13.07.2015 Views

Le Sahel - Nigerdiaspora

Le Sahel - Nigerdiaspora

Le Sahel - Nigerdiaspora

SHOW MORE
SHOW LESS

You also want an ePaper? Increase the reach of your titles

YUMPU automatically turns print PDFs into web optimized ePapers that Google loves.

NUMERO7911MARDI20 avril 2010150 FCFA Sciences ettechnologieVitamines B6et B9 : bonnespour le cur ? A la Présidence du Conseil Suprême pour la Restauration de la DémocratieP-11<strong>Le</strong> Chef de l’Etat reçoit le Secrétairegénéral de la CEN-SAD<strong>Le</strong> Président du CSRD, Chef de l'Etat, le Chef d'Escadron Djibo Salou, a accordé,hier, une audience au Secrétaire général de la CEN-SAD, Dr. Mohamed El MadaniAl Azari, porteur d’un message du Guide de la Révolution Libyenne, MohammarKhadafi. A sa sortie d’audience, le Secrétaire général de la CEN-SAD a indiquéque lors de sa dernière visite dans notre pays, il s'est entretenu avec le Présidentdu CSRD, le Chef d'Escadron Djibo Salou, qui lui a posé un certain nombres dequestions, notamment sur la sécurité alimentaire et sur certains aspects de lacoopération bilatérale entre le Niger et la Libye. « J'ai rendu compte au Guide quim'a instruit de revenir pour apporter un soutien rapide et urgent au Niger dans lecadre de la sécurité alimentaire», a-t-il confié avant d’ajouter qu’il est venu aussipour voir l'effectivité de l'installation des institutions de la transition. « <strong>Le</strong> Présidentm'a rassuré que le Conseil Consultatif National est entrain de faire un travailremarquable, les autres organes sont entrain d'être installés et que progressivementl'horizon se dégage pour que le Niger retrouve une situation normale aprèsla durée de la transition», a indiqué le Secrétaire général de la CEN-SAD.Dr. Mohamed El Madani a en outre indiqué que le Président du CSRD lui a demandéde transmettre ses salutations fraternelles au Guide de la Révolution Libyenne. Formation des régisseurs, greffiers et agentsdes établissements pénitentiairesRenforcement des capacités des responsablesdes établissements pénitentiaires P-3 Installation, hier, du Comité national d’organisationdu mois de l’expression de la parenté à plaisanterieLa parenté à plaisanterie, unsymbole de cohésion sociale Kader Amadou stagiaire/ONEPP-3<strong>Le</strong> Chef de l’Etat avec le Secrétaire général de la CEN-SAD (au centre)Nominations des membres du ConseilConstitutionnel de transition et de l’ONC<strong>Le</strong> Président du Conseil Suprême pour laRestauration de la Démocratie, Chef del'Etat, le Chef d'Escadron Djibo Salou asigné, hier, plusieurs projets de textes.Premièrement, les personnes ci-dessousdésignées sont nommées membres duConseil Constitutionnel de Transition.Il s'agit de :Représentants du Président du ConseilSuprême pour la Restauration de laDémocratie, Chef de l'Etat.- Mme Salifou née Fati Bazèye.- Monsieur Abdou Dan GaladimaReprésentant du Premier ministre.- Monsieur Soly AbdramaneReprésentant des Magistrats.- Monsieur Hassimiou OumarouReprésentant du Barreau.- Maître Karimou HamaniReprésentant des organisations de lasociété civile.- Madame Abdoulaye Diori néeKadidiatou Ly, Docteur en droit public.Représentant des Enseignantschercheurs.- Dr Narey OumarouL'installation du Conseil Constitutionnelde Transition, aura lieu le mercredi 21avril 2010, à 10 heures, à l'AuditoriumSani Bako, au Ministère des Affaires, dela Coopération, de l'Intégration Africaineet des Nigériens à l'Extérieur.Deuxièmement le Président du ConseilSuprême pour la Restauration de laDémocratie, Chef de l'Etat, a signé undécret modifiant le décret n° 2010-194/PCSRD en date du 09 avril 2010 portantnomination des membres du Comitédes Textes Fondamentaux. Ainsi, auxtermes de ce décret, il faut lire au point16 Monsieur Hassane Ali au lieu deBoubacar Issa Abdrahamane.L'installation du Comité des TextesFondamentaux aura lieu le mercredi 21avril 2010 à 17 heures, à l'AuditoriumSani Bako, au Ministère des Affaires, dela Coopération, de l'Intégration Africaineet des Nigériens à l'Extérieur.Enfin, troisièmement, le Président duConseil Suprême pour la Restauration dela Démocratie, Chef de l'Etat, a signé undécret portant nomination du Président etdu Vice-Président de l'ObservatoireNational de la Communication.Ainsi : Monsieur OusmaneAbdourahamane, Journaliste est nomméPrésident de l'Observatoire National de laCommunication.Monsieur Ali Sountalma Ousseini,Journaliste est nommé Vice-président del'Observatoire National de laCommunication. Elh Zakari A. Gado/ONEP


2 SOCIETE<strong>Le</strong>s praticiens nous conseillentde prêter attention auxmaux de tête accompagnésde fièvre ou bien ceux qui surviennentchez une personne quin’en souffre pas d’habitude,surtout chez les enfants, et particulièrementlorsque ces maux detête durent longtemps. Dans cesdeux cas de figure indiquent lespraticiens, ils peuvent être lesigne d’une maladie. Aussi, il estvivement conseillé d’aller en consultation…Laconstipation peutêtre cause de maux de tête. S’ilsne disparaissent pas avec unemeilleure alimentation et durepos, il faut donc aller consulter.La migraine, elle, est un mal detête très fort que l’on sent engénéral d’un seul côté. Unemigraine peut être accompagnéeou précédée d’une vue trouble,de vertiges ou de fourmillementsde la main ou du pied du côtéopposé à celui de la migraine.Qu’elle soit fréquente ou rare, lamigraine, expliquent les techniciens,peut causer des vomissements.Toutefois nous rassurentils,c’est certes ennuyeux d’avoirla migraine, mais ce n’est pasdisent-ils une maladie grave.Qu’à cela ne tienne car, il esttoujours important de faire ensorte que la migraine ne nousBien-être Maux de tête et migraineDes compresses chaudes sur la nuque, ou sur le dos à ne pas toujours négliger<strong>Le</strong> mal de tête banal peut se calmer avec du repos et en prenant des calmants comme l’aspirine ou le paracétamol. Des compresseschaudes sur la nuque ou sur le dos font aussi parfois du bien.entraîne pas dans ses duresmoments de présence sur notreorganisme. En effet préconisentles professionnels de la santé,pour éviter que la migraineprenne de l’ampleur, dès les premierssignes, s’il y a des frissonset des vomissements par exemple,il faut toujours penser aupaludisme. Des mesuresusuelles existent aussi pouressayer de se débarrasser d’unemigraine. Il est par exemplerecommandé à la personne derester calme et de faire un effortpour ne pas penser à sesproblèmes. Il lui ait aussi recommandéde prendre deux cachetsd’aspirine, si elle n’a pas de problèmed’estomac, ou alors duparacétamol accompagnés d’unetasse de café ou de thé, très fort.<strong>Le</strong> sujet doit aussi se coucherdans une chambre sombre etsans bruit. Mais dès lors que lesdouleurs et les vomissementspersistent et ce malgré cesquelques précautions, les techniciensconseillent d’aller en consultationoù il pourrait être notammentprescrit au patient, un produit,un comprimé contenant del’ergotamine et de la caféine.D’une manière générale, les professionnelsde la santé recommandentde ne pasnégliger les maux de tête, quipeuvent en effet être un signe demaladie grave. Il faut y penserdisent-ils lorsqu’ils surviennentchez une personne qui n’en souffrepas d’habitude (surtout chezles enfants), lorsqu’ils durentlongtemps ou lorsqu’ils sontintenses, dans toute la tête,accompagnés de nausée et devomissements ou lorsqu’ils sontaugmentés par la lumière, la touxou lorsque le malade penche latête. Ils peuvent être en effet lesigne d’une atteinte grave desméninges ou cerveau et il fautaller vite voir un médecin.Lorsque les maux de tête sontaccompagnés de fièvre, il fautrechercher d’autres signes demaladies infectieuses graves etpenser accessoirement à laméningite si la nuque est raide,au paludisme s’il y a des frissons,des courbatures, des troublesdigestifs, ou à la fièvre typhoïde. Issaka Saïdou Incinération en plein air des ordures ménagèresUne pratique aux effets dangereux pour la santéA Niamey comme dans beaucoup d’autres centres urbains de notrepays, la question du traitement des ordures ménagères et mêmeindustrielles se pose avec beaucoup d’acuité. <strong>Le</strong>s ménages quiproduisent les déchets ne sont apparemment pas en mesure de lesévacuer ou traiter correctement. <strong>Le</strong>s municipalités n’arrivent pas àrésoudre l’équation comme il se doit.Bien qu’issues desménages, les ordures nefont pas bon ménage avecces derniers, si elles ne sont pastraitées. La population tente alorssa solution à l’équation posée.C’est pourquoi, il n’est pas rarede voir des nuages de fumées’élever dans le ciel ou les ruesparsemées de foyers de feuxdestinés à incinérer les orduresqui s’entassent.Malheureusement, ces feuxallumés souvent en pleine ruegênent la circulation des personneset des engins. Mieux,l’incinération des déchets dansles zones habitables a des conséquencesénormes non seulementsur l’environnement maisaussi et surtout sur la santé despopulations environnantes.Selon Dr Sadi Moussa, de ladirection de l’hygiène publique etde l’éducation pour la santé, lesdéchets sont constitués deplusieurs éléments organiques,plastiques, métalliques et autres.Lorsqu’on les brûle, il se produitune combustion incomplète quidégage une immense fuméeconstituée de gaz carbonique,d’oxyde de carbone, d’oxyde desoufre. Des produits hautementpolluants qui vont dans l’atmosphèreambiante et affectent lasanté des personnes enparticulier les jeunes enfants, lespersonnes âgées et celles quisont déjà malades voient leurscas compliqués davantage.L’inhalation de ces produits peutprovoquer des maladies respiratoirescomme la pneumonie, lesbronchites. L’incinération desdéchets nuit à la qualité de l’airavec des conséquentes évidentedues aux différentes substancestoxiques comme le méthane, leAvec le développementgalopant de nouveauxquartiers, la ville deNiamey se trouve confrontée àd’énormes difficultés d’assainissement.C’est ainsi quedes places publiques, desécoles et des centres commerciauxtels que katako, grandmarché, petit marché etc,deviennent de plus en plus desdépotoirs d’ordures. Mieux, onobserve souvent une accumulationde ces ordures et déchetsplastiques dans certainsquartiers périphériques, dans leseul but de « remblayer » dit-t-onles nids de poule, qui naissentCFC et bien d’autres quidétruisent la couche d’ozone etprotège les humains des rayonsultraviolets du soleil. La réceptiondirecte des rayons UV peutprovoquer le cancer de la peauet certaines maladies des yeux, aindiqué Dr Sadi Moussa. Parmiles matières incinérées, les plusdangereuses sont celles plastiquesmais aussi le soufre, lecyanure des produits trèstoxiques pouvant provoquer desinfections respiratoires aiguës etd’autres maladies. L’incinérationdes déchets constitue donc unvrai problème pour l’environnementsanitaire dans les centresurbains. Selon Dr SadiMoussa, la meilleure façon detraiter les déchets ménagers estcelle de l’enfouissement, desurtout pendant la saison pluvieuse.<strong>Le</strong>s responsabilités sontpartagées entre les autoritésmunicipales et la population.Pour les autorités municipales,l’on observe une certaine négligencepour ne pas dire unlaxisme dans l’application destextes en vigueur. Elles estimentqu’en dépit de tous les moyensmis à la disposition des populations,les résultats attendusrestent insuffisants. Pour cela, lasensibilisation de la populations’avère encore indispensable.La population quant à elle doitcontribuer à rendre la ville propreen respectant les caniveauxdécharge contrôlée mais aussicelle de l’incinération. Cettedernière doit se faire non pasdans les rues mais à des endroitsbien dégagés et avec desplacés à cet effet. Cela va beaucoupcontribuer à éviter certainesmaladies tels que lepaludisme, la typhoïde et souventle choléra. <strong>Le</strong>s populationsincinérateurs adaptés. Cela peutpermettre même de dégager del’énergie, a-t-il ajouté. Pour cequi est des matières organiques,il est possible de faire ducomposte pour amender le solcultivable plutôt que de lesentasser et incinérer dans leszones habitables au grand damdes populations. Cependant,malgré la persistance de cephénomène, il faut noter quenotre pays s’est doté d’instrumentsjuridiques relativementau déchet en général et à leurincinération en particulier. Selonl’article 90 du Code d’hygiènepublique de 1993, l’incinérationen plein air des déchets combustiblespouvant engendrer desnuisances est interdite. L’article 8du même code fait obligation auxcommunes et autres collectivitésd’assurer l’élimination régulièredes ordures ménagères maisaussi celle de faire appliquer laloi en la matière grâce à la policesanitaire. Il y va de l’intérêt dechacun et de tous.Zabeirou Moussa Déchets plastiques, insalubrité et ordures dans les quartiers de NiameyDu devoir des populations de s’investir dans l’amélioreration de leur cadre de vieL’insalubrité devient de plus en plus un fait préoccupant dans laville de Niamey avec notamment les plastiques usés. Ce problèmeprend de l’ampleur avec surtout le phénomène d’urbanisation,ayant entrainé la naissance de nouveaux quartiers.Des conteneurs mal utilisés DRUne décharge publique en pleine ruedoivent donc s’investir davantagepour respecter les textes envigueur. Il y va de leur santé.Souley Ali Housseyna DRMardi 20 avril 2010


