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effet du nombre des graphèmes en Anglais - Aix Marseille Université

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156Des prédictions au niveau <strong>des</strong> motsTR(ms)245024002350Ar = 0.5TR(ms)245024002350Br = 0.2523002300225022502200220021502150210021000 .5 1 1.5 2 2.5 3 3.5-1 0 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10logFVoisins Orthographiques23002300TR (ms)2275CTR (ms)2280D22502260222522402200222021750 - .5 .5 - 1 1 - 1.5 1.5 - 2 2 - 2.5 > 2.5logF22000 1 2-3 >3Voisins OrthographiquesFigure 8.12. : Temps de réponse (TR) <strong>en</strong> fonction <strong>du</strong> logarithme de la fréqu<strong>en</strong>ce d'occurr<strong>en</strong>ce (logF) (A) et <strong>en</strong>fonction <strong>du</strong> <strong>nombre</strong> de voisins orthographiques (B). Les graphes C et D représ<strong>en</strong>t<strong>en</strong>t les temps de réponsemoy<strong>en</strong>s <strong>en</strong> fonction de différ<strong>en</strong>ts groupes de fréqu<strong>en</strong>ce (C) et <strong>du</strong> <strong>nombre</strong> de voisins orthographiques (D).L'abs<strong>en</strong>ce d'<strong>effet</strong> <strong>du</strong> <strong>nombre</strong> de voisins de plus haute fréqu<strong>en</strong>ce peut être lié au fait que larégression ne distingue pas les mots de basse <strong>des</strong> mots de haute fréqu<strong>en</strong>ce (cf. Chap. 3). LeTableau 8.2 prés<strong>en</strong>te les temps de réponse moy<strong>en</strong>s obt<strong>en</strong>us pour 3 groupes de mots. On voitici qu'aucun <strong>effet</strong> <strong>des</strong> VOHF n'est décelable si on considère l'<strong>en</strong>semble <strong>des</strong> mots. En revanche,<strong>en</strong> ne pr<strong>en</strong>ant que <strong>des</strong> mots de basse fréqu<strong>en</strong>ce (F < 10 occurr<strong>en</strong>ces par million), on peutnoter un <strong>effet</strong> facilitateur <strong>des</strong> VOHF, les mots n'ayant pas de VOHF étant répon<strong>du</strong> <strong>en</strong>moy<strong>en</strong>ne 50 ms plus tard que les mots ayant au moins un VOH. Toutefois, il est à noter qu'ilne s'agit pas là d'une véritable manipulation expérim<strong>en</strong>tale et que le <strong>nombre</strong> de mots parcondition n'est pas constant si l'on ne considère que les mots de basse fréqu<strong>en</strong>ce.De même, nous pouvons réaliser la même analyse pour la variable <strong>nombre</strong> de phonèmes.Comme nous l'avons vu au chapitre 6, l'<strong>effet</strong> <strong>du</strong> <strong>nombre</strong> de phonème (= <strong>nombre</strong> de graphèmes)n'est observé que pour <strong>des</strong> mots de basse fréqu<strong>en</strong>ce. Nous avons donc essayé de constituer3 groupes de mots de basse fréqu<strong>en</strong>ce variant par le <strong>nombre</strong> de phonèmes (3, 4, et 5).Cette analyse s'avère cep<strong>en</strong>dant périlleuse car la distribution <strong>des</strong> mots dans ces différ<strong>en</strong>tescatégories pour l'<strong>en</strong>semble de nos 120 mots n'est pas très équilibrée (nbrP = 3 : N = 29 ;

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