessionnelles des étudiants ;témoignage sur les plus-values et lescontraintes d’une démarche« supplément au diplôme Europass »au sein d’un établissementGeorge AssérafPrésident de la CNCPRNCP, CEC, écriture des diplômes entermes de résultats d’apprentissage etobjectif de lisibilitépar un employeur (FR ou EUR)

FICHE DESCRIPTIVE ATELIER 4PROGRAMMES EUROPEENS :UNE CONTRIBUTION REUSSIE AU DEFI DE L’EMPLOILA PREUVE PAR L’EXEMPLE► PRESIDENT D’ATELIER :Pierre de Villers : professeur, directeur du département « Formation » de l’Institut des hautes étudesdes communications sociales, IHECS Formation, Bruxelles► INTERVENANTS :Joël Saingre : formateur dans le cadre du dispositif ET-NET, école ADVANCIAKata Albrecht : ingénieur, Minvasive Ltd (Hongrie), docteur en ingénierie biomédicale, université desSciences Techniques et Economiques de BudapestPhilippe Gourbesville : professeur, université de Nice Sophia-Antipolis, coordinateur du masterErasmus Mundus Euro-AquaePatricia Cerda : représentante de l’association des anciens étudiants Erasmus Mundus (ErasmusMundus Alumni)► PROBLEMATIQUES DE L’ATELIER :Les programmes européens d’éducation et de formation ont toujours accordé une large place àl’innovation et à la coopération entre l’enseignement supérieur et l’entreprise. Cette coopérations’articule autour de six axes principaux qu’illustreront les différents intervenants.De fortes synergies se développent entre l’enseignement supérieur et les organisations sectorielles, envue de mettre en place de véritables veilles professionnelles européennes. Une telle cellule mixteuniversités-entreprises anticipe mieux les conséquences des mutations technologiques, industrielles etorganisationnelles et, surtout, propose des formations qui répondront aux futurs besoins deconnaissance.L’adaptation des cursus universitaires aux besoins et exigences du monde professionnel et du marchéde l’emploi.Les programmes universitaires intègrent de plus en plus souvent une formation entrepreneuriale axéesur l’élaboration et la présentation d’un business plan, ainsi que sur des techniques de gestion et decommunication (création de start-up et autres spin-off).Les entreprises interviennent davantage dans les formations universitaires et l’enseignement supérieurparticipe plus souvent à des séminaires intra-entreprises.Le caractère innovant et performant des résultats de projets européens fait l’objet d’une meilleurecommunication. Le savoir-faire des diplômés et des chercheurs s’en trouve valorisé, pour une insertionprofessionnelle renforcée. Enfin, la mise en réseau d’experts dont le point commun est d’avoir participéà des programmes d’action européens accélère nettement leur entrée sur le marché de l’emploi.

ATELIER 4PROGRAMMES EUROPEENS :UNE CONTRIBUTION REUSSIE AU DEFI DE L’EMPLOILA PREUVE PAR L’EXEMPLEPrésidentPierre de VILLERSProfesseur, directeur du département Formation de l’Institut des hautesétudes des communications sociales, IHECS Formation, BruxellesIntervenantsJoël SAINGRE,Ecole ADVANCIAformateur dans le cadredu dispositif ET-NETKata ALBRECHTingénieur, Minvasive Ltd(Hongrie), docteur eningénierie biomédicale del’université des sciencestechniques et économiquesde Budapesta suivi la formation ET-NETPhilippe GourbesvilleProfesseur à l’université deNice-Sophia-Antipolis,coordinateur du masterErasmus Mundus Euro-AquaeUn exemple de démarche innovante derapprochement entre l’enseignementsupérieur et le monde de l’entreprise ;de contribution à l’employabilité deschercheurs ; et de valorisation des fruitsde la recherche universitaire :le projet ET-NET (2004-2006) adéveloppé des outils de sensibilisation,de formation et d'accompagnement à lacréation et à la gestion d'entreprisesinnovantes pour les chercheurs et lesingénieurs.Programmes et démarches innovantesDe la bonne utilisation etcomplémentarité des programmesTempus/Erasmus Mundus/ECW-EM auservice de formations et démarchesinnovantesUn exemple de cursus multidisciplinaire etnovateur en Europe dont les étudiantsreçoivent une proposition d’emploi avantmême la fin du cursusPatricia Cerdareprésentante del’Associationdes anciens étudiantsErasmus MundusDépartement Emploi de l’Association desanciens étudiants Erasmus Mundus