projet de creation de telecentre dans le district d'ankazobe - Thèses ...

SOMMAIREPROJET DE CREATION DE TELECENTRE DANS LEDISTRICT D’ANKAZOBEINTRODUCTION- Objet et l’intérêt du projet- Choix de la région- Limite du sujet• Projet d’actualité• Problématique• Méthodologie- Annonce du planPREMIERE PARTIE : IDENTIFICATION DU PROJETCHAPITRE I : PRESENTATION DU PROJETSection 1 : Description du projet1.1.1 : Historique1.1.2 : Présentation de la région et le lieu d’implantation du projetSection 2 : Présentation du projet2.2.1 : Définition de l’informatique2.2.2 : Cyberespace2.2.3 : Imprimerie2.2.4 : Micro-éditionSection 3 : Caractéristique du projet3.3.1 : Forme juridique de la société3.3.2 : Buts et objectifs3.3.3 : Intérêts du projet3.3.4 : Fiche signalétique du projetSection 4 : Planification stratégique du projet4.4.1 : Analyse des stratégies4.4.2 : Analyse FFOM (Force, Faiblesse, Opportunité, Menace)4.4.3 : Planification opérationnelleCHAPITRE II : ETUDE DE MARCHESection 1 : Domaine d’étude

1.1.1: Caractéristique des services offerts1.1.2 : Clientèle cible1.1.3 : Evaluation des besoins1.1.4 : Evolution du marchéSection 2 : Analyse de l’offre2.2.1 : Estimation de l’offre2.2.2 : Analyse comparative des prixSection 3 : Analyse de la demande et part de marché visée sur le marché3.3.1 : Situation globale de la demande3.3.2 : Situation actuel du marché3.3.3 : Part visée sur le marchéSection 4 : Concurrence4.4.1 : Entreprises concurrents4.4.2 : Forces et faiblesses des concurrentsSection 5 : Stratégie et la politique marketing à adopter5.5.1 : La politique de produit5.5.2 : Politique des prix5.5.3 : Politique de distribution5.5.4 : Politique de communication et de promotionCHAPITRE III : THEORIE GENERALE SUR LES OUTILS ET LES CRITERESD’EVALUATIONSection 1 : Les outils d’évaluation1.1. : Valeur actuelle nette (VAN)1.1.1 : Définition1.1.2 : Formule1.1.2 : Notion des cash flow1.1.2 : Interprétation1.2. : Indice de profitabilité (IP)1.2.1 : Définition1.2.2 : Formule1.2.3 : Interprétation1.3 : Taux de Rentabilité Interne (TRI)1.3.1 : Définition1.3.2 : Formule

1.3.3. Interprétation1.4 : Durée de récupération des capitaux investis (DRCI)1.4.1 : Définition1.4.2 : InterprétationSection 2 : Les critères d’Evaluation du projet2.2.1 : La pertinence2.2.2 : L’efficacité2.2.3 : L’efficience2.2.4 : Durée de vie de projetDEUXIEME PARTIE : CONDUITE DU PROJETCHAPITRE I : TECHNIQUE DE REALISATIONSection 1 : Procédés de spécialisation de l’activité1.1.1 : Définition et fondement de la spécialisation1.1.2 : Voies de la spécialisationSection 2 : Différentes facteurs de réalisation2.2.1 : Moyens matériels2.2.2 : Moyens humains2.2.3 : Moyens financièresCHAPITRE II : CAPACITE D’ACCEUILSection 1 : Evaluation de réalisation et de chiffre d’affaire1.1.1 : Capacité de production de la première année1.1.2 : Programme de production durant les cinq annéesSection 2 : Planning d’accueil2.2.1 : Les chiffres d’affaires prévisionnelles2.2.2 : Accueil des quatre dernières années2.2.3 : Calendrier de réalisationSection 3 : Consommation de matière première3.3.1 : Dépenses en matières premièreCHAPITRE III : ETUDE ORGANISATIONNELLESection 1 : Structure organisationnelle1.1.1 : OrganigrammeSection 2 : Organigramme administrative2.2.1 : Ressources humaines2.2.2 : Attribution des personnels

2.2.3 : Qualité requise pour le personnel2.2.4 : Gestion de personnel2.2.5 : Information et communication2.2.6 : Comportement de dirigeant de notre firme2.2.7 : RémunérationTROISIEME PARTIE : ETUDE FINANCIERECHAPITRE I : MONTANT DES INVESTISSEMENT ET LES COMPTES DE GESTIONSection 1 : Investissement nécessaire1.1.1 : Coût d’équipement nécessaire à l’exploitation1.1.2 : Coût de matériel de bureau1.1.3 : Coût de matériel de transport1.1.4 : Coût d’installation1.1.5 : Récapitulation des immobilisations1.1.6 : Fonds de roulement initialSection 2 : Plan de financementSection 3 : Tableau des amortissementsSection 4 : Tableau de remboursement des dettesSection 5 : Les comptes des gestionsCHAPITRE II : ANALYSE DE LA RENTABILITE ET ETUDE DE FAISABILITESection 1 : Comptes de résultat prévisionnelSection 2 : Tableau des flux de trésorerieSection 3 : Bilan prévisionnelCHAPITRE III : EVALUATION DU PROJETSection 1 : Evaluation1.1.1 : Evaluation économique1.1.2 : Evaluation financièreSection 2 : Impacts1.1.2.1 : Les outils d’évaluation1.1.2.2 : Les critères d’évaluation2.2.1 : Impact économique2.2.2 : Impact financière2.2.3 : Impact socialCONCLUSION GENERALEANNEXESBIBLIOGRAPHIE

LISTE DES TABLEAUXTableau n°01 Analyses FFOMTableau n°02 Cadre logiqueTableau n°03 Pourcentage des utilisateurs de besoinTableau n°04 Prévision des prix à pratiquer par l’entrepriseTableau n°05 Force et faiblesses des concurrentsTableau n°06 Marge brute d’autofinancementTableau n°07 Liste de matériel informatiqueTableau n°08 Liste de matériel de bureauTableau n°09 Estimation de production mensuelleTableau n°10 Estimation de production les cinq années de l’exerciceTableau n°11 Prévision des chiffres d’affaires pour les cinq année de l’exerciceTableau n°12 Tableau de planning de réalisationTableau n°13 Prévision mensuelles de consommations de matières premièresTableau n°14 Profil exigés pour le recrutement du personnelTableau n°15 Tableau d’évolution d’effectif pour les cinq annéesTableau n°16 Prévision de dépensesTableau n°17 Les coûts salariaux pour la première annéeTableau n°18 Présentation des coûts salariauxTableau n°19 Liste des matériels informatiqueTableau n°20 Equipement nécessaire pour les quatre dernières annéeTableau n°21 Coût de matériel de bureauTableau n°22 Coût d’installationTableau n°23 Coût d’investissement en immobilisationTableau n°24 Fond de roulementTableau n°25 Détail de financementTableau n°26 Récapitulation de la répartition des ressources et des emploisTableau n°27 Tableau d’amortissement des immobilisationsTableau n°28 Tableau des amortissement pour les cinq années d’exercicesTableau n°29 Tableau de remboursement des empruntsTableau n°30 Tableau des charges des matières premièresTableau n°31 Récapitulation de frais d’établissement

Tableau n°32 Dépenses de pré-exploitationTableau n°33 Tableau des charges de personnel permanentTableau n°34 Tableau des charges financiersTableau n°35 Tableau de récapitulation des chargesTableau n°36 Compte de résultat prévisionnel par natureTableau n°37 Tableau de flux de trésorerieTableau n°38 Bilan d’ouverture 01 Janvier NTableau n°39 Bilan prévisionnel du 31 Décembre de l’année NTableau n°40 Bilan prévisionnel du 31 Décembre de l’année N+1Tableau n°41 Bilan prévisionnel du 31 Décembre de l’année N+2Tableau n°42 Bilan prévisionnel du 31 Décembre de l’année N+3Tableau n°43 Bilan prévisionnel du 31 Décembre de l’année N+4Tableau n°44 Evaluation de production au cours de 5 années d’exercicesTableau n°45 Projection de la valeur ajoutéeTableau n°46 Ratios de performance économiqueTableau n°47 Cash-flow prévisionnelTableau n°48 Tableau de calcul

LISTE DES FIGURESFigure 01Figure 02Figure 03Figure 04Figure 05Figure 06Figure 07Figure 08Figure 09Figure 10: Confrontation entre analyse interne et analyse externe: Processus de saisie Informatique: Processus de l’impression: Processus de photocopie de document à reproduire: Processus entrepris du document: Processus de reluire (livre): Processus fax: Processus de plastification de document: Processus d’imprimerie: Processus de l’organigramme de la société.

LISTES DES ABREVIATIONSArpanetaArCDCNaPSCRDIDRCISDRPDDNSFnetUIT/BDTNTICUNESCOUSADTELMAFTPIRCSASARLLCGAPPDCMBAVANIPTRICniPMEOSIE :: Advnced Reserch Projects Agency Ntwork: Annuité: Ariary: Compact Disque: Caisse National pour la prévoyance sociale: Centre de Recherche pour le Développement International: Durée de Récupération des Capitaux Investis: Document de stratégie pour la Réduction de la Pauvreté: Decide d’investir: National Science Fondation net work: Union international de Télécommunication / Bureau de développement deTélécommunication: Nouvelle technologie de l’information et de la communication: Union National of Education and Scolary: United stads of Aid and investiment of development: Télécom Malagasy: File Transfer Protocol: Internet Relaye chat: Société Anonyme: Société à responsabilité limitée: Learned, christensen , Andriews et Goth: Prix produit distibution et communciation: Marge brute d’autofinancement: Valeur actuelle Nette: Indice de profitabilité: taux de rentabilité interne: Capital: durée de vie économique du projet taux d’actualisation: taux d’actualisation: Petite et Moyen Entreprises

VO : Valeur d’origineDTS : Dada Telecom ServiceTVA : Taxe sur la valeur ajoutéeIBS : Impôt sur le bénéfice de sociétéTP : Taxe professionnelleVL : valeur locativeCF : Cash-flowI : InvestissementPCG : Plan comptable généralFRI : Fonds de roulement initialTRC : Talk Relay chatIP: Protocole InternetTIC : Technologie de l’information et de la communicationRAM : Ran doc Access Memory.

INTRODUCTIONDans la conjoncture actuelle de la mondialisation et de l’économie le monde s’unifieà vivre la même réalité et les mêmes informations. L’affaiblissement du secteur public dans lerôle d’opérateur économique face à la détérioration de la performance macro-économique aconduit certains des pays africains à la mise en phase du programme d’ajustement structurel etde la libéralisation de l’économie.Au début de l’année 2004, la politique du gouvernement Malgache a été de mettreen place le système téléphonique comme la mise en place du Télécentre dans toutes lesrégions enclavées de notre pays. Actuellement, ce notre pays pour pouvoirs les désenclaver.Donc pour aider l’Etat il est nécessaire de mettre en place un Télécentre dans le but d’installerles réseaux de l’Internet et site web pour établir une communication entre les peuples dans lebut d’augmenter les investissements sur le plan de la communication.C’est pourquoi que nous avons choisi comme thème de mémoire intitulé PROJETDE CREATION DE TELECENTRE DANS LE DISTRICT D’ANKAZOBELe développement et la diffusion de la nouvelle technologie de l’information et de lacommunication (NTIC) ainsi que l’utilisation de la technologie moderne constituent unegrande opportunité pour l’universalisation de l’accès à l’information et pour le développementsocio-économique du milieu rural. De ce fait, les techniques de l’information et de lacommunication sont un facteur d’efficacité qui permet le développement économique de lazone en rentabilisant d’exploitation des nouvelles activités du milieu rural.Ce projet présente plusieurs intérêts à savoir : l’offre de service de qualité auxusagers (rapide et meilleur prix), l’initiation de la population locale à l’usage de l’Internet, etenfin la contribution à la création d’emploi.Concernant l’approche méthodologique et les étapes de notre démarche, nous avonseffectué de la recherche intensive au niveau de diverses sources d’information dedocumentation, et par Internet.Pour conclure cette partie introductive, il est nécessaire de présenter le plan de ceprojet qui se divise en trois parties :- la premier partie concerne l’identification du projet qui comporte deux chapitre :présentation du projet et étude de marché.1Malala RANDRIANARISOA

- La deuxième partie nous renseigne sur la conduire du projet. Elle comporte aussi troischapitres qui sont la technique de production, la capacité de production envisagée etl’étude organisationnelle du projet- La troisième partie parlera l’étude financière du projet ainsi que la théorie générale surles outils, critère d’évaluation et les impacts.Nous signalons en avance que toutes les sommes de valeur sont en Ariary car laseule monnaie qui a cours légal sur notre territoire est l’Ariary et nous appliquons le plancomptable Générale (PCG) 2005 sur notre étude financière.Un aperçu général du projet et de ces perspectives d’avenir sera donné en guise deconclusion.2Malala RANDRIANARISOA

PREMIERE PARTIEIDENTIFICATION DU PROJET3Malala RANDRIANARISOA

PREMIERE PARTIE :----------------IDENTIFICATION DU PROJET-------------------------CHAPITRE I : PRESENTATION DU PROJET- « Un projet est un ensemble d’activité ou d’opération et interdépendante conçues pouratteindre certains objectifs spécifiques dans une période limitée et avec un budgetdéterminé ».Notre projet se caractérise par les éléments suivants.- un objectifs clairement défini- un critère de bonne réalisation de ces projets- un moyen et ressources limites- un système de gestion- un responsable entouré d’une équipeL’identification du projet se rapporte à l’étude des besoins ou ceux du marché. Pour biencerner ce présent projet, cette partie se subdivisera en trois chapitres à savoir les théoriesgénérales su les outils et les critères d’évaluations du projet.SECTION 1 : DESCRIPTION DU PROJETPour entamer, il faut rappeler l’histoire de cette technologie qui s’est développé trèsrapidement. Nous verrons donc quelle est son origine, et comment elle s’est développée. Puisjusqu’au elle peut se reprendre. Plus précisément, en quel lieu on veut implanter ledéveloppement de cette technologie. Ce sont tous ceux que nous verrons dans cette premièresection.1.1- HistoriqueLe terme « Informatique » désigne le traitement automatique de l’information. Il estné en 1969, lorsque le département Américain de la défense (D.D) décida d’investir des fondspour développer un réseau expérimental permettant l’échange d’information entre des siteséloignés de recherche et de développement et pouvant fonctionner sans interruption même encas de destruction partielle du réseau. Le réseau ARPANET (Advanced Reserch projectAgency Net Work) est alors né.4Malala RANDRIANARISOA

Mais le temps passe et l’histoire s’avance, l’Internet se développe de plus en plus ;Durant les années 1970, le protocole TCP/IP est devenu le protocole de communicationstandard du réseau ARPANET. Il a été développé par l’interNetWork working groupe maisnous le verrons plus tard. En ce temps là, le nombre d’utilisateurs provenant principalementdu gouvernement (chercheurs, militaires, contractuels pour défense, etc.) et du milieuuniversitaire n’a pas cessé d’augmenter.Au milieu des années 1980, les différentes réseaux de recherches américains ont étéreliés entre eux (avec le protocole TCP/IP) pour former le réseau NSFnet (National ScienceFondation NetWork) et remplacer le réseau ARPANET.C’est ainsi que des 1999, le phénomène des Télécentres a pris une ampleur sansprécédent, tant au niveau des projets d’implantation que dans la réflexion internationale de lacommunauté internationale.Plus particulièrement en Afrique , des expériences de Télécentres ont été réalisés enAfrique de Sud (Programme d’Implantation de Télécentres de l’Agence du service Universel70 Télécentres) au Bénin (Cyvbersen ghai, Malanville ) au Burkina Faso (centre MultimédiaMunicipal de Ouagadou) au Mali (Tombouchou), en Tanzanie au Mozambique, en Ouganda.Les expériences ont été supportées par le principaux partenaires suivant :L’UIT/BDE, le centre de Recherche pour le Développement International (CRDI) du Canada,L’UNESCO, la Francophone learn link » de l’USAID. Mais surtout le secteurs privé local quia largement investi dans la création de cybercentre et /ou de Télécentres privé avec ou sanssignature d’accord de franchise avec l’opérateur historique national.Parmi les exemples de succès de ces opérations, on peut citer les cas du Sénégal duGhana, du Togo. Dans notre cas, le Document Stratégique pour la réduction de la pauvreté(DSRP) contient les axes prioritaires du Gouvernement en matière de lutte contre la pauvretéet bon nombre de projet peut inclure les communications comme outils concourants faciliterl’atteinte des objectifs de ces projets. Ils prévoient dans sa politique le développement desZones rurales, le désenclavement de ces zones permettant aux populations d’avoir accès auxnouvelles technologies de l’information et de la communication (NTIC).5Malala RANDRIANARISOA

L’option de recourir à la stratégie des Télécentres a été prise en vue de démocratiserl’accès, de désenclaver les zones rurales et permettre des applications locales dedéveloppement. Pour appuyer ces efforts des Gouvernement la TELECOM MALAGASY aunité l’idée d’un projet d’installation de 112 Télécentres à répartir dans plusieurs localités dupays.1.2 - Présentation de la région et le lieu d’implantationLe marché ciblé est implanté dans la région d’ Ankazobe qui se trouve à 94 km dela capitale lesquelles sont reliés par la route nationale numéro quatre.La commune d’ Ankazobe représente l’assiette des clients potentiels avec 290.461habitants. Cette population est assez jeune qui prend 47% de l’ensemble de la population,notamment des élèves (environ 94400 élèves), des étudiants des demandeurs d’emplois, et descollectivités des entreprises. En ce qui concerne des outils informatiques, certains étudiantsles utilisent obligatoirement. C’est la raison pour laquelle que nous pensons cibler plus de50% de la population de cette région. Elle est bien connue par ses grands domaines agricolescomme le paddy (30.985 Tonnes), mais (40.032 tonnes), manioc (65.055 tonnes), tomate(80.532 tonnes), pomme de terre (110.938) et artisanaux.Il s’agit donc d’un marché porteur très vaste et qui dispose d’une large capacitéd’extensionSECTION 2 : PRESENTATION DU PROJETAvant d’entrer plus profondément dans ce projet quelques éclaircissements sontnécessaires. Il s’agit des langages utilisés dans le texte de notre présentation.Ce sont : - information- la microédition- l’imprimerie- le cyberespace et- l’imprimerie.Des termes qui sont des lots quotidiens, mais qui peuvent nous dérouter si ce n’estpas bien définis.6Malala RANDRIANARISOA