Dans le discours qu’il a eu àprononcé à cette occasion, leministre de la Justice et desDroits de l’Homme, Garde desSceaux, M. Abdoulaye Djibo, a deprime abord indiqué qu’en tant queprincipaux responsables desétablissements pénitentiaires, lesrégisseurs, greffiers et agents desétablissements pénitentiairesconnaissent bien les difficultésauxquelles se trouvent confrontéesl’administration pénitentiaire dansl’accomplissement de sa difficile etdélicate mission. Ces difficultés, a-t-ilprécisé, se résument à la surpopulationcarcérale ; l’insuffisance et lavétusté des bâtiments qui hébergentcette population ; l’insuffisance ousouvent l’absence de moyenspermettant la mise en œuvre desobjectifs de resocialisation et deréinsertion socio-économique desdétenus ; le manque de conditiond’hygiène et de santé. Pour remédierà toutes ces difficultés, a précisé leministre, plusieurs actions ont étéentreprises et concernent : la formationdes personnels pénitentiaires àla gestion des établissements, ledéveloppement des bonnes pratiquesau sein des établissementspénitentiaires, la connaissance desdroits élémentaires des détenus pourune nouvelle culture administrativedes agents qui doivent tendre vers unrespect plus strict de la légalité ; uneplus grande responsabilité pour lesgestionnaires et un plus grand professionnalismepour tous. Il a ajoutéque d’autres mesures sont envisagées.Il s’agit, entre autres, du remplacementdu personnel des FNISpar un personnel relevant exclusivementde l’administration pénitentiairecivile, conformément aux dispositionsdu décret no 99-369 du 3 septembre1999 portant statut particulierdu personnel de l’administrationpénitentiaire. L’objectif spécifique dela rencontre est de renforcer lescapacités des responsables desétablissements pénitentiaires, dansle contrôle des titres de détention etdans le contrôle et le calcul de ladurée de leur validité. A ce titre, adit le ministre, la formation sera axéesur l’identification et la validité destitres de détention ; la réglementationpénitentiaire ; les nouvelles techniquespour le suivi de la situationpénale du détenu ; la tenue des registreset l’archivage des documents ;les relations avec les magistrats encharge des dossiers des détenus.En avril 2009, a en outre précisé leministre de la Justice et des Droits del’Homme, Garde des Sceaux, uneexpertise nationale et internationalemobilisée par le PAJED avaitNATION Au Conseil Consultatif National<strong>Le</strong> président de l’institution reçoit unedélégation de l’Union Européenne<strong>Le</strong> président du Conseil Consultatif National, M. Marou Amadou, s’est entretenu, hier avecune délégation de l’Union Européenne composée de l’ambassadeur Hans-Peter Schadek,chef de la délégation de l’UE au Niger, SE Mme Maria Soledad Fuentes Gomez, ambassadeurdu Royaume d’Espagne au Niger, SEM. Alain Holleville, ambassadeur de Franceau Niger, SEM. Rudiger John, ambassadeur d’Allemagne au Niger et en compagnie del’ambassadeur du Niger à Bruxelles, SEM. Souleymane Abary.Une vue des participants à la formation Housseini Garba/ONEP<strong>Le</strong> président du CCN avec les membres la délégation de l’Union Européenne, hier Formation des régisseurs, greffiers et agents des établissements pénitentiairesRenforcement des capacités des responsables des établissements pénitentiaires<strong>Le</strong> ministre de la Justice et des Droits de l’Homme, Garde des Sceaux,M. Abdoulaye Djibo, a présidé, hier, la cérémonie d’ouverture d’unatelier de formation des régisseurs, greffiers et agents des établissementspénitentiaires. Organisé par le Ministère de la Justice et desDroits de l’Homme Garde des Sceaux en partenariat avec le PAJED(projet d’appui à la justice et à l’Etat de Droit), cet atelier qui dureratrois jours, a pour objectif principal le renforcement des capacités desresponsables des établissements pénitentiaires, dans le contrôle destitres de détention et dans le contrôle et le calcul de la durée de leurvalidité. La cérémonie d’ouverture s’est déroulée en présence du HautCommandant des Forces Nationales d’Intervention et de Sécurité(FNIS), le Colonel Abdou Sidikou Issa.procédé à l’identification des besoinsde ces différentes catégories d’acteurset à la conception de modulesde formations adaptés à chacuned’elles. C’est ainsi que dans un premiertemps 10 régisseurs de maisonsd’arrêt cette semaine et 10 responsablesde greffes la semaineprochaine, vont bénéficier d’enseignementsspécialisés dispenséspar des professionnels avertis sur laréglementation pénitentiaire, la gestionbudgétaire, la gestion desressources humaines, la sécurité etla gestion des conflits, les techniquesde greffe et d’archivage. M.Abdoulaye Djibo a précisé que lesformateurs prendront ensuite la routepour accomplir un long périple qui lesmènera sur 17 localités à travers toutle territoire, où ils rencontrerontquelques 340 surveillants-chefs,gardes et infirmiers, qui sont tous aucontact quotidien des détenus. A3noter qu’auparavant, le Commandantdes FNIS, le Colonel Abdou SidikouIssa a pris la parole pour remercier etencourager le PAJED pour avoir bienvoulu aider le Ministère à organisercet atelier et aussi, et surtout pourtous les efforts qu’il ne cessent dedéployer pour l’amélioration descapacités des ressources humainesdes agents des Forces Nationalesd’Intervention et de Sécurité.Aissa Abdoulaye AlfaryInstallation du Comité national d’organisation du mois del’expression de la parenté à plaisanterieLa parenté à plaisanterie, un symbole de cohésion socialeLa ministre de la Communication, des Nouvelles Technologies del’Information et de la Culture, Mme Takoubakoye AminataBoureima, a présidé, hier dans l’après-midi, à la Maison de laPresse, la cérémonie d’installation officielle du Comité nationald’organisation du mois de l’expression de la parenté à plaisanterie.Cette cérémonie s’est déroulée en présence du Secrétaire généraldu Ministère de la Communication, des Nouvelles Technologies del’Information et de la Culture, ainsi que des membres du Comitéd’organisation du mois de l’expression de la parenté à plaisanterie.Dans l’allocution qu’elle a prononcéeà cette occasion, la ministrede la Communication, desNouvelles Technologies del’Information et de la Culture, a indiquéque conformément aux directives duConseil Suprême pour la Restaurationde la Démocratie et de celles dugouvernement de transition, cetteannée, plus que par le passé, lesactivités entrant dans le cadre de l'expressionde la parenté à plaisanterieseront célébrées sur toute l'étendue duterritoire national et suivies avec uneattention toute particulière. Selon MmeTakoubakoye Aminata Boureima, cechoix traduit la ferme volonté du gouvernementd'offrir plus de visibilité auxactivités qui sont initiées dans tout lepays mais aussi de confirmer, si besoinest, le leadership que le Niger joue auniveau continental voire mondial, enmatière de valorisation de ce patrimoineimmatériel africain. «Aujourd'hui,tous les nigériens s'accordent à promouvoirles valeurs sacréesvéhiculées, depuis la nuit des temps,par l'expression de la parenté à plaisanterieparmi lesquelles nous pouvonsciter la tolérance, la paix, la cohésionsociale et la réconciliation », a indiquéla ministre. Cette année, devait-elleannoncer, en lieu et place d'unesemaine, les manifestations del'expression de la parenté à plaisanterieseront organisées sur un mois. A ceteffet, a indiqué la ministre, un programmeriche prévoit des conférences,des rencontres avec « les trésorshumains vivants », des activités de renforcementdes capacités des animateursculturels bénévoles, l'organisationdes présélections des meilleuresœuvres en théâtre et sketches auniveau régional et du concours nationalde théâtres et sketches avec la participationde talentueux humoristesafricains. C’est pour relever ce défi, aajouté Mme Takoubakoye AminataBoureima, qu’elle a créé ce comité quiaura en charge l'organisation de cetimportant événement. <strong>Le</strong> comité estcomposé d'une structure de coordinationet de quatre commissions techniquesà savoir, la Commissionprogrammation, accueil, cérémonied'ouverture et de clôture, la commissionconférences, la commission Viecourante, et enfin la commissionfinances, marketing et communication.Selon la ministre, le mois de l'expressionde la parenté à plaisanterie viseraà célébrer une pratique multiséculairequi a façonné l'identité du peuplenigérien, la richesse et la vitalité de sescultures mais aussi et surtout consolidéA MEDITERles valeurs de tolérance et de cohésionsociale, valeurs que lui envient beaucoupde pays du monde. Pour réussirce challenge, la ministre a soulignéqu’elle a fait appel aux hommes etfemmes d'expérience dont l'expertise etla détermination sont confirmées. « Jereste persuadée que vous percevezl'enjeu et que vous sauriez donner lemeilleur de vous-même pour réussirl'organisation de cet événement.Toutefois, le contexte socio-politique dumoment exige que j'insiste sur larigueur et la hauteur de vue qui doiventguider vos travaux. Dans ce cadre, jevous demande de me fournir dans lesplus brefs délais un programme détaillédes activités, un plan de financement etune stratégie de communication nouspermettant d'atteindre nos objectifs », adit la ministre à l’adresse des membresdu Comité. Elle les a invités à capitaliserles acquis des éditions précédentestout en évitant les lacunesobservées ; et à faire preuve d’imagination,d'abnégation, de disponibilité et detransparence dans la gestion. MmeTakoubakoye Aminata Boureima a enfinassuré les membres du Comitéd’organisation du mois de l’expressionde la parenté à plaisanterie de l’entièredisponibilité du CSRD et du gouvernementà soutenir cette activité quis'inscrit en droite ligne des objectifs deréconciliation nationale prônés par leCSRD. Oumarou MoussaL'enregistrement des données d'état civil constitue une préoccupation importantedans notre pays. Ce sont en effet ces données qui offrent le meilleurmoyen de produire des statistiques fiables sur le nombre de naissances, dedécès et de mariages pour asseoir de vraies politiques de développement.On comprend dès lors l’utilité de ces opérations qui, surtout pour lesnaissances, accordent beaucoup de droits aux enfants enregistrés. Ibro Youka/ONEPMardi 20 avril 2010


