Dossier d'habilitation des programmes de formation initiale et post ...

en termes de renforcement de l'offre pédagogique de l'école, au regard des savoirs qu'ilsdispensent. Ils sont désormais une composante, à chaque semestre, des unitésd'enseignements S13 à S63 intitulées histoire, cultures, sociétés.Les stages se retrouvaient entre 2006-2010, eux aussi, dispersés en licence dans des unitésd'enseignements de projet, de physique puis dans une unité d'enseignement qui leur étaitdédiée en master. Là encore, il s'est agit de leur attribuer une lisibilité moins alambiquéedans notre offre pédagogique 2010-2014. Les stages sont ainsi identifiables au sein de deuxunités d'enseignements. L'une est intitulée fin du parcours de licence (S6FPL) et l'autrefin du parcours de master (S10FPL). A chaque fin de cycle, les étudiants sont ainsiamenés à valider leurs stages auprès du Service de la scolarité, quels que soient lessemestres au cours du cycle pendant lesquels ces stages ont été effectués. Cetteconfiguration simplifie la gestion administrative des stages. Le stage d'ouvrier et/ou dechantier se déroulera de préférence au cours de la 2ème année ; et le stage de premièrepratique au cours de la 3ème année. Elle pousse aussi l'étudiant à un minimumd'anticipation pour effectuer chacun des stages avant la fin de la licence puis du master.Perspectives sur la maîtrise de rythmes mesurés de la pédagogieNos étudiants ont été confrontés, sur la période 2006-2010, à des emplois du temps de plusen plus chargés. Cette surcharge :- s'identifiait en interne par des phénomènes de saturation, principalement auxsemestres de 2ème année et de 4ème année,- se traduisait par la répétition de situations ingérables pour le Service de la scolarité auniveau de la mise en place des plannings étudiants, des plannings des salles et desplannings enseignants et du redoublement de certaines UE,- tendait à donner raison aux volumes de travail étudiant (heures encadrées et heuresde travail personnel) précisés dans l'arrêté du 20 juillet 2005.Ce manque de souplesse était induit par une logique de gestion inadaptée des planningsétudiants. Cela bloquait tout arbitrage sur les propositions des nouveaux enseignementstant la priorité était de savoir gérer les plannings saturés des étudiants en répondant, dansla mesure du possible, aux attentes de l'arrêté du 20 juillet 2005. Les limites de la logiquede gestion opérée depuis 2005 par ajouts, par accumulation d'enseignements a donc étéremise en cause.Sur la période 2010-2014, la dynamique globale de l'offre pédagogique de l'école profiterad'une nouvelle logique de comptage des heures étudiantes plus globale, en permettantdorénavant une visibilité de chaque nouvelle proposition sur l'ensemble des cycles delicence et de master. Cette dynamique devrait permettre de proposer des modalitéspédagogiques plus souples et mieux réparties.36