2.1- Définition de l’informatiqueLa définition apparue sur le petit Larousse en 1965 est : « L’informatique est lascience de traitement rationnel, notamment par machine automatique de l’informationconsidérée comme le support des connaissances et des communications dans le domainetechnique, économique et social ». C’est un ensemble des méthodes et technique appliqué autraitement automatique de l’information.2.2- CyberespaceC’est un environnement constitué par l’ensemble de réseaux télématiques mondiaux,environnement crée par la mis en œuvre d’un système de réalités virtuelles.Pour ce service, nous avons les produits suivants :- l’Internet- domiciliation page web- le chat- web, e- mail / envoi et réceptionDes différents services Internet sont aussi disponibles entre autres :• les discutions en direct (Internet Relaye chat, IRC)• les transferts de fichier (FTP)• les news, news grouper et conférences• l’utilisation d’ordinateur distant (Tel net)2.3- ImprimerieC’est l’ensemble des techniques et des métiers qui participent à la fabricationl’ouvrage imprimé des produits sont :- faire- part, carte de visite- invitation2.4- Micro-éditionLa micro- édition assistée par ordinateur est un ensemble de techniques utilisant lamicro- info la saisie des textes, leur enrichissement typographique et leur mis en page :- photocopie- saisie informatique7Malala RANDRIANARISOA

- gravage- reluire- scanérisation- plastificationOn a défini les quatre expressions qui sont utilisée souvent dans cette présentation.L’informatique qui est la science de traitement rationnel, la cyberespace qui est la science detraitement rationnel, la cyberespace qui est un environnement constitué par l’ensemble deréseaux télématiques mondiaux, la micro édition qu’on peut dire aussi publication assistée parordinateur et dernièrement l’imprimerie qui est l’ensemble des techniques et des métier qui estparticipent à la fabrication, l’ouvrage imprimé.SECTION 3 : CARACTERISTIQUE DU PROJETAprès avoir défini ces expressions, entrons plus profondément dans la présentationde ce projet en soulignant ses caractéristiques. On parlera donc des quatre points suivants :3.1- Forme juridique de la sociétéIl est incontestable que chaque projet à propre but et objectif à atteindre. Dans notrecas, le but c’est de vulgariser l’utilisation de l’Internet et de satisfaire les besoins de lapopulation sur les services informatiques. Par conséquent, ont peut vendre les services sur lemarché pour avoir des bénéfices. Alors disons que notre société a un but lucratif.La procédure de création de société dépend de statut juridique. Nous avons troischoix de statut pour notre société :- Société Anonyme (SA)- Société à responsabilité limitée (SARL)- Entreprise individuelleStatut juridique de l’entreprise- Forme juridique (SARL)- Objet : Tout service informatique et Cybercafé- Capital social : Ar 10.000 000 composé par 5000 parts de 20.000 Ar.8Malala RANDRIANARISOA

3.2- Buts et objectifsLes objectifs visent à :- Contribuer à la mise en œuvre de la politique et stratégie de l’accès universel.- Contribuer à la mise en œuvre de la politique de décentralisation et de l’aménagementdu territoire- Accroître la compétitivité des entreprises déjà sur le marché- Créer les emplois pour accroître les revenus des populations et améliorer leurcondition de vie- Contribuer à la faciliter la production et la diffusion des contenus relatifs àl’éducation, la santé, le commerce, l’agriculture- Contribuer à une exploitation optimale des investissements de l’opérateur- Donner aux secteurs privés des opportunités des créations d’affaires et de contribuer àl’amélioration de l’accessibilité, aux services de NTIC grâce aux contenus locaux3.3- Intérêts du projetLa mise en place de ce projet dans la région d’Ankazobe entraîne une évolution nonseulement pour l’entreprise mais aussi pour les agents économiques dans la région. En effet,les activités de prestation des services télématiques et informatiques permettant au centre dedégager une importante valeur ajoutée. Cette création contribue aussi à l’amélioration desconditions socioculturelles de la population. Il donne de connaissance et offres à la populationune multitude de service qui leur permettent de ce communiquer et de rechercher des donnéesdans le monde entiers. Enfin, elle crée aussi des emploie pour les jeunes et alimenté la caissede l’Etat par les biais des différents impôts et taxe.3.4- Fiche signalétique du projet- Nom de l’unité : MITSINJO INFO- Part des promoteurs : 500 parts de 20.000 Ariary- Coût de projet : 24 455 000 Ariary- Chiffre d’affaires : 57 814 500 Ariary- Nombre de personne : 5- VAN : 27 969 469 Ariary- TRI : 59,60%9Malala RANDRIANARISOA

- DRCI : 2 ans 9mois 17jours- Bénéfice annuel : 1 902 427 AriaryEn résumé, cette section nous a montré la fiche signalétique du projet. Et que laforme juridique du projet est SARL ; les buts et ses objectifs. C’est de vulgariser l’utilisationdes nouvelles technologies de l’information et de communications tout en rendant service auxgens.SECTION 4 : PLANIFICATION STRATEGIQUE DU PROJETCette quatrième section renferme trois points essentiels. Le premier concernel’analyse des stratégies. Le deuxième point s’agit de l’analyse de la force, la faiblesse,l’opportunité et la menace. Et le troisième et dernier point consiste à parler de la planificationopérationnelle.4.1- Analyse des stratégiesL’analyse des stratégies permet d’identifier les différentes solutions pouvantconstituer une stratégie de projet et de déterminer la stratégie la plus viable à adopter par leprojet pour l’intervention.4.2- Analyses FFOMA partir de cette planification, on peut fixer clairement le choix stratégique avantd’élaborer le plan d’action. Son intérêt est de démontrer aux managers. « Comment une forcepourrait-elle devenir une faiblesse pour une organisation, et comment une menace pourraitelledevenir une opportunité » ?Cette analyse signifie- Identifier l’évolution de l’environnement externe qui influencera sur la gestion futurde notre projet.- Faire pour chaque fonction une estimation des points forts et des points faibles de lagestion de notre firme.Ce sont les analyses interne et externe qui permettent d’évaluer la potentialité desressources de l’entreprise.10Malala RANDRIANARISOA

Figure 1 : Confrontation entre analyse interne et analyse externe.Analyse interneAnalyse externesForce et faiblesseOpportunités et menacesChoix stratégiquesPolitique fonctionnelo Marketingo Recherche et Développemento Financeo Ressources humainesLe modèle LCAG(Learned, Christensen, Andrews et Goth, 1965)Bien que ce modèle apparaisse aujourd’hui dépassé et simpliste, il est utile d’enrappeler la logique qui reste sous facette aux approches plus récentes de la stratégie.Les développements ultérieurs de la réflexion sur la stratégie sont venus se greffersur ce modèle pour proposer lune formalisation plus poussée des méthodes d’analysesexternes et internes ainsi que le liens entre ces conclusions permettant à la société de faire dediagnostics.11Malala RANDRIANARISOA

Tableau N°1 : Analyses FFOMFORCES• Taux de couverture de marché• Objectifs des ventes auprès desclients bien définis• Capacité de production• Croissance importante de la demande• Plusieurs créneaux à saisirOPPORTUNITES• La séance de formation et laconférence sur le monde informatiquedonne l’avantage aux utilisateurs denotre service offert.• Activités compatibles pour tous lestravaux des individus surtout,l’utilisation de matériaux Performantssusceptibles d’application très variée.• Marché favorableFAIBLESSES• Aucune notion claire sur lesconcurrents potentiels• En tant que nouvelle société, il estdifficile de présenter le marchéMENANCESCrise sociopolitiqueNous pouvons tirer de ce tableau que l’optimisation de la production implique lamise en valeur de forces disposées par l’entreprise ainsi que des exploitations de toutes lesopportunités. Parallèlement à celles de mesures devraient être prise afin de palier lesfaiblesses qui risquent de compromettre au plan développement du projet.4.3- Planification opérationnelleLa planification opérationnelle est le passage de l’intention stratégie à laconcrétisation. Nous pouvons utiliser le « cadre logique » pour cette planification. Le cadrelogique est un outil utilisé dans la planification la gestion, le suivi et l’évolution d’un projet.C’est une vision systématique de l’environnement d’un projet. Un ensemble d’élémentsinterdépendant qui a découvert d’une façon opérationnelle et matérielle les aspects les plusimportant d’une intervention.Le cadre logique explicite les éléments critiques du projet et fournit les indicateursvérifiables pour son suivi et son évaluation.12Malala RANDRIANARISOA

Tableau N°2 : Cadre logiqueDésignationsBut :Contribuer à l’améliorationde la connaissanceinformatiqueObjectif spécifiqueVulgarisation de l’utilisationde l’Internet et le service eninformatiqueRésultat attendu- Assurance de tous travauxinformatiques- Satisfaction des clientsActivités- Recherche de localité- Installation sur place- Achat des matérielsinformatique- Conférence sur le mondeinformatique- Formation pour lesutilisateurs de l’Internet- Vente de serviceIndicateurs objectivementvérifiablesAu moins 50% de lapopulation utilisent le serviceinformatique- Nombre de navigateur etfiche de vente- Au moins 300 personnesformé par an- Nombre des clientssatisfaits- Quantité de produit vendu- Contrat de bail- Equipement installé- Facture d’achat- Nombre des utilisateursformés- Montant desinvestissementsMoyens de vérifications- Rapport de la commune- Rapport de la société- Rapport de la société- Vérification sur terrain- Vérification sur terrain- Fiche de vente- Fiche de paie- Fiche technique- Fiche d’investissement- Budget de projetPour conclure ce premier chapitre il faut rappeler que nous avons vu un rappelhistorique sur l’informatique. Puis on a présenté la région de Vonizongo, le lieud’implantation de cette société. Cela est suivi par la présentation du projet avec sescaractéristiques et la planification stratégiques. Après tout cela nous entamerons l’étude dumarché qui est le sujet du chapitre suivant.CHAPITRE II : ETUDE DE MARCHE13Malala RANDRIANARISOA

L’étude de marché consiste à analyser l’offre et la demande pour un service qu’onenvisage à fournir. Elle est donc le point de départ de notre projet parce qu projet sansdemande suffisante n’a pas de base économique.Dans ce chapitre, nous parlons de la description du marché, l’analyse de l’offre et dela demande la politique et la stratégie marketing à adopter et ainsi que sur ceux des prix àpratique dans le cadre de ce projet.SECTION 1 : DOMAINE D’ETUDEDans cet optique, il est nécessaire de définir le caractéristique de service offert, laclientèle cible, l’évaluation de besoin et l’évolution du marché.1.1- Caractéristique des services offertsIl est bien entendu indispensable de très bien connaître les services qui peuventacheter notre future clientèle avant de définir les nôtres, leurs caractères techniques etcommerciaux.Les avantages qu’ils apportent aux demandeurs, les gammes de services et les prix.La crédibilité de la présentation de service offert par notre firme et la confiance quele client lui accorde est les facteurs primordiaux pour les succès de ce projet.Pour améliorer la relation client entreprise, on forme et motive le personnel réalisantde service, en développant une politique d’image de marque d’autant plus nécessaire que leproduit ne soit ni visible, ni palpable et qu’il ne peut servir directement de base decomparaison avec les concurrents.1.2- Clientèle cibleActuellement, grâce à l’évolution technologique, le concept du marketing sedéveloppe. Le responsable exerce des études fiables concernant le marché. Il applique lapolitique de vendre avant de produire. Par conséquent la recherche de chenille se faitécervelés les produits sur le marché.14Malala RANDRIANARISOA

Les premiers ciblages sont les jeunes étudiants dans la région pour l’Internet puis lesopérateurs économiques. Concernant les travaux informatique en micro-édition et imprimerie,les premiers ciblages sont les agents professionnels, les organisateurs de l’événement et enfinles petites entreprises et communes. Pour ces derniers, nous pouvons leur offrir une offrespécifique avec l’assistance de service informatique.Nos enquêtes affirment que le niveau d’instruction de la population correspond bien à notreprojet.1.3- Evaluation des besoinsLe marketing est « l’étude de l’ensemble des activités qui constituent à identifier lebesoin de consommation, plus précisément, à combler. Ces activités par les produits, lesservices et à la mise en valeur dans les établissements conçus pour l’approvisionnement desutilisateurs »Cela nous permet de se tailleurs une place sur le marché de consommation.Le concept marketing est une reconnaissance formule que l’entreprise existe poursatisfaire les besoins du marché, tout en y trouvant son projet.Les enquêtes que nous avons effectuées précisent les attentes et les besoins depopulation en matière de service informatique. Ils regardent d’abord la rapidité et la facilité deservice. Ils exigent aussi de confiance au niveau des autres services. Car il y a souvent desecret sur le travail.Par exemple le traitement des données des entreprises , de la commune, en mêmetemps, à cause de l’insuffisance de matériels et l’incompétence de travail, ils demandent deservice spécifique pour tous les travaux informatique.Il y a des clients qui demandent le prix de service à un prix abordable. C'est-à-dire ceprix convient à tout le monde.Voici le tableau de pourcentage des utilisateurs de besoinTableau 3 : Pourcentage des utilisateurs de besoin.DésignationBesoinMicro-édition 30%Micro- imprimerie 20%Internet (cybercafé) 50Source : enquête personnel15Malala RANDRIANARISOA

Ce tableau nous permet de constater que si les services sont 100% : le micro-éditionoccupe 50% de service demandés par le clients, le cybercafé représente les 30% de service etle micro imprimerie ne représente que le 20%.1.4- Evolution du marchéL’installation et l’exploitation de ce type de service dans la ville correspondant àl’attente de la population de la région de Vonizongo. Avec une demande existante, ledéveloppement du marché dépend alors de la régularité de la présentation et de l’assurancedes demandeurs d’être toujours services à des prix assez stables.SECTION 2 : ANALYSE DE L’OFFRERappelons que « l’offre est la quantité d’une service qui peut être vendu sur lemarché à un prix donnés. L’analyse de l’offre doit permettre à l’entreprise de que situer parrapport a ses concurrents en terme de part de marché, de type de clientèle, de capacité deproduction, l’image et de politique marketing PPDC (Prix, Produit, Distribution etCommunication)2.1- Estimation de l’offreLa politique marketing est très indispensable pour l’étude du marché. Si telle est lasituation, nous pouvons alors estimer l’offre en tenant compte les services qui suiventl’évolution technique.2.2- Analyse comparative des prixL’analyse des prix est nécessaire pour déterminer la tarification à appliquer par notrefirme sur le marché. L’importance de la fixation de prix met en considération la réussitecommerciale pour l’équilibre financier de l’entreprise. Nous avons donc déterminé nos prixen tenant compte de trois paramètres indispensables qui sont :- les coûts nécessaires- la demande- la concurrence16Malala RANDRIANARISOA

Pour ce faire, nous tenons compte du coût de revient, du prix pratiqué parlesconcurrents, les investissements réalisés et la marge bénéficiaire de d’entreprise.Voici une esquisse de prix envisagé.Tableau N°04 : Prévision des prix à pratiquer par l’entreprise(unité monétaire : en Ariary)SERVICESI- INTERNET- Consultation et achat- Hébergement siteII- SAISIE ET TRAITEMENT DE TEXTE- Saisie texte- Saisie tableau- Saisie formule- Impression sur disquette• Impression• Droit d’ouverture de disquette- Transcription de texte HTML• TirageIII-PHOTOCOPIE- Photocopie noir• sur papier A3• sur papier A4- Photocopie couleur• sur papier A3• sur papier A4IV- SCANNERV- GRAVURE- Gravure sans CD- Gravure avec CD- Lecteur CDVI- FORMATION- Coût de formationsVII- FAX ET TELEPHONE- Fax• Envoi par page (local)• Envoi par page (international)• Réception- Téléphone• Appel local Telma-Telma Telma- autres mobiles• Appel internationalPRIXAr 30 / minuteAr 6 000Ar 300 / pageAr 400 / pageAr 500 / pageAr 200 / pageAr 300Ar 200 / pageAr 150 / pageAr 70 / pageAr 3 500 / pageAr 2 000 / pageAr 400Ar 3 000Ar 2 000Ar 160Ar 2 600 / heureAr 3 500 / pageAr 4500/pageAr 600Ar 300/ minuteAr 800 / minuteAr 2500/ minuteSource : Etude de faisabilité menée par TELMA plus étude personnelle.17Malala RANDRIANARISOA

Ce tableau nous montre les prix de quelques services offerts pas les concurrentsEt nous constatons que nos prix par rapport à celles des concurrents sont moinschers car notre objectif c’est de satisfaire le besoin de clients en service informatique.SECTION 3 : ANALYSE DE LA DEMANDE ET PART DE MARCHE VISEESUR LE MARCHECette analyse permet d’établir une prévision de services fournir suivant les quantitésdemandées et les types des consommateurs cibles dans la régions. Nous allons voirsuccessivement la situation globale de la demande. Puis on déterminera la situation dumarché. Et dernièrement, la part visée sur le marché.3.1- Situation globale de la demandeNos études ont démontré l’existence d’une demande latente au niveau de lapopulation cible dans la région. En effet, pour l’heure, la région ne dispose ni radio deproximité ni télévision local, de seul moyen de moyens de communication reste le téléphoneavec une certaine de lignes et de cabines publiques.Par ailleurs, comme nous avons vu auparavant, la population est généralement jeune,et la seule bibliothèque de la ville ne suffit plus pour leurs recherches estudiantines et enmatière de distractions ; la plupart des jeunes n’ont pas des moyens et d’opportunités.Outres ces problèmes, es emploies publics et services déconcentrés ainsi quelquesentreprises implantées dans le chef lieu de la région ressentent un important besoins insatisfaiten matière de communication et de l’information.3.2- Situation actuelle des marchésActuellement la situation du marché des services informatiques n’est pas encoresatisfaite surtout dans la province. Ce marché eut s’évoluer sous l’effet de la politiquenational : la mondialisation le concept marketing.Si on parle le marché des services offerts par le cyberspace, 100% convirent dansles provinces, selon les renseignements donnés par le fournisseur de l’Internet à Madagascar.Souvent, les travaux informatiques sont monopole dans la province, par conséquent le prix aumarché est élevé.18Malala RANDRIANARISOA