4 MESSAGEMardi 20 avril 2010


<strong>Le</strong> ministre de la Justice et des Droits de l’Homme, Garde des Sceaux, M.Abdoulaye Djibo, a présidé, hier matin au Palais des Congrès de Niamey,le lancement officiel de la campagne nationale de diffusion et de vulgarisationdes brochures d’information sur les droits et devoirs des citoyens.C’était en présence du Coordonnateur du Projet d’appui à la justice etl’Etat de droit (PAJED), du représentant de l’Union européenne et de plusieursinvités. Ce sont au total 222.000 brochures qui ont été éditées etportent sur 22 thèmes d’intérêt juridiques.<strong>Le</strong>s brochures ont été conçues dansun langage aussi simplifiéqu’accessible. Elles sont aussiillustrées de dessins pour faciliter lacompréhension au public. <strong>Le</strong>s thèmestraités à travers ces brochures sont entreautres l’organisation judiciaire du Niger,la protection des mineurs devant les juridictionspénales, la nationalité nigérienne,le rôle de l’huissier, de l’avocat,des notaires, des greffiers, le pourvoi encassation, le recours pour excès de pouvoir,la rectification des actes d’état civil,le divorce ou la répudiation, les attributionsdes magistrats ( magistrats dusiège et du parquet), comment visiter unproche parent qui est détenu, le casierjudiciaire, le viol et le harcèlement sexuel,le recours en matière administrative(le plein contentieux), que faire en cas dedifférend avec un employeur, le registredu commerce et du crédit mobilier(RCCM), les voies de recours judiciaires,les attributions de la police judiciaire, lesprocédures rapides (référé et ordonnancesur requête), et les voies etrecours judiciaires. En procédant aulancement officiel de cette campagne devulgarisation, le ministre de la Justice etdes Droits de l’Homme, Garde dessceaux, a tout d’abord souligné la placede la justice dans le système démocratique.La justice a indiqué M. AbdoulayeDjibo est le pilier essentiel de l’Etat dedroit. En outre, si le peuple est au centredu système démocratique, il est important,selon le ministre de la Justice que lepeuple soit informé de ses droits maisaussi de ses devoirs. En effet, ajoute leministre Abdoulaye Djibo, l’assertionselon laquelle ‘’Nul n’est censé ignorer laloi’’ suppose pour être vraie, une largediffusion de la règle de droit dans tousles domaines de la vie.Malheureusement constate-t-il lescanaux ordinaires de vulgarisation de larègle de droit, que sont les médias et lesautres systèmes de communication, nesont pas toujours accessibles au plusgrand nombre. <strong>Le</strong> ministre de la Justiceet des Droits de l’Homme, Garde desSceaux a pour ce faire salué lepartenariat entre son départementministériel et l’Union Européenne qui aNATION Lancement de la campagne nationale de vulgarisation des brochures d’information sur les droits et devoirs des citoyensFaciliter l’accès à l’information juridique au plus grand nombre de Nigériens<strong>Le</strong> ministre de la Santé Publique, Pr Nouhou Hassan, a tenu, vendredidernier dans la salle de réunion dudit ministère, un point de presse relatifà la situation nutritionnelle au Niger. <strong>Le</strong> ministre de la Santé Publique aapporté un démenti formel sur des chiffres avancées par certains médiasnationaux et internationaux, qui portent à croire qu’un enfant sur deux estmalnutri, soit une prévalence erronée de 50%, alors qu’en réalité ce tauxest précisément de 12, 3 % tel que le révèle la dernière enquête nationale.Au cours de ce point depresse, le ministre de laSanté Publique, Pr NouhouHassan, a tout d’abord indiqué quele Conseil Suprême pour laRestauration de la Démocratie(CSRD) et le gouvernement fontdu bien-être de la populationnigérienne en général et del’amélioration de son état de santéen particulier, une de leurs priorités.C’est pourquoi, ils entendentrégulièrement tenir informés lesNigériens sur des sujets d’intérêtnational comme celui de la situationnutritionnelle. Reconnuepréoccupante dès l’avènement duCSRD, a indiqué le Pr NouhouHassan, la situation nutritionnellefait l’objet d’un suivi hebdomadairesur l’ensemble du territoirenational par les services compétents.«Je vous rappelle quecomme les autres années, le Nigera enregistré en 2010 des cas demalnutritions aigués .C’est ainsiqu’il a été observé pour les 14 premièressemaines de l’année encours, 74.000 cas de malnutritioncontre 40.000 cas à la mêmepériode de l’année 2009. La tendanceactuellement observée estdonc à la hausse. Cependant, cenombre de cas effectivement notifiéest nettement en dessous duchiffre disproportionné des1.500.000 cas annoncés par certainsmédias et qui portent à croirequ’un enfant sur deux est malnutri,soit une prévalence erronée de50% », a souligné le ministre de laSanté Publique. En réalité, a tenuà préciser le ministre, le taux deprévalence de la malnutrition estde 12,3%, selon la dernièreenquête nationale de nutrition etde survie de l’enfant, une prévalencesuffisante pour déclencher lamise en œuvre d’un programmepermis à travers le PAJED, l’édition et lavulgarisation des dépliants ainsi conçus.Au demeurant, le coordonnateur duPAJED, M. Rabo Maïnassara, a indiquéque la mauvaise connaissance de leursdroits et devoirs est une évidence chezles citoyens nigériens. Cette méconnaissances’explique d’une part par un contextesocio-économique défavorable àl’information de la population et à la communicationen général. Il s’agit notammentde la vaste étendue du territoire, laforte proportion de la population vivanten dessous du seuil de pauvreté, lesfaibles taux de scolarisation etd’alphabétisation ainsi que la présencede plusieurs groupes ethniques parlantdifférentes langues. Cette méconnaissances’explique d’autre part par uncontexte spécifique au secteur du droit etde la justice. Il s’agit notamment de lafaiblesse des effectifs du barreau (103personnes essentiellement basées dansla capitale), l’éloignement géographiquedes structures judiciaires, la perceptionde la justice (vue essentiellement sousl’angle répressif) par les populations, latechnicité du vocabulaire juridique,l’absence de véritables services publicsd’information des justiciables et descitoyens en général, le développementde pratiques douteuses d’intermédiairespeu scrupuleux. L’élaboration d’une véritablestratégie de communication s’imposepour inverser cette tendance etpermettre au plus grand nombre l’accèsadapté de lutte. Pour cela, a ajoutéle ministre, plusieurs actions ontété entreprises. Il s’agit, entreautres, du renforcement du cadrede coordination et de concertationentre le Ministère de la SantéPublique et ses partenaires ; dusuivi hebdomadaire des tendances; du pré positionnementdes intrants thérapeutiques etalimentaires ; de la prise en chargegratuite des cas de malnutrition ;du renforcement des capacitésdes prestataires ; des missionspériodiques d’évaluation sur leterrain. En tout état de cause, aaffirmé le Pr Nouhou Hassan, laà l’information juridique. En effet, l’effectivitédu principe constitutionnel d’égalitédes citoyens devant la loi suppose, selonle coordonnateur du PAJED, un accès àl’information juridique. Dans cetteoptique ajoute M. Rabo Maïnassara, ‘’ledroit et la justice ne doivent pas resterl’affaire des seuls professionnels dudroits, des gens de robe et nous devonsfournir tous des efforts pour mettre à laportée de tous les informations essentiellesà la vie du citoyen dans unedémocratie.’’ <strong>Le</strong> PAJED accompagnedepuis fin 2006, le gouvernement dansla mise en œuvre des réformes judiciairesengagées dans le cadre duProgramme d’appui aux réformes judiciaires(PARJ) adopté dès 2003. Lasituation est sous contrôle et faitl’objet d’une attention particulièredes autorités au plus haut niveaude l’Etat. « <strong>Le</strong> Ministère de laSanté Publique est déterminé, encollaboration avec ses partenaires(PAM, OMS, UNICEF, ONG…etc),à poursuivre la mise en œuvre desstratégies appropriées deréponse. Une opération de distributiongénéralisée ciblée desrations alimentaires (Blanket feeding)aux enfants dans les zonesvulnérables de toutes les régionsdu Niger sera lancée le 28 avrilprochain suivi de distribution pouratténuer davantage les effets de5présente initiative vise à rapprocherdavantage la justice et des justiciables.Cependant, la vulgarisation desbrochures ainsi élaborées nécessitera lamise à contribution de certains acteursou personnes relais. Il s’agit selon lecoordonnateur du PAJED des acteurs dela justice (magistrats, avocats, greffiers,appelés du service civique nationalchargés des bureaux d’accueil dans lesjuridictions), les personnels des administrationssociales (communes, étatiques,agents de police, de la gendarmerie,etc.), les acteurs de la société civile etles volontaires des Nations Unies aucontact des détenus et du publicfréquentant les cliniques juridiques). Siradji Sanda Point de presse du ministre de la Santé PubliqueDémenti formel relatif au taux de prévalence de la malnutrition de 50% dans notre pays1921-1998, il y a 12 ans que Djibo Bakary, 1 er président du Conseil du gouvernementautonome du Niger de 1956 à 1958, nous a quitté. La cérémoniecommémorative de ce 12 ème anniversaire a eu lieu, vendredi dernier,dans son village natal de Soudouré à une quinzaine de kilomètres deNiamey. C’était sous la présidence du président du parti, M. MounkailaSanda en présence des parents, amis et connaissances ainsi que des militantset sympathisants venus nombreux.Après la lecture du SaintCoran à la mémoire del’illustre disparu, les participantsont effectué une visiteguidée sur la tombe de cepersonnage qui a marqué l’histoirepolitique de notre pays. Lacérémonie a été également marquéepar plusieurs interventionsqui ont retracé la vie de DjiboBakary 1 er Maire de la ville deNiamey, leader fondateur duRDA, de l’UDN et de l’UDFP-Sawaba, syndicaliste et hommepolitique nigérien et africain.En prenant la parole dans cesmoments d’émotion et de profondrecueillement, le présidentMounkaila Sanda, après avoirremercié l’assistance a encorerappelé que l’UDFP-Sawaba,émanation de l’ancienne UDN-Sawaba a incontestablementmarqué une partie de l’histoire duNiger au point où son histoire seconfond, s’est confondue aveccette parcelle de l’histoire denotre indépendance et par delàdes indépendances africaines. Il aajouté que le Sawaba a été crééle 16 avril 1954 par des hommeset des femmes intègres de toutesLa table de séance à l’ouverture de la campagne de vulgarisation, hierles régions de notre pays.Lorsqu’en 1958, ils décidèrent dedire non à l’asservissement colonial,ils savaient parfaitement quele chemin de l’honneur est difficileà franchir face à l’intimidation, laprison et même la mort. Ce NON,le Sawaba l’a réitéré le 28 septembre1958 lors du Référendum.Après la prison et l’exil (cetteautre forme de prison), beaucoupde militants du Sawaba ont laisséleur vie dans ce combat pour laliberté, l’honneur et la dignité.Seul le travail paye, a-t-il indiquéaux militants et militantes du parti.Rappelez-vous, chers camarades,ce que nous disait notreleader «Voyez en Europe:l’Autriche, la Suisse, laTchécoslovaquie, la Hongriecomme pays, il n’ont pas de littoralet pourtant ils ne sont pasparmi les plus malheureux encette crise», a-t-il dit. Par ailleurs leministre de la Santé Publique aappelé au sens de responsabilitéde tous les intervenants en vue des’aligner sur notre système nationald’information sanitaire qui est etdemeure l’unique référence enmatière de données spécifiquesau domaine. Enfin, le Pr NouhouHassan a instruit tous les servicesde santé, à tous les niveaux, à renforcerdavantage le cade de concertation,la surveillance nutritionnelle,le suivi des tendances ainsique la prise en charge.Aissa Abdoulaye Alfary Cérémonie commémorative du 12 ème anniversaire du décès de Djibo BakaryHommage au syndicaliste et à l’homme politiqueEurope. Travaillons avec patriotismeet abnégation et vous avezun Niger respectable, capable desatisfaire tous ses fils». En terminant,le président MounkailaSanda a eu une pensée pour tousles martyrs du Sawaba qui ontsouffert dans leur chair et dansleur âme ou simplement mortspour l’honneur de la patrie. « Queleur âme repose en paix. Pourceux d’entre eux qui sont encorevivants et qui portent lesstigmates de la douleur et de lasouffrance nous ne devons pasdémérité, car Djibo Bakary estmort un 16 avril 1998 mais il nousa laissé un parti qui vit depuis le16 avril 1954 et nous avions lalourde charge d’assurer la continuité», a conclu M. MounkailaSanda. Dubois Touraoua Kader Amadou/ONEPMardi 20 avril 2010


