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effet du nombre des graphèmes en Anglais - Aix Marseille Université

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136FUMportem<strong>en</strong>taux et les résultats <strong>des</strong> simulations. Ici, <strong>en</strong>core, avec le même <strong>en</strong>semble de paramètres,le FUM réussit à pro<strong>du</strong>ire l'<strong>effet</strong> <strong>des</strong> graphèmes observé dans une tâche d'id<strong>en</strong>tificationperceptive.TR (ms)22402230Rey et al. (1998)Cycles18FUM22201622101422003 4 5Nombre de Graphèmes3 4 5Nombre de GraphèmesFigure 7.8. : Données empiriques de Rey et al. (1998) (à gauche) et lat<strong>en</strong>ces de réponse (<strong>en</strong> cycles) pour lesdonnées simulées par le FUM (à droite).7.3. DiscussionLa série de simulations que nous v<strong>en</strong>ons de rapporter est <strong>en</strong>courageante <strong>du</strong> point de vue dela comparaison <strong>des</strong> données empiriques et <strong>des</strong> performances <strong>du</strong> FUM. Ce modèle sembleêtre <strong>en</strong> mesure de r<strong>en</strong>dre compte d'un grand <strong>nombre</strong> d'<strong>effet</strong>s rapportés dans la littérature expérim<strong>en</strong>tale,dans différ<strong>en</strong>ts protocoles expérim<strong>en</strong>taux. De même, le FUM semble être <strong>en</strong> mesurede résoudre les deux principaux problèmes <strong>des</strong> modèles de la perception <strong>des</strong> mots écrits<strong>en</strong> utilisant les outils <strong>des</strong>criptifs <strong>des</strong> modèles connexionnistes localistes (Grainger & Jacobs,1998). Il reste donc à tester ce modèle sur un <strong>en</strong>semble plus large de données expérim<strong>en</strong>tales.7.3.1. Amélioration <strong>du</strong> modèleAvant cela, plusieurs questions mineures rest<strong>en</strong>t cep<strong>en</strong>dant à résoudre (questions que laprés<strong>en</strong>te version <strong>du</strong> modèle ne résout pas <strong>en</strong>core). Tout d'abord, la question <strong>des</strong> E placés <strong>en</strong>fin de mots. Comme nous l'avons décrit lors de la prés<strong>en</strong>tation <strong>du</strong> modèle, nous avons décidéde coder le E final comme lié à la consonne qui le précède. Or, il apparaît que le E final a unefonction quant à la prononciation de la voyelle c<strong>en</strong>trale. Il s'agit là typiquem<strong>en</strong>t d'un <strong>effet</strong> decontexte, ou de ce que Coltheart et al. (1993) appell<strong>en</strong>t une règle contextuelle. Une manièred'intégrer un tel <strong>effet</strong> contextuel est non pas d'intro<strong>du</strong>ire une règle de combinaison particulière,comme le suggèr<strong>en</strong>t Coltheart et al. (1993), mais une connexion excitatrice de l'unité

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