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effet du nombre des graphèmes en Anglais - Aix Marseille Université

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FUM 129Tableau 7.2. : Ensemble <strong>des</strong> phonèmes cont<strong>en</strong>us au sein de chaque groupe de phonèmes au niveau sous-lexicalphonologique <strong>du</strong> FUM.Phon. Phon. Phon.1 1 18 E 35 R2 2 19 f 36 r3 3 20 g 37 S4 4 21 h 38 s5 5 22 I 39 T6 6 23 i 40 t7 7 24 J 41 U8 8 25 j 42 u9 9 26 k 43 ü10 # 27 l 44 V11 $ 28 m 45 v12 % 29 N 46 w13 @ 30 n 47 x14 A 31 o 48 Z15 b 32 p 49 z16 D 33 Q 50 _17 d 34 q 51 §Au niveau <strong>des</strong> unités sous-lexicales phonémiques, on retrouve une organisation similaire àcelle <strong>du</strong> niveau orthographique. On a ainsi plusieurs groupes d'unités phonèmes cont<strong>en</strong>antchacun l'<strong>en</strong>semble <strong>des</strong> unités <strong>du</strong> Tableau 7.2. De même, il existe un système de compétitionau sein de chaque groupe <strong>en</strong>tre les différ<strong>en</strong>tes unités phonèmes activées. Chaque unité phonèmeactive va <strong>en</strong>suite activer les unités lexicales phonologiques correspondantes. Il existe parailleurs une boucle de rétroaction <strong>en</strong>tre le niveau lexical phonologique et le niveau <strong>des</strong> phonèmeset, ce, afin de permettre aux correspondances grapho-phonologiques les plus faibles degagner la compétition à ce niveau de traitem<strong>en</strong>t. Les unités lexicales orthographiques et phonologiquesactivées <strong>en</strong>tr<strong>en</strong>t finalem<strong>en</strong>t <strong>en</strong> compétition avec les différ<strong>en</strong>tes unités d'un mêm<strong>en</strong>iveau lexical, et activ<strong>en</strong>t égalem<strong>en</strong>t les unités associées appart<strong>en</strong>ant à l'autre niveau lexical.On le voit, ce modèle dispose <strong>des</strong> mêmes propriétés que ses prédécesseurs <strong>en</strong> ce quiconcerne les principes computationnels adoptés. En revanche, il fait l'hypothèse différ<strong>en</strong>ted'un niveau de représ<strong>en</strong>tation constitué d'unités orthographiques fonctionnelles. Cette hypothèsepermet de résoudre le problème de la dispersion, puisque les correspondances graphophonèmiquesne sont plus codées pour une position donnée, mais pour toutes les positionsquelle que soit la séqu<strong>en</strong>ce de lettres considérée. Le choix computationnel adopté ici est doncproche de celui de Coltheart et al. (1993) par ses capacités de généralisation. En revanche, cechoix s'<strong>en</strong> distingue clairem<strong>en</strong>t par le format adopté. La structure <strong>du</strong> FUM est <strong>en</strong> <strong>effet</strong> homo-

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