6ANNONCESCommuniqué de presseRenforcement des Capacités du Lycée Technique Dan Kassawa de Maradi.Equipements offerts par l'UNESCO au Gouvernement Nigérien sur les fonds duSultanat d'Oman à hauteur de 50 000 USD soit prés de 25 000 000 de francs CFAI. <strong>Le</strong>s fondements de la contribution<strong>Le</strong>s diagnostics successifs du système del'Enseignement et de la Formation Professionnelleet Technique (EFPT), font apparaître une offre deformation classique très réduite, une insuffisantearticulation entre la formation et la demande dumarché du travail ainsi qu'un sous équipement descentres de formation professionnelle existants etla rareté du matériel didactique. Or, dans le cadrede la stratégie de réduction de la pauvreté du Niger,la formation professionnelle d'insertion demeure unlevier important qui permet d'atteindre les Objectifsdu Millénaire pour le Développement.Cette situation a amené le gouvernement du Nigerà formuler une Politique sectorielle del'Enseignement et de la Formation Professionnelset Techniques qui fournit la vision et les stratégiesde la formation professionnelle initiale et continuemais également d'une meilleure organisation del'apprentissage, en tant que sous secteur capablede prendre en charge la majorité des jeunes etadolescents non scolarisés et sous scolarisés.Cette politique traduit en un programme dedéveloppement et de modernisation de la formationprofessionnelle a été examinée au cours de la tableronde sur le sous secteur tenue en 2008, tableronde qui a enregistrée plus de 50 milliards depromesses de financement de la part desPartenaires techniques et financiers.<strong>Le</strong> renforcement des capacités du Lycée TechniqueDan Kassawa de Maradi tient donc d'un triple souci:•Du Gouvernement d'améliorer le niveaud'équipement des institutions d'enseignement techniqueet de formation professionnelle ;•De mise en œuvre de la stratégie à moyen termesde l'UNESCO qui met un accent particulier sur l'atteintedes objectifs Education Pour Tous dontsurtout celle relative à l'accès de tous les jeunes etadultes à des programmes d'éducation qualifiante ;•Du Sultanat d'Oman de mettre au cœur de sacoopération avec les pays en développement desstratégies d'appui à l'accès aux services sociaux debase.II <strong>Le</strong> volume de la contributionTenant compte de ce triple souci, une requête definancement a été adressée au Bureau Multi-paysde l'UNESCO pour le Mali, le Burkina-Faso, leNiger, la Guinée et auprès de l'UEMOA par le gouvernementdu Niger pour la rénovation du LycéeTechnique Dan Kassawa de Maradi, au courantde l'année écoulée.Cette requête a été approuvée pour financementsur les fonds du Sultanat d'Oman pour un montanttotal de 50 000 USD soit environ 25 millions defrancs CFA.Au premier lot d'équipements informatiques qui afait l'objet de la remise officielle le 13 avril 2010, ferasuite un autre pour un montant de l'ordre de 15 000USD.III. <strong>Le</strong>s perspectives de coopérationC'est le lieu de magnifier le double axe de coopérationGouvernement du Niger- UNESCO-Sultanatd'Oman pour son exemplarité mais égalementd'annoncer le souci des parties de construire etd'élargir cette coopération à d'autres partenairestechniques et financiers autour de la matérialisationdes accords financiers issus de la table ronde sur laformation professionnelle.Autant de facteurs qui œuvreront pour unetraduction concrète du programme dedéveloppement et de modernisation du soussecteur. Il est prévu la formation à distance des formateursavec le système multimédia.UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE (La Commission)AVIS D'APPEL D'OFFRES N°03/2010/AO/COM/UEMOA1. <strong>Le</strong> présent appel d'offres a pour objet la fourniture etl'installation d'équipements informatiques pour la Commissionde l'Union Economique et Monétaire Ouest Africaine.2. La Commission de l'Union Economique et Monétaire OuestAfricaine invite, par le présent Appel d'Offres, les soumissionnairesadmis à concourir à présenter leur offre sous pli fermé, pourla fourniture et l'installation d'équipements informatiquespour la Commission de l'UEMOA en un seul lot indivisibleconsistant à :- Fournir 210 ordinateurs portables (+ accessoires) avec stationd'accueil- Fournir 25 minis ordinateurs portables (+ accessoires)- Fournir 82 ordinateurs de bureau (desktop) (+ accessoires)- Fournir 20 imprimantes laser monochrome (+ cartouchessupplémentaires)- Fournir 5 imprimantes laser couleur (+ cartouches supplémentaires)- Fournir 20 imprimantes laser multifonction (+ cartouchessupplémentaires)- Installer et configurer tous les équipements (pc + imprimantes)- Migrer les environnements des utilisateurs (paramètresapplicatifs et données) des postes de travails existants(à remplacer) vers les nouveaux postes de travail qui leur serontaffectés3. La participation à la concurrence est ouverte à égalité deconditions à toutes les sociétés grossistes ou grands distributeursd'équipements informatiques (c'est- à-dire ayant un liendirect avec le fabricant du matériel/de l'équipement sansintermédiaire), couvrant la distribution dans la zone UEMOA etayant la logistique et les capacités techniques et requises pour lafourniture et l'installation d'équipements informatiques pourla Commission de l'UEMOA, objet du présent appel d'offres.Pour être qualifiés, les soumissionnaires devront remplir lescritères suivants :1. Fournir la preuve écrite que son chiffre d'affaires annuel pourles trois (03) dernières années, équivaut au moins à trois (03) foisle montant de son offre ;2. Avoir exécuté au cours des cinq (5) dernières années au moinsdeux (02) marchés de nature et de taille similaires ;3. Fournir la preuve qu'il est bien grossiste ou grand distributeuragrée pour les équipements qu'il distribue et qu'il a une très bonneexpérience dans la distribution d'équipements informatiques dansles huit pays de la zone UEMOA.4. Prouver l'existence dans les huit (08) pays membres del'UEMOA d'un service après vente de qualité pour l'entretien et laréparation des équipements qu'il propose.<strong>Le</strong>s soumissionnaires joindront à leur offre les piècesadministratives suivantes :- une attestation d'achat du dossier d'appel d'offres ;- un document attestant que le soumissionnaire ne se trouve dansaucune des situations suivantes : faillite, suspension de paiementet établi conformément à la législation ou à la pratique nationaledu pays de la société datant de moins de trois mois ;- une attestation originale ou certifiée conforme justifiant que lesoumissionnaire est à jour vis-à-vis du fisc jusqu'au dernier termeéchu à la date de dépôt des offres ;- une attestation originale ou certifiée conforme de la SécuritéSociale prouvant que le soumissionnaire est à jour vis-à-vis de lalégislation du travail jusqu'au dernier trimestre échu à la date dedépôt des offres ;- Une attestation d'inscription au registre du commerceconformément à la législation ou à la pratique nationale dusoumissionnaire.La non production d'une pièce administrative ou sa non validitéconduit à l'élimination de l'offre du soumissionnaire.5. <strong>Le</strong>s soumissionnaires intéressés à concourir peuvent obtenirdes informations supplémentaires auprès de la Commission del'UEMOA à l'adresse ci-dessous :La Commission de l'UEMOA,380, Avenue du Professeur Joseph Ki-ZERBO01 B.P. 543 - OUAGADOUGOU 01 (Burkina Faso)Département des Services Administratifs et FinanciersPersonnes à contacter : Monsieur Elhadj Malick SOUMARETél. : +226 50 32 87 72 Email : esoumare@uemoa.int ZAGBA Sylvestre- Tél. : + 226 50 32 87 28 Email : szagba@uemoa.int6. <strong>Le</strong> Dossier d'Appel d'Offres pourra être acheté par lescandidats, au service mentionné ci-dessous et moyennantpaiement en espèce d'un montant non remboursable de trentemille (30 000) francs CFA à partir du 09 avril 2010.<strong>Le</strong>s soumissionnaires installés hors du Burkina Faso pourrontconfier l'achat du dossier à une compagnie de courrier (DHL ouautres) de leur pays en indiquant les références et l'intitulé del'appel d'offres.Direction des Systèmes d'Information de la Commission del'Union Economique et Monétaire Ouest Africaine380, Avenue Professeur KI-ZERBO01 BP 543 Ouagadougou 01 Burkina FasoTel (226) 50 31 88 73 à 76 Poste 8711Fax : (226) 50 31 88 72 / Email : commission@uemoa.mt7. Toutes les offres doivent parvenir à Monsieur le Président dela Commission de l'Union Economique et Monétaire OuestAfricaine au plus tard le 25 mai 2010 à 16 heures, heurelocale, accompagnées d'une garantie de soumission d'unmontant de:• Six millions (6 000 000) francs CFA,<strong>Le</strong>s offres parvenues après expiration de ce délai ne sont pasrecevables.8. <strong>Le</strong>s plis seront ouverts en présence des représentants dessoumissionnaires qui souhaitent être présents à l'ouverture munisd'un mandat de leur société, le 25 mai 2010 à 16 heures 30mn,heure locale au siège de la Commission à Ouagadougou, ceuxqui ne sont pas munis de mandats ne seront pas acceptés.9. La Commission de l'UEMOA se réserve le droit d'apportertoutes modifications au présent appel d'offres ou de ne donneraucune suite à tout ou partie dudit appel d'offres.Mardi 20 avril 2010