Cela veut dire que : actuellement, le marché des travaux informatiques et encoreinsuffisant. Il y a des utilisateurs qui exigent cette diversification de service informatique etdes services appropriés pour divers utilisateurs. Ces derniers se vendent au prix abordables.3.3- Part visé sur le marchéD’après l’analyse de la situation globale de la demande et du marché , la part dumarché couvert par le projet est la demande qui reste encore insatisfaite et les utilisateursn’ont pas reçu de l’appuie de formation et d’assistance technique. Cela représente les 70% dumarché total dans la région.Notre entreprise vise en même temps le marché potentiel et celui des concurrentsainsi de convaincre la clientèle pour l’inciter à acheter notre service.SECTION 4 : CONCURRENCEDans cette section sur la concurrence, on envisage d’abord les entreprisesconcurrents, puis on repérera leur force et faiblesses.4.1- Entreprises concurrentesPour chaque de domaines d’activité ainsi définie, il convient d’en analyser lescaractéristiques intrinsèques (croissance potentielle, développement, taux de rentabilité,valeur…) de déterminer quelles sont les principales forces qui s’y exercent et identifier ainsiles ressorts essentiels de la concurrence.La concurrence comprend pour notre firme tous ceux qui cherchent à satisfaire lesmêmes besoins à travers les mêmes produits mais également ceux qui pourraient offrir denouvelles façons d’y parvenir.D’après notre enquête, il n’existe aucune entreprise de micro-informatique auxalentours de la ville des entreprises.Donc les concurrents dans ce domaine sont quasi-inexistants. Mais il existe quelquesétablissements qui ne sont pas spécialisés en micro-informatique mais offrent seulementquelques travaux sur ordinateur et le service photocopie.Maintenant, nous allons entrer dans l’analyse que nous venons de voirprécédemment en exprimant les forces et les faiblesses de nos concurrents.19Malala RANDRIANARISOA

Dans la ville d’Ankazobe, il y a trois concurrents qui font ce genre de servi àl’occurrent de l’ESPACE MEDICAL, MARKET EXPRESS, MARCHANDISESGENERALE JULES. Ce sont tronc nos concurrents directs.4.2- Forces et faiblesses des concurrentsNous allons présenter dans un tableau ci-dessous les forces et les faiblesses desconcurrents dans la région d’Ankazobe.Tableau N°05 : Forces et faiblesses des concurrentsETABLISSEMENT FORCES FAIBLESSESESPACE MEDICAL - Relation énorme - Prix trop élevéavec les clients - Services offerts- Existence de insuffisantsplusieurs services - Savoir faire insuffisantMARKET EXPRESSPlace au bord de la - Prix trop élevéeroute- Services offertsinsuffisantsMARCHADISE GENERALE Place au bord de la - prix trop élevéJULESroute- services offertsinsuffisantsA partir de ce tableau, on a pu constater que les forces des concurrents résident pourla plupart dans leurs emplacements. Par ailleurs, malgré leurs forces ils ont aussi desfaiblesses surtout au niveau de leur prix et leurs services.SECTION 5 : STRATEGIE ET LA POLITIQUE MARKETING A ADOPTERIl s’agit ici de déterminer le moyen d’actions commerciales envisagé pour nosproduits. Nous avons choisi la stratégie « marketing mixe » pour mieux joindre le marchécible.Le marketing mix est composé de quatre éléments constitutifs la politique deproduit, la politique de prix, la politique de distribution et la politique de promotion et decommunication.5.1- La politique de produit20Malala RANDRIANARISOA

Notre politique de produit à pour objectif d’améliorer la qualité de services vis-à-visdes concurrents et la positon de l’entreprise sur le marché. Pour satisfaire les consommationsil faut retenue comme principe la mise en place de :• une caractéristique technique : meilleurs services traités avec soins.• Une marque spécifique de service offerts : services de qualité.5.2- Politique de prixLe prix est un élément du marketing mixe qui a un rôle fondamental sur lecomportement d’achat du consommateur. Notre politique de prix est en fonction de troiséléments suivants• la qualité des services• la clientèle finale• les prix que nous allons à pratiquer sont en fonction de prix des concurrents,d’investissements, des charges engagées pour la création de ce projet et en fonction dela demande5.3- Politique de distributionLa politique de distribution consiste à choisir les circuits de distribution, à gérer lesrelations avec les intermédiaires recrutés, formés, animés et à contrôler la force de vente. Il vasans dire que le circuit de distribution sera relativement court et simple, parce que l’entrepriseassure elle-même la production. Ainsi, pour avoir une meilleure force de vente, nousadopterons une politique commerciale dynamique basée sur la qualité de service.5.4- Politique de communication et de promotionLa promotion et la communication jouent un rôle très important dans la vie del’entreprise. Quant à la communication, la qualité de service mentionnée auparavant est labase fondamentale de la politique de communication. L’entreprise participera à des opérationspromotionnelles dans le cadre des événements spéciaux (fête nationale …)Comme la politique de promotion est un ensemble de services offerts déployésd’une part pour organiser et pour conduire la compagne de vente et d’autre part pour21Malala RANDRIANARISOA

stimuler les achats de consommateurs et l’efficacité des revendeurs, c’est pourquoi nousavons le choix à opter entre trois grands moyens de communication ou à les appliquer enmême temps savoir.- la publicité- la promotion de vente- les relations publiquesNous avons vu la grande ligne du choix de la stratégie marketing les politiques desproduits, des prix, de distribution et de communication. Nous allons maintenant entamer sur lathéorie générale sur les critères d’évaluation d’un projet.CHAPITRE III : THEORIE GENERELES SUR LES OUTILS ET LESCRITERES D’EVALUATIONLa naissance d’une entreprise est la conséquence d’une décision d’investissementprise dans le cadre d’un projet qui se concrétise un jour. Cette décision d’investissement estfaite après une longue étude comparative et le choix des investissements qui peuvent êtreréalisés à l’aide d’un critère quantitative : la rentabilité des capitaux investis. Ils sontcomparés aux flux générés, la marge brute d’autofinancement (MBA) ou cash-flow.Le calcul des flux dégagé est donc en fonction des éléments d’exploitation :- durée prévue : 5ans- recettes envisagées- charges estimées (charge décaissées)- amortissement de biens acquis (changes –calculées)La synthèse des divers éléments sera représentée dans un tableau ci-dessous.22Malala RANDRIANARISOA

Tableau N° 06 : Marge brute d’autofinancementELEMENTRecettesCharges• charge décaissée (avec flux)• charge calculée (sans flux)Recette imposable- Impôt sur les sociétés K %Résultat netMBASECTION 1 : LES OUTILS D’EVALUATIONMONTANT+ R- D- AR− r K100rKr − + A100rKr − + A100Pour évaluer la rentabilité d’un projet, il existe quatre outils de choixd’investissement pour l’entreprise à savoir• la valeur actuelle nette (VAN)• indice de profitabilité (IP)• taux de rentabilité interne (TRI)• durée de récupération des capitaux investis (DRCI)1.1- Valeur actuelle nette (VAN)Cet outil est basé sur la comparaison directe des cash-flows ou marge bruted’autofinancement (MBA) et des capitaux investis. Les cash-flow sont évalués à l’époque 0en utilisant comme taux le coût du capital. Pour qu’un projet soit rentable, il faut que cetteVAN soit positive. En d’autre terme, la VAN indique l’avantage absolu procuré par uninvestissement.23Malala RANDRIANARISOA

1- DéfinitionLa valeur actuelle nette est présentée par la différence entre la somme de rentréesnettes entraînées par l’investissement et actualisée au taux exigé par l’entreprise et la sommedes capitaux investis.2- FormulesElle est donnée par la formuleVAN=i = n∑ MBAj(1 + i)j− j−CAvec C : le capital investiMBA : la marge brute d’autofinancementn : la durée de vie économique du projeti : le taux d’actualisation3- Notion de cash-flowLe cash-flow sont évalués à l’époque 0 une utilisation comme taux de coût du capital.4- InterprétationLa VAN peut être positive nulle ou négativeSi VAN > 0, l’investissement a une rentabilité supérieure au taux exigé tSi VAN = 0, la rentabilité de l’investissement est égale au taux exigé tSi VAN < 0, la rentabilité de l’investissement est inférieure au taux exigé tLa VAN constitue un critère de sélection entre deux projets ou plusieurs projets.ariary investi.1.2- Indice de profitabilitéC’est un indicateur de l’avantage relatif c'est-à-dire de l’avantage correspondant à 124Malala RANDRIANARISOA

2.1- DéfinitionL’indice de profitabilité mesure le profit induit par un Ariary de capital investi. Ildoit être supérieur à 1 pour que le projet soit rentable.2.2- FormuleIP =i n∑ =jMBA (1 +jCi)− j2.3- InterprétationL’indice de profitabilité peut être supérieur à 1, égal 1 et inférieur à 1IP > 1 : la rentabilité est supérieure au taux exigé tIP = 1 : la rentabilité est égale aux taux exigé tIP < 1 : la rentabilité est inférieure au taux exigé t1.3- Durée de Récupération des Capitaux Investis (DRCI)3.1- DéfinitionLe DRCI est représenté par le temps au bout du quel le cumul des marges brutesd’autofinancement est égal au montant total d’investissement. Il correspond au délai au boutdu quel des flux nets de trésorerie générés par l’investissement initial remboursent les fluxnets de trésorerie.3.2- InterprétationElle constitue un critère de rejet de tout projet dont la durée de récupération estsupérieur à la norme fixée par l’entreprise c'est-à-dire la durée total de l’investissement. Dedeux investissements, celui qui est le plus risqué est celui qui représente le délai le plus court.25Malala RANDRIANARISOA

1.4- Le taux de rentabilité interne (TRI)Cet outil est basé sur le calcul du taux pour lequel il y a équivalence entre le cashflowet les capitaux investi. Pour que le projet soit rentable, il faut que ce taux de rentabilitéinterne soit supérieur au coût du capital investi.4.1- DéfinitionLe taux de rentabilité interne est le taux d’actualisation qui donne une valeuractualisée nette égale à 0 ou un indice de profitabilité égale 1. Autrement dit, c’est le taux quirend égaux le montant de l’investissement et les marges brutes d’autofinancement induit parce même investissement.4.2- FormuleIl s’obtient par la formulej∑ = j=1nMBA(1+i)− j−C =0InterprétationSi une entreprise adopte un projet égal au coût du capital avant investissement,l’investissement n’apporte ni faire ni pente pour l’entreprise.En revanche si le TRI est nécessaire au coût du capital avant investissement, leprojet serait rentable. Si le TRI est inférieurs au coût du capital avant investissement,l’adoption du projet entraîner une perte à l’entrepriseSECTION 2 - LES CRITERES D’EVALUATIONEvaluer le projet à l’aide des outils d’évaluation (VAN, IP, TRI, DRCI) ne suffitpas. Mais pour qu’un projet soit aussi acceptable, il faut q’il soit pertinent ou efficace ouefficience ou durable.26Malala RANDRIANARISOA

2.1- La pertinenceElle mesure la corrélation entre les objectifs du projet et les priorités dedéveloppement global sectoriel ou le bien fondé du concept du projet par rapport aux besoinsréels des groupes cibles.2.2 -L’efficacitéL’efficacité s’apprécie pour la comparaison des objectifs et des résultats (différenceentre ce qui était prévu et les réalisations) c’est le degré de réalisation des objectifs ou desrésultats2.3 -L’efficienceL’efficience se réfère au coût et rythme auquel les interventions sont transformées aurésultat. Elle se mesure par la comparaison des coûts et des résultats. Elle se réfère àl’utilisation optimale des ressources dans la production des outputs. C’est l’économie dans lapoursuite des objectifs.2 -4 Durée de vie de projetElle vise à évaluer la capacité d’action ou des résultats à se pour suivre de façonautonome après le retrait de l’assurance extérieure (nationale ou étrangères)Les critères et outils d’évaluation sont des éléments indispensables, pour évaluer larentabilité d’un projet.Pour conclure cette partie, constatons que ce projet concerne la formation d’unesociété dénommée MITSINJO INFO. Elle occupera des cybercafé, de la micro-édution et demicro imprimerie. Elle sera une SARL.Puis dans le deuxième chapitre sur l’étude des marché on a aussi expliqué lescaractéristiques des services offert le clientèle cible, l’évolution des besoins et l’évolution dumarché. Ensuite en analysant l’offre, on l’estime d’abord avant d’aborder la comparaison desprix dans les situations actuelles pour voir la part visée sur le marché. On n’a pas oublié derepérer les concurrents, leurs forces et faiblesses. Ceux-ci c’est pour adopter une politique etune stratégies marketing.Tels sont les contenus de cette partie intitulée « indentification du projet » Maiscomment conduire ce projet ? C’est ce que nous allons étamer dans la deuxième partie.27Malala RANDRIANARISOA

DEUXIEME PARTIECONDUITE DU PROJET28Malala RANDRIANARISOA

La conduite du projet est un ensemble de méthode et de techniques intégrés dans unsystème d’information qui aide leur équipe dirigée par le chef de projet à prendre desdécisions.Pour ce concept, nous allons analyser dans cette deuxième partie la technique deproduction de toutes les présentations à offrir sur le marché.En outre, pour atteindre les objectifs nous avons besoins de faire une étudeorganisationnelle de base pour cette entreprise après voir analyser sa capacité de production etse perspectives de production et de vente29Malala RANDRIANARISOA

DEUXIEME PARTIE :----------------CONDUITE DU PROJET---------------------------CHAPITRE I : TECHNIQUE DE REALISATIONLa faisabilité du projet dépend en partie des conditions techniques dans laquel ilévolue D’après les sources d’information que nous avons recueillis sur place, il n’existeaucune entreprise dont l’activité principale est la micro informatique dans la régiond’ankazobe. Cette situation nous confère beaucoup d’avantage et nous permet de nousspécialiser dans le métier, pour acquérir des avantages compétitifs provenant de plusieurssources.La spécialisation génère des effets d’expérience et d’économie d’échelle qui sont dessources de diminution des coûts.Par ailleurs, plus une firme est spécialisée, plus elle atteint facilement de taillecritique de son domaine d’activité. Sans ce chapitre, nous allons parler d’abord des procédésde spécialisation de l’activité. Puis on fera la description et la présentation de technique deproduction. Ensuite on verra les différents de production.SECTION 1 : PROCEDES DE SPECIALISATION DE L’ACTIVITERappelons que ce projet est une création d’une entreprise multiservice eninformatique, c'est-à-dire que notre activité s’étend sur plusieurs branches à savoir :- Le service cybercafé qui définit le service Internet :- Le service micro-édition qui s’occupe tous les travaux sur ordinateur (saisie,impression faxe) photocopie, gravage.- Le service micro imprimerie qui produit les travaux d’impression comme carterie,faire-part, invitation.1.1- Définition et fondement de la spécialisationLa spécialisation est un type de développement se caractérisant par uneconcentration, une mobilisation et un renforcement constant des ressources d’une entreprisesur un seul domaine d’activité afin d’y acquérir une position forte.30Malala RANDRIANARISOA

La spécialisation s’inscrit dans le cadre exclusif d’un domaine d’activité particulier sur lequell’entreprise concentre tous ses efforts. Elle donne pour objectif d’atteindre dans cette activitéle meilleur niveau de compétence possible et d’un faire un avantage concurrentiel.Les stratégies des coûts et stratégie de différenciation suivent cette logique despécialisation. Le chemin de la réussite donc passe toujours par une certaines forme despécialisation. Nous avons donc choisi les stratégies des spécialisations parce qu’elleconduisent à produire une offre destinée à un segment de clientèle particulier, identifiée àpriori et qui seul est susceptible de valoriser le caractère spécifique donné à « l’offrespécialisée »1.2- Voies de la spécialisationsUne entreprise engagée dans la spécialisation peut suivre deux voies distinctes,successivement ou simultanément :- L’une est géographique et consiste à faire des choix d’expansion ou de restriction ausein du marché pertinent qui circonscrit l’entendue spatiale du domaine d’activité de lafirme ;- L’autre exprime en terme de produit, marché. Elle consiste à générer ou a sélectionnerdes couples produits / marché dont les facteurs clés de succès sont identiques au seinde domaine d’activité. C’est une diversification marketing qui s’appuie sur unepolitique de gamme ou de clientèle.SECTION 2 : DESCRIPTION ET TECHNIQUE DE PRODUCTIONAvant d’entamer cette section, il est nécessaire de présenter la prestation que nousavons proposée à la future clientèle de l’entreprise. Dans cette optique nous allons expliquer.Les prestations offertes par la firme et les processus de ces prestations.2.1- Prestations offertes par la firmeLes prestations sont les suivantes :- Tous les travaux sur ordinateur (saisie - impressions)- Les services Internet (e-mail, navigation web)- La photocopie (couleur, noir et blanc)- Gravage de C.D (vidéo, audio)- Plastification31Malala RANDRIANARISOA

- Reliure (spirale)- Tous travaux de micro imprimerie (carte de visite, carte de vœux, carte d’invitation,faire-part…),2.2- Processus de productionLa production est un des éléments moteurs dans une entreprise, sans elle aucunproduit n’est déployé ni fabriqué ni distribué.L’évolution des besoins, le développement de la technologie, la complexité desprocessus ne fait que renforcer l’influence de cette fonction, mais elles rendent indispensablesla qualification de personnels.Les techniques de production de ces services sont comme dans toute les industriesde fabrication ou de transformation c'est-à-dire qu’il y des intrants, la transformation de cesintrants et enfin les extraits ou des produit finis.2.2.1- La saisie informatiqueLa saisie se définit comme étant une transcription d’une information en vue de sontraitement ou de sa mémorisation. C’est le traitement de texte ordinateur.Le schéma suivant nous montre le processus de saisie de texte sur ordinateur.Texte bruiteEdition électronique parmanipulation de l’ordinateurMise en forme+Mise en pageImprimante : organepériphérique d’un ordinateur quiédite sur papier les résultats dutraitementEnregistrement sur le disquedur et/ou sur disquetteFigure 2 : Processus de saisie informatique32Malala RANDRIANARISOA

2.2.2- L’impressionLe texte saisi est considéré comme produit encore lorsqu’on veut le faire imprimé.L’impression c’est une action d’édition sur des papiers, le résultat du traitement detexte par un organe périphérique d’un ordinateur appelé « imprimante »Nous présentons le processus de l’impressionDisque dur del’ordinateurTexte édité sur papierImprimanteDisquette ou CDFigure 3 : Processus de l’impression2.2.3- La photocopieC’est la reproduction d’un document instantané d’un négatif photographique à l’aided’un appareil appelé « photocopieur »PapierPhotocopieurDocument reproduitFigure 4 : Processus de photocopie de document à reproduire33Malala RANDRIANARISOA

2.2.4- L’InternetC’est un lien entre deux ou plusieurs réseaux informatiques, c'est-à-dire réseau deréseau. Il est un réseau informatique à l’échelle de la planète, c'est-à-dire un grand nombred’ordinateurs. Connectés entre eux. Ces ordinateurs sont répartis dans tous les pays et chacund’entre eux peut échanger des informatiques avec les autres. Ces réseaux ne sont rien de plusqu’un programmer pour faire circuler les informations.2.2.4.1- MailLe mail ou e-mail est un courrier électronique qui permet d’envoyer des messagesaux autres utilisateurs de l’Internet et aussi d’en recevoir. Sur le plan technique l’envoi d’une-mail est géré à un protocole appelé (simple Mail transfert protocole).2.2.4.2- WebC’est le format de la publication la plus avance sur Internet. Le web permet devisualiser à l’écran de textes et des images.Le web est une immense bibliothèque électronique planétaire ou tout le monde peutpublier. A partir d’une connections Internet, ou accèdes à un nombre incalculable des sitesweb traitant de tout.La navigation (web), c’est la manière de rechercher et ou de consulter desinformations et de télécharger des donné ou logiciels dans un ou plusieurs sites web.2.5- Le scannerLe scanner est en quelques sortes une photocopie numérique car elle permet aussi lareproduction d’un document (image) par le développement d’un négatif photographie.34Malala RANDRIANARISOA

