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hIPOJET SAS, Jean-Marc WISSLER, hydrodémolition - CCI

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6 proche a la une de vousCommerceMetal Roze :des bijoux fantaisie made in France !Créé il y a 4 ans par Elodie BOLL, lemagasin Metal Roze est spécialisédans la vente de bijoux fantaisie etd’accessoires de mode. A l’instard’autres commerçants du secteur,Elodie BOLL est signataire de laCharte de développement durabledu Pays Thur Doller.« J’ai toujours beaucoup aimé les bijouxet les accessoires de mode ; c’est ce qui amotivé mon choix de me lancer dans cedomaine d’activité » explique Elodie BOLL.« La plupart des bijoux que je vends est crééet fabriqué en France mais pour pouvoirconserver des prix abordables, certainsarticles sont importés. En ce qui concerneles accessoires, je propose des articlesoriginaux qu’on ne trouve pas ailleurs ».Les bijoux vendus chez Metal Roze ontdes formes originales et contemporaineset se déclinent dans des matériaux aussiinattendus et variés que la chambre àair, l’écorce, le liège, la corne, le cuir, lacéramique, la nacre ou les pierres semiprécieuses…Le choix étant assez largeet les prix plutôt raisonnables, ce type debijoux attire une clientèle féminine de 7 à77 ans. « Chaque bijou est unique, donc lacliente ne risque pas de tomber sur unepersonne portant le même » souligne lacommerçante.Par ailleurs, Elodie BOLL participeactivement à la redynamisation ducommerce thannois au sein de l’Associationdes Commerçants de Thann et Environ(ACTE) dont elle est membre du comité.Elle a rejoint récemment la vingtaine decommerçants qui a signé la Charte deDéveloppement durable initiée par la <strong>CCI</strong> etle Pays Thur Doller, dans le cadre du PlanClimat du Pays Thur Doller.Elodie BOLL est particulièrement attentiveà ses consommations d’énergie (éclairagede la vitrine coupé après 22h) et d’eau.« Mon offre s’inscrit pleinement dans l’espritde la charte puisque je fais travailler descréateurs français. Le magasin est aménagéavec du mobilier en bois et en papier mâché(présentoirs) et j’emploie des emballagesréutilisables. Je propose un service deréparation des bijoux ce qui évite de jetertout en sensibilisant le consommateur à la« durabilité » des produits». ■IndustrieLe Père Noël représente bien le savoir-faire des EnseignesBuhler : thermoformage, serrurerie, sérigraphie.Entre art,technique et histoireLa rencontre de l'art, de l'enseigne et de la technologie exposée àIllzach sur le parvis de l'hôtel de ville : le musée de la nature, imaginépar Bernard LATUNER, conçu et réalisé par les enseignes BUHLER.Michel RYBKA et son épouse Sabine, fille dePierre BUHLER fondateur de l’entreprise,dirigent les Enseignes Buhler à Illzach. Il aparticipé, début décembre, au tout premierStrat’Indus, rencontre détonante etimprobable entre industriels et professionnelsdu web. 5 minutes chrono de showpour présenter son savoir-faire et ses projets :une prouesse pour ce chef d’entreprisepassionné par l’histoire de son métier.A mi-chemin entre le professionnelet l’historien, Michel RYBKA retracevolontiers l’histoire du métier d’enseigniste :« le premier métier de communication ».Subtil mélange d’art et de technique, lemétier est toujours resté à l’écoute deson époque, en intégrant les nouveauxmatériaux et technologies. Bien ancréessur le marché national, les EnseignesBuhler réalisent aussi bien des enseignesde série - Heineken, Harley Davidson,…-des enseignes personnalisées pour desgrands groupes - Kinépolis, Carrefour,…- ou des enseignes sur mesure. Pources dernières, une réflexion de fondmène à la solution entre la volonté duclient, la technique et l’environnementurbain. « Notre rôle de conseil estfondamental. L’enseigne n’est passeulement un objet posélà, il faut être conscientde son rôle et avoir unevision architecturale del’ensemble. On ne s’improvisepas enseigniste.»Et justement, pour pérenniserle métier, le chefd’entreprise s’investit dansla transmission de ce savoirfaire.Au CFA du lycée <strong>Jean</strong>Mermoz de Saint-Louis, il enseigne sonmétier, vieux de 2000 ans et intimement liéà l’art.Un métier qui reflète également l’activitééconomique d’un territoire, comme le disaitsi bien Victor Hugo : « on comprend uneville et ses habitants en regardant sesenseignes. » ■ÉCONOMIE EN SUD ALSACE • Déc. 2011/Janv. 2012 • n°218

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