13.07.2015 Views

effet du nombre des graphèmes en Anglais - Aix Marseille Université

effet du nombre des graphèmes en Anglais - Aix Marseille Université

effet du nombre des graphèmes en Anglais - Aix Marseille Université

SHOW MORE
SHOW LESS

Create successful ePaper yourself

Turn your PDF publications into a flip-book with our unique Google optimized e-Paper software.

FUM 131phonie, <strong>effet</strong> de consistance, <strong>effet</strong> <strong>du</strong> <strong>nombre</strong> de graphèmes) dans différ<strong>en</strong>ts protocoles expérim<strong>en</strong>taux(TDL, tâche de prononciation, LIP). Pour chaque étude de simulation, un <strong>en</strong>semblede stimuli est prés<strong>en</strong>té au modèle et <strong>des</strong> mécanismes propres à chaque protocole expérim<strong>en</strong>talsont appliqués pour générer <strong>des</strong> prédictions <strong>du</strong> modèle. Nous détaillons ces principes pourchaque simulation.7.2.1. Coltheart et al. (77)La première étude de simulation vise à tester le FUM avec l'<strong>effet</strong> de pseudohomophonieobt<strong>en</strong>u par Coltheart et al. (1977) dans une tâche de décision lexicale. Il s'agit ici de prédireles lat<strong>en</strong>ces de réponse pour <strong>des</strong> non-mots dans la TDL. Nous choisissons donc les mêmesprocessus de réponse que ceux proposées précédemm<strong>en</strong>t dans d'autres étu<strong>des</strong> de simulation(i.e., Grainger & Jacobs, 1996 ; Jacobs et al., 1998), c'est-à-dire que la lat<strong>en</strong>ce de réponse <strong>des</strong>non-mots est déterminée par l'activité lexicale totale générée au niveau orthographique. Ainsi,la Figure 7.3 prés<strong>en</strong>te les courbes d'activation moy<strong>en</strong>nes obt<strong>en</strong>ues pour le groupe de nonmotspseudohomophones et le groupe de non-mots contrôles utilisés dans l'expéri<strong>en</strong>ce deColtheart et al. (1977). On peut voir ici que tant au niveau <strong>du</strong> lexique orthographique qu'auniveau <strong>du</strong> lexique phonologique, l'activité lexicale globale générée <strong>en</strong> moy<strong>en</strong>ne par les pseudohomophonesest plus importante que celle générée par les contrôles orthographiques. Demême, la Figure 7.4, donne le résultat <strong>en</strong> temps de réponse (i.e., <strong>en</strong> <strong>nombre</strong> de cycles) de cessimulations avec le résultat <strong>des</strong> données empiriques (critère sigma(15) = 0.45, Tmax = 23,Tmin = 20, lecture au niveau orthographique seulem<strong>en</strong>t). Ce premier test est donc concluantpuisque le modèle parvi<strong>en</strong>t à repro<strong>du</strong>ire le désavantage <strong>des</strong> pseudohomophones sur les pseudomotscontrôles dans la TDL.

Hooray! Your file is uploaded and ready to be published.

Saved successfully!

Ooh no, something went wrong!