Images AReproductionOrdinateur detraitementScanner +EncreurPapierImage scannéFigure 5 : Processus entrepris du document2.2.6- Le gravageC’est un enregistrement numérique de son et ou de film assisté par un ordinateur.C'est-à-dire les images ou les sons sont traités ou modifiés par un ordinateur pour voir unemeilleure qualité d’image ou de son.Compact disqueAudio / vidéoCD copiéAudio / vidéoOrdinateur +graveurCD ViergeFigure 7 : Processus de reluire (livre)35Malala RANDRIANARISOA

2.2.8- Le service faxC’est un moyen de communication rapide et efficace. Il permet la transmission àdistance de documents graphique (facture, image, lettre) par un appareil « télécopieur ».Schéma de processus fax :Document envoyélettre, imageVers le destinatairedu documentTélécopieurtéléphone + faxDocument reçuDocument expédié versnotre centre de réceptionFigure 8 : Processus fax2.2.9- La plastificationC’est l’action de plastifier un document, un dossier ou une carte c'est-à-dire lerecouvrir d’une pellicule la matière plastique transparente. Cette opération s’effectue à l’aided’une machine spécialisée appelée « plastifie use »Matière plastiqueProduit à plastifierPlastifieur(machine)Produit plastiqueFigure 9 : Processus de plastification de document36Malala RANDRIANARISOA

2.2.10- Travaux de micro-imprimerieC’est un ensemble des techniques et métiers qui concernent la fabrication d’ouvrage.Dans ce procédé d’impression, on utilise l’offset pour fabriquer les cartes (cartes d’invitation,care de visite…) et faire- part.Ordinateur de traitementMachine d’impressionSystème offsetImpression terminéePapierFigure 10 : Processus d’imprimerieSECTION 3 : DIFFERENTS FACTEURS DE REALISATIONAprès avoir déterminer les prestations offertes par la firme et de bien connaître sesprocessus, il est nécessaire de définir les moyens de facteurs de production.3.1- Moyen matérielsLe moyen matériel forme le cadre physique de l’entreprise. Ils permettent dedistinguer une zone externe avec laquelle l’entreprise établit des flux d’échanges de biens etservices et une zone interne dans laquelle se produisent des transformations ou desconsommations.37Malala RANDRIANARISOA

3.1.1- Matériel informatiqueTableau n°07 : Liste de matériel informatiqueRUBRIQUES CARACTERISTIQUES ETAT NOMBRE UNITEOrdinateur + unité centrale Pentium IV Neuf 06 PièceOnduleurs PRD600P UPS Neuf 02 PièceImprimante Laser HP 1010 Neuf 01 PièceMachine photocopieuse CANON Neuf 01 PièceImprimante jet d’encre HP 3550 Neuf 01 PièceGraveur 52* 32* 52 LG Neuf 01 PièceScanner HP 3300C Neuf 01 PiècePlastifieuse Pou chaman 12 Neuf 01 PièceTéléphone Simple poste Neuf 02 PièceFax Panasonic Ko 13L FM Neuf 01 PièceAgrafeuse Shang Lie 369 Neuf 01 PièceEncre noir pour1550 Neuf - PiècephotocopieuseEntre imprimante noire TONER 98A Neuf - PièceEncre imprimante noire et HP 27 /28 Neuf - PiècecouleurD’après ce tableau les 06 ordinateurs sont utilisés au cyberspace, trois aumicroédition, et un pour le gérant de la société.3.1.2- Matériel de bureauIl est évident d’avoir des matériels de bureau complet pour que les personnelspuissent travailler bien. Nous avons besoins d’armoire, des tables ordinateurs, des tables debureau, des chaises. Voici le tableau qui résume ces matériels.38Malala RANDRIANARISOA

Tableau N°08 : Liste de matériel de bureauRUBRIQUESTableChaise Armoire Table de bureauordinateursNOMBRE 06 06 01 01CARACTERISTIQUE Palissandre Palissandre Palissandre PalissandreETAT Neuf Neuf Neuf Neuf3.1.3- Matériel de transportPour assurer le bon fonctionnement de notre activité nous avons besoin d’une autocomme matériels de transport marque express.3.2- Moyen humainQuand au moyen humain, ils effectuent des taches suivants leur spécialité, leurcompétences et les postes de responsabilité qu’ils occupent. Etant donné que MITSINJOINFO partie des Petite et Moyens Entreprises (PME), les besoins en effectif ne sont pasénormes. On a fait résumer dans un tableau l’effectif de personnel.Postes Dirigeant Assistant Assistance Responsable Responsabletechnique comptable Internet micro-éditionNombre 1 2 1 1 13.3- Moyens financiersCe sont les moyens plus grande importance pour le démarrage de projet car lesévaluations de besoins et les charges sont chiffrées.Les ressources financières de l’entreprise sont composées de :- l’apport personnel de promoteur qui constitue le capital de l’entreprise- Emprunt à long terme et à moyen terme- compte courant de promoteursPour conclure cette section sur les facteurs de production, on pet remarquer trois points :- les moyens matériels sont les machines39Malala RANDRIANARISOA

- outils et appareils informatiques qu’on va utiliser, les mobiliers- les moyens de transport et le bâtiment.Les moyens humains qui sont les personnels. Et dernièrement- les moyens financiers qui viennent des apports du promoteur, plus l’emprunt et lecompte courant au promoteur.En conclusion du chapitre, nous avons parlé des procédés de spécialisation del’activité. La spécialisation qui est une concentration de l’entreprise sur un seul domainemême si elle est multiservice. La description et présentation de technique de production nousont relevé quels types de travaux qu’on fera. Ensuite on a vue les différents facteurs deproduction qui sont les moyens de production, à savoir les matériels, les personnels et moyensfinancière. Avec tout cela on se demande, que soit ce que cette entreprise peut produire ?CHAPITRE II : CAPACITE D’ACCEUILDans le cadre de ce présent projet, la capacité de production est fonction desmatériels utilisés et des facteurs humain à mettre en oeuvre c'est-à-dire pour pouvoir bienproduire, il est nécessaire de mettre en place les personnels qualifiés, et des bons matériels deproduction.Dans ce chapitre, nous allons voir successivement l’évaluation de la productionenvisagée et des chiffres d’affaires l’achat prévisionnel au cours de ces cinq annéesd’exploitation et les aspects quantitatifs et qualitatifs du projet.SECTION 1 : EVALUATION DE REALISATION ET DE CHIFFRE D’AFFAIREL’évaluation de réalisation de chiffres d’affaires c’est l’aptitude de produire et ellecorrespond à la qualité de matériel utilisé. L’entreprise qui a une forte capacité de productiona toujours un avantage face à ses concurrents sur le marché et elle peut réduire leur prixproportionnellement au volume de production.40Malala RANDRIANARISOA

1.1- Capacité de productionEtant donnée une prestataire de service, la production envisagée sera axée sur lavente et l’approvisionnement des matériels informatiques. La prévision de notre exploitationdépend de la consommation de produit qui peut être très variable. De plus, nous dépendons decertains facteurs et d’autre type de services pour la production de nos services. Nous allonsprésenter dans un tableau ci-après la prévision des productions mensuelles.Tableau n°09 : Estimation de production mensuelleLISTES DES SERVICESSaisie / pageImpression / pagePhotocopie /copieScan / feuilleGravage CDInternet :- Connexion / minute- Hébergement de siteFax :- Envoi local- Envoi international- RéceptionTéléphone :- Appel national :• Telma- Telma• Telma – Madacom• Telma – orange- Appel international- FormationNOMBRE500450450071233.00055201025655250050641Malala RANDRIANARISOA

1.2- Programme de production durant le cinq annéePour le premier d’exploitation, nous prévoyons d’accueillir 1.100 visiteurs en raisond’une connexion de 30 minutes d’où la prévision de 33.000 minutes. Le tableau ci-dessousnous montre la prévision d’exploitation pour les cinq années d’exercices.Tableau n°10 : Estimation de production durant les ans années de l’exercicesLISTES DES SERVICES Année 1 Année 2 Année 3 Année 4 Année 5Saisie / page 6 000 5472 6566 7879 9 455Impression / page 5 400 5040 6048 7258 8 710Photocopie /copie 11 400 13 680 16416 19 699 23 639Scan / feuille 84 101 121 145 174Gravage CD 144 173 207 249 299Internet :396 000 475 200 570 280 684 288 821 146- Connexion / minuteHébergement de site 660 792 350 1 140 1 368Fax :240 288 346 415 498- Envoi local- Envoi international 120 144 173 207 249- Reception 300 360 432 518 622Téléphonie :- Appel national :Telma- Telma 780 936 1. 123 1 348 1 617Telma – Madacom 624 749 899 1.079 1 295Telma – orange 600 720 964 1.037 1 244- Appel international 60 72 86 104 125Formation 72 86 103 124 149A partir de ce tableau, la meilleure production d’exploitation se situe au niveau deservices Internet parce qu’il est l’activité principale de notre entreprise. Tous les autresservices à l’exclusion des saisies, des photo copies seront en position de monopole.Pour les quatre années, l’exploitation sera augmentée de 20% d’une année l’autre.SECTION 2 : PLANNING D’ACCUEILDans cette section on va parler comment on fait la planification decommercialisation de nos services. D’abord on avancera la prévision de chiffre d’affaire.2.1-Les chiffres d’affaires prévisionnelles42Malala RANDRIANARISOA

Les chiffres d’affaires seront estimés sur les ventes prévisionnelles réalisées parl’entreprise. La connaissance de la quantité à produire pour chaque type de service de mêmeque la fixation de leur prix respectifs dans le chapitre précédent nous conduit à l’estimationdes chiffres d’affaires. Il suffit de reprendre la production prévue en la multiplient par sonprix de vente (unité en Ariary).Tableau n° 11 : Prévision des chiffres d’affaires pour les cinq années de l’exercice(Unité monétaire en Ariary)LISTES DES PrixSERVICES unitaireAnnée 1 Année 2 Année 3 Année 4 Année 5Saisie / page 300 1.800.000 2.160.000 2.592.000 3.110.400 3.732.480Impression / page 200 1.080.000 1.296.000 1.555.200 1.866.240 2.239.488Photocopie /copie 70 798.000 957.600 1.149.120 1.378.944 1.654.733Scan / feuille 400 33.600 40.320 48.384 58.061 69.673Gravage CD 3000 432.000 519.000 621.000 747.000 897.000Internet :- Connexion / minute 30 11.880.000 14.256.000 17.107.200 20.528.640 24.634.368Hébergement de site 6 000 3 960.000 1.008.000 5.702.400 6.842.880 8.211.456Fax :- Envoi local 3 500 840.000 4.752.000 1.211.000 1.452.500 1.743.000- Envoi international 4 500 540.000 648.000 778.500 931.500 1.120.500- Réception 800 180.000 216.000 259.200 310.800 373.200Téléphone :- Appel national :Telma- Telma 300 234.000 280.800 336.900 404.400 485.100Telma – Madacom 800 449.200 559.040 718.848 862.618 1.035.142Telma – orange 800 480.000 576.000 691.200 829.440 995.328- Appel international 2 500 150.000 180.000 215.000 260.000 312.000Formation 2 600 187.200 223.600 267.800 322.400 387.400TOTAL 22.894.000 27.472.800 32.967.360 39.560.832 47.472.998Il ressort de ce tableau que parmi ces services offerts , pour la première annéed’activité 69% des chiffres d’affaires annuels réalisés proviennent des services Internet , 12%préviennent des services fax, 12% pour les saisies et les impressions 5% pour les servicestéléphonies et 2% pour les autres services . Pour conclure, parmi les réalisations prévues, lamise en vente des services interactifs Internet tient la première place.2.3- Calendrier de réalisationCe calendrier nous montre le détail des travaux que l’équipe dirigée par le chef deprojet doit entreprendre des étude de dossier jusqu’au phase d’exploitation.Tableau n° 12 : Tableau de planning de réalisation43Malala RANDRIANARISOA

Opération J F M A M J J A S O N DConstruction de dossier X X X XPrésentationXEtude de dossier X XConstitution légaleXDéblocage de créditXContrat de bailXImplantationXCommande équipementXRecrutement personnelXInstallationXFormation et, mise aupoint du travailXSECTION 3 : CONSOMMATION DE MATIERE PREMIERELes matières premières sont classées dans les actifs courants. Ce sont des biens quise transforment les un dans les autres au cours du cycle d’exploitation. Au cours de cettesection nous allons évaluer les dépenses en matière première.3.1- Dépenses en matière premièreNous avons rappelé que la technique de production de nos services est commedoutes les industries de fabrication ou de transformation.Pour la bonne marche de nos activités, on parlera en terme d’achatl’approvisionnement en matières consommables et fournitures.Le tableau ci-dessous nous montre la consommation mensuelle en matière première.44Malala RANDRIANARISOA

Tableau N°12 : Prévisions mensuelles de consommations des matières premières(Unité monétaire en ariary)BESOINSQUANTITEPRIX UNITAIRE(en ariary)MONTANTPapier vélin (rame de 500feuillesBoite CDEncre couleur pour ImprimanteEncre pour photocopieurEncre noire pour imprimanteBoite de disquette (1 boite de 10)0201010101016.50012.00070.00020.00018.0007.00010.00012.00070.00020.00018.0007.000TOTAL 169.000Ci-après la prévision de consommation des matières pour les cinq années d’exercice.Tableau N°13 : Consommation annuelle des matières premières(Unité monétaire en Ariary).BESOINS Année 1 Année 2 Année 3 Année 4 Année 5Papier vélin (rame de 500feuilles 120.000 144.000 172.000 207.360 348.832Boite CD 144.000 172.000 207.360 248.832 298.598Encre couleur pour Imprimante 840.000 1.008.000 1.209.000 1.451.520 1.741.824Encre pour photocopieur 360.000 432.000 518.400 622.080 746.496Encre noire pour imprimante 480.000 576.000 691.200 829.440 995.328Boite de disquette (1boite de 10)TOTAL 2.028.000 2.433.000 2.920.000 3.504.384 4.205.260Afin de satisfaire la demande de clients, les consommations de matière suivant lechemin croissant sur celui des ventes. En guise de conclusion, la deuxième chapitre répondaux questions : Qu’est ce que cette société peut produire en cinq ans ? Quelles productionselle prévoit ? Quelles sont les matières premières utilisées et consommées. Et quels sont seschiffres d’affaires ? On doit remarquer que la production est croissante. Les réponses à sesquestions, nous pouvons trouver les résumés dans les tableaux. La capacité de production autableau 9 et les planning d’accueil au tableau 11.Il faut noter aussi que le calendrier de réalisation est visible sur le tableau 12 duplanning de réalisation. Les différentes consommations en matière première ont affiche dansle tableau n°13 ; Après avoir étudier la capacité de réalisation envisagée. Nous allonsmaintenant entamer le dernier chapitre intitulé « L’étude organisationnelle du projet ».45Malala RANDRIANARISOA

CHAPITRE III : ETUDE ORGANISATIONNELLEDans ce chapitre, nous allons entrer plus profondément sur la réalisation des travauxen ce qui concerne le facteur humain au sein de l’entreprise et l’organisation de travaux àeffectuer lors de la création et du fonctionnement de notre projet.SECTION 1 : STRUCTURE ORGANISATIONNELLEL’objectif principal est le développement du secteur de la télécommunication dans larégion d’Ankazobe. Donc, nous avons besoins de mettre en place un organigrammespécifique pour réaliser cet objectif et aussi pour avoir une qualité de services fiable et enfinde donner plus de satisfaction à la population de cette région.Le cas du projet porte sur la création d’une entreprise individuelle oeuvrant dans ledomaine de prestation de services d’où la raison du choix de l’organigramme.1.1- OrganigrammeL’organigramme de la société est formé à la première hiérarchie par un dirigeantavec l’aide d’agent opérateurs. Ensuite, par un cadre qui tient la fonction d’un secrétairecomptable dans la deuxième hiérarchie. Et enfin, il y a deux exécutant à la dernière lignehiérarchique de l’organigramme.Structure de notre société présente par l’organigramme d’écrit comme suit :GERANTAgents opérateursSecrétaire comptableAgent de sécuritéTechnicienFigure 11 : Schéma de l’organigramme46Malala RANDRIANARISOA

SECTION 2 : ORGANISATION ADMINISTRATIVEOn parlera des ressources humaines comment sont elles classées ? Quels rôles sespersonnels jouent ? Quelles sont les qualités requises pour chaque personnel ? Comment gérerles personnels ? Comment informer et communiquer ? Quels sont les comportements dudirigeant ? Et quelles sont les rémunérations des personnels ? Ce sont toutes ces questionsqu’on va éclaircir dans cette section.2.1- Ressources humainesCar notre société est une société de petite taille, donc il n’existe pas la direction deressources humaines. Le personnel est classé en 2 niveaux :- le Gérant ou la Direction- l’équipe opérationnelle2. 1.1- La DirectionLa direction est le premier responsable de la télé centre, il définit la politiquegénérale et les stratégies à adopter pour le bon fonctionnement de l’entreprise. Il assure lagestion et l’administration de l’entreprise, et également la supervision de l’activité. Ils’occupe de la fonction personnelle, des relation publique ainsi que des de recherche,développement et dresse le planning.2.2.2- L’équipe opérationnelleCette équipe est l’équipe de la réalisation de la production.2.2. Attribution du personnel2.0- Le gérantLe gérant a comme rôles :• Planifier, organiser, diriger et contrôler les tâches de personnel• Maintenir un climat favorable dans ses relations• Motiver tous les personnelle• Responsable de trésorerie et la tenue de compte comptable• Prend en main le travail de caissier comptable de l’entreprise47Malala RANDRIANARISOA