Après l’accueil qui lui a étéréservé par lesresponsables de l’abattoirainsi que les représentants desbouchers, le Gouverneur SoumanaDjibo s’est rendu d’abord au niveaude la bascule, une machineacquise depuis 1967 et qui faitl’objet de litige entre les commerçantset l’administration del’abattoir. En effet, les bouchers ontfait remarquer au Gouverneur quela balance qui ne fonctionne plusnormalement les pénalise, arguantque le poids réel de leurs marchandisesest de 20 à 30 kg inférieur aupoids donné par la bascule. Maisles responsables de l’abattoir ontrétorqué en expliquant que ceproblème est dû aux ponctionseffectuées par leurs apprentis surles carcasses une fois sorti du<strong>Le</strong> préfet de Madarounfa s’estréjoui, dans un discours qu’il aprononcé à cette occasion, decette cérémonie consacrée à laremise de gratifications aux meilleurslauréats dans le cadre de la mise enœuvre des Pratiques FamilialesEssentielles (PFE) dans la communerurale de Sarkin Yamma. Il s’agit, a-t-ilindiqué, de récompenser les meilleursdes 20 villages impliqués, à traversdes prix collectifs et individuels. M.Abdoulkadri Tidjani Idrissa a préciséque la commune de Sarkin Yammaconstitue le village pilote où ces pratiquesont été lancées par l’UNICEF,avec comme partenaire de mise enœuvre l’ONG Kokari et l’appui financierdu gouvernement espagnol.Abdoulkadri Tidjani a, au nom duConseil Suprême pour la Restaurationde la Démocratie (CSRD) et du gouvernement,transmis les remerciementsdu peuple nigérien au Fondsdes Nations Unies pour l’Enfance(UNICEF) pour tous les efforts consentisen faveur de la survie et dudéveloppement de l’enfant.circuit contrôlé par l’administrationde l’abattoir. Loin de rentrer dans lapolémique à laquelle se livrent lesdeux camps, le GouverneurSoumana Djibo les a appelé à plusde sagesse et d’honnêteté tout enindiquant que la question seraprise avec le sérieux nécessairepour juguler le problème et assurerla continuité des activités.Toutefois, il a été signalé auGouverneur qu’une nouvelle basculeplus moderne est disponiblemais les techniciens ne sontjamais parvenus à la mettre enmarche. Au niveau de la chaîne defroid, le Gouverneur a constaté quedes dix chambres froides dontdispose l’abattoir frigorifique deNiamey, seules quatre sont effectivementopérationnelles, lesautres étant totalement désuètes.Auparavant, le chef de bureau dezone UNICEF-Maradi, M.Mohaméden Fall a, au nom dureprésentant de l’UNICEF au Niger,adressé ses vives félicitations auxautorités administratives et coutumièresde la Région de Maradi, et plusprécisément du département deMadarounfa, pour leurs engagementsen faveur des droits des enfants. M.Mohaméden Fall a précisé que cettecérémonie de gratification estl’aboutissement d’un long processusqui exposait des femmes, familles etcommunautés à une série de conseils,de discussions et d’apprentissagespour des connaissances, attitudes etpratiques porteuses. ‘’La compétitiona été rude, car elle mettait à l’épreuvedes femmes, familles et villages, pourvoir qui enregistrera le meilleur résultatet adoptera les meilleures attitudeset pratiques’’. Il a conclu en renouvelantles encouragements du représentantde l’UNICEF et de toute sonéquipe à l’endroit des populationspour leur engagement dans la promotiondes droits des enfants et desNATION <strong>Le</strong> Gouverneur de la région de Niamey visite, hier, l’abattoir frigorifique objet d’une tension entre les bouchers et l’administrationRéaffirmation de la volonté des autorités pour une solution durable à la crise<strong>Le</strong> Gouverneur de la région de Niamey, le Colonel SoumanaDjibo, s’est rendu, hier à l’abattoir frigorifique de Niamey. Eneffet l’abattoir est l’objet depuis quelque temps d’une tensionentre l’administration et les associations des bouchers. En serendant personnellement à l’abattoir en compagnie de l’administrateurdélégué de la CUN, le capitaine Idé Seyni et del’administrateur délégué de la commune Niamey IV, MmeDaoura Hadiza Kafougou, le colonel Soumana Djibo veutmatérialiser toute l’attention qu’accordent les autorités de latransition à la situation de cet abattoir vieux de plus de 43 ansqui tente tant bien que mal d’assurer l’approvisionnement enviande de la ville de Niamey.Quant à la salle des machines defroid acquises en 1976, elle estmalgré tout en état de marchegrâce aux efforts des techniciensen attendant une réhabilitationpartielle tant souhaitée dont le coûttourne autour de 150 à 200 millions.L’administrateur délégué dela CUN, le capitaine Idé Seyni ademandé aux responsables desoumettre le dossier afin depermettre aux autorités dechercher les voies de solutionspossibles. L’abattoir frigorifique de Cérémonie de remise de gratifications aux lauréatsdes PFE à Sarkin Yamma (Madarounfa)Plusieurs prix décernés aux villages, aux femmes et aux familles<strong>Le</strong> préfet sortant de Madarounfa, M. Abdoulkadri Tidjani Idrissa, aprocédé, mercredi dernier, à la remise de gratifications aux lauréatsdes Pratiques Familiales Essentielles (PFE) dans la Commune ruralede Sarkin Yamma. Cette cérémonie, qui s’est déroulée dans uneambiance bon enfant agrémentée de chants et de sketches de sensibilisationsur les PFE, s’est déroulée en présence du président du comitéinterministériel chargé de la survie et du développement de l’enfant,des membres du comité, des autorités administratives et coutumièresde Sarkin Yamma, de la responsable de la section communication à lareprésentation de l’UNICEF, des administratrices en communication,des directeurs régionaux et départementaux, des représentants desprojets, ONG et associations de développement, des relais communautaires,ainsi que des populations de Sarkin Yamma et des villagesenvironnants sorties massivement.<strong>Le</strong> Gouverneur recevant des explications à l’abattoirfemmes du Niger pour l’améliorationde leur bien-être.Quant au Maire sortant de SarkinYamma, M. Sani Moussa, il a souhaitéla chaleureuse bienvenue ainsi qu’unbon retour dans leurs foyers à tousceux qui ont fait le déplacement. Poursa part, la directrice régionale de laPromotion de la Femme et de laProtection de l’Enfant, Mme AbdouHadjia Maïmouna, a exhorté et conseilléles femmes récipiendaires à persévérerdans ces Pratiques FamilialesEssentielles (PFE), et les autresfemmes qui n’ont pas eu la chance degagner, à adopter ces pratiques afinde gagner à la prochaine édition.Au terme de cette cérémonie,plusieurs prix ont été décernés auxvillages, aux femmes et aux familles.C’est ainsi que le 1 er prix village, composéde 2 charrettes, 1 moulin àgrains déjà opérationnel, et untémoignage officiel de satisfaction auchef de village, est allé au village deGuidan Bawa. <strong>Le</strong> 2 ème prix est revenuau village de Garin Guizo avec 2charrettes et un témoignage officiel desatisfaction au chef de village. <strong>Le</strong>sprix remis individuellement à chaquefemme sont composés de savons,farine enrichie, un moustiquaire, despagnes, un poste radio, etc. <strong>Le</strong> villagede Guidan Bawa a été visité, ainsi queles domiciles du chef de village et del’imam pour s’assurer de la bonne utilisationde ces Pratiques FamilialesEssentielles (PFE). <strong>Le</strong> moulin à grainsdéjà opérationnel a aussi été visité. Zeinabou GaohONEP Maradi Ibro Youka/ONEPNiamey est réellement en piteuxétat, et ne répond plus aux standardsinternationaux modernes auregard de la situation des deuxunités plus importantes. <strong>Le</strong>Gouverneur a pris bonne note detoutes les informations rassuranteset alarmantes fournies par lesresponsables et les partenaires del’abattoir. Il a salué leur initiative,promis que les autorités nationalesferont le nécessaire avant d’exhorterles uns et les autres à plusde volonté et d’honnêteté pour unesolution durable au problème.Après l’abattoir, le GouverneurSoumana Djibo s’est rendu àl’Association islamique du Niger(AIN) où il a transmis les salutationsdu Président du CSRD auxgardiens de nos valeurs à savoirles ulémas qui, par leurs prières etleurs prêches, apportent une contributioninestimable au maintiende la cohésion et de l’unité de notrepays. En réponse les responsablesde l’AIN ont exprimé toutes leurgratitude et leur joie pour cettevisite que le Colonel SoumanaDjibo s’est fait le devoir de leur7rendre, une visite que l’AIN n’a pasreçue depuis belles lurettes selonles propos de son Secrétairegénéral, Cheikh Boubacar Dotia.Du siège de l’AIN, le Gouverneurde Niamey accompagné del’administrateur délégué de la CUNet celui de la Commune III, s’estrendu à la grande mosquée deNiamey. Ce haut lieu de culteconstruit depuis 1985 fait face à unproblème de sécurité, de salubritéet d’éclairage. Après avoir écoutédes responsables de l’AIN et desagents sur l’ensemble des problèmes,l’administrateur délégué dela CUN, le Capitaine Idé Seyni apris l’engagement de rétablirl’éclairage des lieux le plus tôt possible,de prendre des mesuresidoines pour faire sentir davantagela présence des autorités aux alentoursde la mosquée afin desécuriser les populations. Il leur aen retour demandé d’assurer unsuivi plus régulier des lieux pouréviter de retomber dans les mêmestravers. Après avoir pris congé duColonel Soumana Djibo, leCapitaine Idé Seyni s’est rendu auLycée Municipal, le seul établissementqui est placé sous la tutelledirecte de la CUN. Il y a trouvé unaccueil chaleureux de la part dupersonnel et des élèves. En effet,<strong>Le</strong> lycée Municipal a obtenu del’Association Internationale desMaires Francophones (AIM) unedotation en matériel informatiquecomposé de 14 ordinateurs qui ontété installés au profit exclusif desélèves et du corps enseignant del’établissement. L’administrateurdélégué leur a demandé d’en faireun bon usage après avoir écoutéquelques doléances. <strong>Le</strong> CapitaineIdé Seyni a prodigué de sagesconseils aux élèves et demandé aucorps professoral de traiter tous lesélèves équitablement.Zabeirou MoussaAVIS DE PERTEAvis est donné par l'Etude de Maître DJIBO Ibrahim, Notaire au CarrefourMaourey, B.P :11.120-Niamey-NIGER, Tél. : 20.73.66.86/Fax : 20.73.61.10, de laperte d’un (01) acte de cession d'immeuble non bâti, portant sur la parcelle F,de l'îlot 7370, du lotissement ROUTE FILINGUE, au nom de Madame OUMAMOUTARI.Prière à toute personne qui l’aurait retrouvé de le déposer à l'Etude ci-dessusindiquée ou au service des affaires domaniales de la communauté urbaine deNiamey.REPUBLIQUE DU NIGERASSEMBLEE NATIONALE / SECRETARIAT GENERALDIRECTION DES AFFAIRES ADMINISTRATIVES ET DU PERSONNELDIVISION PERSONNELCOMMUNIQUE DU SECRETAIRE GENERALDE L'ASSEMBLEE NATIONALEMonsieur MOCTAR JARIRI, Administrateur ParlementaireCentral Mle 139/W, bénéficiaire d'un congé administratif detrente (30) jours expiré depuis le 2 mars 2010 , est prié derejoindre son poste de travail au plus tard le mercredi 21avril 2010 à 7h 30mn, délai de rigueur faute de quoi, il seraconsidéré comme en abandon de poste.Mme AICHATOU ANKOURAOU GALADIMA, SecrétaireSténodactylographe Mle 69513/K affectée à la Direction de laLégislation et du Contrôle Parlementaire suivant note deservice N°002/AN/SG/DAAP/DP du 26 janvier 2010, est priéede rejoindre son poste de travail au plus tard le mercredi 21avril 2010 à 7h 30mn, délai de rigueur faute de quoi, ellesera considérée comme en abandon de poste.Mardi 20 avril 2010


8ANNONCESUNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE (La Commission)APPEL A MANIFESTATION D'INTERETPOUR LA SELECTION D'UN CABINET CHARGE D'UNE ETUDE D'ELABORATIOND'UN INDICE DU CHIFFRE D'AFFAIRE DU COMMERCE ET DES SERVICES DANSLES ETATS MEMBRES DE L'UEMOA1. En matière de données pour le suivi de la conjoncture,les pays de l'UEMOA ont très peu d'indicateursharmonisés. Ainsi, l'Indice Harmonisé des Prix à laConsommation (IHPC) et l'Indice Harmonisé de laProduction Industrielle (IHPI) (en chantier) sont lesseuls informations harmonisées au niveau des Etatsmembres de l'UEMOA. Ainsi, dans le but de renforcerles indicateurs harmonisés, la Commission de l'UnionEconomique et Monétaire Ouest Africaine a inscrit dansson programme d'activités 2010, une étude pourl'élaboration d'un Indice du Chiffre d'Affaires duCommerce et des Services (ICA) dans les Etatsmembres de l'UEMOA.A cet effet, le Président de la Commission de l'UEMOAlance le présent appel à manifestation d'intérêt en vuede constituer une liste de Cabinets ou de Bureauxd'études susceptibles de soumettre des propositions deservices.2. <strong>Le</strong>s Cabinets ou Bureaux d'études intéressés par leprésent avis sont invités à faire acte de candidature.<strong>Le</strong>s documents et informations à fournir sont lessuivants :- Une fiche de présentation du Cabinet (domained'expertise et ressources, brochures, plaquette, etc.) ;-<strong>Le</strong>s références récentes et pertinentes concernantl'exécution de contrats analogues, l'expérience dansdes conditions semblables avec mention obligatoire desdonnées suivantes : libellé des missions, pays, périoded'exécution et de réalisation, etc. ;- La liste, les compétences et les attributions dupersonnel clé à affecter à la mission accompagnées deleur CV.3. Sur la base de l'exemple du Sénégal, le consultantretenu étudiera la faisabilité du projet et en concevra laréalisation pratique en indiquant tous les contours duprojet. En particulier, l'équipe devra réaliser les tâchesspécifiques suivantes :- Concevoir le projet d'implantation d'un indice du chiffred'affaires du commerce et des services dans les institutsnationaux de statistique (INS) des huit Etats membresde l'UEMOA ;- Concevoir une méthodologie appropriée d'élaborationde l'indice ainsi que le volet informatique à réaliser ;- Définir toutes les phases conceptuelles et pratiques duprojet ;- Définir le mode d'appropriation de l'indice par les INS;- Préciser le rôle de la Commission de l'UEMOA dansl'exécution et la gestion future du projet ;- Evaluer le coût total du projet ;- Déterminer le détail des investissements à réaliserdans les INS et à la Commission de l'UEMOA ;- Prévoir les besoins en ressources humaines ;- Elaborer un calendrier de mise en œuvre du projet.4. <strong>Le</strong> consultant sera sélectionné conformément auxrègles et procédures de la Commission de l'UEMOA5. <strong>Le</strong>s dossiers de manifestation d'intérêt, rédigés enlangue française et portant la mention « Appel àmanifestation d'intérêt pour la sélection d'unCabinet chargé d'une étude pour l'élaboration d'unIndice du Chiffre d'Affaires du Commerce et desServices (ICA) dans les Etats membres de l'UEMOA», doivent parvenir au plus tard le 11 mai 2010 à 16heures (heure locale) sous pli fermé en quatre (4)exemplaires (un original plus trois copies) :Commission de l'UEMOA380 Avenue du Professeur Joseph KI-ZERBO01 B.P. 543 - Ouagadougou 01 (Burkina Faso)Tél. : (226) 50 31 88 73 à 76 - Fax : (226) 50 31 88 72Email : commission@uemoa.int6. Pour toute information complémentaire au sujet duprésent appel à manifestation d'intérêt, les soumissionnairesintéressés s'adresseront au Département desServices Administratifs et Financiers de la Commissionde l'UEMOA :Personnes à contacter : Monsieur Elhadj Malick SOUMARE- Tél. : +226 50 32 87 72Email : esoumare@uemoa.int ; Madame Aimée Chantal ZOUNGRANA- Tél. : +226 50 32 86 94Email : aczoungrana@uemoa.intII est à noter que l'intérêt manifesté par un Cabinetn'implique aucune obligation de la part de laCommission de l'inclure sur la liste restreinte.UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE (La Commission)AVIS DE SOLLICITATION DE MANIFESTATION D'INTERETPOUR LE RECRUTEMENT D'UN CABINET CHARGE DE LA REALISATION DE L'ETUDE SUR LE DEVELOPPEMENT D'UNE APPROCHE COM-MUNE D'EVALUATION DES RISQUES LIES À L'INTRODUCTION DES BIOTECHNOLOGIES MODERNES DANS L'ESPACE UEMOAAMI n°001/2010/PRBAO/UEMOA du 06/04/10 Programme Régional Biosécurité de l'Afrique de l'Ouest(PRBAO) /UEMOA Recrutement d'un consultant pour la réalisation de l'étude sur ledéveloppement d'une approche commune d'évaluation et degestion des risques liés à l'introduction des biotechnologiesmodernes dans l'espace UEMOA DON N° 091199 FEM1. Cette Demande de Manifestation d'Intérêt fait suite à l'avisgénéral de passation des marchés du projet indiqué ci-dessuspublié dans le « dgMarket » du 13 janvier 2009.2. La Commission de l'Union Economique et Monétaire OuestAfricain (UEMOA), a reçu un Don du Fonds pour l'EnvironnementMondial (FEM) pour couvrir le coût du Programme Régional deBiosécurité de l'Afrique de l'Ouest, et a l'intention d'utiliser unepartie du montant de ce don pour effectuer les paiements au titredu contrat relatif au recrutement d'un Consultant en vue deréaliser l'étude sur le développement d'une approche communed'évaluation des risques liés à l'introduction des biotechnologiesmodernes dans l'espace UEMOA.3. L'objectif global de l'étude est de développer une approchecommune d'évaluation et de gestion des risques environnementaux(flux de gènes, impact sur la faune non cible, développent derésistances, prolifération...), sanitaire/santé humaine (toxicité,allergenicité..), et socio-économiques, liés à l'introduction desbiotechnologies modernes dans l'espace UEMOA.<strong>Le</strong>s services, comprennent entre autres :(i) rechercher les outils et méthodologies d'identification,d'évaluation et de gestion des risques environnementaux,sanitaire et socio-économique utilisés ou en préparation dans lesEtats membres de l'UEMOA et les évaluer en rapport avec ceuxreconnus au plan international; (ii) consolider les outils, développerdes approches régionales communes conformes aux normesinternationales dans le domaine de l'évaluation, de la gestion desrisques, de l'inspection, du suivi des OVM, de la traçabilité, de lagestion de la coexistence et de la cohabitation entre les culturesbiologiques, conventionnelles et génétiquement modifiées ; (iii)adapter et proposer une stratégie de diffusion des méthodologiesrégionales d'évaluation et des gestion de risques environnementaux,sanitaire et socio-économique; (iv) concevoir et mettre àdisposition des institutions relais, un système/cadre permettant lavalidation et la valorisation des résultats de recherche et desétudes conduites, et les textes communautaires et servant deréférence et de nœuds de partage et de diffusion des donnéesscientifiques et techniques ; (v) évaluer les capacités institutionnelleset les capacités des acteurs, identifier les besoinsprioritaires de renforcement de capacité et établir un plan derenforcement de capacité pour la mise en œuvre des outilsd'évaluation et de gestion des risques (vi) Etablir un répertoired'experts nationaux, régionaux et internationaux et proposer unmécanisme efficace de leur mise en réseau (vii) explorer desprogrammes de recherche complémentaires relative à l'évaluationet à la gestion des risques.4. En vue de la constitution de la liste restreinte et pour uneDemande de Propositions ultérieure, le Président de laCommission de l'Union Economique et Monétaire Ouest Africain,invite les Cabinets d'Etudes Internationaux et/ou Nationauxd'envergure internationale, et/ou Groupement de Cabinetsd'Etude International/National à manifester leur intérêt à fournir lesprestations ci-dessus décrites.5. <strong>Le</strong>s Bureaux d'Etudes ou groupements de bureaux d'étudesintéressés sont invités à produire, dans leur dossier de manifestationd'intérêt, toutes références et documents permettantd'apprécier leurs expériences et expertises en ces prestationsen fournissant les informations indiquant qu'ils sont qualifiés pourexécuter lesdites prestations (brochures, références concernantl'exécution des contrats analogues, moyens matériels, expériencedans des conditions semblables, disponibilité des compétencesnécessaires, etc ).6. La commission de l'UEMOA, se réserve le droit de vérifier l'authenticitédes informations communiquées.7. L'exploitation des dossiers de manifestation d'intérêts devraitpermettre, au terme de la procédure pour le choix de Consultantssuivant la méthode de sélection basée sur la Qualité Technique etle Coût (SBQC), la sélection d'un cabinet conformément auxprocédures définies dans les Directives: Sélection et Emploi deConsultants par les Emprunteurs de la Banque mondiale, publiéespar la Banque en mai 2004 et révisées en octobre 2006.8. Pour tous renseignements, veuillez contacter par téléphone :Commission de l'UEMOA ;380 Av Professeur Joseph KI-ZERBO01 BP 543 Ouagadougou 01- BURKINA FASOMme Zourata LOMPOTéléphone Fixe : + 226 50 32 88 72 - Email :zlompo@uemoa.intAux jours et heures suivants :• Du lundi au vendredi, de 07h30 mn à 12 h 30 mn et de 15h 00mn à 17 h 00 mn ;9. <strong>Le</strong>s manifestations d'intérêts en français, sous format papierA4, gravés sur CD, et fournies en trois (03) exemplaires, peuventêtre envoyées par la poste (cachet de la poste faisant foi), ou parcourrier électronique à l'adresse suivante : zlompo@uemoa.intou commission@uemoa.int ou être déposées au bureau ducourrier de la Présidence de la Commission de l'UEMOA ; 380Avenue du Professeur Joseph KI-ZERBO 01 BP 543Ouagadougou 01- BURKINA FASO au plus tard le 27 avril 2010à 16 heures précises heure locale. L'enveloppe en double,contenant la Manifestation d'intérêt devra être scellée et portéevisiblement la mention : « Manifestation d'intérêt pour l'étudesur le développement d'une approche commune d'évaluationet de gestion des risques liés à l'introduction desbiotechnologies modernes dans l'espace UEMOA ».Mardi 20 avril 2010