2.1- Agent opérateursIls prendront en charge l’accueil de la clientèle, la réception et la réalisation de leurscommandes. Ces agents opérateur assument :- les saisies sur ordinateurs (texte tableaux et impression)- les gravure et scanner- le Fax et téléphone- la photocopie2 .2 Le secrétaire comptableLe secrétaire comptable s’occupe la bonne marche des activités administratives ducentre comme l’enregistrement de la facture, la gestion commerciale et des ressources ilassure l’accueil chaleureux des clients et aussi le rôle du gérant en cas d’absence.2.3- L’Agent de sécuritéIl assure la sécurité maximum à l’intérieure et à l’extérieur du site d’ampliation. Ils’agit d’une équipe tournante qui assure la vigilance du jour comme nuit.2-4- Le TechnicienIl est stipule dans le cahier de charge, la présence de technicien de haut niveau estrequise au sein d’un espace télé centre catégorie C. Les rôles de technicien sont les suivant- assure la la répartition des matériels et l’achat de tous matériel informatique.- Assure la supervision des activités des agents opérateurs- Apporte les conseil et assistance à la clientèle- Assurer l’hébergement de site et assistance pour confection et les installations de siteweb- Occuper la formation tout2.3- Qualité requise pour le personnel« A moyen égal, les entreprises qui disposent des hommes compétents ont descapacités performantes ». L’homme constitue la première ressource de l’entreprise, donc il est48Malala RANDRIANARISOA

appelé ressource. Donc, on doit trouver les hommes capables de répondre aux besoins de lastructure.Tableau n°13 : Profil exigés pour le recrutement du personnelPOSTESGérantSecrétaire comptableTechnicien eninformaticienAgents opérateursAgents de sécuritéPROFIL- Avoir le diplôme de maîtrise en gestion, option finance etcomptabilité- Maîtrise parfaite de l’outil informatique- Formation en Management- Forte personnalité- Avoir le sens de l’organisation de la communication rigoureuxet méthodique.- Avoir le diplôme de technicien supérieur en gestion (BACC+2 minimum)- Maîtrise parfaitement les outils informatiques- Qualité de rigueur et sens d’organisation- Avoir un sens de responsabilité- Bacc +2 minimum en maintenant informatique- Maîtrise du français parlé et écrit- 2 ans d’expériences dans le poste similaire- Sens de travail d’équipe- Niveau BACC minimum- Très bonne connaissance en informatique- Parlant et dirigeant le français et l’anglais- Avoir le sens d’organisation- Niveau BACC minimum- Homme plus de 1.65m- Connaissance technique de self défense- Honnête2.4. Gestion de personnel4.1 La paix socialC’est un élément plus important dans la gestion de personnel car il est crée de définirtoute la règlementation interne au sein de l’entreprise en application de cette dernière donc lepersonnel assure la présentation de service interne.49Malala RANDRIANARISOA

Cette paix sociale, c’est évident pour l’entreprise d’avoir une performance élève.4.2 MotivationLa motivation concerne tout le comportement volontaire des individus ayant unobjet déterminé. Du point de vue managérial, l’individu motivé est celui qui consacre touteses à la réalisation de la tâche qui lui a été défini.Le besoin de l’individu qui déclanche les motivation. Donc la motivation estl’ensemble des forces qui amorcent, orientent et maintiennent un comportement donnéjusqu’à ce que le lait soit atteint.Dans notre société, nous donnons des peines de fin d’année et une augmentation desalaire après deux ans de service. C’est notre système de motivation de personnel pratiquédans notre firme.4.3- Organisation et suivi de la formation du personnelLa formation de personnel est parmi d’un système de motivation de personnel carelle suscite des attentes de la part du personnel et de l’entreprise. Elle met un peu de budgetélevé parce qu’elle dégage des dépenses.Cette formation concerne le plan technique de production pour l’entreprise, lesobjectifs sont comme suit : D’abord adapter ses personnel aux évolution technologique.Ensuite préparer les personnels aux évolutions futures et enfin accroître la performance dupersonnel.Il est important d’assurer par une organisation et un suivi adapté l’utilisation optimalallouée.2.5- Information et communicationL’information est l’action de donner l’information d’un fait. La communication estl’action de communiquer ou de transmettre quelque chose. La communication s’inscrit aussidans une perspective sociale, répondant aux attentes d’information tout aussi irrésistible quelégitimes des sal. Une bonne communication a un effet positif sur le climat interne fait partiede la dynamique de construction de l’image.Donc notre société motive la communication interne car elle s’est progressivementimposé comme une discipline managériale, au même titre que la gestion de personnel.50Malala RANDRIANARISOA

La formation est un ensemble d’action de moyen de méthode et de support à l’aidedesquels les travailleurs sont invités à améliorer leurs connaissances, leurs comportement,leurs attitude et leurs capacité mentale nécessaire pour atteindre les buts de l’organisation etqui leurs sont personnels sans oublier l’accomplissement adéquat de leurs fonction actuelle etfuture.2.6 Comportement du dirigentLe dirigeant doit avoir un style de management et leadership. Ce style est en quelquesorte d’une manifestation visible, opérationnelle de l’idéologie. Il peut être analysécorrespondant aux attitudes fondamentales de dirigeant vis-à-vis des alentours et de relationsinterne à l’organisation :- Attitude envers les risque en matière de prise de décision- Attitude envers la flexibilité organisationnelle- Attitude en matière d’autoritéLe style de management est aux motivations des différents acteurs de entreprise ànature des activités. Le mot leadership est plus souvent employé par le gestionnaire pourdesigner la façon d’exercer l’autorité : style leadership.2.7 La Rémunération du travailLa rémunération c’est le paix de travail ou de service rendu en d’autre terme del’entreprise.Puis la première année de mise en service, le rembourse total des employés sera desept (7) dont :- 01 Gérant- 01 secrétaire comptable- 01 technicien en informatique- 02 Agents opérateurs- 01 Agent de sécurité- 02 Coursiers51Malala RANDRIANARISOA

Tableau n°14 : Tableau d’évolution d’effectif pour les cinq annéesPOSTES Année 1 Année 2 Année 3 Année 4 Année 5GérantSecrétaire comptableTechnicien en informaticienAgents opérateursAgents de sécuritéCourrier010102010101010102010101010102010101010102010101010102010101TOTAL 7 7 7 7 7L’effectif total des employés sera de sept (07) pendant les cinq année et nousprocéderons à une embauche locale afin de privilégier la zone d’implantation.1- Plan de formation du personnelDans le cadre de ce projet, la formation est un moyen d’améliorer les compétencesdes salariés et de renforcer ainsi leur degré d’adaptation à leur poste.Ainsi une formation d’une durée de 30heures un coût total de Ar 90.000 sera prévueau début de l’activité et une formation de recyclage à la troisième année d’exploitation afin dedevancer le personnel aux évolution technologiques.Tableau N°15 : Prévision de dépenses.(Unité monétaire en Ariary)Elément Année 1 Année 2 Année 3 Année 4 Année 5Formation 91.000 - 91.000 - -Nous allons faire une formation à la troisième année compte tenu du développementtechnologique sur l’informatique. Le but est de mettre en courant nos travailleurs sur lesnouvelles technologie à adopter en matière informatique.2- Charges fixes du personnelLes charges fixes nous conduisent à la fixation des changes prévus pour lepersonnel.Le tableau ci-après regroupe les rémunérations dues ainsi que les charges socialespatronales calculées partir du salaire de base.52Malala RANDRIANARISOA

Tableau N°16 : Les coûts salariaux pour la première année(unité monétaire en Ariary).POSTESNOMBRESALAIRE SALAIRE MASSEMENSUEL ANNUEL SALARIALEGérantSecrétaire comptableTechnicien en informaticienAgents opérateursAgents de sécuritéCourrier010102010101160.000120.000120.000120.00070.00060.0001.920.0001.440.0001.440.0001.440.000840.000720.0001.920.0001.440.0001.440.0001.440.000840.000720.000TOTAL 9 240.000Pour élaborer les charges du personnel à partir de la deuxième année, nous voulonsaugmenter ces changes de 5% d’une année à l’autre.Nous allons résumer le coût salarial pendant les cinq années d’exercice.Tableau n°17 : Présentation des coûts salariaux(unité monétaire en Ariary)POSTES ANNEE 1 ANNEE 2 ANNEE 3 ANNEE 4 ANNEE 5GérantSecrétaire comptableTechnicien en informaticienAgents opérateursAgents de sécuritéCourrier1.920.0001.440.0001.440.0001.440.000840.000720.0002 016.0001 512.0001 512.0003 024.000882.000756.0002.208.0001.587.6001.587.6003.175.200926.100793.8002.222.6401.666.9801.666.9803.333.960972.405833.4902.333.7721.750.3291.750.3293.500.6581.021.025875.165TOTAL 9 240.000 9.702.000 10.187.100 10.696.455 11.231.278Le salaire du personnel augmente à partir de la deuxième année.Le tableau suivant montre les charges sociales et patronales du personnel pendant les5 années d’exercices.Le CNaPS et l’OSTIE représente 1% du salaire : ce sont les parts des travailleurs. Pourl’entreprise, les charges patronales sont les suivantes :- 13% pour la CNaPS- 5% pour l’OSIE53Malala RANDRIANARISOA

D’où le résumé des charges du personnel permanent par les 5 années successives.Pour conclure ce troisième chapitre, il faut signaler que pour la structureorganisationnelle, l’organisation est caractérisée par la hiérarchie et l’unité de travail. Pourl’organigramme administratif, les ressources sont divisées en deux classes :- le directeur et- l’équipe opérationnelleChacun a son rôle même dans l’équipe. Il y a aussi les qualités requises pour chaquepersonnel selon son rôle.Comme conclusion de cette deuxième partie, nous avons pu dégagé les technique deproduction adaptées, elle nous a fourni en même temps la prévision au niveau de laproduction, l’évaluation du chiffre d’affaires, les achats prévisionnels la réalisation de chaquetype de prestation.Tableau n°18 : Charge du personnel(unité monétaire en Ariary)POSTES ANNEE 1 ANNEE 2 ANNEE 3 ANNEE 4 ANNEE 5Total salaire 9.240.000 9.702.000 10.187.100 10.696.455 11.231.278Part socialCNaPS 1%OSIE 1%Parts patronalesCNaPS 13%92.40092.4001.201.20097.02097.0201.261.260101.871101.8711.324.323106.964106.9641.390.532112.313112.3131.460.069OSIE 5%462.000 485.100 509.355 534.820 561.565TOTAL 11.088.000 11.642.400 12.224.520 12.835.735 13.477.558Ce tableau nous montre les charge du personnel qui augmentent d’une année l’autreavec pourcentage du 5% du salaire.54Malala RANDRIANARISOA

3- Heure supplémentairePour respecter le planning dûment établi, chaque employé est tenu de respecter laresponsabilité qui lui incombe. Les heures de travail seront le 08 heures par jours soit :Matin : 8h 00 à 11h30D’après midi : 14h 00 à 17h 30L’heure creuse de 12h à 14h permet aux employés de se restaurer et d’assurer enmême temps un minimum de service en se relayant à tour de rôle. Comme toutes lesentreprises de prestataires de service, nous envisageons de travailler six (06) jours parsemaine sans interruption. L’entreprise travaillera 12 mois par an et un planning de congé seramis en place chaque début de l’année.L’étude organisationnelle relève que la hiérarchie et l’unité du travail sont lescaractéristiques de cette société. L’administration est composé du secrétaire et l’équipesopérationnelle qui ni leurs rôles respectif et qui sont déterminés par les principes qui lerefissent.En effet, cette partie nous a indiqué les éléments moteurs du projet qui rentent àsavoir la recherche et la détermination des éléments vitauxLa seconde partie touche donc à sa fin. La troisième partie concerna l’étudefinancière du projet. Cette troisième partie consiste à déterminer les dépenses eninvestissements, les financements nécessaires et la rentabilité du projet. Pour complète notreétude, une évaluation économique, financière et sociale sera menée car en effet la confiancedes investissements dépend de la justification de l’utilisation des crédits demandés et surtoutde la rentabilité du projet.Cette partie comporte trois grands chapitres à savoir les coûts des investissementsinclinants le fonds de roulement le plan de financement, le tableau de remboursement de detteet les compte de gestion. Ensuite nous allons passer à la gestion de ressources selon notreobjectif et pour fournir les renseignements comptables nécessaires à une analyse financier.Et enfin nous allons analyser la faisabilité et la rentabilité du projet avant dedégager ses impacts55Malala RANDRIANARISOA

TROISIEME PARTIEETUDE FINANCIERE DU PROJET56Malala RANDRIANARISOA

TROSIEME PARTIE :-----------------ETUDE FINANCIERE DU PROJET-----------------------------------CHAPITRE I : MONTANT DES INVESTISSEMENT ET LESCOMPTES DE GESTIONL’Exécution du projet est d’abord technique mais il ne peut se recevoir sans lamobilisation des capitaux nécessaires. Elle conduit à des choix financiers dont la répercussionest le plus souvent durable. Au cours de ce chapitre, nous allons évaluer les investissementsnécessaires et de déterminer le fond de roulement initial ; puis le plans de financement c'est-àdirecomment finance t-on des investissements ? Les tableaux des amortissement et deremboursement des emprunte interviendront ensuite pour aboutir aux compte de gestion del’entreprise.SECTION 1 : INVESTISSEMENT NECESSAIREL’investissement se définit comme l’affectation des ressources à un projet dansl’espoir d’en retirer des profits futurs. Les investissements requis seront par nature.1. Le coût d’équipement nécessaireCe sont le matériel indispensable à la réalisation des travaux. Ils comprennent lesmatériels et outillage nécessaire à la production.Tableau N° 19 : Liste des matériels informatiques(unité monétaire en Ariary)DESIGNATION TYPE QUANTITE PRIXOrdinateur + unité centraleOnduleursImprimante LaserGraveurScannerPentium IV 1,3 MHZ2,8Ghz 128 MoCanon LBP 1260HP 7704 USBGENUSUNITAIRE820.000MONTANTMachine photocopieuse CANON01 2.300.000 2.300.000TOTAL 7.990.000A partir de ce tableau, le coût de matériel informatique s’élève à Ar 7.990.000.Tableau 20 : Equipement nécessaire pour les quatre dernières années0602010101120.000210.000180.000140.0004.920.000240.000210.000180.000140.00057Malala RANDRIANARISOA

Désignation N + 1 N + 2 N + 3 N + 4OrdinateurImprimantePhotocopieursOnduleursScannerGraveur10211011122112111221121112211211D’après ce tableau, nous avons remarqué qu’il y a une acquisition de deuxordinateurs avec deux onduleurs au cours de troisième année d’exercice. Ceux-ci serontutilisés au cyberspace pour que les clients soient satisfaits.2- Le coût de matériel de bureauCe sont les matériels nécessaires au bureau. Ce sont des immobilisations corporelles.Tableau 21 : Coût de matériel de bureau(unité monétaire en Ariary)DESIGNATION QUANTITE PRIX UNITAIRE (Ar) MONTANTTéléphoneFaxTable ordinateurChaisesFauteuil des visiteursArmoireMachine à calculerMontre muraleAgrafeuse01010606010101010260.000600.00055.00016.00035.00075.0004.5003.0002.00060.000600.000330.00096.00035.00075.0004.5003.0002.000TOTAL 1.207.500Les coûts des matériels s’élèvent à 1.207.500.58Malala RANDRIANARISOA

3- Le coût de matériel de transportNous avons déjà signalé auparavant que nous allons acheter une moto pour amenerle fonctionnement de notre activité. Il coûtera 1.300.000 Ariary.4- Le coût d’installationCe sont les frais d’installation du téléphone, d’électricité et la connexion au réseauInternet. Ils s’élèvent 1.463.000 ariary.Tableau N° 22 : Coût d’installation(unité monétaire en ariary)Désignation Unité Quantité PrixMontantunitaireFrais d’installation Téléphone fixe 01 150.000 150.000TOTAL I 150.000InternetAntenne + câble de connexion +installation DTSInterrupteurPrise femellePrise multipleLampe NéonFil électriqueFrais d’installation01 1.200.000 1.200.000TOTAL II 1.200.000Electricité Pièce 02 1.000 2.000PiècePiècePièceMètreAutres30.000TOTAL III 113.000TOTAL GENERAL (I + II + III) 1.463.000100204306005.0007.0004006.00010.00028.00012.00025.0005- Recapitulation des immobilisationsLe coût des investissement sur les immobilisation se récapitule comme suit:59Malala RANDRIANARISOA

Tableau 23 : Coût d’investissement en immobilisationLIBELLESMontantImmobilisations incorporelles1.200.000• Logiciel informatique1.200.000Immobilisations corporelles11.960.500- Matériel informatique7.990.000- Matériel de transport1.300.000- Matériel de bureau1.207.500- Installation1.463.000TOTAL 13.160.5006- Fonds de roulement initialLe fonds de roulement initial est l’avoir nécessaire au recouvrement des charges aumoment de démarrage des activité. Il est constitué par :- un mois de salaire- deux mois de consommation des matières premières et InternetOn représentera comme suite :Tableau 24 : Fond de roulementDESIGNATIONMontantCharge de personnel590.000Matières premières1.160.000Dépenses en électricité, communication et Internet3.200.000TOTAL 4.950.000SECTION 2 : PLAN DE FINANCEMENT6Le plan de financement nous amène à dresser le schéma de financement qui nousaide a identifier des flux financiers au début de l’exploitation. Nous allons résumer dans untableau le montant des investissements.RUBRIQUESImmobilisationFond de roulement initialMONTANT13.160.5004.950.00060Malala RANDRIANARISOA

TOTAL 18.110.500Ces investissements constituent des ressources qui sont l’apport personnel etl’emprunt à moyen terme. Nous allons résumer dans un tableau les éléments constitutifs de cefinancement.Tableau 25 : Détail de financement(unité monétaire en Ariary)Désignation Montant PourcentageCapitalEmprunt à long et moyen terme10.000.00014.455.0040,9059,1TOTAL 24.455.000 100,00D’après ce tableau, la partie des investissements à financer s’élèvent 14.455.000Arcar les apports propre couvrent 40,90% du montant des fonds nécessaires c'est-à-dire10.000.000Ariary.Tableau 26 : Récapitulation de la répartition des ressources et des emploisEmploisRessourcesDésignation Montant Désignation MontantImmobilisationCapital10.000.000- Incorporelles 1.200.000Emprunt à long et 14.455.000- Corporelles 18.305.000moyen termeFond de roulement 4.450.000TOTAL 24.455.000 TOTAL 24.450.000SECTION 3 : TABLEAU DES AMORTISSEMENTL’amortissement signifie une réduction irréversible répartie sur une périodedéterminé du montant porté certain postes du bilan. Il est alors une charge qui n’entraîne pasde décaissement.Il y a trois types de systèmes d’amortissement :- le système linéaire ou constant- le système dégressif- l’amortissement dérogatoireDans notre cas, nous allons appliquer la méthode d’amortissement linéaire.61Malala RANDRIANARISOA

La durée de vie probable d’un bien d’amortissement est fixée expressément par lecode général des impôts. Nous allons calculer l’amortissement de certaines postes du bilan quisont :• Matériel informatiquePour le matériel informatique, la durée de vie est de 5ans. Taux est donc 20%• LogicielD’où 13.842.200 = 2.768. 400 Ariary5Leur durée de vie est de 5ans :Donc le taux est 20%1.200.000D’où = 240. 000 Ariary5Tableau 27 : Tableau d’amortissement des immobilisations(unité monétaire en Ariary)IMMOBILISATIONS VALEURD’ORIGINETAUX DUREEDE VIEAMORTISSEMENTANNUELLogiciel 1.200.000 20 % 5 240.000Matériel informatique 13.842.000 20 % 5 2.768.400Mobilier de bureau 1.700.000 20 % 5 340.000Matériel de transport 1.300.000 20 % 5 260.000Installation 1.463.000 10 % 10 146.000TOTAL 19.505.000 3.754.700d’exercice.Nous allons maintenant établir de tableau d’amortissement pendant les cinq années62Malala RANDRIANARISOA

Tableau 28 : Tableau des amortissements pour les cinq années d’exercice.IMMOBILISATIONSVALEURD’ORIGINEAnnée 1 Année 2 Année 3 Année 4 Année 5Logiciel 1.200.000 240.000 240.000 240.000 240.000 240.000Matériel informatique 13.842.000 2.768.400 2.768.400 3.362.400 3.362.400 3.362.400Mobilier de bureau 1.700.000 340.000 340.000 426.400 426.400 426.400Matériel de transport 1.300.000 260.000 260.000 260.000 260.000 260.000Installation 1.463.000 146.300 146.300 146.300 146.300 146.300TOTAL 3.754.700 3.754.700 4.705.100 4.705.100 4.705.100Il y a de nouvelle acquisition de matériel informatique et mobilier de bureau à partirde la troisième année d’exercices pour satisfaire leur besoin de la clientèle au cyberSECTION 4 : TABLEAU DE REMBOURSEMENT DE DETTESIl représente les charges financières supportées par chaque exercice à partir desemprunts effectués par l’entreprise. Le taux d’intérêt nominal est de 17%.Le paiement des dettes s’effectuera par annuité constante versée annuellement. Afinde remboursement complètement le capital emprunté, elle se calcule de la façon suivante.a =V0×1 −i(1 +i)− nAvec a : annuitéVO : montant de l’emprunti : taux d’intérêtn : durée de remboursementDans notre cas, le montant de l’emprunt est de 14.455.000Ariary dans cinq ans parannuité constante.Le tableau suivant nous montre le remboursement des dettes63Malala RANDRIANARISOA

Tableau 29 : Tableau de remboursement des emprunts(unité monétaire en Ariary)ANNEEDETTES ANNUITE INTERET AMORTISSEMENT(A) (B) (C) 17%D=B-C1 14.455.000 4.518.113 2.457.350 2.060.7632 12.394.237 4.518.113 2.107.020 2.411.0933 9.983.144 4.518.113 1.697.134 2.820.9794 7.162.166 4.518.113 1.217.568 3.300.5455 3.861.621 4.518.113 656.492 3.861.621TOTAL 14.455.000CAPITALRESTANTDUS E=A-D12.394.2379.983.1447.162.1663.861.6210Capital enfin de période = Capital en début période – amortissement de périodeSECTION 5 : COMPTE DE GESTIONLes comptes de gestion sont les comptes de la classe 6 et la classe 7 regroupementles charge et les produits.5.1- Comptes des charges1- Achat des matières premièresLa tableau n°20 et 22 de la consommation de matière première que nous avons détaillédans le section trois, chapitre deux de deuxième partie montre les détails de l’achat de matièrepremière.Tableau n°30 : Tableau des charges des matières premières(unité monétaire en Ariary)Désignation Année 1 Année 2 Année 3 Année 4 Année 5Achat de matièrepremière6.817.897 7.500.309 8.182.276 9.546.455 10.910.23564Malala RANDRIANARISOA

2- Matière et fournitures non stockésCe sont :- Fournitures administrativesElle sont fixés à 60.000Ar par mois soit 720.000Ar par an et nous prévoyons une hausse de8% pour couvrir l’inflation.- L’électricité :On estime à 70.000 Ar par mois la consommation moyenne en électricité soit 840.000 Ar paran.3- Les charges externes- Entretien , réparation :Les dépenses en entretien réparation et maintenance de matériel informatique etmatériel de transport sont estimées à 2.880.000 Ar par an.- Loyer :Le montant de la location de bureau est fixé à 200.000 Ar / mois soit 2.400.00Ariary / ans.- Publicité :L’estimation de la dépasse annuelle est évalués à la somme de 200.000 Ariary pourla première et deuxième année à cause de démarrage, et elle diminuée au mois derniersannées.- Internet :On estime 1.000.000 Ar / mois la dépense forfaitaire de Data Télécom service(DTS) soit 12.000 Ar.- Télécommunication :La dépense de la communication est estimé 1.200.000 Ar / mois soit 14.400.000 Arpar ans. Elle sera considérée comme fixe quelque soit le volume de production.65Malala RANDRIANARISOA

Tableau n°31 : Récapitulation de frais d’établissement(unité monétaire en Ariary)DésignationMontantFrais d’étude , d’élaboration des dossiersDépenses divers600.000200.000TOTAL 800.000• Dépenses de pré-exploitatonCes dépenses sont constituées par les frais de pré-éxploitation qui se font avantd’exploitation. On peut citer parmi ces dépenses comme suit :- la caution pour la location de bureau- les frais d’aménagement- et les frais engendrés par la demande d’autorisation d’exploitationTableau n°32 : Dépenses de pré-éxploitationDésignationMontant- Caution400.000- Aménagement150.000- Frais de demande d’autorisation30.000d’exploitationTOTAL 680.000D’après ces tableaux le frais de pré-éxploitation s’élève à 680.000 Ariary, et ils sontconsidérés comme charges.66Malala RANDRIANARISOA

5- Charges de personnelIl s’agit des rémunérations du personnel permanent de MANAMBINA INFO. Ledeuxième chapitre de deuxième partie nous montre les détails de l’effectif du personnel,salaire mensuel par personne.On peut les représenter dans le tableau qui suit :Tableau n°32 : Tableau des charges de personnel permanentDésignation Année 1 Année 2 Année 3 Année 4 Année 5Employé 6.996.800 6.996.800 7.413.280 7.413.280 7.413.280TOTAL 6.996.800 6.996.800 7.413.280 7.413.280 7.413.2806- Impôts et taxeComme il s’agit d’une entreprise commerciale, elle est assujettie à tous les impôts ettaxe.Les impôts et taxes sont les diverses sommes à payer l’état correspondant à lapériode (Patente, timbre fiscaux, IBS) . Dans notre cas, il y a aussi de taxe professionnelle dueà raison de l’exercice d’une activité lucrative à Madagascar. Il s’agit.Droit fixe : en fonction de la nature de l’activité du chiffre de la population du lieud’exploitation, du nombre de salarier, de l’importance du matériel., de l’importance du matériel.Droit proportionnel : en fonction de la valeur lucrative et des équipements pour lesindustries, métiers et prestations de service de troisième et troisième classe.On peut calculer à partir de la formule suivante :TP = 1/20 x VL d’où TP : Tax professionnelle Valeur lucrative (revenu qui peut rapporter un bien immeuble en location)La société va estimer à 150.000 ariary par an la totalité des impôts et taxes dus.7- Charges financièresCe sont les frais financiers liés à l’utilisation des fonds empruntés. Ici, il s’agit desremboursements des intérêts dans le tableau de remboursement des emprunts.Tableau n°33 : Tableau des charges financières67Malala RANDRIANARISOA

(Unité monétaire en Ariary)Désignation Année 1 Année 2 Année 3 Année 4 Année 5Intérêts 2.457.350 2.107.020 1.697.135 1.217.568 656.492TOTAL 2.457.350 2.107.020 1.697.135 1.217.568 656.4928- Dotation aux amortissements et aux provisionsL’amortissement se définit comme la constatation comptable de la perte de valeursubie par une immobilisation. Cette dépréciation résulte de l’utilisation de l’immobilisation deson usine, de sa vétusté et du temps. Ce référer au tableau des amortissements.9- Récapitulation des chargesLe coût total des charges de l’entreprise est récapitulé dans le tableau ci-dessous.68Malala RANDRIANARISOA

Tableau n°34 : Tableau de récapitulation des changesDésignation Année 1 Année 2 Année 3 Année 4 Année 5Matières premièresMatières et fourniture nonstockés6.817.8971.560.0007.500.0001.590.0008.182.6761.680.0009.546.4551.750.00010.910.2351.860.000- Electricité840.000 840.000 880.000 900.000 960.000- Fournitures administratives 720.000 750.000 800.000 850.000 900.000Charges externes33.360.000 31.880.000 31.880.000 31.880.000 31.880.000- Entretien2.880.000 2.880.000 2.880.000 2.880.000 2.880.000- Publicité200.000 200.000 200.000 200.000 200.000- Télécommunication 14.400.000 14.400.000 14.400.000 14.400.000 14.400.000- DTS12.000.000 12.000.000 12.000.000 12.000.000 12.000.000- Location de bureau 2.400.000 2.400.000 2.400.000 2.400.000 2.400.000- Frais d’établissement 800.000- Frais de pré-éxploitation 680.000Charges de personnel 6.996.800 6.996.800 7.413.280 7.413.280 7.413.280- Impôts et taxe 150.000 150.000 150.000 150.000 150.000- Investissement4.752.000TOTAL 48.884.697 48.117.109 53.957.956 50.639.735 52.113.515La consommation en matière première augmente proportionnellement au chiffred’affaire. Les autres charges comme les frais d’établissement et les frais de pré- exploitationfaisant dépenses seulement au moment de délais de l’activité de l’entreprise.5.2 Les produitsCe sont les accroissements d’avantages économiques. Ils ont pour effet d’augmenterles capitaux propres autrement que par des hausses provenant des apports des participant auxcapitaux propres. Vous pouvez consulter les produits escomptés dans le volet de planning.69Malala RANDRIANARISOA

CHAPITRE II : ANALYSE DE LA RENTABILITE ET ETUDE DEFAISABILITECe chapitre relatif à l’analyse de la rentabilité et à l’étude de la faisabilité nousconduit à élaborer les différents aspects qui vont décrire l’avenir financier de l’entreprise aussique l’élution de l’activité pour les cinq prochaines années.Nous allons donc analyser si l’activité qu’exerce l’entreprise dégage des profitssatisfaisants, compte tenu des changes supportés par les exercices.SECTION 1 : COMPTE DE RESULTAT PREVISIONNELC’est l’état récapitulatif des changes et des produits réalisés pour l’entreprise aucours de la période considérée. Par différence, il fait apparaître le résultat net de la période.Le tableau ci-dessous résume le compte de résultat prévisionnel pendant les cinqannées d’exercice.70Malala RANDRIANARISOA

Tableau n°35 : Comptes de résultat prévision et par nature(unité monétaire : en Ariary)Année 1 Année 2 Année 3 Année 4 Année 5I- Chiffre d’affaires 57.814.500 63.325.800 69.641.400 82.143.960 94.946.520I- Production de l’exercice 57.814.500 63.325.800 69.641.400 82.143.960 94.946.520Achats consommés :6.817.897 7.500.309 8.182.676 9.546.455 10.910.235Service extérieurs et autres34.920.00033.470.00033.460.00033.530.00033.640.000consommationsII- Consommation de l’exercice 41.737.897 40.970.309 41.642.676 43.076.455 44.550.235III- Valeur Ajoutée d’exploitation 16.766.603 22.355.491 27.698.724 39.067.505 50.396.285(I-II)Charges de personnel6.996.800 6.996.800 7.413.280 7.413.280 7.413.280Impôt et taxe et versements 150.000 150.000 150.000 150.000 150.000assimilésIV- Excèdent brute d’exploitation 8.929.803 15.208.691 20.135.444 31.504.225 42.833.005Autres produits opérationnels 0 0 0 0 0Autres charges opérationnelles 0 0 0 0 0Dotations aux amortissements aux 3.754.700 3.754.700 4.705.100 4.705.100 4.705.100provisions et pertes de valeurV- Résultat opérationnel 5.175.103 11.453.991 15.430.344 26.799.125 38.127.905Produit financier 0 0 0 0 0Charges financières 2.457.350 2.107.020 1.697.135 1.217.568 656.492VI- Résultat financier 2.457.350 2.107.020 1.697.135 1.217.568 656.492VII- Résultat avant Impôt 2.717.753 9.346.971 1.373.209 25.581.557 37.471.413Impôts exigibles sur résultats (1) 815.326 2.804.091 4.119.963 7.674.467 11.241.424Total des produits des activités 57.814.747 63.325.800 69.431.400 82.143.960 94.946.520ordinaires (2)Total des charges des activités 55.096.747 53.978.829 55.608.191 56.562.403 57.475.107ordinaires (3)Eléments extraordinaires(Produits)Eléments extraordinaires (charges)IX- Résultat extraordinaire2.717.753 9.346.971 1.373.209 25.581.557 37.471.413(2)-(3) =(4)X- Résultat de l’exercice (4)-(1) 1.902.427 6.542.880 9.613.247 17.907.091 26.229.989Dès la première année, constations un résultat positif puis une augmentationprogressive des résultats concernant les canges de personnel, elles représentent 12,10% chiffred’affaire à la première année d’exercice, 11,04%, 9,02% pendant la deuxième, troisième,quatrième année et la taux reste faible c'est-à-dire 7,8% à la cinquième année ; ce qui nouspermet de dire que le projet est faisableSECTION 2 : TABLEAU DES FLUX DE TRESORERIE71Malala RANDRIANARISOA

C’est un tableau qui résume les flux des fonds en caisse et dépôts à vue. Il peutrésumer comme suit :72Malala RANDRIANARISOA

Tableau n° 36 : Tableau de flux de trésorerie.N N+1 N+2 N+3 N+4Flux de trésorerie liée auxactivités opérationnellesEncaissement reçu au client 57.814.500 63.825.800 69.341.400 82.143.960 94.946.520Somme versés aux48.884.697 48.117.109 49.205.956 50.639.735 52.113.515fournisseurs et au personnelIntérêts et autres frais 2.457.350 2.107.020 1.697.135 1.217.568 656.492financiers payésImpôts sur les résultats payés 815.326 2.804.091 4.119.963 7.674.467 11.241.424Flux de trésorerie net 5.657.127 10.297.580 14.318.346 22.612.190 30.935.089provenant des activitésopérationnelle (A)Flux de trésoreries liées auxactivités d’investissementDécaissements sur- - 4.752.000 - -acquisitions d’immobilisationcorporelle ou incorporelleEncaissement sur cessionsd’immobilisationCorporelle et incorporelleDécaissement suracquisitions d’immobilisationfinancièreIntérêt encaissés surplacement financierDividendes et quotte part derésultat reçusFlux de trésorerie net(4.752.000)provenant des activitésd’investissements (B)Flux de trésoreries liées auxactivités de financementEncaissement suite àl’émission d’actionDividende et autresdistributions effectuées73Malala RANDRIANARISOA

N N+1 N+2 N+3 N+4Encaissement provenantd’empruntsRemboursement d’emprunts (2.060.763) (2.411.092) (2.820.978) (3.300.545) (3.861.621)Flux de trésorerie net (2.060.763) (2.411.092) (2.820.978) (3.300.545) (3.861.621)provenant des activitésd’investissements (C)Variation de trésorerie (A +B + C)3.596.364 7.886.448 6.745.368 19.311.645 27.073.468Trésorerie et équivalent detrésorerie l’ouverture de 4.950.000 8.546.364 16.432.852 23.178.220 42.489.866l’exerciceTrésorerie et équivalent à laclôture3.596.364 7.886.488 6.745.368 19.311.645 27.073.468Variation trésorerie de lapériode8.546.364 16.432.852 23.178.866 42.489.866 69.563.334Le volume de trésorerie ne cesse pas d’augmenter durant la cinq année d’exercice.L’investissement effectué au cours de la troisième année d’une somme de 4.752.000 Ariaryn’abaisse pas ce volume. Il reste toujours positif.SECTION 3 : BILAN PREVISIONNELUn bilan est un état récapitulatif des actifs des passif (externes = dettes) et descapitaux propres de l’entreprise à la date de clôture des comptes. Le bilan d’ouverture ainsique les bilans prévisionnels pendant cinq années sont présentés dans les tableaux suivantes.74Malala RANDRIANARISOA

Tableau n°37 : Bilan d’ouverture 01 Janvier N(Unité monétaire en Ariary)ACTIFCAPITAUXMontant MontantPROPRES ETbrut netPASSIFSMontantACTIF NONCOURANTSCAPITAUXPROPRESEcart d’acquisition Capital émis 10.000.000ImmobilisationsincorporellesPrimes et réservesconsolidésLogicielsinformatiques1.200.000 1.200.000 Résultat net 0Immobilisationscorporelles0 Report à nouveauMatériel informatiquePASSIF NON13.842.000 13.842.000COURANTSMobiliers de bureauEmprunts et dettes1.700.000 1.700.000financières14.455.000Installation 1.463.000 1.463.000 TOTAL II 14.455.000Matériel de transportPASSIF1.300.000 1.300.000COURANTSTOTAL ACTIF NONCOURANTS19.505.000 19.505.000 Dette à court terme 0ACTIF COURANTFournisseur etcomptes rattachés0Trésorerie (fonds encaisse et dépôts à vue)4.950.000 4.950.000 Autre dettes 0TOTAL ACTIFS 4.950.000 4.950.000 TOTAL PASSIFCOURANTSCOURANTS III0TOTAL DES ACTIFSTOTAL DES24.455.000PASSIFS24.455.00075Malala RANDRIANARISOA

Tableau N°38 : Bilan prévisionnel du 31 Décembre de l’année N(Unité monétaire en Ariary)ACTIFCAPITAUXMontantamortissement Montant net PROPRES ETbrutPASSIFSMontantACTIF NONCOURANTSCAPITAUXPROPRESImmobilisationsincorporellesCapital émis 10.000.000Logiciels informatiques 1.200.000 240.000 960.000 Report à nouveau 0Immobilisationscorporelles0 Résultat net 1.902.427Matériel informatique 13.842.000 2.768.400 11.073.600 TOTAL I 11.902.427Mobiliers de bureauPASSIF NON1.700.000 340.000 360.000COURANTSInstallationEmprunts et dettes1.463.000 146.300 1.316.700financières12.394.237Matériel de transport 1.300.000 260.000 1.040.000 TOTAL II 12.394.237TOTAL ACTIF NONPASSIF19.505.000 3.754.700 15.750.300COURANTSCOURANTS0ACTIF COURANTFournisseur etcomptes rattachés0Trésorerie (fonds encaisse et dépôts à vue)8.546.364 - 8.546.364 Autre dettes 0TOTAL ACTIFS 8.546.364 -TOTAL PASSIF8.546.364COURANTSCOURANTS III0TOTAL DES ACTIFSTOTAL DES24.296.664PASSIFS24.296.664Le résultat première année s’élève à 1.902.427 Ariary76Malala RANDRIANARISOA