MESSAGE9Mardi 20 avril 2010


10 ETRANGER NigeriaL’opposition réclame la destitution du Président<strong>Le</strong> principal parti d'opposition duNigeria, Action Congress (AC), a insisté,dimanche dernier, pour que le présidentUmaru Yar'Adua qui soigne unemaladie du coeur depuis cinq mois,soit destitué. Dans un communiquérendu public à Lagos, le parti a déclaréqu'il ne faisait pas de doute que "sila Constitution était appliquée textuellement,l'EXCOF (le Conseil exécutifde la Fédération) n'attendrait pas unjour de plus pour lancer le processusde la déclaration de l'incapacité duprésident sur la base de sa longuemaladie, de l'incertitude de son retouraux affaires et de la nécessité de fairemarcher le pays".<strong>Le</strong> président Yar'Adua est maladedepuis le 23 novembre 2009, dateà laquelle il a été évacué en Arabiesaoudite pour y être traité pour unepéricardite aiguë (inflammation de l'enveloppedu coeur). Il a été ramenésecrètement dans le pays le 24 février,ce que les analystes ont considérécomme un plan pour le destituer sur labase de son incapacité à assumer sesfonctions comme le stipule l'article 144de la Constitution nigériane. Bien quel'Assemblée nationale a voté une loipour permettre au vice- président,Goodluck Jonathan, d'assurer l'intérimen février, il est craint que la présencecontinue du chef de l'Etat malade à laprésidence puisse empêcherM. Jonathan d'exercer pleinement sespouvoirs exécutifs. Cette préoccupationa suscité des appels croissants à la destitutionde M. Yar'Adua, tandis que sespartisans estiment qu'il serait immoral dedestituer un président malade.Mais d'après AC, "la décision du Conseilexécutif fédéral d'invoquer l'article 144pour résoudre le problème de la maladieprolongée du président Umaru Yar'Aduadoit être guidée par la Constitution etnon l'émotion". "Ceux qui tentent d'enappeler à notre émotion, qui soutiennentque le président doit conserver ses fonctionsmême s'il est incapable de lesassumer, doivent assumer leurs responsabilitéset savoir s'ils veulent êtredirigés par la loi ou leurs émotions!", a Zimbabwe/anniversaire de l’indépendancesouligné AC dans son communiqué. <strong>Le</strong>parti d'opposition a fait remarquer queceux qui ont élaboré la Constitutionavaient envisagé le cas de figure danslequel se trouve le Nigeria depuisnovembre 2009 en inscrivant l'article144 dans cette Constitution.<strong>Le</strong> Président Mugabe prône la paix intérieure pour les 30 ans du paysPour le 30 ème anniversaire de l'indépendancedu Zimbabwe et de sapropre accession au pouvoir, le présidentRobert Mugabe a exhortédimanche ses compatriotes à sedétourner des violences politiquesafin de redresser une économie enruinePrenant la parole au cours d'unrassemblement, Mugabe aexprimé l'intention depoursuivre sa politique controverséede réquisition de terres agricolesappartenant à des fermiers blancs etde transfert de contrôle d'entreprisesétrangères à la majorité noire du pays.Dans un discours plutôt modéré de sapart, le président, âgé de 86 ans, adénoncé la Grande-Bretagne, lesM. Robert MugabeEtats-Unis et d'autres pays occidentauxen raison des sanctions DR(Pana)imposées à certainsdirigeants zimbabwéensaccusés de fraude électoraleet d'atteintes auxdroits de l'homme. Devant30.000 personnes environ,il a engagé lesZimbabwéens à fairecesser les affrontementsentre partisans de formationspolitiques rivales, dontles groupes de défense desdroits de l'homme locauximputent invariablement laresponsabilité au partiprésidentiel, la Zanu-PF.(Reuters)BANQUECENTRALE DESETATS DEL'AFRIQUE DEL'OUESTEMISSION DE BONS DU TRESORAVIS D’APPEL DOFFRESAdjudication n°01/2010 du 20 avril 2010LA BANQUE CENTRALE DES ETATS DE L'AFRIQUE DE L'OUEST PORTE A LA CONNAISSANCE DU PUBLICQU'ELLE ORGANISE POUR LE COMPTE DU TRESOR , A L'ATTENTION DES INTERVENANTS AUTORISES( 1 ),AGISSANT POUR LEUR PROPRE COMPTE OU POUR CELUI DE LEUR CLIENTELE, UN APPEL D'OFFRES POURCESSIONS DE BONS DU TRESOR AUX CARACTERISTIQUES SUIVANTES :- Emetteur : MALI- Montant Maximum global : 43 000 millions de FCFA- Valeur nominale unitaire : 1 million FCFA- Date de valeur : 21 avril 2010- Date et heures limites de dépôt dessoumissions: 20 avril 2010 à 10 h 30 mn TUCETTE OPÉRATION EST CONSTITUÉE D’UNE ÉMISSION DÉCOMPOSÉE COMME SUIT :- Montant : 43 000 millions de F CFA- Durée : 182 jours- Echéance : 19 octobre 2010- Taux d’intérêt : : multiplesLES TITRES EMIS SONT REMBOURSABLES LE PREMIER JOUR OUVRE SUIVANT LA DATE D'ECHEANCE.LES INTERETS SONT PAYABLES D’AVANCE.Personnes à contacter :Adam MELE : Tél. 20 72 24 91 E.mail : amele@bceao.intSouleymane BARMOU : Tél. 20 72 24 91 E.mail : sbarmou@bceao.int( 1 ) Sont autorisés à soumissionner directement sur le marché primaire des bons du Tésor, les banques, les établissement financiers, et les organismesfinanciers régionaux disposant d’un compte courant ordinaire dans les livres de la BCEAO.<strong>Le</strong>s autres investisseurs sont autorisés à soumissionner sur le marché primaire par l’intermédiaire de banques implantées sur le territoire de l’UEMOA.Mardi 20 avril 2010


Pollution intérieure: il ne faitpas bon vivre près d'unpressingLa pollution de l’air à l’intérieur des appartementspourrait être pire encore que la pollutionextérieure. C’est ce qu’a révélé unrapport récent de l’Agence française desécurité sanitaire de l’environnement et dutravail. En effet, des concentrations élevéesde tétrachloroéthylène ont été constatéesdans certains logements situés au dessusdes pressings.Ce solvant, utilisé par les professionnelspour nettoyer les vêtements peut être àl’origine de troubles neurologiques, hépatiqueset rénaux, en cas de forte concentrationet de contact prolongé. Alors quel’Afsset recommande une concentrationmaximale de 1380 microgrammes parmètre cube, plusieurs logements inspectésont atteints des niveaux de concentrationde solvant pouvant aller jusquà 4087 microgrammes.<strong>Le</strong> naphtalène fait également l’objet denombreuses inquiétudes. Présente dansles solutions anti-mites et les résines, cettesubstance peut provoquer des anémieshémolytiques.(Topsanté)Vitamines B6 et B9 : bonnespour le cur ?Pourquoi manger davantage de fruits etlégumes, de pois chiches, de haricots et depoissons ? Parce que tous ces alimentsSCIENCES ET TECHNOLOGIEcontiennent des vitamines B-6 et B-9,appelée aussi des folates car ce sont dessels d'acide folique. Et selon une étudejaponaise, leur consommation réduirait lerisque de mortalité cardiovasculaire.Comment ? Ces deux vitamines abaisseraientle niveau d'homocystéine dansl'organisme. Or les auteurs soupçonnentcet acide aminé d'endommager l'intérieurdes artères et de favoriser la formation decaillots sanguins. Toutefois, le lien de causeà effet n'a pas encore été clairementdémontré. En revanche, une consommationélevée de vitamine B12 par ailleursfavorable à la production de neuromédiateursutiles - ne réduit pas le risque cardiovasculaire.On ne peut pas être bon à tout(Destination Santé)A VENDRE FONDS DE COMMERCERestauration, Bar ou autresCentre ville Emplacement idéalA VENDRE TERRAINS–VILLASAEG ImmobilierTel 23 90 02 71/73 / Email : agcom7g@yahoo.frLocation–vente–gestionLa coqueluche passe parles adultesInfection respiratoire aiguë d'origine bactériennequi se manifeste par des quintesde toux avec des épisodes pouvant parfoisévoquer le «chant du coq», la coqueluchen'est pas une maladie infantile, comme onle croit trop souvent.«Il n'y a pas de recrudescence de lacoqueluche mais un déplacement de l'âgeauquel on contracte la maladie, prévient lePr Daniel Floret, président du comité techniquede vaccination, par ailleurs chef deservice des urgences pédiatriques desHospices civils de Lyon. Ce ne sont plusseulement les enfants âgés de 3-4 ans quipeuvent attraper la maladie mais égalementdes adultes et des petits nourrissons.»Il faut dire que, contrairement à bonnombre de maladies infantiles, il est possiblede contracter plusieurs fois lacoqueluche dans sa vie.En 1986, l'incidence de la maladie estdevenue quasiment négligeable, grâce auxcampagnes de vaccination mises en placetrois décennies plus tôt. Du coup, lacoqueluche ne sera plus considéréecomme un problème de santé publique, etla déclaration des cas aux autorités sanitairescessera d'être obligatoire. Trois ansplus tard, les médecins observent que lescas d'enfants qui toussent se multiplient,tout comme le nombre de nourrissons hospitaliséspour coqueluche. <strong>Le</strong>s équipesmédicales comprennent alors que lesmodes de transmission ont changé: ce nesont plus seulement les enfants qui se contaminententre eux mais les parents qui11infectent les nouveau-nés. «En 2000, l'incidencede la coqueluche était de 884 pour100 000 chez les adultes en Ile-de-France,observe Nicole Guiso, responsable du centrede référence de la coqueluche à l'InstitutPasteur. Et des études menées en 2005ont montré que c'étaient les adultes quicontaminaient les bébés.»ProtectionLa vaccination comporte trois injections devaccin à l'âge de 2, 3 et 4 mois, avec unrappel entre 16 et 18 mois. Un deuxièmerappel est préconisé entre 11 et 13 ans.(<strong>Le</strong>Figaro)AcSSA AFRIQUE VERTE NIGERAVIS D'APPEL D'OFFRESL'ONG Afrique Verte a reçu de la Commission Européenne une subvention pourla mise en œuvre du projet « Actions d'atténuation de l'impact de la hausse desprix des aliments sur la sécurité alimentaire, sur la nutrition des enfants et surles revenus des femmes »II est prévu qu'une partie des fonds soit affectée à l'achat de céréales pourrenforcer la sécurité alimentaire des bénéficiaires.Par le présent avis d'appel d'offres, AcSSA Afrique Verte Niger invite lesfournisseurs intéressés à présenter leurs offres pour la fourniture de 300 tonnesde mil en 6 lots distincts :Lot N°1: Fourniture de 50 tonnes de mil à la fédération Telwa d'Agadez,Lot N°2: Fourniture de 50 tonnes de mil aux Op de Filingué,Lot N°3: Fourniture de 44 tonnes de mil aux OP de Kollo et SayLot N°4: Fourniture de 36 tonnes de mil aux OP de OuallamLot N°5: Fourniture de 70 tonnes de mil aux OP TillabéryLot N°6: Fourniture de 50 tonnes de mil aux OP de Zinder<strong>Le</strong>s candidats intéressés doivent retirer le dossier d'appel d'offres completauprès du Secrétariat Exécutif de l'ONG AcSSA Afrique Verte NigerBP 11751 Niamey, Tel : 20 72 22 93.La date limite de dépôt des offres est fixée au 30 avril 2010 à 10 heures dansles bureaux de l'ONG.I N C R O Y A B L E M A I S V R A IEt si on se prenait une placepour la fin du monde?Peur de la fin du monde ?On dit que c'est prévu pour2012... Et bien si vous avezun budget, vous pourrez lepasser à l'abri, au chaudavec plein de vivres etquelques autres personnesprivilégiées...Si vous avez 36 000 eurosà investir, et bien c'est parti.Il vous suffit de contacterune société américainecomme nous le précise SudPresse, afin de garder votreplace dans un abri desurvie.20 abris, pouvant accueillirchacun 200 personnes, ontété créés par cette société.<strong>Le</strong>s vivres sont égalementprévus pour un an apprendt-on... Ouf, on est sauvé !(<strong>Le</strong>Post)H O R O S C O P E21 mars - 19 avril23 juillet - 21 aout22 nov. - 21 dec.B E L I E R TAUREAU G E M E A U X C A N C E RSi i vous neFrères et soeursVous mettrez lesN’attendez pasvoulezbouchées dou-que pas êtrel’on vienneseront attentifvers vous. Si tout lebles au travail et vosseul à la maison,monde fait pareil,à vos besoins.efforts seront remar-chacun reste dansinvitez de la famille.L I O N V I E R G Equées.B A L A N C Eson coin.S C O R P I O NVous saurez faireL U Si vous prévoyezfaceauxbien vos voy-remède contre led ’ i n t e n s eages à l’avance,imprévus et trouverles meilleures solu-blues? <strong>Le</strong>s amis,activité se profile àvous aurez de bonsprix et pas de mau-tions.bien sûr!l’horizon.vaises surprises.S A G I T T A I R E CAPRICORNE V E R S E A U P O I S S O N SVous vous ferezEn couple, soyezVous faites du<strong>Le</strong>s petites atten-aidé dans vosbon travail ettions font toujoursdémarches adminis-sur un pied d’é-plaisir. Un mot doux,tratives, et obtien-vous montrez l’ex-galité. C’est primor-une bricole laisséedrez ce que vousemple aux plusen évidence pourdésirez.dial.jeunes. Bravo!dire: “je t’aime”.20 avril - 20 mai22 aout - 21 sept.22 dec. - 20 janvier21 mai - 21 juin22 sept. - 22 oct.21 janv, - 18 fevrier22 juin - 22 juillet22 oct. - 21 nov.19 fev. - 20 marsPHARMACIESDE GARDEDu samedi 17 ausamedi 24 Avril 2010As SalamJangorzoRond PointKaocenEcole CanadaMaison EconomiqueKalley EstBanifandouEcoles DioriVoguePopulaire MaoureyPop. Hôpital (sauf les dimanches)NUMEROS UTILESRenseignement : 12Sapeurs pompiers : 18Réclamations: 13Police secours: 17Hôpital : 20 72 22 53Médecins de nuit : 20 73 47 37Mardi 20 avril 2010