Tableau N°39 : Bilan prévisionnel du 31 Décembre de l’année N+1ACTIFACTIF NON COURANTS(unité monétaire en Ariary)MontantbrutamortissementMontant netCAPITAUXPROPRES ETPASSIFSCAPITAUXMontantPROPRESEcart d’acquisition Capital émis 10.000.000ImmobilisationsincorporellesReport à nouveau 1.902.427Logiciels informatiques 1.200.000 480.000 720.000 Report à nouveau 6.542.881Immobilisationscorporelles0 0 0 TOTAL I 18.445.308Matériel informatique 13.842.000 5.556.800 8.305.200PASSIF NONCOURANTSMobiliers de bureau 1.700.000 680.000 1.020.000Emprunts etdettes financières9.983.144Installation 1.463.000 292.600 1.170.400 TOTAL II 9.983.144Matériel de transport 1.300.000 520.000 780.000PASSIFCOURANTS0TOTAL ACTIF NONDette à court19.505.000 7.509.400 11.995.600COURANTSterme0ACTIF COURANTFournisseur etcomptes rattachés0Trésorerie (fonds en caisseet dépôts à vue)16.432.852 16.432.852 Autre dettes 0TOTAL ACTIFSTOTAL PASSIF16.432.852 16.432.852COURANTSCOURANTS III0TOTAL DES ACTIFSTOTAL DES28.428.452PASSIFS28.428.452D’après ce tableau le résultat augmente par rapport au résultat de la tableau première année.77Malala RANDRIANARISOA

Tableau N°40 : Bilan prévisionnel du 31 Décembre de l’année N+2ACTIFACTIF NON COURANTS(unité monétaire en Ariary)MontantbrutamortissementMontantnetCAPITAUXPROPRES ETPASSIFSCAPITAUXMontantPROPRESEcart d’acquisition Capital émis 10.000.000ImmobilisationsincorporellesReport à nouveau 13.946.335Logiciels 1.200.000 720.000 480.000 Résultat net 12.761.055ImmobilisationscorporellesMatériel informatique 18.162.000 9.169.200 8.992.800 TOTAL I 36.707.390Mobiliers de bureau 2.132.000 1.106.400 1.025.600PASSIF NONCOURANTSInstallation 1.551.000 465.300 1.085.700Emprunts etdettes financières7.205.770Matériel de transport 1.300.000 780.000 520.000 TOTAL II 7.205.770TOTAL ACTIF NONPASSIF24.345.000 12.240.000 12.104.100COURANTSCOURANTSDette à courttermeACTIF COURANTFournisseur etcomptes rattachésTrésorerie (fonds en caisseet dépôts à vue)31.809.060 31.809.060 Autre dettesTOTAL ACTIFSTOTAL PASSIF31.809.060 31.809.060COURANTSCOURANTS IIITOTAL DES ACTIFS 43.913.160TOTAL DESPASSIFSCe bilan nous indique un résultat bénéficiaire supérieur à ceux des annéesprécédentes. Ce projet est alors fiable. On trouve ensuite le bilan avant la dernière année.43.913.16078Malala RANDRIANARISOA

Tableau N°41 : Bilan prévisionnel du 31 Décembre de l’année N+3(unité monétaire en Ariary)ACTIFCAPITAUXMontant amortissem MontantPROPRES ETbrut ent netPASSIFSMontantACTIF NON COURANTSCAPITAUXPROPRESEcart d’acquisition Capital émis 10.000.000ImmobilisationsReport à nouveau 18.058.554incorporellesLogiciels informatiques 1.200.000 960.000 240.000 Résultat net 17.907.091ImmobilisationscorporellesMatériel informatique 18.162.000 12.801.600 5.360.400 TOTAL I 45.965.645Mobiliers de bureau 2.132.000 1.532.800 599.200PASSIF NONCOURANTSInstallation 1.463.000 585.200 877.800Emprunts et dettes 3.861.621financièresMatériel de transport 1.300.000 1.040.000 260.000 TOTAL II 3.861.621TOTAL ACTIF NONPASSIF24.257.000 16.919.600 7.337.400COURANTSCOURANTSDette à court termeACTIF COURANTFournisseur et0comptes rattachésTrésorerie (fonds en caisseAutre dettes 042.489.866 42.489.866et dépôts à vue)TOTAL ACTIFSTOTAL PASSIF 042.489.866 42.489.866COURANTSCOURANTS IIITOTAL DES ACTIFS 49.827.266TOTAL DES 49.827.266PASSIFS79Malala RANDRIANARISOA

Pour l’avant dernière année, nous pouvons réaliser un bénéfice de 17.907.091Ariary. Ce qui fait dire que nos résultats ne cessent d’augmenter. Terminons avec le bilan dela dernière année.Tableau n°41 : Bilan prévisionnel du 31 Décembre de l’année N+3(unité monétaire en Ariary)ACTIFCAPITAUXMontant amortissem MontantPROPRES ETbrut ent netPASSIFSMontantACTIF NON COURANTSCAPITAUXPROPRESEcart d’acquisition Capital émis 10.000.000ImmobilisationsReport à nouveau 35.965.642incorporellesLogiciels informatiques 1.200.000 1.200.000 Résultat net 26.229.989ImmobilisationscorporellesMatériel informatique 18.162.000 16.434.000 1.728.000 TOTAL I 72.195.634Mobiliers de bureau2.288.000 1.959.200 920.800 PASSIF NONCOURANTSInstallation 1.463.000 731.500 731.500 TOTAL IIMatériel de transport1.300.000 1.300.000 0 PASSIFCOURANTSTOTAL ACTIF NON 24.257.000 21.624.700 2.632.300 Dette à court termeCOURANTS0Trésorerie (fonds en caisse 69.563.334 69.563.334 Autre detteset dépôts à vue)0TOTAL ACTIFS69.563.334 69.563.334 TOTAL PASSIFCOURANTSCOURANTS III0TOTAL DES ACTIFS 72.195.634 TOTAL DES 72.195.634PASSIFS80Malala RANDRIANARISOA

D’après ce tableau le résultat final est égal à 26.229.989 Ariary nous n’avons plus dedettes à long terme. C'est-à-dire le passif non courant est égal zéro. D’où notre projet estfiable.CHAPITRE 3 : EVALUATION DU PROJETDans ce chapitre, nous allons étudier la situation existante par l’utilisation des outilsd’évaluation et les critères d’évaluation.D’ailleurs, notre projet a des impacts sur son environnement. C’est pourquoi nousallons étudier ce sujet en analysant les impacts économiques, financier et sociaux.En effet, cette évaluation comporte deux points essentiels :On a :- L’évaluation et puis, l’impactSECTION 1 : EVALUATIONOn va analyser successivement :- Evaluation économique- Evaluation financière1.1 Evaluation économique1.1.1 Production de l’exerciceElle concerne les industrielles ou les entreprises de service. Le projet en fait partieégalement. Elle représente l’ensemble des productions vendues et les productions stockées.Dans ce projet, tous les services offerts font vendus, en effet elle n’effectue pas de stock.L’évolution des productions au cours de 5 exercices sont représentées dans les tableauxsuivants :81Malala RANDRIANARISOA

Tableau N°43 : Evaluation de la production au cours de 5 années d’exercice(unité monétaire en Ariary)Désignation Année 1 Année 2 Année 3 Année 4 Année 5Production del’exercice57.814.500 63.325.800 69.341.400 82.143.960 94.946.520TOTAL 57.814.500 63.325.800 69.341.400 82.143.960 94.946.520de projet.On constate que la production augmente chaque année après deux ans de démarrageL’unité bénéficie d’une hausse de production jusqu’à la cinquième année d’activité.1.1.2- Notion de la valeur ajoutéeComme nous avons vu auparavant, la valeur ajoutée représente la valeur deproduction, déduction faite de celle des consommations intermédiaires. C’est un indicateur desa taille économique qui permet aussi de mesurer la croissance de la firme au niveau desmoyens mis en œuvre.Projection de valeur ajoutéeElle concerne l’évolution des valeurs ajoutées sur cinq années d’exercice. A partirdes donnés tirées du tableau de comptes de résultats prévisionnel, on a la projection suivante :Tableau N°44 : Projection de la valeur ajoutéeDésignation Année 1 Année 2 Année 3 Année 4 Année 5Valeur Ajoutée 16.076.603 22.335.491 27.698.724 39.067.505 50.396.285Pourcentage de laVA par rapport àla production27,80 35,30 39,94 47,55 53,07D’après ce tableau, la valeur ajoutée ne cesse d’augmenter au-delà de la deuxièmeannée. Cela marque de degré d’intégration de l’entreprise.82Malala RANDRIANARISOA

1.1.3- Ratios de performance économiqueLes rations qui suivent, montrent l’efficacité du projet sur le plan économique- Le rendement apparaît de la main d’œuvreR 1=Valeur ajoutéeEffectif- L’efficacité de l’investissement humaincharge de personnelR 2=×valeur ajoutée- La performance économiqueR Résultat Net=100Valeur ajoutée×100Tableau N°45 : Ratios de performance économiqueDésignation Année 1 Année 2 Année 3 Année 4 Année 5R 1 3.215.321 4.471.098 5.539.745 7.813.501 10.079.257R 2 43,52 31,30 26,76 18,98 14,71R 3 11,83 29,27 34,71 45,84 52,05L’augmentation des charges du personnel, les indicateurs montres une productivitétoujours croissante du facteur de travail. Cette situation est expliqué par la valeur ajoutée créeannuellement par chaque employé qui ne cesse d’augmenter progressivement. Telle situationest favorable pour la performance économique de la firme.Une situation satisfaisante est constatée à partir de la traduction du troisièmeindicateur.Il y a une augmentation depuis le démarrage de notre projet.1.2- Evaluation financière1.2.1- Valeur actuelle nette (VAN)La valeur actuelle nette est la différence entre les flux nets de trésorerie sir la duréede vie des investissements et le montant du capital investi. Elle est représentée par la formulesuivante :VAN = Somme CF (1+i) -n –I83Malala RANDRIANARISOA

AvecCF: le cash-flowI: l’investissementn : le nombre d’annéei : le taux d’actualisation1- Notion du cash-flowLe cash-flow peut être définie comme la marge brute d’autofinancement. C'est-àdireil désigne les ressources internes de l’entreprise provenant des activités antérieures et ilest destiné à financier des activités futures.Cash-flow = Résultat net + Dotation aux amortissements provisions, pertes de valeur2- InterprétationLa VAN peut être positive, négative ou nulle- si VAN > 0 la rentabilité est supérieur au taux exigé- si VAN = 0 la rentabilité est égale au taux exigé- si VAN < 0 la rentabilité est inférieur au taux exigé.Les critères de la valeur actuelle nette permettent de saisir si l’investissement engagéest intéressant.Un projet est intéressant si elle est capable de générer des ressources internes etpermet de remboursement rapidement le fonds investi.L’investissement dont la valeur actuelle nette est la plus élevée sera considérécomme le plus rentable.La VAN est donc un moyen, pour une entreprise qui permet de prendre de décisiond’investissement.3- Cash-flow prévisionnelLe cash-flow est la marge brute d’autofinancement c'est-à-dire qu’il désigne lesressources internes de l’entreprise provenant d’activités antérieures et destinées à financer desactivités futures. Plus précisément, le cash-flow est la capacité d’autofinancement de notrefirme.84Malala RANDRIANARISOA

Tableau n°46 :Cash-flow prévisionnel(unité monétaire en ariary)Désignation Année 1 Année 2 Année 3 Année 4 Année 5Cash-flow 5.657.127 10.297.580 14.318.347 22.612.191 30.935.0894- Valeur Actuelle Natte (VAN)Comme nous avons vu auparavant, la VAN permet de juger si l’investissement estacceptable ou non.Rappelons que la valeur actuelle nette est égale à la somme des valeurs actualiséesdes cash-flow à la quelle on enlève le montant du fonds initial investi.On prend le taux d’actualisationI = 0,17 t = 17% (taux d’intérêt)Le montant de l’investissement initial : 19.505.000 Ariary.Les cash-flows actualisés sont donnés dans le tableau suivant :Tableau n°47 Cash-flow actualises (en ariary)Désignation Année 1 Année 2 Année 3 Année 4 Année 5Cash-flow 5.657.127 10.297.580 14.318.347 22.612.191 30.935.089Actualisation 0,854.701 0,730.514 0,624.371 0,533.650 0,456.111Cash-flowactualisé4.835.152 7.522.526 8.939.961 12.066.996 14.109.834Cash-flowactualisé cumulé4.835.152 12.357.678 21.297.639 33.364.635 47.474.469VAN = 47.474.469 -19.505.000VAN = 27.969.469 VAN PositiveVAN = 27.969.469Cette valeur est largement positive, par conséquent, nous pouvons affirmer larentabilité de ce projet85Malala RANDRIANARISOA

1.2.2- Indice de profitabilité (IP)projet.L’indice de profitabilité (IP) mesure l’avantage induit pour un franc investi dans unFormuleIP = Somme CF (1 +i) –n / IAvec IP : Indice de profitabilitéI : fonds investisi : taux d’actualisationn : nombre d’annéesInterprétationPour qu’un projet soit retable, l’indice de profitabilité doit être supérieur à 1. Chaqueannée, le projet peut générer proportionnément à ce fonds investis à titre de capacitéd’autofinancement.On rappelle que l’indice de profitabilité est le rapport de la somme des cash-flowsactualisés sur le fonds investi ;D’où27.969.469IP ==19.505.0001,43bénéfice.Cette valeur signifie que 1 ariary du capital investi génère ou procure 0,43 ariary de1.2.3- Taux de rentabilité interne (TRI)On appelle taux de rentabilité interne (TRI) d’un investissement, le tauxd’actualisation qui accule sa valeur nette actuelle.86Malala RANDRIANARISOA

FormuleNous pouvons calculer le TRI par la formule suivante :Somme CF (1+ i) –n = IEn désignant encore par :CF : le cash-flowI : Investissementi : taux d’actualisationn : nombre d’annéesTRI : taux de rentabilité interneNous remarquons que le TRI est aussi le taux pour le quel la VAN est nulle. On peut écrirealorsVAN = Somme CF (1+ i) –n – I = 0InterprétationEn utilisant le TRI, l’investissement connaît alors immédiatement la rémunérationpour un niveau de risque donné et peut la comparer au taux de rentabilité qu’il exige. Ladécision est donc relativement aisée.Si les taux d’investissement (TRI) sont supérieurs au taux de rentabilité exige parl’investisseur, ce dernier décidera de l’entreprendre. Dans le cas contraire, il renoncera :D’abord un projet soit retenu, il est nécessaire que le TRI soit supérieur aux taux derentabilité minimum exigé par l’entreprise ou au coût du capital investi. Si non le projet estrejeté.Ensuite, un projet d’investissement est d’autant plus intéressant que son TRI est plusélevé .Ainsi que l’entreprise est confrontée à des projets d’investissement mutuellementexclusif, on accepte le projet qui a un TRI le plus élevé et supérieurs aux taux de rentabilitéminimum exigé.Enfin le calcul du TRI suppose le investissement des flux au TRI.Pour un même projet, la VAN et le TRI peuvent donner des résultats opposés. Lapratique donne une préférence à la VAN. En effet, l’hypothèse de investissement des flux auTRI est très difficile.87Malala RANDRIANARISOA

Nous pouvons déterminer le TRI à partir de la méthode suivante. On cherche laVAN qui a de valeur négative et la VAN positive car le taux de rentabilité interne signifie queVAN=0Tableau N°48 : Tableau de calculANNEE Cash-flow Taux 30%Cash-flow Taux 90% = Cash-flowactualisé (1+i) -n actualisé1 5.657.127 0,769.231 4.351.636 0,588.235 3.327.7222 10.297.580 0,591.716 6.093.242 0,346.021 3.563.1763 14.318.347 0,455.166 6.517.227 0,203.542 2.914.3804 22.612.191 0,350.128 7.917.157 0,119.730 2.707.3665 30.935.089 0,269.329 8.331.719 0,070.430 2.178.747TOTAL 33.210.981 14.691.391Si t = 30%Alors VAN : 33.210.981 -19.505.000Si au = 70%VAN = 13.705.981 > 0On a VAN = 14.691.391 -19.505.000VAN= -4.813.609 < 030 < TRI < 70%D’où 13.705.981 > -4.813.609On a doncTRI − 30=70 − 300 − 13.705.981− 4.813.609 − 13.705.981TRI= 59,60 %TRI > t d’intérêt, cela nous montre que notre entreprise dispose une marque de 59,60% pouremprunter.88Malala RANDRIANARISOA

1.2.4- Durée de récupération des capitaux investi (DRCI)Cette méthode repose sur le fait qu’un montant investi doit être récupéré rapidementde manière à être rentable et à limiter le risque.La durée de récupération est le temps calculés en années ou en mois, au bout du quelle montant cumulé de cash-flow actualisé est égal au capital investi.InterprétationLe temps de récupération est connu après le début de l’investissement et après ledébut d’exploitation.Ce critère est discutable car si l’on doit comparer deux ou plusieurs projets, ilspeuvent avoir en même temps de récupération mais l’échelonnement dans le temps desrecettes est différent.C’est le temps nécessaire à l’unité pour récupérer le fonds de départ. En d’autreterme, c’est le tems où le cumul de capacité d’autofinancement est égal au fonds investi. Onva appliquer la méthode par interpolation12.357.678 < 1 9.505.000 < 21.297.639Année 2 < x < année 319.505.000 − 12.357.678D’où × 1221.297.639 − 12.357.678= 9,59A peu près 2ans 9 moisL’investissement initial sera récupéré après 2ans 9 mois 17 jours , c’est à dire 17octobre de latroisième année.SECTION 2 : IMPACTSAprès avoir vu et analysé la faisabilité du projet, nous proposons de vous sesimpacts sur le plan économique financier et social.2.1 Impact économiqueLe présent projet constituera à la création d’emplois, il existe donc une réduction dechômage. Sans l’étude financière, nous savons que la valeur ajoutée apportée par l’entreprisese constitue le produit brut. Il permet de déterminer le taux de croissance économique dupays.89Malala RANDRIANARISOA