12 SPORTS Marathon de Marseille 2010Kabirou Dan Malam remporte la médaille d’or<strong>Le</strong> marathon de la ville de Marseille dans son édition 2010 a rassembléplus de 2000 coureurs dans cette ville portuaire du sud dela France. <strong>Le</strong> Niger avait pris part à ce marathon avec sa dynamiquepaire Kabirou Dan Malam et Souley Oumarou. C’est finalementKabirou Dan Malam qui est sorti vainqueur au terme des 42,195 km de course. Souley Oumarou s’est classé 6 ème de cette compétition.C’est avec un chronomodeste de 2h 35' queKabirou Dan Malam aAvant de se retrouver àl'Allianz Arena, mercredi,en demi-finale aller de laLigue des Champions, FranckRibéry et Sidney Govou seseraient déjà croisés la semainedernière dans les locaux de laBrigade de Répression duProxénétisme. C'est ce quedévoile <strong>Le</strong> Point sur son site,dimanche. <strong>Le</strong>s deux hommesseraient donc au coeur de l'informationconfirmée par M6, etreprise par L'Equipe, selonlaquelle des internationauxfrançais ont été auditionnés parla police judiciaire parisiennedans le cadre d'une affaire deproxénétisme sur mineure dansune boîte de nuit de la capitale,près des Champs-Elysées. <strong>Le</strong>sjoueurs du Bayern et de Lyonn'ont toutefois été entendus qu'àtitre de témoins.L'avocate de Franck Ribéry abouclé les 42 kilomètres dumarathon de la ville de Marseille.d'ailleurs confirmé l'audition deson client. "Des personnalités,dont Franck Ribéry et d'autresjoueurs de renommée internationale,comptent dans leur relationnelun proche d'un animateurd'un réseau d'escort girls, apoursuivi l'avocate. C'estuniquement en raison de cetterelation qu’ils ont été ou serontentendus par les services depolice, à qui une enquête a étéconfiée", a expliqué Me SophieBottai dans un communiqué. <strong>Le</strong>juge enquête sur une boîte denuit parisienne soupçonnéed'employer des prostituées etfréquentée par certains internationauxfrançais. "Il a été entendudans la semaine commetémoin. Pour nous, l'affaire s'arrêtelà", a conclu l'avocate.L'avocate de Ribéry confirme"Cette affaire ne concerne pasOn rappelle qu’il avait déjà remportéle semi marathon deDakar, avant de se classer 1 er enjanvier dernier, à l’occasion dumarathon de Bamako. Militairede profession avec le grade desergent chef, Kabirou DanMalam s’est beaucoup illustrélors des grandes courses sur lecontinent africain. Ce succèsmarseillais fait suite à d’autresFranck Ribéry et ne pourrait,dans le pire des cas, que releverde la seule sphère privée demon client et n'appelle ainsiaucun autre commentaire", avaitdéclaré Me Bottai sur RMC.Mais le site donne de nombreuxdétails sur l'affaire. Tout seraitné d'une descente de policedans l'établissement en question,le Café Zaman. Une vingtainede jeunes femmes auraitexploits. Ainsi, il y a quelquesmois, Kabirou Dan Mallam etOumarou Souley, se sontimposés lors de la 2 ème édition duMarathon international deBamako, disputé le mercredi 20janvier 2010 dans les rues etprincipales artères de la capitalemalienne. Kabirou Dan Mallam(32 ans) et Oumarou Souley (40ans) ont occupé les deux premièresplaces de ce marathonde la capitale malienne. ABamako, Kabirou a couru les 42km du parcours en 2 h 27devançant de 5 minutes soncompatriote Oumarou Souley, etde 14 minutes le Malien DjibrilSogodogo, classé troisièmeavec un temps de 2 h 41. Coupe du monde 2010Ribéry et Govou dans de sales draps ?Selon <strong>Le</strong> Point, Franck Ribéry et Sidney Govou auraient été entendusla semaine dernière comme témoins dans l'affaire de proxénétismequi touche l'équipe de France. Deux autres Bleus, un évoluanten Espagne et l'autre dans le Sud de la France, doivent êtreentendus la semaine prochaine.Ribéry et Govou Kader Amadou/ONEP Oumarou Moussaalors été interpellées. L'uned'elles aurait avoué avoir venduses services à Franck Ribéry.Problème : elle était mineure aumoment des faits. L'un de cesjoueurs (Ribéry selon cettesource) aurait admis devant lesenquêteurs avoir eu une relationsuivie avec une prostituée, sanssavoir qu'elle était mineure.Sidney Govou, de son côté,aurait fréquenté la même personnealors qu'elle étaitmajeure.Deux autres joueurs de l'équipede France doivent être entendusla semaine prochaine. Si leuridentité n'a pas été dévoilée, onsait que l'un d'eux évolue enEspagne alors que l'autrejouerait dans le sud de laFrance. "Eux aussi sontsoupçonnés d'avoir profité descharmes de cette jeune fille d'originemarocaine, mais seul l'undes deux l'aurait fréquentéelorsqu'elle était mineure",indique <strong>Le</strong> Point sur son site."Selon une source judiciaire, cejoueur, ainsi que Franck Ribéry,pourraient être poursuivis pourincitation de mineurs à ladébauche", poursuit le magazine.Pour l'heure, la FFF serefuse à tout commentaire. "Iln'y a pas de réaction à avoir surune affaire de ce genre", a ditJean-Pierre Escalettes à l'AFP."Une enquête est en cours dontje n'ai aucun détail. A l'heureactuelle, aucun commentairen'est possible".(A.P. / Eurosport)LE SAHELPlace du Petit Marché ;BP 13182 Niamey (R. Niger)Tél : 20 73 34 86/87 ; Télécopieur : 20 73 30 90E-mail : onep@intnet.neSite web : www.lesahel.neDirecteur de PublicationSAÏDOU DAOURADirection de la Rédaction et des Centres Régionaux (DR/CR)Directeur : Assane Soumana ; 20 73 99 86Rédacteur en chef: B. Fatouma IdéRédacteur en chef Adjt: Issaka SaïdouSecrétaire de Rédaction: Oumarou AliDirection Technique (DT)Directeur: Mahamane Hadi Mahamane ; 20 73 99 87Réd. en chef informatique: M. S. Abandé MoctarRéd. chef informatique adjt: Inoussa OumarouDirection Commerciale (DC)Directeur: Morou Hamadou 20 73 22 43Chef service Communiqué et Pub:Alhassane AssililaDirection Administrative et Financière (DAF)Directrice: Mme Saïdou Rahamou T. 20 73 99 85Chef service Recouvrement:Mme Ado Haoua HachimouComposition : ONEPTirage : 3000 exemplairesMOTSCROISESduH O R I Z O N T A L E M E N T1. Engagé dans la révolte - Banlieue de Niamey;2. Partie surpeuplée - Coupé très près;3. Noble oiseau - Comprimer (inversé);4. Manillon - Biographie - Risqué et mal orienté;5. Terme de mépris - Réputation;6. Aumône - Ile française;7. Canton suisse - Revers - Possessif;8. Bonnes d’enfants - Durillon;9. Grecque - Un tel enfant est calme et docile;10. Facile - Instruments araires locaux.123456789101 2 3 4 5 6 7 8 9 10VERTICALEMENTS o l u t i o n d u1. L’on peut y visiter le lac où gisent 99 saints;2. Droit d’usage - Belle-fille;3. Manie - Expositions commerciales temporaires;4. Fin de série - Bas - Sur le calendrier;5. Montré les dents - Ville du Cameroun;6. Bramer - Tibia;7. Tamis - <strong>Le</strong>ntilles - Possessif;8. Frappe durement - Ancienne voiture qui tiraient deschevaux;9. Volcan du Japon - Une histoire de famille;10. Relatives à une saison.n u m é r o p r é c é d e n tD A N K A S S A W AA N A A D O I S A CN S A B E E R A O CK A P A R U A O N UO S A I A R I D E SU T I L E A N E P AL E E A M E S S A TO M A V E T U A D ED A R I R A A C R UO R P A I L L E U RMardi 20 avril 2010

Hooray! Your file is uploaded and ready to be published.

Saved successfully!

Ooh no, something went wrong!