Sur le plan micro-économique, ce projet est une source de revenu pour des ménages.Et les impôts sensés au trésor public alimentent la caisse de l’Etat et permettent sonfonctionnementEn résumé, grâce à son exploitation, projet contribuera au développement et à larelance économique aussi lieu de la zone d’imploitation que du pays.2.2 Impact financierLes revenus procurer sous l’un des facteurs qui permettent d’augmenter le pouvoird’achat de chaque ménage. Ainsi le développement des compétences professionnelles et duressources humains en rapport avec l’évaluation de la technologie garanti une efficace et unerentabilité optimale de l’entrepriseEt comme nous avons vu auparavant, la bonne maîtrise des charges supportées parl’entreprise aura un impact positif sur l’objectif financier (le projet)2 .3 Impact socialLe projet contribue aussi au développement humains parce qu’il permet à lapopulation le bénéficier les avantages, d’une part apportée par la nouvelle technologie del’information et de communication (Internet), d’autre part la meilleure qualité de présentationofferte à partir des différents services suite à la bonne marche de ce projet et la bonnegestion, il pourrait améliorer la situation sociale de ses futurs personnels par la motivation dece derniers à l’accomplissement de leurs tâches. Cependant, les formations données favorisentleur professionnalisme dans le domaine et les intègrent pour devenir citoyen capable des’adapter et s’instruire dans la vie.90Malala RANDRIANARISOA

CONCLUSION GENERALELa recherche que nous avons effectuée dans la région d’Ankazobe nous a permis dedégager un certain problème notamment sur le plan de la télécommunication. Pour cela, cetterégion connaît des problèmes à cause de l’infrastructure sur la technologie moderne.C’est pour cette raison que nous avons pensé de montrer ce projet en vue decontribuer en amont à l’éducation sinon à la diminution de chômage dans cette région et enaval, elle prendre une part considérable sur le développement de la région et notamment dansle domaine éducatif et communicatif. Donc, nous avons besoins d’investissement pourréaliser ce projet qui procède aussi tout calcul économique de la région en général.C’est la nécessité d’investir qui impose les calculs qui serviront de base aux choixdéfinitifs. Cette nécessité dépend de la demande de la région tout entière.C'est-à-dire qu’elle provient de la constatation de la capacité de latélécommunication qui ne suffit plus à alimenter la demande actuelle dans la région.Le choix de ce projet de création nous permet de participer au développement dumonde rural en leur permettant de désenclavent de la région.En ce qui concerne la réalisation ou la mise en place du projet, politique deréalisation doivent être systématiques. Dans la première partie nous avons vue la présentationgénérale du projet et la position prévisible de la future entreprise vis-à-vis de ses concurrents.La politique marketing envisagé est aussi incluse dans cette partie.Deuxième partie, notre recherche consiste à la conduite du projet. On en a déduit quepour atteindre une plus grande efficacité de l’entreprise, on doit faire une meilleure utilisationdes ressources humaines et matérielles.Concernant la troisième partie, le travail est orienté pour l’étude financière. Sonévolution sur le plan financier a mise en exergue la rentabilité des investissements à traversles résultats des exercices et la bonne appréciation à travers les différents critères de sonévaluation.Finalement, avec notre volonté et notre effort, d’élargir de plus en plus et mêmed’accélérer notre spécialisation en gestion, nous attirons, l’attention des bailleurs de fonds aufinancement de notre projet.91Malala RANDRIANARISOA

ANNEXESMalala RANDRIANARISOA

ANNEXE I : DOSSIER A FOURNIRDOSSIER A FOURNIRNOMBRE- Statues de société avec signature légalisée paraphée avec visa 7- Carte identité du ou des gérants ou (copie passeport avec visa3transformable Si étranger)- Certificat de résidence du ou des gérants 2- Procuration au mandataire en cas d’absence du gérant avecpièce d’identité4- Puissance de local : contrat de bail Commercial( à l’égaliser ) ou contrat de domiciliation ( à légaliser) ou lettred’occupation gratuite ( à légalisé)4• Pièce justificative : copie du titre de propriété oucertificat de situation juridique moins de 3mois ou actede vente définitif enregistré- Copie facture de demande d’insertion au journal quotidien1• Enveloppes timbrées à 1500fmg si Gèrent né enprovince2FORMULAIRESNOMBRES- Déclaration de taxe professionnelle 1 + 2 photocopie del’original et quittance- Déclaration d’existence 5- Fiche B1-B1 BIS (s’il exile co-errance) 5- Attestation de non condamnation (pour le gérant et le co-1gérant)- Fiche d’investissement de capitaux 1- Attestation de filiation (pour gérant ou co-gérant) 1- Fiche d’indentification fiscale 1Malala RANDRIANARISOA

ANNEXES II : DEFINITION DES TERMES TECHNIQUES• Les Technologies de l’information et de la communication (TIC)Les TIC sont l’ensemble des technologies qui permettent la transmission en temps réeldes données numériques. Elle constituent l’outil pour la mise en place de ce réseaurégionale de développement y ajoutant l’immédiateté, la de localisation des centre desavoir, et accessibilité à un vaste ensemble d’expériences et à l’intercommunication.• Le dialogue en directe :L’IRC est un protocole de transmission permettant à plusieurs personnes de dialoguespar écrit et en direct sur internet.• La messagerie :C’est l’échange message qui peut-être accompagner de fichiers (images, sons, vidéos,elle est l’une des principale activités d’internent.• Le téléchargement de fichiers :C’est le téléchargement de sons ; de vidéo, ou de officielle contributifs est assiégé auprotocole de transfert de fichiers (FTP)• La consultation de pages web :C’est la toile d’araignée des serveurs, accessible à partir d’un logiciel de navigation(Netscape, navigator) qui affiche les données sous la firme de pages graphiques. Cellecicomporte des buns permettant de naviguer d’un site à l’autre d’un simple clic de lasouris.• La vidéo conférence :C’est un camera, une carte d’acquisition vidéo un logiciel spécifique (CV.Sce.Me)permettant de converser en direct.• Forums de discussion :Le terme american new group désigne de groupes de discussion organisés ou chacunapporte ce contribution sous la forme d’un messageMalala RANDRIANARISOA

COUTS OCCASIONNES- Enregistrement des statuts avec destimbres fiscaux de 500Fmg par pageplus timbre fiscale de 100FMG sidernière page impaireMONTANT EN FMG• 1% du capital jusqu’à 10 millionsAriary• 0,5% de 10 à 100 millions Ariary 0,1% > à 100 millions ariary- Enregistrement de bail commercial- Immatriculation statistique• 2% du montant total du loyer pendantla durée du bail• 11.000 Ariary ou 55.500Fmg- Immatriculation au registre decommerce ou RCSDOCUMENTS DELIVRES- Statuts enregistrés avec numéro dedossier fiscal- Quittance de paiement de la patente- Reçu RCS avec numéro RCS- Déclaration patente visée et émissiondu rôle des patentes- Attestation d’immatriculation fiscale(NIF)- Carte statistique et numéro statistiquePP- Extrait du registre de commerce• 15.700 Ariary ou 78.500 FmgDELAIS D’OBTENTIONTROIS (3) JOURS15 Jours MAXIMUMMalala RANDRIANARISOA

BIBLIOGRAPHIE DETRIE, Jean Pierre STRATEGUR Politique général de l’entreprise, Paris, 8 èmeédition DUNOD, 1997, 712 pages. E.BROSSEAU, P.PETIT D PHAN, [1996], la mutation des télécommunication desindustries et des Marchés, ENSPTT-Enonomica 1996, E.BROUSSEAU .P.PETIT DETHAN : chapitre 1A 3D PHAN: chapitre IX : l’ouverture des Réseaux deTélécommunications. GASTON ZONGO, Projet d’établissement de télé centre à Madagascar, U IT/BDIoctobre 2001.180 pages GASTON ZONGO, 2001; « Information and communication Technologies fordevelopment in Africa. Friend and overview” Proceeding of the économomic summitsof southern Africa, Durban 6-8 June. GASTON ZONGO ; impact socio-économique et financier des Télécentre privé auSénégal, IGP-ITV workshop vaste, Italie 1996 GUEDAT Chantal, négociation informatiques, Bréal Edition, 1 rue de Rome, 1992,271 page GUEDJ, Michael : « Les quatre règles d’or pour bien conduire un projet » unManagement. Paris N°117(Février) page 72-75 G.DANDNCUYEN, chapitre VI : Les systèmes de Réservation Aérienne etl’économie du Réseau. Place et rôle des usages des TIC dans la souffrance psychologique, Journée d’Etudes« Internet, Jeu et socialisation « Paris, Décembre B.SEYS, 2002. REINHARD, Angel MAR, ENCUYCLOPEDIE DE LA GESTION Paris, VUIBERT,1992, page 285-298Malala RANDRIANARISOA

TABLE DE MATIERESREMERCIEMENTLISTE DES TABLEAUXLISTE DE FIGURESLISTE DES ABREVIATIONSINTRODUCTION GENERALE................................................................................................ 1PREMIERE PARTIE : IDENTIFICATION DU PROJET.........................................................4CHAPITRE I : PRESENTATION DU PROJET........................................................................4SECTION 1 : DESCRIPTION DU PROJET.....................................................................41.1- Historique............................................................................................................ 61.2 Présentation de la région et le lieu d’implantation......................................... 6SECTION 2 : PRESENTATION DU PROJET.................................................................72-1 Définition de l’informatique.................................................................................. 72-2 Cyberespace...........................................................................................................72-3 Imprimerie......................................................................................................... 72-4 Micro-édition........................................................................................................ 8SECTION 3 : CARACTERISTIQUE DU PROJET.........................................................83-1 Forme juridique de la société ...........................................................................93.2- Buts et objectifs.................................................................................................... 93.3- Intérêts du projet................................................................................................... 93.4- Fiche signalétique du projet................................................................................10SECTION 4 : PLANIFICATION STRATEGIQUE DU PROJET..................................104.1- Analyse des stratégies.........................................................................................104.2- Analyses FFOM..................................................................................................124.3- Planification opérationnelle................................................................................ 14CHAPITRE II : ETUDE DE MARCHESECTION 1 : DOMAINE D’ETUDE............................................................................. 141.1- Caractéristique des services offerts.................................................................... 141.2- Clientèle cible..................................................................................................... 141.3- Evaluation des besoins........................................................................................151.4- Evolution du marché...........................................................................................16SECTION 2 : ANALYSE DE L’OFFRE........................................................................ 16Malala RANDRIANARISOA

2.1- Estimation de l’offre........................................................................................... 162.2- Analyse comparative des prix.............................................................................16SECTION 3 : ANALYSE DE LA DEMANDE ET PART VISEE SURLE MARCHE...........................................................................................183.1- Situation globale de la demande......................................................................... 183.2- Situation actuelle des marchés............................................................................183.3- Part visées sur le marché.....................................................................................19SECTION 4 : CONCURRENCE.....................................................................................194.1- Entreprises concurrentes.....................................................................................194.2- Forces et faiblesses des concurrents................................................................... 20SECTION 5 : POLITIQUE ET LA STRATEGIE MARKETING A ADOPTER.......... 205.1- La politique de produit........................................................................................215.2- Politique de prix..................................................................................................215.3- Politique de distribution......................................................................................215.4- Politique de communication et de promotion.....................................................21CHAPITRE III : THEORIE GENERALES SUR LES OUTILS ET LES CRITERESD’EVALUAITON ........................................................................................ 22SECTION 1 : LES OUTILS D’EVALUATION............................................................. 231.1 Valeur actuelle nette (VAN).............................................................................. 231.1.1- Définition......................................................................................................241.1.2- Formule.........................................................................................................241.1.3- Notion de cash-flow......................................................................................241.1.4- Interprétation.................................................................................................241.2- Indice de profitabilité....................................................................................... 242.1- Définition............................................................................................................252.2- Formule...............................................................................................................252.3- Interprétation.......................................................................................................251.3- Durée de Récupération des Capitaux Investis (DRCI)................................ 253.1- Définition............................................................................................................253.2- Interprétation.......................................................................................................251.4- Le taux de rentabilité interne (TRI)................................................................264.1- Définition............................................................................................................264.2- Formule...............................................................................................................26Malala RANDRIANARISOA

4.3- Interprétation.......................................................................................................26SECTION 2 : LES CRITERES D’EVALUAITON ....................................................... 262.1- La pertinence ..................................................................................................... 272.2- L’efficacité..........................................................................................................272.3- L’efficience.........................................................................................................272.4- Durée de vie de projet ........................................................................................27DEUXIEME PARTIE : CONDUITE DU PROJET............................................................... 30CHAPITRE I : TECHNIQUE DE REALISATION.............................................................. 30SECTION 1 : PROCEDES DE SPECIALISATION DE L’ACTIVITE........................ 301.1- Définition et fondement de la spécialisation ..................................................... 301.2- Voies de la spécialisation ...................................................................................31SECTION 2 : DESCRIPTION ET TECHNIQUE DE REALISATION......................... 312.2- Processus de réalisation....................................................................................312.2.1- La saisie informatique...................................................................................322.2.2- L’impression................................................................................................. 332.2.3- La photocopie............................................................................................... 33.......................................................................................................................................................2.2.4- L’Internet...................................................................................................... 342.2.4.1- Mail............................................................................................................342.2.4.2- Web............................................................................................................342.5- Le scanner..........................................................................................................342.2.6- Le gravage.................................................................................................... 352.2.8- Le service fax................................................................................................362.2.9- La plastification............................................................................................ 362.2.10- Travaux de micro imprimerie.............................................................................. 37SECTION 3 : DIFFERENTS FACTEURS DE REALISATION....................................373.1- Moyen matériels................................................................................................373.1.1- Matériel informatique................................................................................... 383.1.2- Matériel de bureau........................................................................................ 383.1.3- Matériel de transport.....................................................................................393.2- Moyen humain.................................................................................................. 393.3- Moyens financiers............................................................................................. 39Malala RANDRIANARISOA

CHAPITRE II : CAPACITE D’ACCEUIL.............................................................................. 40SECTION 1 : EVALUATION DE REALISATION ET DE CHIFFRE D’AFFAIRE... 401.1- Capacité de production....................................................................................... 411.2- Programme de production durant le cinq année................................................. 42SECTION 2 : PLANNING D’ACCUEIL........................................................................432.1-Les chiffres d’affaires prévisionnelles.................................................................432.3- Calendrier de réalisation..................................................................................... 44SECTION 3 : CONSOMMATION DE MATIERE PREMIERE....................................443.1- Dépenses en matière première............................................................................ 44CHAPITRE III : ETUDE ORGANISATIONNELLE.............................................................. 46SECTION 1 : STRUCTURE ORGANISATIONNELLE............................................... 461.1- Organigramme.................................................................................................... 46SECTION 2 : ORGANISATION ADMINISTRATIVE................................................. 472.1- Ressources humaines........................................................................................ 472.1.1- La Direction ................................................................................................. 472.2.2- L’équipe opérationnelle ............................................................................... 472.2. Attribution du personnel ................................................................................. 472.0- Le gérant............................................................................................................ 472.1- Opérateur de saisie..............................................................................................482 .2 Le secrétaire comptable.................................................................................... 482.3- L’Agent de sécurité ............................................................................................482-4- Le Technicien ................................................................................................... 482.3- Qualité requise pour le personnel....................................................................... 482.4- Gestion de personnel...........................................................................................494.1- Le paix................................................................................................................ 494.2- Motivation .........................................................................................................504.3- Organisation et suivi de la formation du personnel............................................ 502.5- Information et communication .......................................................................... 502.6 Comportement du dirigent................................................................................... 512.7- Rémunération .....................................................................................................512.7.1- Plan de formation du personnel.................................................................... 522.7.2- Charges fixes des personnels........................................................................ 522.7.3- Heures supplémentaire.................................................................................55Malala RANDRIANARISOA

TROISIEME PARTIE : ETUDE FINANCIERE DU PROJET............................................... 57CHAPITRE I : MONTANT DES INVESTISSEMENT ET LESCOMPTES DE GESTION................................................................................57SECTION 1 : INVESTISSEMENT NECESSAIRE........................................................571.1- Coût d’équipement nécessaire à l’exploitation...................................................571.2- Coût de matériel de bureau................................................................................. 581.3- Coût de matériel de transport..............................................................................591.4- Coût d’installation.............................................................................................. 591.5- Récapitulation des immobilisations....................................................................591.6- Fonds déroulement initial................................................................................... 60SECTION 2 : PLAN DE FINANCEMENT.................................................................... 60SECTION 3 : TABLEAU DES AMORTISSEMENTS.................................................. 61SECTION 4 : TABLEAU DE REMBOURSEMENT DE DETTES...............................63SECTION 5 : COMPTE DE GESTION.......................................................................... 645.1- Comptes des charges...........................................................................................645.1.1- Achat de matière première...............................................................................645.1.2- Matières et fournitures non stockés................................................................. 655.1.3- Charge externes............................................................................................... 655.1.4- Autres charges................................................................................................. 655.1.5- Charges de personnel.......................................................................................665.1.6- Impôt et taxes...................................................................................................675.1.7- Charges financières..........................................................................................675.1.8- Dotation aux amortissements et aux provisions.............................................. 685.1.9- Récapitulation des charges.............................................................................. 685.2 Les produits..........................................................................................................69CHAPITRE II : ANALYSE DE LA RENTABILITE ET ETUDE DEFAISABILITE ...................................................................................... 70SECTION 1 : COMPTE DE RESULTAT PREVISIONNEL......................................... 70SECTION 2 : TABLEAU DES FLUX DE TRESORERIE............................................ 72SECTION 3 : BILAN PREVISIONNEL.........................................................................74Malala RANDRIANARISOA

CHAPITRE III : EVALUATION DU PROJET..................................................................... 811.1 Evaluation économique.....................................................................................811.1.1 Production de l’exercice.................................................................................811.1.2- Notion de la valeur ajoutée........................................................................... 811.1.3- Ratios de performance économique..............................................................821.2- Evaluation financière........................................................................................831.2.1- Valeur actuelle nette (VAN).........................................................................831.2.1.1- Définition ............................................................................................841.2.1.2- Formule................................................................................................841.2.1.3- Notion de cash-flow.............................................................................841.2.1.4- Interprétation........................................................................................851.2.1.5- Cash-flow prévisionnel........................................................................851.2.2- Indice de profitabilité....................................................................................861.2.2.1- Définition.............................................................................................861.2.2.2- Formule................................................................................................861.2.2.3- Interprétation........................................................................................861.2.3- Taux de rentabilité interne (TRI)..................................................................861.2.3.1- Définition.............................................................................................871.2.3.2- Formule................................................................................................871.2.3.3- Interprétation........................................................................................871.2.4- Durée de récupération des capitaux investi (DRCI)..................................... 881.2.4.1- Définition.............................................................................................891.2.4.2- Interprétation........................................................................................89SECTION 2 : IMPACT....................................................................................................892.1-Impact économique .............................................................................................892.2- Impact financier ................................................................................................. 902.3- Impact social.......................................................................................................90CONCLUSION GENERALE.................................................................................................91ANNEXESBIBLIOGRAPHIETABLE DES MATIEREMalala RANDRIANARISOA